30 avril 2024 |

Ecrit par le 30 avril 2024

La troupe ‘Et si on chantait’ posera ses valises à Saint-Rémy-de-Provence ce samedi

La troupe Et si on chantait présentera pour la sixième et dernière fois sa dernière création Sous mon arbre, j’ai entendu… ce samedi 9 mars à Saint-Rémy-de-Provence.

Un spectacle très proche du type comédie musicale, avec 18 chansons de variété française harmonisées à quatre voix sur des musiques signées Calogero, Clara Luciani ou encore Balavoine. Des tubes de la chanson française seront de la partie… mais le public aura droit à quelques surprises avec des chansons moins connues. La direction musicale est tenue par Angélique Boudjemil.

Un spectacle complet

Une mise en scène épurée imaginée par Mathieu Cruz, avec des chorégraphies dynamiques et solaires, des solistes, dans un décor bucolique et coloré. La troupe est accompagné par un pianiste, Jean-Baptiste Maby qui enchaîne les différents tableaux par de célèbres interludes musicaux.

Samedi 9 mars 2024. 20h30. 10 à 16€. Salle de l’Alpilium. Avenue du Maréchal de Lattre de Tassigny. Saint-Rémy-de-Provence. Réservation au 06 43 88 58 89. 


La troupe ‘Et si on chantait’ posera ses valises à Saint-Rémy-de-Provence ce samedi

Du mercredi 14 février au samedi 2 mars, le festival Les Hivernales permettra de découvrir avec plus de 20 compagnies invitées, de nouvelles esthétiques, de nouvelles écritures, des chorégraphes régionaux, nationaux, des artistes phares, mais aussi de jeunes auteurs.

Le fort partenariat noué avec plusieurs structures culturelles du territoire permet une multiplicité de propositions : séances scolaires à l’auditorium du Thor, installations et performances au Grenier à Sel, à la Maison Jean Vilar, projections à la Collection Lambert ou au Cinéma Utopia, stages au Conservatoire et à l’Université. Les spectacles du soir se déploieront à la salle Benoît XII, l’Opéra Grand Avignon, le Théâtre des Halles, le Totem, le Tinel du Palais des Papes et le Centre de Développement Chorégraphique National (CDCN) des Hivernales pour Avignon et il ne faudra pas hésiter également à « pousser » jusqu’à La Garance de Cavaillon, la salle Alpilium de Saint-Rémy-de-Provence ou L’Autre Scène à Vedène. 

Faire corps tous ensemble

Voilà une formule joliment trouvée par la directrice Isabelle Martin-Bridot pour conclure l’éditorial de la brochure des Hivernales mais aussi répétée lors de la présentation du programme devant la salle comble du CDCN. Le contexte du spectacle vivant est difficile et passée l’euphorie de la reprise après les « années covid », il est effectivement essentiel de faire corps. « Sensibles aux bruits du monde, les artistes nous invitent à nous interroger sur cette humanité en difficulté mais ils nous invitent aussi à ’empuissanter’ nos espérances et à garder le sourire », souligne Isabelle Martin-Bridot avec le sourire également !

Car ce « faire corps » qu’elle revendique et que l’équipe des Hivernales prouve par la forte implication des acteurs culturels du territoire cités auparavant se révèle aussi dans un véritable travail d’équipe tout au long de l’année. En témoignent les remerciements où personne n’est oublié (de la technique à la billetterie en passant par la production et les relations publiques, sans oublier les bénévoles) et la présentation collégiale sur le plateau du CDCN du programme de ces deux semaines consacrées à la création chorégraphique, jeune génération ou chorégraphes confirmés.

Les Hivermômes ouvrent la programmation de la 46ᵉ édition des Hivernales dès cette semaine

Un travail de proximité avec élèves, centres sociaux et associations — toute l’année — pour vivre la danse à travers la pratique ou en tant que spectateurs est une des missions du CDCN et permet ainsi de proposer une programmation Jeune Public cohérente en ouverture des Hivernales. Cela va concerner cette année plus de 2200 enfants ou adolescents, pour des séances en famille ou scolaires.

L’artiste associé du CDCN, Massimo Fusco, propose avec Corps sonores juniors une expérience immersive au Grenier à Sel. L’écorce des rêves s’adresse au plus de 3 ans autour de l’imaginaire du sommeil. Pour les plus grands, Le chemin du wombat au nez poilu de la chorégraphe Joanne Leighton les emmènera vers l’Australie tandis que Main dans la main de Shlomi Tuizer et Edmond Russo abordera le thème de l’altérité et des relations humaines. 

Dimanche 18 février. Séances Tout public Hivermômes.
Corps Sonores Juniors. Dimanche 18 février. 10h et 15h. 7 et 10€. Le Grenier à sel. 2 Rue des Remparts Saint Lazare. Avignon.
L’écorce des rêves. Dimanche 18 février. 10h30. 7 et 10€. Le Totem. Avenue Monclar. Avignon.

La danse se déploiera ensuite joyeusement et fièrement dans Avignon et au-delà

Le coup d’envoi de cette édition est donné au Grenier à Sel, avec le vernissage de l’installation Donnez-moi une minute — à la frontière entre arts visuels et danse — de Doria Bellanger qui nous propose de découvrir des portraits de danseurs rencontrés à travers le monde. Nous avions déjà découvert son travail l’année dernière avec Joule. Il sera beaucoup question de croisements entre danse et arts du cirque lors de cette édition.

Johan Bichot sera en quête de verticalité dans Glissement présenté en ouverture au CDCN. Avec Foreshadow, Alexander Vantournhout nous entraînera dans un univers rock où il soumettra, sur le plateau de la Garance, huit danseurs à des contraintes d’équilibre nécessitant de nouvelles solidarités. Il sera aussi question de verticalité avec Antoine Le Menestrel et le Pan d’Avignon pour escalader des rêves avec Bâtisseurs de rêves ATHOMiques !, et Sidéral nous invite aussi à un voyage en orbite dans la belle salle de l’Alpilium à Saint-Rémy-de-Provence. Youness Aboulakoul signera Ayta, la verticalité retrouvée comme un appel à la résistance, avec six corps de femmes en lutte contre toutes les soumissions. 

Des esthétiques diverses, des solos sensibles et des curiosités à découvrir

Régine Chopinot sera au Top avec des interprètes incroyables et une musique énergique en clôture d’édition, clin d’œil aux Jeux Olympiques avec Olympiade sur le terrain de jeu de l’Opéra Grand Avignon qui devient une piste d’athlétisme pour le collectif espagnol Kor’sia, éloge de l’imperfection pour Silvia Gribaudi dans Graces.

Bintou Dembelé revient à Avignon et propose le solo de Michel Meech pour un Rite de passage I solo II entre danses africaines et hip hop. Joachim Maudet s’exerce à un one-woman show intime avec Gigi. Véronique Aubert nous invite à la poésie de Ses pas dans la neige, entre mémoire et oubli. On découvre la polka chinata dans Save the last dance for me, uniquement interprétée par des couples d’hommes. La chorégraphe Rafaële Giovanola, peu connue, a des chances de nous étonner en nous révélant une œuvre ciselée, Vis Motrix aux figures de break et de krump.

Une édition qui fait donc la part belle à la curiosité et à la transdisciplinarité à découvrir ces prochaines semaines au fil de nos articles. 

Du 14 février au 2 mars. 46ᵉ édition des Hivernales. CDCN. 18 rue Guillaume Puy. Avignon. 04 90 11 46 45. Billetterie. 3-5 rue Portail Matheron. Avignon.


La troupe ‘Et si on chantait’ posera ses valises à Saint-Rémy-de-Provence ce samedi

Avec son look d’aristocrate, de gentleman-farmer en velours, Henri de Pazzis avait installé Pro Natura en 1987, entreprise de fruits et légumes en gros, à deux pas de l’autoroute A7 et du MIN de Cavaillon. N° 2 européen et leader français du marché bio, il s’agrandit, crée des dizaines d’emplois, exporte de façon exponentielle. Jusqu’à faire entrer un fonds d’investissement US pour se développer encore plus. Mais le loup est dans la bergerie et rêve de bio industriel. Ce sera le coup de grâce, il sera remercié par les Américains en 2014, alors que le chiffre d’affaires de Pro Natura s’élevait à 90M€. 

Henri de Pazzis n’est pas homme à rester un genou à terre et à déprimer. Avec son chèque en main, il franchit le pont de la Durance, quitte le Vaucluse et s’installe dans les Alpilles, à Saint-Rémy-de-Provence, où vivaient ses oncles et tantes et là, il s’invente une nouvelle vie.

Ce néo-paysan plante sur 45 hectares des variétés anciennes de blés (‘Touselle de Nîmes’, ‘Rouge de Bordeaux’, ‘Saissette d’Arles’, ‘Barbu du Roussillon’, ‘Meunier d’Apt’). « Des semences rustiques, qui donnent des plants bons à la fois pour la terre et pour l’organisme humain, dit-il. Ils font partie de notre patrimoine gustatif. » Il pratique également une rotation des cultures, luzerne, pois chiches, lentilles à tour de rôle pour fertiliser le sol et surtout, ne pas l’épuiser.

Pour parfaire sa connaissance de la farine et du pain, il passe quelques semaines en formation près de Sisteron, à l’École Internationale de la Boulangerie à Noyers-sur-Jabron. « Pour les pains, fougasses, brioches, nous avons un petit miracle : la panification au levain nature, la fermentation lente, avec des arômes différents, pas ces fournées industrielles avec des levures chimiques », explique Henri de Pazzis. Il a passion de la nature, de l’authentique, de l’harmonie, de la terre nourricière. « Mieux manger, c’est mieux vivre », commente-t-il.

Boulanger et meunier, Henri de Pazzis se retrouve à la fois au four et au moulin. Avec femme et enfants, il vit aujourd’hui à Saint-Rémy où il a implanté Terre & Blé, au n°24 Avenue Albin Gilles, un fournil avec 18 salariés. Miches cuites au four à bois, pains dorés, navettes, tourtes et pompes à huile y côtoient des focaccias.

Pile en face, au n° 23, Alpilles Bio, un magasin avec 17 salariés, dédié aux produits issus de l’agriculture bio et locale. « Nous avons des cochons de Fontvieille, des agneaux et du bœuf de Lozère, des génisses de l’Aubrac », détaille Henri de Pazzis. Dans cette grande épicerie fine, une gamme complète de bio, viandes, fruits et légumes, un rayon traiteur, une crèmerie avec fromages à la découpe, une pâtisserie, une cave à vins, en tout, 8 500 références, c’est dire. Sans oublier un espace bien-être avec naturopathe, sophrologue et kinésiologue.

Néo-paysan-meunier-boulanger, Henri de Pazzis a aussi publié Murmure du monde avec une préface ciselée par Sylvain Tesson et La part de la terre sous-titrée : l’agriculture comme art. Pour lui, « l’agriculture est un art qui révèle la chair du monde. »


La troupe ‘Et si on chantait’ posera ses valises à Saint-Rémy-de-Provence ce samedi

Ce jeudi 14 décembre, à l’occasion du 80ᵉ anniversaire du Petit Prince d’Antoine de Saint-Exupéry, Jean-Paul Lucet et Hugo Cicion Issartial proposeront une lecture théâtrale du conte au Ciné-Palace de Saint-Rémy-de-Provence

Publié pour la première fois à New York en 1943, le conte a été traduit à ce jour en 535 langues et dialectes, ce qui en fait le livre le plus traduit au monde après la Bible. 80 ans après sa parution, Jean-Paul Lucet, homme de théâtre, et Hugo Cicion Issartial, jeune comédien de 13 ans, décident de rendre hommage à l’œuvre qui continue de vivre aujourd’hui.

Jeudi 14 décembre. 18h30. 13€ (10€ pour les adhérents). 4 avenue Fauconnet. Saint-Rémy-de-Provence.

V.A.


La troupe ‘Et si on chantait’ posera ses valises à Saint-Rémy-de-Provence ce samedi

Le lundi 4 décembre, la société Omag, spécialisée dans l’agrofourniture sur le secteur des Bouches-du-Rhône et du Vaucluse, organise un colloque sur le dérèglement climatique et ses conséquences sur l’agriculture en Provence à Saint-Rémy-de-Provence.

Pour l’occasion, l’agro-climatologue Serge Zaka interviendra pour évoquer les conséquences des températures excessives, du manque de précipitations, et des évènements climatiques hors normes, et les solutions à mettre en œuvre pour pallier ces problématiques. Il sera accompagné de Kévin Margaron d’Omag, qui évoquera les nouvelles technologies, Nicolas Laugier du groupe Perret, qui abordera les bénéfices, limites et conditions de réussite des couverts végétaux, ainsi que Romain Careghi du groupe Perret, qui parlera de l’intérêt des biostimulants pour accompagner la plante dans les stress climatiques.

Inscription par mail à l’adresse jcoutellier.omag@groupeperret.fr ou au 06 24 93 03 01.
Lundi 4 décembre. De 17h à 20h. Mas de Jonquerolles. 35 Chemin Chalamon. Saint-Rémy de Provence.

V.A.


La troupe ‘Et si on chantait’ posera ses valises à Saint-Rémy-de-Provence ce samedi

Après son succès au Festival d’Avignon 2023 aux côtés de la danseuse La Loli dans ‘Ténor in flamenco’, le Ténor Di Bettino organise une tournée ‘Noelissimo’ dans les églises, chapelles et cathédrales de France. Il sera de passage à Avignon ce samedi 25 novembre, à Saint-Rémy-de-Provence le samedi 2 décembre, et à Mazan le dimanche 10 décembre.

‘Douce Nuit’, ‘Mon beau sapin’, ‘Petit Papa Noël’, ‘Ave Maria’, ‘Panis Angelicus’, ‘Caro mio ben’, ou encore ‘White Christmas’. Accompagné de son pianiste Charles Pinatel, le Ténor Di Bettino interprétera tous les chants incontournables de Noël. La tournée de l’artiste sera accompagnée de la sortie d’un CD de Noël.

Le billet est au tarif de 15€ et est gratuit pour les moins de 12 ans. Pour réserver votre place, cliquez ici.
Samedi 25 novembre. 17h. Église du Sacré Cœur. 2 Rue du Sacré Cœur. Avignon.
Samedi 2 décembre. 17h. Chapelle Saint Roch. Saint-Rémy-de-Provence.
Dimanche 10 décembre. 17h. Église Saint-Nazaire et Saint-Celse. 39 Rue Saint-Celse. Mazan.

V.A.


La troupe ‘Et si on chantait’ posera ses valises à Saint-Rémy-de-Provence ce samedi

La cour administrative d’appel de Marseille vient de définitivement valider le projet de création de 152 logements au quartier des Cèdres à Saint-Rémy-de-Provence. Cette décision fait suite au jugement du tribunal administratif de Marseille du 22 septembre 2022 qui validait déjà ce projet dont la conformité du permis avait été accordée en novembre 2020.

Ainsi, malgré les recours déposés par 5 particuliers et 3 associations ce programme prévoyant la réalisation de 8 T1, 49 T2, 52 T3, 43 T4, comprend 114 logements privés (dont 35 à prix maîtrisés pour les primo-accédants locaux afin de leur proposer des prix inférieurs à ceux du marché et leur permettre d’accéder à la propriété dans leur commune d’origine) et 38 en locatif social (toujours à destination des Saint-Rémois principalement). Par ailleurs, 40 seront réservés aux seniors (sur le parc locatif social et sur le parc en accession libre).

L’ensemble intègre également 283 places de stationnement réservées aux riverains (principalement en sous-sol), 152 places pour les deux-roues. Le tout dans un cadre disposant de 6 940 m2 d’espaces verts.


La troupe ‘Et si on chantait’ posera ses valises à Saint-Rémy-de-Provence ce samedi

La commune de Saint-Rémy-de-Provence s’est dotée depuis juin dernier d’un éco-digesteur destiné au traitement des déchets organiques de ses cantines municipales. Cet appareil permet de traiter et de collecter les déchets alimentaires et organiques afin de les recycler rapidement en engrais biologique dans un délai de 24h environ. Cette solution de fermentation accélérée permet ainsi de transformer 100kg de déchets en 10kg de compost.

Une démarche de chasse au gaspi déjà entamée
Afin de déjà réduire le volume de ses déchets, la municipalité avait déjà mis en place un meilleur dosage des quantités servies. De quoi fortement diminué le gaspillage ces dernières années puisque la quantité de nourriture non consommée est aujourd’hui de 33g par enfant en moyenne, contre 110 au niveau national. Restait toutefois encore environ 2,2 tonnes de déchets organiques à traiter par an. Désormais, ils ne sont donc plus jetés dans la filière habituelle mais valorisés dans l’éco-digesteur, dans une logique de réutilisation en circuit court. En effet, ce compost va servir d’engrais biologique sur les plantations du Lycée professionnel agricole, qui en retour fournit les restaurants municipaux en huile d’olive.

Avec l’aide de l’Europe et du Pays d’Arles
Actuellement, peu de communes disposent d’un équipement de ce type dont le coût s’élève à près de 50 000€. Cependant, la ville de Saint-Rémy a pu obtenir des aides à hauteur de 70% du coût d’acquisition via le programme européen Feader (Fonds européen agricole pour le développement rural) pour un montant de 20 901,31€ et le PETR (Pôle d’équilibre territorial et rural) du Pays d’Arles (13 934,21€).


La troupe ‘Et si on chantait’ posera ses valises à Saint-Rémy-de-Provence ce samedi

Inauguration de la centrale photovoltaïque lundi 16 octobre

Les Saint-Rémois sont chaleureusement invités à l’inauguration de la centrale solaire photovoltaïque de Saint-Rémy-de-Provence au chemin des Méjades (sur le site de l’ancienne décharge municipale), le lundi 16 octobre 2023 à 17h, suivie du verre de l’amitié à 18h salle de la Gare (place du Général-de-Gaulle).

Ce nouvel équipement, achevé à l’été 2022, construit et exploité par Provence Éco Énergie et Corfu Solaire, filiale du groupe Terre et Lac. Avec 12 500 panneaux photovoltaïques, la centrale produit en un an environ 6 500 MWh par an, soit la consommation d’environ 1 380 foyers, et permet d’éviter l’émission de 4 841 tonnes de CO2. Les habitants de Saint-Rémy avaient eu la possibilité d’investir dans ce projet de développement durable par le biais d’un financement participatif.

Budget participatif, déposez votre projet

La ville de Saint-Rémy-de-Provence lance la 3e édition de son budget participatif. Du 13 octobre au 3 décembre 2023, les Saint-Rémois pourront déposer de nouveaux projets sur la plateforme numérique collaborative.

10 projets lauréats ont été retenus lors de la 2e édition du budget participatif et seront réalisés dans les 2 prochaines années. Pour cette 3e édition, le budget participatif va permettre de développer de nouveaux projets imaginés et portés par des citoyens saint-rémois. Cette année encore, 300 000€ du budget d’investissement annuel de la ville ont été réservés à leur réalisation. Et vous, que feriez-vous pour votre ville avec cette somme ? Faites part de votre idée d’investissement en déposant un projet ! Chaque idée est ensuite étudiée, puis soumise au vote de tous les Saint-Rémois.

Et faites partie de la commission
Une commission de 16 personnes est chargée de vérifier la recevabilité des projets déposés (sur la base du règlement) et de valider les résultats des votes.

La notion de citoyenneté et de co-construction doit être valable tout au long des étapes de ce budget participatif. Il a donc été imaginé qu’un panel représentatif de la population, constitué en commission, contribue à l’arbitrage relatif à la recevabilité et l’éligibilité des projets.

Cette instance est composée de 6 personnes issues d’un tirage au sort parmi une liste de volontaires. Les personnes ayant un mandat local ne peuvent pas candidater. Dans la mesure du possible, la parité en termes de sexe et tranche d’âge sera respectée lors de ce tirage au sort. La liste des candidats à cette commission doit être finalisée avant le début de la phase d’analyse.
La chargée de mission Participation citoyenne et démocratie participative en tant que pilote du dispositif et modératrice. Les responsables des services (ou leur représentant) : direction générale, marché, finances, technique et urbanisme, légitiment à se prononcer sur les critères de recevabilité juridique, technique, et financière. 4 élus du Conseil Municipal volontaires pour participer, au prorata de leur représentativité en Conseil Municipal. Pour des questions de neutralité, ces derniers n’ont qu’une voie consultative au sein de la commission. Ils s’assurent également que le cadre est respecté. Soit un total de 16 personnes.

Cependant, la commission n’a pas vocation à se prononcer sur la pertinence du projet mais seulement sur sa recevabilité sur la base de critères objectifs définis dans le règlement.

À l’issu de la phase de vote, la commission se réunit pour approuver les résultats avant présentation de ces derniers en Conseil Municipal.
Si vous souhaitez candidater pour faire partie de la commission c’est ici.

Obligations légales de débroussailler
Débroussailler est une obligation légale. C’est surtout la manière la plus efficace de prévenir les feux de forêts, de limiter la propagation des incendies, de protéger les biens, les personnes… et les Alpilles.

Dans ce but, depuis début octobre et jusqu’à mi-novembre, la ville s’acquitte de ses obligations légales de débroussaillement (OLD) le long du Chemin des Guillots, de la Voie Aurélia, du Chemin du Mas du Rouge et du Chemin de la Pistole/Bagatelle. Le public circulant à proximité est prié de faire preuve de vigilance.

En parallèle, l’écogarde municipal va entamer dès cet automne un nouveau cycle de contrôle des OLD chez les propriétaires privés. La précédente campagne, entre 2017 et 2023, a permis de contrôler 759 propriétés situées dans le territoire concerné par le risque incendie ; 88% des propriétés étaient conformes, ce qui est un excellent chiffre. Merci aux propriétaires d’avoir joué le jeu !
Mireille Hurlin

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