10 septembre 2025 |

Ecrit par le 10 septembre 2025

Apt : « les professionnels de santé devraient être formés aux soins palliatifs dès leur formation initiale »

Ce lundi 7 août, Agnès Firmin Le Bodo, ministre déléguée chargée de l’Organisation territoriale et des Professions de santé s’est rendue au Centre hospitalier du Pays d’Apt afin de rencontrer les professionnels de santé et discuter de l’accès aux soins en Vaucluse, et plus particulièrement l’accès aux soins palliatifs.

Lundi 7 août. 14h15. Les équipes du centre hospitalier d’Apt et les élus attendent la ministre. Agnès Firmin Le Bodo arrive. La visite de l’établissement peut donc commencer. Accueil des urgences, pharmacie hospitalière, accueil de l’hôpital, ou encore salle dédiée à l’ophtalmologie. Aucun recoin de l’établissement n’a échappé à cette visite. La ministre a même allé à la rencontre de certains patients dans leur chambre.

Cette visite, c’est la première en Vaucluse. Elle sera suivie des visites du Centre hospitalier d’Avignon et de la Maison Mazarine ce vendredi 11 août. Le 13 juillet dernier, la ministre a annoncé quatre plans permettant de répondre aux enjeux immédiats et apporter des solutions concrètes en matière d’accès aux soins. Elle a aussi participé à l’écriture d’une proposition de loi concernant la fin de vie et les soins palliatifs. Ces visites rentrent dans ce cadre et permettent à Agnès Firmin Le Bodo d’évaluer directement les besoins des établissements de santé sur le terrain.

Les quatre plans pour un meilleur accès aux soins

Ainsi, la ministre fait le tour des centres hospitaliers et autres établissements de santé afin de remercier les professionnels pour leur engagement quotidien, mais aussi de discuter de plusieurs projets qui sont en cours :

  • le déploiement de 100 médicobus, qui permettrait de faire le dernier kilomètre jusqu’aux patients
  • le recrutement de 10 000 assistants médicaux afin de libérer du temps médical
  • le développement de 4 000 maisons de santé pluriprofessionnelles pour attirer de nouveaux professionnels de santé dans les territoires et créer de véritables équipes de soins autour des patients
  • la généralisation des Communautés professionnelles territoriales de santé (CPTS) sur l’ensemble du territoire dans le but d’améliorer la coopération entre les professionnels de santé

Un après-midi porté sur les soins palliatifs

Si l’accès aux soins dans sa globalité faisait initialement l’objet de cette visite du Centre hospitalier d’Apt, ce sont surtout les soins palliatifs et l’accompagnement en fin de vie qui ont été abordés. « Je souhaitais mettre l’accent sur les soins palliatifs lors de cette visite car Apt est plutôt exemplaire en la matière », a expliqué Agnès Firmin Le Bodo.

La ministre a donc entamé un long échange avec Déborah Gaudeau, médecin gériatre formée aux soins palliatifs, qui a représenté l’équipe de gériatrie et soins palliatifs de l’hôpital, dont elle est à la tête. La mission de cette équipe consiste à améliorer la prise en charge globale des personnes âgées et à améliorer la qualité de vie des patients et de leur famille qui sont confrontés aux conséquences d’une maladie en phase palliative.

Un projet de loi pour la fin de vie et les soins palliatifs

L’accès aux soins palliatifs et à l’accompagnement qu’ils engendrent est plutôt bien géré à Apt, ce n’est pas encore le cas dans tout le pays. Un projet de loi visant à affirmer le libre choix de la fin de vie et à assurer un accès universel aux soins palliatifs en France a été proposé par plusieurs élus, dont Agnès Firmin Le Bodo, alertant notamment sur le taux de suicide des aînés en France, qui est le plus haut d’Europe, qui est notamment dû à l’acharnement thérapeutique que peuvent subir certains patients.

Ce projet de loi a donc pour objectif d’encadrer davantage l’aide active à mourir afin que le patient puisse avoir le choix quant à sa fin de vie, tout en ayant accès à l’accompagnement nécessaire, et assurer un accès aux soins palliatifs à tous.

Un manque de personnel

Dans l’optique de placer le confort et la prise en charge des patients au premier plan, le Docteur Déborah Gaudeau et son équipe se mobilisent pour accompagner la mise en place d’une antenne mobile de soins palliatifs. Cette dernière serait une équipe extra-hospitalière à domicile, dont la création a d’ores et déjà été validée par l’Agence régionale de santé (ARS) PACA.

« Nous avons le budget, mais pas le personnel. »

Déborah Gaudeau

Pour le moment, les soins palliatifs se font en milieu intrahospitalier, ainsi que dans cinq EPHAD : à Gordes, Saint-Saturnin-les-Apt, Saint-Chrystol, et les deux établissements aptésiens. L’équipe ne peut pour l’instant pas effectuer d’activité extrahospitalière, mis à part dans certains cas d’hospitalisation à domicile, par manque de médecins. « Ce ne sont que des contrats à mi-temps, donc c’est forcément moins attractifs », explique Déborah Gaudeau. Pour pallier ce problème, le Centre hospitalier du Pays d’Apt souhaiterait travailler inter-sites pour que les médecins puissent cumuler les contrats mi-temps afin de faire des temps pleins.

Trop peu de professionnels formés

Le problème principal concernant l’accès aux soins palliatifs aujourd’hui réside dans le manque de formation des professionnels. « Les professionnels devraient être formés aux soins palliatifs dès leur formation initiale, notamment dans les EHPAD », affirme Agnès Firmin Le Bodo. C’est d’ailleurs l’une des missions de l’équipe de gériatrie et soins palliatifs de l’hôpital d’Apt, qui a un rôle de formation envers les EHPAD, mais dont les quatre membres sont aussi inscrites à l’Institut de formation des aides-soignantes et ont un rôle dans la formation de bénévoles qui interviennent dans l’hôpital.

« 20 départements français n’ont pas d’unité de soins palliatifs. »

Agnès Firmin Le Bodo

Malgré le manque de personnel formé à Apt, l’équipe de gériatrie et soins palliatifs fait preuve d’exemplarité en matière d’accompagnement, que ce soit avec les patients, ou avec leur famille. « Nous recevons de très belles lettres de la part des familles qui ont perdu un proche et qui félicitent les équipes sur la prise en charge », explique Déborah Gaudeau. L’équipe a notamment mis en place un courrier avec les condoléances de toute l’équipe et les coordonnées d’une psychologue pour les familles.

Ainsi, Agnès Firmin Le Bodo continuera son tour du Vaucluse et abordera aussi les problématiques liées aux soins palliatifs à Avignon, ainsi que la télémédecine, le projet de bus médical du Conseil départemental, et le projet de CPTS.


Apt : « les professionnels de santé devraient être formés aux soins palliatifs dès leur formation initiale »

Après deux ans de mobilisation, la reconstruction de l’Ehpad de Sainte-Cécile-les-Vignes a été actée ce mercredi 28 juin.

Un temps menacé de fusion avec l’Ehpad de Sablet, l’Agence Régionale de Santé (ARS) et le Conseil départemental de Vaucluse ont acté la reconstruction de l’Ehpad de Sainte-Cécile-les-Vignes, ce mercredi 28 juin. La structure sera transférée sur un nouveau terrain de 11 200m2 situé à l’entrée de la commune et bénéficiera de 80 places, soit 14 nouvelles places.

« A l’heure où la dépendance demeure une préoccupation majeure pour un grand nombre de nos familles, cette nouvelle est vécue comme un soulagement par tous ceux qui sont concernés par la question de la perte d’autonomie » se sont félicités Christine Lanthelme et Anthony Zilio, conseillers départementaux du canton de Bollène.

Dans le même temps, le département de Vaucluse a annoncé débloquer une enveloppe de 4M€ pour la modernisation des Ehpad, ainsi que 300 000€ pour la création d’une maison de santé pluridisciplinaire sur la commune de Mornas.

J.R.


Apt : « les professionnels de santé devraient être formés aux soins palliatifs dès leur formation initiale »

La Journée mondiale du donneur de sang est organisée chaque 14 juin par l’Organisation mondiale de la santé dans le but de sensibiliser les populations aux enjeux des dons de sang et de souligner la contribution des donneurs volontaires.

Chez les êtres humains, il existe quatre groupes sanguins (A, B, O et AB) qui se différencient par la présence ou combinaison des antigènes A, B et O, et qui sont dits « positifs » ou « négatifs » selon la présence (ou non) de l’antigène D (ou facteur Rhésus) à la surface des globules rouges. Ainsi, chaque groupe sanguin possède des propriétés différentes, notamment en matière de transfusions possibles entre individus. Par exemple, le groupe O- est celui des « donneurs universels » : ils peuvent donner leur sang à n’importe qui, mais ne peuvent recevoir que du sang O-. À l’inverse le groupe AB+ est celui des « receveurs universels » : ils peuvent recevoir du sang de tous les groupes sanguins, mais ne peuvent en donner qu’aux personnes AB+.

Comme le suggère la carte ci-dessous, le groupe sanguin O+ est le plus courant au sein de l’humanité. Si le groupe A+ est le plus répandu dans la grande majorité des pays d’Europe, la proportion de O+ est également relativement élevée sur le continent (autour de 35 % à 40 % en France, en Belgique, en Suisse et en Espagne, par exemple). Les pays où l’on observe la prépondérance la plus nette d’un groupe sanguin donné sont l’Équateur, le Pérou et le Zimbabwé, avec respectivement 75 %, 70 % et 63 % de sang O+.

Seuls deux pays répertoriés dans la base de données de World Population Review présentent une proportion plus élevée de groupe B+ : le Pakistan et le Bangladesh (plus de 30 %). L’Inde affiche également l’un des pourcentages les plus élevés de sang B+ (32 %), mais c’est le groupe O+ qui domine de peu dans le pays. Le groupe sanguin le plus rare dans le monde est le groupe AB- (1 %), alors que les « donneurs universels » (O-), ne représentent généralement que 1 % à 9 % de la population selon les pays, les taux les plus élevés étant notamment mesurés au Brésil, au Royaume-Uni, en Espagne et en Australie.

De Tristan Gaudiaut pour Statista


Apt : « les professionnels de santé devraient être formés aux soins palliatifs dès leur formation initiale »

Dans le cadre de son Projet alimentaire territorial (PAT), le Parc naturel régional du Luberon organise un webinaire sur l’alimentation méditerranéenne, animé par le nutritionniste et directeur de l’Institut national de la santé et de la recherche médicale (INSERM) Denis Lairon ce mardi 13 juin.

L’objectif de cette rencontre est d’informer et de sensibiliser les élus, les cuisiniers, les agents des collectivités et plus largement le public, sur les bienfaits de la ‘diète méditerranéenne’ sur la santé humaine et environnementale. Pour assister à ce webinaire de 14h30 à 16h30 ce mardi 13 juin, cliquez ici.

Une alimentation dominée par les produits végétaux

L’alimentation méditerranéenne est composée majoritairement de produits végétaux tels que les céréales peu raffinées, les légumes secs, les légumes et fruits frais, les noix, les amandes, ou encore huile d’olive, de plantes aromatiques comme l’ail ou le thym, mais aussi de poissons. Les produits laitiers et la volaille sont consommés en quantités raisonnables. La charcuterie et la viande rouge, ainsi que les produits sucrés, quant à eux, sont en faible quantité.

Il est prouvé scientifiquement que les alimentations basées sur des végétaux sont plus bénéfiques pour la santé humaine et les écosystèmes que les régimes alimentaires omnivores à dominante animale. Ainsi, les personnes pratiquant majoritairement la ‘diète méditerranéenne’, tous âges confondus, sont moins exposées au surpoids et à l’obésité, et les adultes sont moins affectées par de nombreuses maladies comme le diabète, les pathologies cardiovasculaires, ou divers cancers.

Pour ce qui est des bienfaits pour la planète, moins de produits d’origine animale et de produits transformés signifie pour leur production moins de surface de terres à cultiver (-70%), d’énergie (-80%) et de consommation de ressources naturelles comme l’eau douce (-60%), et nettement moins d’émissions de gaz à effet de serre (-70%).

V.A.


Apt : « les professionnels de santé devraient être formés aux soins palliatifs dès leur formation initiale »

Labellisée Terre de Jeux 2024, la Ville de l’Isle-sur-la-Sorgue s’investit pour promouvoir le sport sur son territoire. La commune organise ce mardi 13 juin une journée qui allie sport, gastronomie et patrimoine.

L’événement, porté par le Pôle Enfance Famille et par la Direction du Patrimoine, est destiné aux élèves des écoles élémentaires de la ville. L’objectif est de promouvoir le sport et d’initier les élèves à certaines pratiques sportives dans des lieux atypiques, historiques et emblématiques de la ville de l’Isle-sur-la-Sorgue.

Ainsi, huit classes de CM2 de cinq écoles élémentaires, soit 185 élèves, pourront découvrir divers sports à travers des ateliers animés par les éducateurs sportifs de la Ville tels que l’escrime dans le jardin de la Caisse d’Épargne avec l’association Le Fleuret d’Argent, la perche dans la cour de Campredon art & image, la gymnastique et l’acrosport au Grenier Numérique, ainsi que le ping-pong et le vortex au jardin de la Congrégation.

V.A.


Apt : « les professionnels de santé devraient être formés aux soins palliatifs dès leur formation initiale »

Malgré les doutes sur ses effets négatifs sur la santé, la cigarette électronique pourrait être reconnue comme l’un des outils de sevrage tabagique, au même titre que les patchs ou les chewing-gums à la nicotine. C’est le message délivré par le ministre français de la Santé dimanche 28 mai, qui considère la prescription et le remboursement de ces outils de sevrage tabagique par les assurances sociales.

En Europe, les cigarettes électroniques sont particulièrement populaires en Suisse, où 30 % des participants à l’enquête du Statista Consumer Insights déclaraient en faire l’usage, alors que l’Italie (25 %) et le Royaume-Uni (24 %) figurent aussi parmi les pays qui comptent le plus d’utilisateurs. En France, le pourcentage de vapoteurs s’élève à 19 %. En revanche, les Marocains semblent bien moins enthousiastes à l’idée de vapoter des liquides aux parfums variés. Dans ce pays d’Afrique du Nord, seuls 8 % des répondants déclaraient utiliser une e-cigarette.

De Claire Villiers pour Statista


Apt : « les professionnels de santé devraient être formés aux soins palliatifs dès leur formation initiale »

L’OMS estime que plus de 8 millions de personnes meurent prématurément à cause du tabagisme chaque année. Sur 1,3 milliard de fumeurs dans le monde (soit près d’un adulte sur quatre), plus de 80 % vivent dans des pays à revenu faible ou intermédiaire, là où la charge de morbidité et de mortalité liée au tabac est la plus lourde. Où le tabagisme est-il le plus répandu dans le monde ? Et quelles sont les tendances de consommation au cours des dernières décennies ?

Les nations où l’on trouve le plus de fumeurs sont regroupées dans trois régions. L’Asie du Sud-Est (notamment au Myanmar et en Indonésie), l’Europe (en particulier dans les Balkans, mais aussi en France) et les petites îles du Pacifique (Nauru, Kiribati, Tuvalu). Dans les pays cités ci-dessus, un adulte sur trois, si ce n’est plus, fume quotidiennement ou occasionnellement du tabac. À l’inverse, c’est en Afrique que l’on trouve le moins de fumeurs : en Éthiopie, au Ghana et au Nigeria, moins de 5 % des adultes fument.

Au rayon des tendances, on observe ces vingt dernières années une forte baisse de la prévalence du tabagisme dans les pays d’Amérique du Nord et d’Europe occidentale – à l’exception de la France, où la proportion de fumeurs réguliers et occasionnels n’a guère diminué. D’après les données de l’OMS publiées par Our World in Data, la prévalence du tabagisme dans l’Hexagone est passée de 34 % en 2000 à 33 % en 2020, tandis que des pays comme le Royaume-Uni, le Canada et la Suède ont vu leur taux chuter d’environ de moitié. À l’échelle mondiale, la prévalence est passée d’environ un adulte sur trois à un adulte sur quatre. Deuxième marché des cigarettes au monde après la Chine, l’Indonésie est l’une des rares nations où la proportion de fumeurs a augmenté.

De Tristan Gaudiaut pour Statista

Sur le même sujet : consultez l’infographie sur les bénéfices de l’arrêt du tabac pour la santé.


Apt : « les professionnels de santé devraient être formés aux soins palliatifs dès leur formation initiale »

La Mutuelle Générale d’Avignon Grand Sud (MGA) vient de célébrer les 10 ans des Mutuelles de Village à Caumont-sur-Durance, première municipalité de France à l’avoir mise en place. Depuis, près de 2 000 communes ont suivi l’exemple de la ville vauclusienne.

Il y a 10 ans, à l’initiative de Véronique Debue alors adjointe à la mairie de Caumont-sur-Durance, s’est créé en 2013 un comité de pilotage composé de professionnels de la santé, d’étudiants et de citoyens. L’idée de ce dispositif consistait à regrouper les habitants d’une même commune afin de leur faire bénéficier d’une complémentaire santé non-obligatoire de qualité à des prix compétitifs.
Les Mutuelles de village se sont donc alors concrétisées autour un contrat spécifique dont les garanties et les tarifs ont été discutés avec la commune. Caumont-sur-Durance et la MGA ont été les précurseurs en France.
« C’est ici à Caumont que l’idée a été travaillée, murie et au final réalisée, rappelle Claude Morel, actuel maire de Caumont-sur-Durance. Nous en sommes vraiment fiers. Rien n’aurait abouti sans une rencontre entre Véronique Debue, le comité le pilotage et la MGA. »

Un exemple pour plus de 2 000 communes françaises
De nombreuses municipalités ont ensuite suivi l’exemple de Caumont-sur-Durance, premier village de France à l’avoir introduit. Rien que la MGA compte aujourd’hui 86 communes adhérentes. Et au niveau national, on évalue actuellement à environ 2 000 le nombre de communes (dont plusieurs dizaines de vauclusiennes) à avoir mis en place ce dispositif solidaire de santé. De quoi ‘couvrir’ 20 000 personnes qui bénéficient désormais d’une mutuelle santé communale sur l’ensemble de l’Hexagone.
« Nous avons pris la Mutuelle de village dès le début et nous y sommes toujours… », confie très satisfait, un couple de Caumontois lors de la soirée de célébration de ce 10e anniversaire qui s’est tenu cette semaine.

L.G.


Apt : « les professionnels de santé devraient être formés aux soins palliatifs dès leur formation initiale »

Le vendredi 19 mai, la ville de Sorgues illuminera le château Saint-Hubert de violet à l’occasion de la journée mondiale des MICI (Maladie inflammatoires chroniques de l’intestin).

La journée mondiale des MICI
Célébrée tous les 19 mai, la Journée mondiale des MICI est une journée de sensibilisation pour porter la voix des personnes atteintes de la maladie de Crohn ou de rectocolite hémorragique (RCH). La fédération européenne de lutte contre les MICI coordonne une action de mobilisation européenne et mondiale avec notamment l’illumination en violet

La ville de sorgues et son soutien
Solidaire de cet enjeu de santé publique, la municipalité de Sorgues affichera ainsi son soutien aux personnes atteintes de ces maladies. Monument emblématique de la commune, le Château Saint-Hubert se parera de violet, couleur de lutte contre les MICI, afin de sensibiliser la population. 

J.G

Infos pratiques
19 mai. Château Saint-Hubert. Sorgues. Association AFA Crohn RCH84 : 06 16 89 49 56  afa84@afa.asso.fr

https://www.echodumardi.com/tag/sante/page/12/   1/1