4 septembre 2025 |

Ecrit par le 4 septembre 2025

Le Centre Hospitalier de Cavaillon-Lauris choisit le jeu et le dialogue pour sensibiliser à la bientraitance

Aborder le sujet de la maltraitance au sein des établissements de santé est une tâche délicate, d’autant qu’elle concerne à la fois les personnels soignants et les patients ou résidents. Pour sensibiliser à cette cause le Centre Hospitalier de Cavaillon-Lauris a choisi d’organiser le 18 juin dernier une journée où le jeu et le dialogue en étaient le véhicule.

Sans forcément être physique, la maltraitance dans les établissements de santé peut prendre de multiples formes. Elles peuvent être liées aux comportements : manque d’écoute, de bienveillance, insuffisance de la prise en compte de la personne. Elles peuvent être également liées au fonctionnement même des établissements et aux parcours médicaux : délais d’attente trop long, mauvaise prise en charge de la douleur, difficultés de gestion des situations à risques…

«  Il s’agit la plupart du temps de mauvaises habitudes ».

Pour l’un des médecin de l’hôpital de Cavaillon : «  il s’agit la plupart du temps de mauvaises habitudes ». Il déplore que « le médical prends trop souvent le pas sur l’humain ». La Haute Autorité de Santé parle alors de maltraitance « ordinaire ». Les personnels sont happés par la gestion du collectif et la prise en compte des patients devient secondaire explique l’instance. Selon une récente étude menée par l’Organisation Mondiale de la Santé près de 64 % du personnel institutionnel avait admis avoir eu un comportement abusif au cours de l’année écoulée. Ce chiffre montre toute l’ampleur du phénomène.

Mais cette maltraitance c’est aussi une réalité pour les personnels de santé qui sont de plus en plus fréquemment l’objets d’invectives et de harcèlement moral de la part de patients, d’accompagnants ou de résidents. Selon l’ordre national des infirmiers plus de 20 000 signalements de violence sont enregistrés chaque année. Toujours selon le même organisme, 65 professionnels de santé sont victimes de violences physiques ou verbales chaque jour.

«  Il s’agit la plupart du temps de mauvaises habitudes ».

Initiée depuis 2011, par l’ONU, la journée mondiale de lutte contre la maltraitance des personnes âgées, a trouvé résonnance en France dans de nombreux établissements de santé accueillant des séniors. Pour son édition de 2025, elle était proposée le 15 juin. Le Centre Hospitalier de Cavaillon-Lauris a choisi, quant à lui, de lancer son appel à la bientraitance le 18 juin (une coïncidence ?). L’an dernier l’établissement avait organisé des olympiades, cette année c’était des stands de jeux, des espaces d’expression, et des activités immersives permettant de simuler la vie en fauteuil roulant ou la mobilité des personnes en grand âge.

Pour Paramasiven Mootien, médecin et président de la commission médicale d’établissement du centre hospitalier, « la bienveillance est un état d’esprit, un comportement ». « Il faut avoir de la compassion pour les patients et les résidents » ajoute-t-il.

Pour Pierre Pinzelli, directeur général du centre hospitalier : «  l’attention portée aux patients doit être au cœur des préoccupations ». « Accueillir le mieux possible doit être intrinsèquement lié aux métiers de soignant » précise-t-il. Et d’ajouter « la bientraitance ne se décrète pas, elle se vit et se construit ensemble, au quotidien… c’est une attention permanente ». Gageons que le message soit passé.


Le Centre Hospitalier de Cavaillon-Lauris choisit le jeu et le dialogue pour sensibiliser à la bientraitance

Le 12 juin dernier, l’AIST 84, service de prévention et de santé au travail au service des entreprises du Vaucluse, a organisé la 6e édition de son opération ‘Cinéma anime le débat’. Les 140 participants ont pu visionner un film, suivi d’une séance d’échanges et de débats.

Lors de la 6e édition de l’opération ‘Cinéma anime le débat’, les participants venus en nombre ont pu assister gratuitement à la projection du film Caméra Café, 20 ans déjà, une comédie avec Bruno Solo et Yvan Le Bolloch qui jette un regard aussi drôle que lucide sur l’évolution du monde du travail, les relations humaines au bureau et les trajectoires professionnelles à travers les années.

Cette séance s’est suivie d’un débat, animé par le Dr Ceccarda Fornaciari, médecin du travail à l’AIST 84 et Jean-Philippe Matz, psychologue du travail à l’AIST 84, sur les grands enjeux actuels du monde professionnel. Ensemble, ils ont notamment évoqué l’évolution du travail, la transmission générationnelle, les nouvelles formes de management, l’impact des technologies, la conduite du changement, et la lutte contre le harcèlement.

La 7e édition de ‘Cinéma anime le débat’ aura lieu en 2026 et « promet d’être tout aussi riche en échanges et réflexions », selon l’AIST 84.


Le Centre Hospitalier de Cavaillon-Lauris choisit le jeu et le dialogue pour sensibiliser à la bientraitance

La santé et le bien-être sont aujourd’hui devenues pour les entreprises, comme pour les employés, des préoccupations majeures. Sensible à la cause, l’association Hey Agroparc d’Avignon organise le mardi 24 juin, à la salle Félicien Florent de Montfavet, une journée de rencontres avec des professionnels de la santé et de l’accompagnement. Au programme stands, ateliers et tables rondes.

« Prenez soin de vos collaborateurs, ils prendront soin de votre entreprise », c’est en ces termes que l’association Hey Agroparc cherche à sensibiliser tous les chefs d’entreprises ou managers à la question de la santé au travail. Gestion du stress, qualité du sommeil, conseils nutritionnels, organisation du travail, prévention des risques… les sujets sont nombreux et ils concernent tous les salariés et les étudiants. « Travailler dans un environnement sain et épanouissant est une démarche gagnante pour tous » précise Alexandre Bouche, le président de Hey Agroparc. Pour la deuxième année, cette association organise une journée de sensibilisation destinée aux employés, aux chefs d’entreprises et aux étudiants le mardi 24 juin, de 9h30 à 17h00, à la salle Félicien Florent de Montfavet.

©DR

Une vingtaine de professionnels de la santé et de l’accompagnement seront présents

Une vingtaine de professionnels de la santé et de l’accompagnement, issus du territoire, seront présents tout au long de cette journée. Ils viendront sensibiliser, informer, partager et présenter leurs activités. Ils animeront 5 tables rondes (voir encadré). Plusieurs entreprises qui ont mis en place des initiatives concrètes pour promouvoir la santé au sein de leurs équipes (programmes de bien-être, activités physiques, alimentation équilibrée, soutien psychologique…) seront également invités à partager leurs expériences.

« Prendre soin de ses collaborateurs c’est contribuer à une société plus saine et plus équilibrée »

L’association Hey Agroparc, invite les employeurs à libérer un peu de temps pour permettre à leur salariés de participer à cette journée, dont l’accès est libre et l’inscription pas nécessaire.  Pour l’association Hey Agroparc, la santé doit être aujourd’hui une priorité pour les entreprises. Si elle est synonyme de gain de productivité, d’engagement des collaborateurs, c’est aussi un moyen d’attirer et de fidéliser les talents. « Il s’agit aussi d’une responsabilité sociale pour l’entreprise qui dans la promotion de la santé publique a un vrai rôle à jouer ». « Prendre soin de ses collaborateurs c’est contribuer à une société plus saine et plus équilibrée » conclue l’association.

Renseignements : www.hey-agroparc.com/sante.htm#h

Programme des tables rondes

10H30 – 11H15 – Psychologie Positive

12H30 – 13H15 – Santé Mentale et Apprenants 

13H45 – 14H30 – Adapter le travail à l’humain 

14H45 – 15H30 – Mettre en place des actions de prévention 

16H00 – 16H45 – Sensibiliser les salariés autour de leur santé mentale et psycho 

Hey Agroparc fête la musique le 19 juin

Avec un peu d’avance, l’association Hey Agroparc organise sa fête de la musique le jeudi 19 juin de 18h00 à 23h00 au P’tit Beer (1171 route de l’aérodrome Avignon). Au programme : les groupes Lucky Duo et Ultimatum avec un DJ set en clôture à partir de 21h30. Entrée gratuite et inscription nécessaire au

www.hey-agroparc.com/fete-de-la-musique-agroparc.htm#h


Le Centre Hospitalier de Cavaillon-Lauris choisit le jeu et le dialogue pour sensibiliser à la bientraitance

Pour la 6e édition de son opération ‘Le cinéma anime le débat’, l’AIST 84 propose une projection gratuite du film ‘Caméra Café, 20 ans déjà’.

Ce rendez-vous est organisé par l’Association interentreprises pour la santé au travail du Vaucluse (AIST 84). Il vise à proposer « avec légèreté mais sans détour, un regard éclairant sur l’évolution du monde du travail, la transformation des relations professionnelles, la question du harcèlement et les mutations des dynamiques sociales en entreprise ».

Prévention sur grand écran
Pour cela, la structure de santé au travail accompagnant plus de 9 000 entreprises soit 100 000 salariés sur le bassin de vie d’Avignon, va projeter le jeudi 12 juin à 18h30 au cinéma Pathé Cap-Sud le film ‘Caméra Café, 20 ans déjà’ sorti en 2024.
Une comédie grinçante, avec notamment Bruno Solo dans le rôle d’Hervé Dumont et Yvan Le Bolloch dans celui de Jean-Claude Convenant, qui jette un regard aussi drôle que lucide sur l’évolution du monde du travail, les relations humaines au bureau et les trajectoires professionnelles à travers les années.

Cette séance gratuite sera ensuite suivie d’un débat animé par le Dr Ceccarda Fornaciari, médecin du travail à l’AIST 84 et Jean-Philippe Matz, psychologue du travail à l’AIST 84.

Jeudi 12 juin. 18h30 à 21h. Cinéma Pathé Cap-Sud. Avignon. Accès gratuit (inscription obligatoire sur : https://www.aist84.fr/evenements/6eme-edition-du-cinema-anime-le-debat/


Le Centre Hospitalier de Cavaillon-Lauris choisit le jeu et le dialogue pour sensibiliser à la bientraitance

La ministre du Travail, de la Santé, des Solidarités et des Familles, Catherine Vautrin, a annoncé jeudi 29 mai que l’interdiction de fumer en France serait étendue à de nombreux espaces publics dont les plages, les parcs et jardins publics, les abords des écoles, les abris de bus et les équipements sportifs à partir du 1er juillet. « Là où il y a des enfants, le tabac doit disparaître », a déclaré la ministre à Ouest France. Cette interdiction ne s’appliquera pas aux cigarettes électroniques, mais Catherine Vautrin a annoncé examiner des mesures concernant à leur égard, comme une réduction du taux de nicotine dans les produits de vapotage.

Exclusion notable, les terrasses de cafés et restaurants ne seront pas concernées par l’extension de l’interdiction de fumer dans les lieux publics. La ministre a défendu cette exemption, déclarant que l’interdiction « se concentre sur les lieux où il y a beaucoup d’enfants », mais cette décision est pointée du doigt par certains experts, qui y voient l’influence du lobby du tabac.

Comme le montre notre infographie, basée sur des données de l’Organisation mondiale de la santé, la prévalence du tabagisme dans le monde n’a cessé de diminuer depuis 2000. Selon les estimations de l’OMS, 21,7 % des personnes âgées de 15 ans et plus consommaient du tabac en 2020, contre 32,7 % au début du millénaire. Comme l’illustre notre graphique, le taux de tabagisme est le plus élevé chez les 45-54 ans (27,5 %), alors qu’il n’est que de 13,8 % chez les 15-24 ans et de 13,5 % chez les 85 ans et plus.

De Valentine Fourreau pour Statista


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Le 16e Congrès mondial sur l’endométriose s’ouvre aujourd’hui à Sydney. Organisé par la Société mondiale de l’endométriose, cet événement, qui réunit des experts du monde entier, a pour but de promouvoir une meilleure compréhension de cette maladie, dont les causes restent inconnues, ainsi qu’un meilleur accompagnement des patientes.

Comme le montre notre infographie, basée sur des données de l’Organisation mondiale de la santé ainsi que de l’association française de lutte contre l’endométriose EndoFrance, les femmes atteintes d’endométriose attendent actuellement sept ans en moyenne pour recevoir un diagnostic. L’endométriose peut en effet souvent présenter des symptômes qui imitent d’autres pathologies et contribuent à retarder le diagnostic, mais la maladie elle-même est également difficile à diagnostiquer : si une échographie pelvienne, une IRM ou bien un examen radiographique de l’utérus et des trompes peuvent aider à identifier l’endométriose, seule la visualisation chirurgicale par laparoscopie est jusqu’ici en mesure de la confirmer.

Les symptômes de l’endométriose sont multiples, et certains ont un impact sévère sur la qualité de vie des personnes atteintes de cette pathologie. Ils incluent entre autres : règles douloureuses, fatigue chronique, infertilité, troubles digestifs et urinaires, douleurs pelviennes et lombaires ou encore dyspareunie (douleurs lors des rapports sexuels). On estime actuellement que 30 à 40 % des femmes atteintes d’endométriose connaissent également des problèmes de fertilité, et 70 % souffrent de douleurs chroniques invalidantes. Il n’existe aujourd’hui pas de traitement définitif de l’endométriose.

De Valentine Fourreau pour Statista


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À l’occasion de la Journée mondiale de la maladie de Parkinson, qui a eu lieu le 11 avril, France Parkinson organise une journée de sensibilisation au centre hospitalier de Pertuis ce vendredi 16 mai.

En 2021, 11,8M de cas de Parkinson, maladie neurodégénérative progressive, ont été recensés dans le monde. D’ici 2025, il est estimé que cela atteindra 25,2M de cas, soit +112% par rapport à 2021. L’association France Parkinson alerte sur l’augmentation inquiétante du nombre de personnes malades et organise plusieurs événements de sensibilisation en France depuis plusieurs semaines dans le cadre de la Journée mondiale de la maladie de Parkinson qui a eu lieu au mois d’avril. L’association estime que, même si le vieillissement de la population reste le principal facteur à l’origine de l’augmentation des cas de maladie de Parkinson, le facteur environnemental n’est pas à négliger.

Ainsi, afin de sensibiliser les populations, France Parkinson organise une journée de sensibilisation au Centre Hospitalier Intercommunal Aix Pertuis (CHIAP) ce vendredi. Anne Delenne, Centre Expert Aix-en-Provence, proposera des sessions questions/réponses. Un atelier cognidanse sera animé par Roselyne Aurenty. Enfin, France Parkinson tiendra un stand sur place pour informer, sensibiliser, répondre aux questions, etc.

Vendredi 16 mai. De 10h à 15h. Entrée Libre. CHIAP. 58 rue de Croze. Pertuis.

(Source : France Parkinson)


Le Centre Hospitalier de Cavaillon-Lauris choisit le jeu et le dialogue pour sensibiliser à la bientraitance

Des représentants, membres et sympathisants de l’association Alliance Vita manifesteront ce lundi 12 mai 2025 à 19 heures, Place Montfort à Vaison la Romaine. Car, le 12 mai 2025, l’examen de la proposition relative à la fin de vie qui prévoit de légaliser l’euthanasie et le suicide assisté débutera à l’Assemblée nationale en séance publique. Ce jour -là, Alliance Vita organise simultanément, dans une cinquantaine de villes de France, des rassemblements pour réclamer des soins et refuser l’euthanasie et le suicide assisté. «Alors que les Français subissent au quotidien la crise du système de santé et de l’accès aux soins, comment comprendre cette offensive législative pour entériner l’euthanasie. Or, elle ne peut pas être une réponse à l’absence de politique de santé,» s’interroge Alliance Vita.

‘On veut des soins, pas l’euthanasie’  «Nous plaidons pour une politique de prévention de la désespérance et du suicide qui ne laisse personne sur le bord du chemin, martèle Tugdal Derville, porte-parole de l’association  La priorité est de réparer notre système de santé, plutôt que de pousser les plus vulnérables à l’auto-exclusion. Comment peuvent-ils comprendre qu’on légalise le suicide assisté et l’euthanasie ‘en aide à mourir’, alors que la moitié de ceux qui auraient besoin de soins palliatifs, n’y ont pas accès ? C’est pour eux que nous nous mobilisons.» 

Alliance Vita
Alliance Vita propose d’écrire à son député ‘pour alerter sur le risque de l’aide à mourir’ faute de soutien et de soins adapté, et demander que la priorité aille au contraire à la réparation du système de santé ; et de rejoindre la mobilisation pour manifester son opposition à l’euthanasie et réclamer des soins accessibles à tous.

Les infos pratiques
Manifestation Alliance Vita ce lundi 12 mai 2025 à 19 heures, Place Montfort, à Vaison la Romaine, contre la légalisation de l’euthanasie et du suicide assisté.

Copyright Alliance Vita

Le Centre Hospitalier de Cavaillon-Lauris choisit le jeu et le dialogue pour sensibiliser à la bientraitance

En France comme dans de nombreux autres pays occidentaux, les médicaments psychotropes (antidépresseurs par ex.), principalement consommés dans le cadre d’une prescription médicale pour traiter des troubles mentaux, sont la troisième substance psychoactive la plus fréquemment consommée après l’alcool et le tabac. Si ces médicaments jouent un rôle important dans le traitement de certaines maladies mentales, leur utilisation abusive peut entraîner un risque d’abus et de dépendance du fait de leurs propriétés psychoactives.

À l’échelle mondiale, la taille du marché des médicaments antidépresseurs était estimée à près de 15 milliards de dollars en 2024, selon des données publiées par Verified Market Reports. D’après les prévisions des experts du secteur, ce marché devrait voir son chiffre d’affaires dépasser le cap des 20 milliards de dollars d’ici 2033, porté par un taux de croissance annuel composé de 4 %. L’Amérique du Nord représentait autour de 40 % des ventes mondiales en valeur en 2023, suivie par l’Europe avec 30 %. La région Asie-Pacifique représentait environ 20 % des ventes cette année-là et est considérée comme le principal moteur de la croissance du marché dans les années à venir. L’infographie ci-dessous présente une sélection de chiffres clés sur les ventes et les parts de marché de l’industrie mondiale des antidépresseurs.

Où consomme-t-on le plus d’antidépresseurs à travers le monde ?
D’après les chiffres de l’OCDE les plus récents, parmi la trentaine de pays dans le monde pour lesquels ces données sont disponibles, c’est toujours en Islande que le niveau de consommation d’antidépresseurs est le plus élevé. Avec une consommation moyenne de 165 doses définies journalières pour 1 000 habitants en 2023, les Islandais devancent les Portugais (154 doses journalières pour 1 000 habitants), les Britanniques (136 doses, donnée de 2022) et les Canadiens (133 doses).

Autrefois identifié comme un pays où le recours à ce type de médicaments était excessif, la France ne fait plus partie, depuis plus d’une décennie déjà, des pays d’Europe où les antidépresseurs sont les plus consommés. Avec 61 doses définies de ce type de médicaments ingérées par jour pour 1 000 habitants (donnée de 2022), les Français se situent dans la moyenne basse des 31 pays de l’OCDE étudiés (environ 76 doses pour 1 000 habitants). Les populations analysées qui présentent les niveaux de consommation les plus faibles sont les Lettons, les Hongrois et les Coréens, avec des ratios allant de 26 à 34 doses journalières pour 1 000 personnes.

De Tristan Gaudiaut pour Statista

https://www.echodumardi.com/tag/sante/page/3/   1/1