Renaud Muselier pose la 1ère pierre d’une nouvelle Maison de Santé à Courthézon
« L’accès aux soins pour tous est une priorité, 127 établissements de santé ont vu le jour en Provence-Alpes-Côte d’Azur depuis 2021 que nous sommes aux commandes » affirme Renaud Muselier, président de la Région Sud, et médecin de formation.
Sur 640 m2, au coeur du bassin de vie Courthézon-Châteauneuf-du-Pape, dès 2026, cette nouvelle Maison de Santé accueillera 38 professionnels de santé : sages-femmes, dentiste, infirmiers, orthophoniste, médecins généralistes, biologiste, pharmacien, diététicien, masseur-kinésithérapeute, ostéopathe, psychiatre.
« Les Bac+20 parisiens nous ont fait perdre plus de 2 000Mds€, le pays est en grande difficulté, mais moi je regarde les initiatives concrètes sur le terrain et je vais de l’avant. Depuis 2021, nous avons soutenu l’installation de jeunes médecins et accompagné des internes pour un stage sur le terrain, auprès des Provençaux, Alpins et Azuréens pour réduire les inégalités et les distances. Ici, nous avons un territoire régional où chacun peut se faire soigner près de chez lui, rapidement et dignement. »
Il a rappelé que, malgré les restrictions budgétaires imposées aux collectivités locales pour combler partiellement le déficit abyssal de l’État, la Région Sud a voté un budget conséquent pour la santé : 2,5M€ pour la restructuration des urgences de Carpentras, 2M€ pour l’extension-rénovation de la réanimation et des urgences d’Avignon. De plus, une ‘Mammobile’ va bientôt sillonner l’ensemble du territoire pour prévenir le cancer dont 30 000 cas sont dépistés chaque année. « Nous voulons absolument sauver des vies », a martelé le président Muselier.
Lors de cette manifestation, il était entouré du préfet de Vaucluse Thierry Suquet, de la présidente du Conseil Départemental Dominique Santoni, d’Olivier Brahic, directeur général-adjoint de l’ARS (Agence Régionale de Santé) et de Nicolas Paget, maire de Courthézon. Le dispositif ‘Anti déserts-médicaux’ en Vaucluse, ce sont 4M€ pour 25 maisons de santé, 208 000€ l’installation de 6 médecins généralistes et un cofinancement de l’ARS et du Fonds Social Européen pour 46 bourses de santé d’un montant de 123 000€.
Renaud Muselier pose la 1ère pierre d’une nouvelle Maison de Santé à Courthézon
Il y a 6 mois, la Ville d’Apt a installé deux pigeonniers grâce au soutien du programme Leader dans le but de réguler la population de pigeons et de favoriser la coexistence de la nature en ville.
La Ville d’Apt a décidé d’installer deux pigeonniers dits « contraceptifs », l’un au sein du square près du monument aux morts, et l’autre au cœur du jardin public. Ces deux installations ont plusieurs objectifs comme limiter les nuisances liées aux pigeons en ville en les redirigeant vers des espaces qui leur sont dédiés, et ainsi, favoriser la coexistence de la nature en ville.
Aménagés il y a six mois grâce au programme européen Leader, qui soutient le développement des territoires ruraux, les pigeonniers portent leurs fruits. Le dispositif a déjà fait ses preuves dans de nombreuses communes, et la Ville d’Apt ne fait pas exception.
Réguler la population de pigeons
Si ces pigeonniers présentent des objectifs environnementaux, de santé publique ou encore de bien-être animal, leur installation permet de fixer la population de pigeons dans un lieu où ils sont moins gênants. Les pigeons ne sont nourris qu’à l’intérieur du pigeonnier, et non ailleurs dans la ville.
Cela permet de réguler la population de pigeons en contrôlant sa reproduction grâce à la stérilisation d’une partie des œufs. Ainsi, au lieu de six à huit couvées par an, la Ville n’en compte plus qu’une seule par an.
Le succès des pigeonniers, la responsabilité de tous
Si les pigeonniers s’avèrent efficace, leur bon fonctionnement repose en réalité sur trois paramètres :
Le choix du lieu d’implantation : à proximité des populations existantes, idéalement dans un espace vert.
La responsabilité des habitants : attirer et nourrir les pigeons est à la fois une cause d’insalubrité publique et une pratique interdite. Pour le bon fonctionnement du pigeonnier, il est essentiel de ne pas introduire des aliments dans leur abri.
La responsabilité des propriétaires et des syndics : éliminer les sites de nidification dans les bâtiments mal entretenus (greniers, tourelles, toitures, etc).
Renaud Muselier pose la 1ère pierre d’une nouvelle Maison de Santé à Courthézon
La saison des allergies au pollen bat son plein en France, affectant chaque année des millions de personnes à travers le pays. Les principaux responsables sont les pollens de graminées (herbes, céréales) et d’arbres (bouleaux, frênes, cyprès, platanes, etc.), qui se dispersent abondamment dans l’air sous l’effet de conditions climatiques favorables entre la fin de l’hiver et le début de l’automne. L’infographie ci-dessous, basée sur les informations du Réseau national de surveillance aérobiologique (RNSA), donne un aperçu de la période approximative de présence des principaux pollens allergisants en France métropolitaine.
D’après des estimations publiées dans un rapport de l’Anses (Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail), la prévalence des pathologies allergiques respiratoires comme les rhinites saisonnières (aussi connues sous le nom de rhume des foins) a pratiquement doublé depuis la fin des années 1990 dans les pays industrialisés. Des études publiées ces dernières années indiquent que le changement climatique pourrait avoir une influence sur la production de pollen, notamment en allongeant la durée des saisons polliniques. En outre, une étude de l’Inserm a récemment mis en évidence une association significative entre l’exposition à la pollution atmosphérique à long terme et la sévérité des rhinites diagnostiquées dans la population.
Quelle est la prévalence des allergies en France ? La saison de la rhinite allergique, aussi connue sous le nom de rhume des foins, est de retour. Cette allergie saisonnière au pollen présente des symptômes similaires au rhume d’origine viral : inflammation du nez et de la gorge, éternuements, gonflement des yeux, écoulement nasal… Si les allergies au pollen sont relativement bénignes, elles pourraient néanmoins s’aggraver dans les années à venir. D’après le Commissariat général au développement durable, le réchauffement climatique et la pollution de l’air causeraient en effet une augmentation des allergies au pollen, une plus grande sévérité des symptômes et un allongement des périodes « à risques ».
Comme le montre notre infographie, basée sur les résultats d’une enquête menée par Harris Interactive en février 2024, les allergies respiratoires, de type allergie au pollen, étaient les plus répandues parmi les personnes souffrant d’allergies : elles touchaient plus d’une personne sur cinq. Venaient ensuite les allergies médicamenteuses (12 %) et les allergies aux animaux (9 %). Les allergies alimentaires, comme les allergies aux fruits à coque ou au lactose, touchaient quant à elles 7 % des personnes interrogées dans le cadre de l’enquête.
De Tristan Gaudiaut et Valentine Fourreau pour Statista
Renaud Muselier pose la 1ère pierre d’une nouvelle Maison de Santé à Courthézon
Le constat est inquiétant : la mortalité infantile en France augmente. D’après des chiffres de l’Insee, elle était de 3,6 pour 1 000 enfants nés vivants en 2020, 3,7 en 2021, et 4 en 2022. La situation varie également nettement selon les départements : ainsi, si, sur l’ensemble du territoire, le taux de mortalité infantile était de 3,7‰ sur la période 2019-2021, il était de 5,1‰ dans l’Indre-et-Loire 5,4‰ en Seine-Saint-Denis, 8,1‰ en Guadeloupe, 8,2‰ en Guyane, et 8,9‰ à Mayotte sur cette même période. L’Insee souligne que les raisons de cette dégradation sont multiples, et cite, entre autres, l’existence de déserts médicaux, où le nombre de maternités et de pédiatres est faible, et où la qualité de l’accompagnement est donc moindre ; la pauvreté ; et une plus forte prévalence de l’obésité et du tabagisme chez les femmes.
Comme le montre notre infographie, basée sur des chiffres d’Eurostat et de l’Insee, depuis 2015, la mortalité infantile en France est supérieure à la moyenne de l’Union européenne. En 2022, c’est l’Islande qui avait le taux de mortalité infantile le plus bas à l’échelle européenne : il y était alors de 1,1‰. Venait ensuite le Luxembourg (1,8‰) et la Norvège (1,9‰). À l’inverse, la Slovaquie, la Roumanie et la Turquie recensaient tous des taux élevés (5,4 ‰ pour la Slovaquie, 5,7‰ pour la Roumanie et 9,2‰ pour la Turquie).
Renaud Muselier pose la 1ère pierre d’une nouvelle Maison de Santé à Courthézon
Les Français ne font toujours pas assez d’activités physiques, selon une synthèse des données disponibles publiée par Santé publique France en septembre 2024, qui rappelle les dangers de la sédentarité pour la santé physique et mentale, le bien-être et la qualité de vie. Ce phénomène est notamment plus marqué chez les femmes : alors que 71 % des hommes de 18-74 ans atteignent le seuil recommandé d’activités physiques (au moins 30 minutes d’activités dynamiques moyennes par jour), ce taux n’est que de 53 % pour les femmes. Ainsi, en moyenne, 4 Français sur 10 ne feraient toujours pas assez d’activités physiques pour le maintien de leur santé. En outre, contrairement aux hommes (en particulier ceux de la génération X), la proportion de femmes atteignant les recommandations en matière d’exercice physique a également diminué sur la décennie étudiée (-10 points de pourcentage en général).
Les auteurs de la synthèse notent que l’activité physique globale des femmes trouve son origine pour 39 % dans le domaine du travail (activité professionnelle), pour 31 % dans les activités domestiques et pour 29 % dans les loisirs, tandis que celle des hommes provient majoritairement du travail (46 %) et des loisirs (44 %). En plus des différences observées entre les sexes et les groupes d’âge, il existe aussi de nombreuses disparités sociologiques et territoriales. Santé publique France relève par exemple que la proportion d’adultes physiquement actifs est plus faible chez les personnes les moins diplômées.
Animer le réseau d’acteurs et assurer la dynamique territoriale (Assurer l’animation et le développement du Contrat territorial de santé mentale, entretenir la dynamique partenariale…)
Accompagner les acteurs (accompagner les porteurs de projets, animer des groupes de travail…)
Organiser les évènements (colloque, assemblée…)
Assurer la communication, en lien avec la chargée de communication (diffuser les informations, contribuer à l’organisation des Semaines d’Information sur la Santé Mentale…)
Evaluer le projet (assurer le suivi et l’évaluation, établir annuellement un bilan de l’activité…)
Par ailleurs, en plus de ses missions, et en lien avec l’équipe, la personne recrutée pourra être amenée à participer aux activités globales du Codes 84.
Ce poste à temps plein en CCD (Contrat à durée déterminée) jusqu’en juin 2026 est à pourvoir immédiatement.
Comment postuler Envoyer CV et lettre de motivation avant le 15 avril 2025 à : Codes de Vaucluse – Comité départemental d’éducation pour la santé 57, avenue Pierre Sémard- 84000 Avignon Ou par mail : aurore.lamouroux@codes84.fr
Renaud Muselier pose la 1ère pierre d’une nouvelle Maison de Santé à Courthézon
En plein essor, la médiation animale est une thérapie utilisée aujourd’hui par de nombreux praticiens dans bien des domaines. Elle soutient ou restaure le bien-être psychique, physique, social ou émotionnel de l’humain. Rencontre avec Vanessa Rio, éducatrice spécialisée, sophrologue et intervenante en médiation animale, installée à La Roque d’Anthéron.
L’endroit est discret. Il se niche entre le canal de Marseille et les collines boisées du vallon de la Baume à La Roque d’Anthéron. Là, vivent une famille et beaucoup d’animaux. Des chiens, des chats, des lapins, des cochons d’inde et des chevaux. C’est ici que Vanessa Rio, son mari et leurs enfants ont élu domicile. Pour cette éducatrice spécialisée auprès d’adultes en grande difficulté et ancienne chef de service d’un établissement médico-social, ce lieu était un rêve. Il lui permet aujourd’hui de mettre à profit ses acquis professionnels, et son amour des animaux pour proposer des accompagnements thérapeutiques complémentaires avec la médiation animale. « J’ai toujours été une cavalière, j’ai une grande passion pour les chevaux, ils m’ont appris beaucoup de choses », aime à dire Vanessa.
Ajouté à son expérience dans le domaine social, elle a complété sa formation par un cursus en sophrologie et en médiation animale. Aujourd’hui elle intervient auprès d’établissements sociaux. Elle répond aussi aux demandes directes de particuliers en quête de sens, de sérénité ou simplement de bien-être. Si la médiation animale est surtout utilisée auprès des séniors dans les EPHAD, des personnes atteintes de troubles mentaux, ou encore d’enfants en difficulté, elle se pratique aussi dans les entreprises et dans les milieux carcéraux.
« Mais l’animal n’est pas le thérapeute, c’est la relation qui s’établit avec lui qui peut produire des effets »
La médiation animale permet de travailler beaucoup de sujets : l’estime ou la confiance en soi, les difficultés à se concentrer, à se motiver, son rapport à l’autorité et au pouvoir, la gestion des émotions, les interactions sociales… « Mais l’animal n’est pas le thérapeute, c’est la relation qui s’établit avec lui qui peut produire des effets », affirme Vanessa Rio. « Et c’est la confiance qui s’installe entre l’homme et l’animal qui va amener les prises de conscience », complète-t-elle. Et la nature de cette relation doit être basée sur un consentement mutuel. « Les choses doivent être comprises par les deux », ajoute-t-elle. Un contrat moral en quelque sorte.
Vanessa Rio. DR
« Avec le cheval il faut de la considération, une certaine fermeté et beaucoup de bienveillance »
On peut « utiliser » de nombreux animaux dans la médiation. Les animaux impliqués sont des chiens dans plus de la moitié des cas (51 %) devant les chevaux (24 %), les animaux de la ferme (13 %), les ânes (9 %) et autres (3 %), selon la Fondation A&P Sommer. Vanessa Rio les utilise presque tous. C’est la nature du sujet qui en détermine le choix.
Le cheval est principalement utilisé avec les handicapés ou dans le cas de protocoles de développement personnel. « Les chevaux sentent l’énergie que l’on dégage, ils ont une intelligence vibratoire très développée », précise Vanessa.
Cet animal impose naturellement le respect, le calme et l’introspection. « Par sa taille il vous repositionne et vous suggère d’être poli », ajoute Vanessa. « Il donne naturellement de la confiance en soi. Avec le cheval il faut de la considération, une certaine fermeté et beaucoup de bienveillance », argumente-t-elle. Savoir rechercher le consentement, savoir poser des limites, trouver des motivations, calmer le jeu, et toujours se respecter… toutes ces aptitudes sont naturellement sollicités dans la médiation animale, et en particulier avec le cheval. « Ce sont les mêmes qualités nécessaires au management dans les entreprises », conclue-t-elle, non sans malice.
Le travail de médiation avec les chiens est moins exigeant. Le chien est d’avantage un partenaire de jeu. À cette dimension ludique s’ajoute aussi une sensibilité émotionnelle très forte, explique Vanessa. Il est généralement « utilisé » pour apaiser les personnes, pour développer leur mobilité ou aider aux respects de consignes. « Le chien présente la particularité de ne pas être rancunier et comme beaucoup d’animaux, il ne vous jugera jamais », explique Vanessa.
« Je me sers des animaux pour instruire les hommes », disait en son temps Jean de la Fontaine. Une manière à lui de faire de la médiation animale avant l’heure.
Petite histoire de la médiation animale
Aussi appelée zoothérapie, la médiation animale n’est pas une pratique vraiment nouvelle. Fondée sur des connaissances empiriques, elle a été mise en pratique pour la première fois dans un cadre hospitalier, en Angleterre au début 19ème siècle. Outré par la maltraitance des malades mentaux dans les asiles, William Tuke, un humaniste philanthrope, a fondé, en 1796, son propre institut, avec une approche basée sur la bienveillance et la bonté. Ce qui tranchait singulièrement avec les méthodes violentes de l’époque. Son idée a été de confier aux patients des volailles et des lapins dont ils devaient s’occuper.
En se sentant responsable de ces animaux ils ont changé leur regard sur eux-mêmes et sont devenus aussi plus responsables d’eux-mêmes. Pendant les guerres mondiales on utilisait également des animaux dans les centres de convalescence. C’était pour ces hommes souffrant de traumatismes un moyen de se reconnecter à la réalité dans un environnement apaisant. Cette approche a été un facteur clé dans la réadaptation psychologique de ces blessés de guerre.
Les bases de cette relation positive humain-animal furent ensuite théorisées, dans les années 50, par le pédopsychiatre américain Boris Levinson. Il a ainsi pu mesurer tous les effets bénéfiques que pouvait avoir un chien (en l’occurrence le sien) auprès d’enfants autistes. En France, le vétérinaire Ange Condoret s’est intéressé aux enfants ayant des troubles du langage. Ses travaux aboutissent également à la conclusion que la présence d’un animal permet d’améliorer de manière sensible la communication avec les enfants. Ange Condoret fonde en 1977 l’Association Française d’Information et de Recherche sur l’Animal de Compagnie (l’AFIRAC). Cet organisme vise à promouvoir la recherche et la sensibilisation autour de l’impact thérapeutique des animaux.
Renaud Muselier pose la 1ère pierre d’une nouvelle Maison de Santé à Courthézon
L’Association interentreprises pour la santé au travail du Vaucluse (AIST 84) organise jeudi 27 mars une action de sensibilisation aux chocs et traumatismes en entreprise.
« Aucune entreprise n’est à l’abri », insiste les organisateurs de cette matinée de sensibilisation. L’objectif de cette campagne de prévention est d’être paré à toutes les possibilités et maintenir la stabilité d’une entreprise. La conscience des risques prémunit ainsi les équipes face aux incidents, qu’il s’agisse de décès, de blessures, d’agressions ou autres détresses psychiques. Après un événement grave, la santé mentale devient plus que jamais vulnérable, aussi bien du côté des salariés que des dirigeants.
Afin de mieux faire face aux traumatismes à court et long terme, l’AIST 84 formera les entreprises lors de cette matinée. Pour donner les moyens de s’adapter, les intervenants passeront en revue les réactions adéquates, les réflexes à adopter et les dispositifs d’accompagnement.
Animée par Jean-Philippe Matz, psychologue du travail de l’AIST 84 et Muriel Trichet, psychologue clinicienne et fondatrice du cabinet Isote, la présentation durera 1h30. Elle sera articulée autour des points suivants : identification et analyse, expositions des conséquences, fonctionnement de l’accompagnement des entreprises et collaborateurs, et témoignage d’une entreprise.
Chocs et traumatismes en entreprise : Comment et quand agir pour en limiter l’impact ?Jeudi 27 mars de 9h à 10h30 à l’AIST 84, 40 rue François 1er à Avignon Inscriptions en ligne sur www.aist84.fr – 04 32 40 52 60
Renaud Muselier pose la 1ère pierre d’une nouvelle Maison de Santé à Courthézon
La troisième édition de ce projet national a lieu dans le Vaucluse
Ce projet porté par Anne-Marie Lyaudet Borgeais et Alexandra Rousset a vu le jour en 2023 dans le Jura où s’est tenue la 1e édition. Depuis l’idée de rassembler ces musiciennes pour un concert annuel a grandi. La 2e édition de 2024 s’est faite dans le Limousin et 2025 dans le Vaucluse/Gard, la prochaine édition 2026 se tiendra à Haute-Garonne. Il s’agit de soutenir une cause pour soulager la souffrance des femmes qui souffrent d’endométriose.
Une maladie féminine qui rassemble
C’est autour de cette action commune que se réunissent 80 musiciennes venant de toutes la France, 5 régions et pas moins de 17 départements représentés, pour constituer un grand orchestre d’harmonie sous la direction de Sylvie Rogier, cheffe invitée pour cette 3ème édition, qui habituellement dirige l’orchestre l’Union Musicale Sarriannaise.
Un orchestre au féminin
Les samedi 8 et dimanche 9 mars prochains, venez écouter ce grand orchestre au féminin (les hommes sont les bienvenus) au travers d’un programme musical de musiques de film, d’airs d’opéra, de jazz, variétés internationales, pour l’occasion, quatre chanteuses lyriques issues du choeur de l’Opéra Grand Avignon, se joindront à cette grande formation musicale, ainsi qu’un chanteur de jazz.
Les recettes reversées à l’association avignonnaise Manoléta
Pour chaque concert, deux week-ends de répétitions sont programmés 2 mois avant, le travail musical est fait par un chef d’orchestre choisi par l’ambassadrice de la région, ici Claire Puechlong.
Ces 2 concerts sont donnés au profit d’une association qui défend les causes féminines et cette année les recettes iront directement pour l’association avignonnaise Manoléta, qui accompagne les femmes, mais aussi leur partenaire, pour pallier au mieux la souffrance de l’endométriose.
Un projet soutenu par la Ville de Sarrians, la Ville des Angles, le Lions Club Pont d’Avignon et Villeneuve/Les Angles, la Ville de Rognonas et l’École de musique.
Samedi 8 mars. 21h. 12€. Salle Frédéric Mistral. Sarrians. Dimanche 9 mars. 15h. 12€. Forum des Angles. Les Angles.