19 décembre 2025 |

Ecrit par le 19 décembre 2025

Quels groupes sanguins sont les plus courants dans le monde ?

La Journée mondiale du donneur de sang est organisée chaque 14 juin par l’Organisation mondiale de la santé dans le but de sensibiliser les populations aux enjeux des dons de sang et de souligner la contribution des donneurs volontaires.

Chez les êtres humains, il existe quatre groupes sanguins (A, B, O et AB) qui se différencient par la présence ou combinaison des antigènes A, B et O, et qui sont dits « positifs » ou « négatifs » selon la présence (ou non) de l’antigène D (ou facteur Rhésus) à la surface des globules rouges. Ainsi, chaque groupe sanguin possède des propriétés différentes, notamment en matière de transfusions possibles entre individus. Par exemple, le groupe O- est celui des « donneurs universels » : ils peuvent donner leur sang à n’importe qui, mais ne peuvent recevoir que du sang O-. À l’inverse le groupe AB+ est celui des « receveurs universels » : ils peuvent recevoir du sang de tous les groupes sanguins, mais ne peuvent en donner qu’aux personnes AB+.

Comme le suggère la carte ci-dessous, le groupe sanguin O+ est le plus courant au sein de l’humanité. Si le groupe A+ est le plus répandu dans la grande majorité des pays d’Europe, la proportion de O+ est également relativement élevée sur le continent (autour de 35 % à 40 % en France, en Belgique, en Suisse et en Espagne, par exemple). Les pays où l’on observe la prépondérance la plus nette d’un groupe sanguin donné sont l’Équateur, le Pérou et le Zimbabwé, avec respectivement 75 %, 70 % et 63 % de sang O+.

Seuls deux pays répertoriés dans la base de données de World Population Review présentent une proportion plus élevée de groupe B+ : le Pakistan et le Bangladesh (plus de 30 %). L’Inde affiche également l’un des pourcentages les plus élevés de sang B+ (32 %), mais c’est le groupe O+ qui domine de peu dans le pays. Le groupe sanguin le plus rare dans le monde est le groupe AB- (1 %), alors que les « donneurs universels » (O-), ne représentent généralement que 1 % à 9 % de la population selon les pays, les taux les plus élevés étant notamment mesurés au Brésil, au Royaume-Uni, en Espagne et en Australie.

De Tristan Gaudiaut pour Statista


Quels groupes sanguins sont les plus courants dans le monde ?

Dans le cadre de son Projet alimentaire territorial (PAT), le Parc naturel régional du Luberon organise un webinaire sur l’alimentation méditerranéenne, animé par le nutritionniste et directeur de l’Institut national de la santé et de la recherche médicale (INSERM) Denis Lairon ce mardi 13 juin.

L’objectif de cette rencontre est d’informer et de sensibiliser les élus, les cuisiniers, les agents des collectivités et plus largement le public, sur les bienfaits de la ‘diète méditerranéenne’ sur la santé humaine et environnementale. Pour assister à ce webinaire de 14h30 à 16h30 ce mardi 13 juin, cliquez ici.

Une alimentation dominée par les produits végétaux

L’alimentation méditerranéenne est composée majoritairement de produits végétaux tels que les céréales peu raffinées, les légumes secs, les légumes et fruits frais, les noix, les amandes, ou encore huile d’olive, de plantes aromatiques comme l’ail ou le thym, mais aussi de poissons. Les produits laitiers et la volaille sont consommés en quantités raisonnables. La charcuterie et la viande rouge, ainsi que les produits sucrés, quant à eux, sont en faible quantité.

Il est prouvé scientifiquement que les alimentations basées sur des végétaux sont plus bénéfiques pour la santé humaine et les écosystèmes que les régimes alimentaires omnivores à dominante animale. Ainsi, les personnes pratiquant majoritairement la ‘diète méditerranéenne’, tous âges confondus, sont moins exposées au surpoids et à l’obésité, et les adultes sont moins affectées par de nombreuses maladies comme le diabète, les pathologies cardiovasculaires, ou divers cancers.

Pour ce qui est des bienfaits pour la planète, moins de produits d’origine animale et de produits transformés signifie pour leur production moins de surface de terres à cultiver (-70%), d’énergie (-80%) et de consommation de ressources naturelles comme l’eau douce (-60%), et nettement moins d’émissions de gaz à effet de serre (-70%).

V.A.


Quels groupes sanguins sont les plus courants dans le monde ?

Labellisée Terre de Jeux 2024, la Ville de l’Isle-sur-la-Sorgue s’investit pour promouvoir le sport sur son territoire. La commune organise ce mardi 13 juin une journée qui allie sport, gastronomie et patrimoine.

L’événement, porté par le Pôle Enfance Famille et par la Direction du Patrimoine, est destiné aux élèves des écoles élémentaires de la ville. L’objectif est de promouvoir le sport et d’initier les élèves à certaines pratiques sportives dans des lieux atypiques, historiques et emblématiques de la ville de l’Isle-sur-la-Sorgue.

Ainsi, huit classes de CM2 de cinq écoles élémentaires, soit 185 élèves, pourront découvrir divers sports à travers des ateliers animés par les éducateurs sportifs de la Ville tels que l’escrime dans le jardin de la Caisse d’Épargne avec l’association Le Fleuret d’Argent, la perche dans la cour de Campredon art & image, la gymnastique et l’acrosport au Grenier Numérique, ainsi que le ping-pong et le vortex au jardin de la Congrégation.

V.A.


Quels groupes sanguins sont les plus courants dans le monde ?

Malgré les doutes sur ses effets négatifs sur la santé, la cigarette électronique pourrait être reconnue comme l’un des outils de sevrage tabagique, au même titre que les patchs ou les chewing-gums à la nicotine. C’est le message délivré par le ministre français de la Santé dimanche 28 mai, qui considère la prescription et le remboursement de ces outils de sevrage tabagique par les assurances sociales.

En Europe, les cigarettes électroniques sont particulièrement populaires en Suisse, où 30 % des participants à l’enquête du Statista Consumer Insights déclaraient en faire l’usage, alors que l’Italie (25 %) et le Royaume-Uni (24 %) figurent aussi parmi les pays qui comptent le plus d’utilisateurs. En France, le pourcentage de vapoteurs s’élève à 19 %. En revanche, les Marocains semblent bien moins enthousiastes à l’idée de vapoter des liquides aux parfums variés. Dans ce pays d’Afrique du Nord, seuls 8 % des répondants déclaraient utiliser une e-cigarette.

De Claire Villiers pour Statista


Quels groupes sanguins sont les plus courants dans le monde ?

L’OMS estime que plus de 8 millions de personnes meurent prématurément à cause du tabagisme chaque année. Sur 1,3 milliard de fumeurs dans le monde (soit près d’un adulte sur quatre), plus de 80 % vivent dans des pays à revenu faible ou intermédiaire, là où la charge de morbidité et de mortalité liée au tabac est la plus lourde. Où le tabagisme est-il le plus répandu dans le monde ? Et quelles sont les tendances de consommation au cours des dernières décennies ?

Les nations où l’on trouve le plus de fumeurs sont regroupées dans trois régions. L’Asie du Sud-Est (notamment au Myanmar et en Indonésie), l’Europe (en particulier dans les Balkans, mais aussi en France) et les petites îles du Pacifique (Nauru, Kiribati, Tuvalu). Dans les pays cités ci-dessus, un adulte sur trois, si ce n’est plus, fume quotidiennement ou occasionnellement du tabac. À l’inverse, c’est en Afrique que l’on trouve le moins de fumeurs : en Éthiopie, au Ghana et au Nigeria, moins de 5 % des adultes fument.

Au rayon des tendances, on observe ces vingt dernières années une forte baisse de la prévalence du tabagisme dans les pays d’Amérique du Nord et d’Europe occidentale – à l’exception de la France, où la proportion de fumeurs réguliers et occasionnels n’a guère diminué. D’après les données de l’OMS publiées par Our World in Data, la prévalence du tabagisme dans l’Hexagone est passée de 34 % en 2000 à 33 % en 2020, tandis que des pays comme le Royaume-Uni, le Canada et la Suède ont vu leur taux chuter d’environ de moitié. À l’échelle mondiale, la prévalence est passée d’environ un adulte sur trois à un adulte sur quatre. Deuxième marché des cigarettes au monde après la Chine, l’Indonésie est l’une des rares nations où la proportion de fumeurs a augmenté.

De Tristan Gaudiaut pour Statista

Sur le même sujet : consultez l’infographie sur les bénéfices de l’arrêt du tabac pour la santé.


Quels groupes sanguins sont les plus courants dans le monde ?

La Mutuelle Générale d’Avignon Grand Sud (MGA) vient de célébrer les 10 ans des Mutuelles de Village à Caumont-sur-Durance, première municipalité de France à l’avoir mise en place. Depuis, près de 2 000 communes ont suivi l’exemple de la ville vauclusienne.

Il y a 10 ans, à l’initiative de Véronique Debue alors adjointe à la mairie de Caumont-sur-Durance, s’est créé en 2013 un comité de pilotage composé de professionnels de la santé, d’étudiants et de citoyens. L’idée de ce dispositif consistait à regrouper les habitants d’une même commune afin de leur faire bénéficier d’une complémentaire santé non-obligatoire de qualité à des prix compétitifs.
Les Mutuelles de village se sont donc alors concrétisées autour un contrat spécifique dont les garanties et les tarifs ont été discutés avec la commune. Caumont-sur-Durance et la MGA ont été les précurseurs en France.
« C’est ici à Caumont que l’idée a été travaillée, murie et au final réalisée, rappelle Claude Morel, actuel maire de Caumont-sur-Durance. Nous en sommes vraiment fiers. Rien n’aurait abouti sans une rencontre entre Véronique Debue, le comité le pilotage et la MGA. »

Un exemple pour plus de 2 000 communes françaises
De nombreuses municipalités ont ensuite suivi l’exemple de Caumont-sur-Durance, premier village de France à l’avoir introduit. Rien que la MGA compte aujourd’hui 86 communes adhérentes. Et au niveau national, on évalue actuellement à environ 2 000 le nombre de communes (dont plusieurs dizaines de vauclusiennes) à avoir mis en place ce dispositif solidaire de santé. De quoi ‘couvrir’ 20 000 personnes qui bénéficient désormais d’une mutuelle santé communale sur l’ensemble de l’Hexagone.
« Nous avons pris la Mutuelle de village dès le début et nous y sommes toujours… », confie très satisfait, un couple de Caumontois lors de la soirée de célébration de ce 10e anniversaire qui s’est tenu cette semaine.

L.G.


Quels groupes sanguins sont les plus courants dans le monde ?

Le vendredi 19 mai, la ville de Sorgues illuminera le château Saint-Hubert de violet à l’occasion de la journée mondiale des MICI (Maladie inflammatoires chroniques de l’intestin).

La journée mondiale des MICI
Célébrée tous les 19 mai, la Journée mondiale des MICI est une journée de sensibilisation pour porter la voix des personnes atteintes de la maladie de Crohn ou de rectocolite hémorragique (RCH). La fédération européenne de lutte contre les MICI coordonne une action de mobilisation européenne et mondiale avec notamment l’illumination en violet

La ville de sorgues et son soutien
Solidaire de cet enjeu de santé publique, la municipalité de Sorgues affichera ainsi son soutien aux personnes atteintes de ces maladies. Monument emblématique de la commune, le Château Saint-Hubert se parera de violet, couleur de lutte contre les MICI, afin de sensibiliser la population. 

J.G

Infos pratiques
19 mai. Château Saint-Hubert. Sorgues. Association AFA Crohn RCH84 : 06 16 89 49 56  afa84@afa.asso.fr


Quels groupes sanguins sont les plus courants dans le monde ?

25% des décès sont attribués à l’environnement, une bonne raison pour l’Agence régionale de santé (ARS) de s’en préoccuper en participant au 4ᵉ Plan Régional Santé Environnement (PRSE).

Le PRSE 2022-2027 de la région Provence-Alpes-Côte d’Azur recense les risques qui impactent notre santé, qu’il s’agisse de polluants naturels, domestiques, industriels ou professionnels et qui constituent un réel enjeu de santé publique. La qualité de l’air et de l’eau, le niveau du bruit, des résidus de produits chimiques comme l’amiante ou le plomb nous affectent.

Le 7 avril dernier, les élus du Conseil économique, social, environnemental de la Région Sud (CESER) ont auditionné Thierry Margueron, en charge du département Santé et Environnement à l’ARS. « 70% de ce qui impacte notre santé est influencé par une politique d’aménagement, annonce-t-il d’emblée. Globalement, 50% par notre mode de vie et des facteurs socio-économiques et 20% par le patrimoine génétique que nous ont légué nos parents et grands-parents. » En détails, il s’agit des effets directs comme les conséquences de températures élevées en combinaison avec les UV sur les cancers de la peau par exemple, ou l’altération du sommeil en période de canicule.

Autres effets mais indirects : les risques de maladies à transmission virale telles que la dengue, la maladie de lyme, ou encore le chikungunya. Le réchauffement climatique va provoquer la prolifération de bactéries avec la hausse de température des océans, sans parler de la fonte du permafrost qui va libérer virus, bactéries et allergènes qui avaient été congelés pendant des siècles. Ce qui va évidemment provoquer des troubles respiratoires sur les asthmatiques par exemple.

« Quelles politiques stratégiques adopter pour limiter cet impact négatif ? »

C’est la question que pose Thierry Margueron. « D’abord, végétaliser les espaces et les bâtiments, aménager des îlots de fraîcheur, dés-imperméabiliser les sols, créer des étendues d’eau, réduire le trafic d’engins thermiques », poursuit-il. Ce qui implique qu’urbanistes, architectes, collectivités locales, associations, citoyens et aménageurs du territoire travaillent en synergie pour mieux prendre en compte la santé, en réduisant l’exposition aux polluants (air, eau, bruits), en conseillant des comportements sains (alimentation, activités physiques), en aménageant des pistes cyclables, en agençant des parking et des aires de jeu. « Bref, en créant des conditions de vie favorables au bien-être, à la qualité de vie et à la santé du plus grand nombre » ajoute-t-il.

« On a remarqué que les épisodes de canicule ont fait augmenter en masse la mortalité, notamment des personnes âgées et des plus vulnérables, qu’ils sont déclenché d’énormes incendies que les pompiers ont mis des jours et des nuits à éteindre, comme en Gironde l’été dernier », développe-t-il.

« L’urbanisme doit être réparateur pour réduire les inégalités, précise Thierry Margueron pour conclure. On a pensé construire des rocades pour fluidifier la circulation en dehors des bassins de vie. » Le problème, c’est qu’à Avignon, la fameuse Rocade Charles de Gaulle est empruntée par 50 000 véhicules par jour, dont des milliers de poids-lourds qui perturbent la vie des riverains et provoquent nombre de maladies cardiaques et pulmonaires, sans parler de dépressions nerveuses. Et qu’on parle de la LEO (Liaison est-ouest) pour l’éviter, mais que le projet né en 1987 n’a toujours pas abouti…

Autre constat : dans les hôpitaux, on a remarqué que dans les chambres qui donnent sur les arbres et la nature, les patients se rétablissent plus vite que ceux qui ont une vue imprenable sur le bitume et le parking. Et pour ceux qui douteraient de l’impact négatif de l’environnement sur la santé, une enquête du Sénat menée en 2000 a démontré que le coût de la pollution de l’air coûte entre 67 et 98 milliards d’euros et qui paie la facture ? La Sécurité Sociale pour des pathologies cardio-vasculaires, pulmonaires et pour des cancers.


Quels groupes sanguins sont les plus courants dans le monde ?

Depuis le premier avril, presque tous les moyens de contraception sont disponibles gratuitement au Luxembourg, indépendamment de l’âge. Les frais de stérilisation pour les femmes et les hommes sont également remboursés, selon le ministère de la Santé. Seuls les préservatifs doivent encore être payés par les consommateurs. Jusqu’à présent, seule une liste limitée de contraceptifs sur ordonnance était remboursée à 80 % au Luxembourg pour les femmes de moins de 30 ans. Cette nouvelle réglementation devrait avoir permis au pays de gagner des points dans l’« Atlas des politiques sur la contraception » de 2023.

L’« Atlas des politiques sur la contraception » du Forum parlementaire européen pour les droits sexuels et reproductifs (EPF) évalue chaque année l’accès aux moyens de contraception, aux services de conseil et à l’information en ligne à ce sujet dans les pays d’Europe.

Selon l’édition 2023, c’est en Grande-Bretagne que la situation est la meilleure sur le continent, suivie de la France, de la Belgique et du Luxembourg. La Suisse fait plutôt mauvaise figure en Europe occidentale : contrairement à la France par exemple, tous les moyens de contraception doivent y être payés par le consommateur, et ce sont surtout les personnes à faible revenu qui en font les frais. Avec l’Italie, elle est le seul pays d’Europe occidentale à obtenir un score inférieur à 60 % dans l’étude. Comme le montre notre graphique, la Pologne est le pays européen le plus mal classé en matière de contraception.

Dans seulement 20 des 46 pays européens, les systèmes de santé prennent en charge au moins un moyen de contraception réversible à long terme, comme la pilule contraceptive, l’anneau contraceptif ou le stérilet.

De Tristan Gaudiaut pour Statista

https://www.echodumardi.com/tag/sante/page/14/   1/1