16 octobre 2025 |

Ecrit par le 16 octobre 2025

(Vidéo) Blachère Illumination présente sa première guirlande 100% made in France

Alors que Noël n’est que dans trois mois, dans l’ombre, les entreprises et collectivités préparent déjà les fêtes de fin d’année. C’est le cas notamment de Blachère Illumination, un des leaders mondiaux de l’éclairage événementiel. L’entreprise aptésienne vient de dévoiler sa nouveauté, sa première guirlande fabriquée et conditionnée en France, en Vaucluse.

Les fêtes de fin d’année approchent, beaucoup vont commencer à faire leurs achats de Noël et peut-être renouveler leurs décorations pour cette période. Les communes aussi, vont donner le coup d’envoi de leurs illuminations dans seulement deux mois, notamment à Apt où se situe l’entreprise Blachère Illumination, qui éclaire de nombreuses villes dans 80 pays différents, et qui illumine, entre autres, les Champs-Élysées.

La société aptésienne a dévoilé ce lundi 1ᵉʳ octobre sa grande nouveauté : sa première guirlande française, fabriquée et conditionnée dans ses ateliers à Apt. Pour cette Entreprise sur patrimoine vivant, fabriquer une guirlande de haute qualité et compétitive, de sa conception à son conditionnement, représentait un véritable défi.

« En choisissant notre guirlande française, nos clients font le choix du savoir-faire français, de la qualité et de la responsabilité environnementale. »

Défi relevé pour l’entreprise vauclusienne qui, dix ans après avoir révolutionné avec l’impression 3D grand format, innove encore et propose aux collectivités une alternative locale et de haute technologie, avec une technologie LED pour une consommation économique et respectueuse de l’environnement. L’occasion pour l’entreprise de réduire ses transports internationaux, et donc son empreinte carbone. Une fois de plus, Blachère Illumination prouve que le savoir-faire français a de beaux jours avant lui.


(Vidéo) Blachère Illumination présente sa première guirlande 100% made in France

Entreprise et découverte, association de la visite d’entreprise, et le Comité régional du tourisme (CRT) PACA dévoilent l’Observatoire 2025 de la visite d’entreprises qui révèle les 10 entreprises de la Région Sud les plus visitées. Trois d’entre elles sont en Vaucluse.

En 2024, Entreprise et découverte a recensé plus de 4 200 000 visiteurs dans 415 entreprises de la Région PACA, ce qui place cette dernière à la première du podium au niveau national en termes de tourisme industriel et de savoir-faire. La Région Sud comptabilise 18% du nombre total de visiteurs en France, qui s’élève à 22 millions.

L’attractivité des entreprises est souvent due à leur ancrage territorial, patrimonial et culturel. 40% d’entre elles ont plus de 50 ans. Ce sont ls entreprises de l’agroalimentaire qui attirent le plus (43%), suivies des entreprises de vins, bières et spiritueux (26%), d’artisanat et des métiers d’arts (14%), de mode et de cosmétique (10%), et enfin de l’industrie, de l’énergie et de l’environnement (7%).

Les entreprises vauclusiennes les plus visites de la région

À partir des données de 2024 communiquées par les entreprises de la Région Sud, Entreprise et découverte a pu dresser le classement des 10 entreprises les plus visitées dans la région, qui ont accueilli entre 23 585 visiteurs et 420 000.

Parmi ces 10, on trouve trois entreprises vauclusiennes :

  • Cristallerie de la Fontaine (SAS Au fil du verre) à Fontaine-de-Vaucluse, à la 6e position avec 43 000 visiteurs en 2024
  • Bastide du Laval (moulin à huile d’olive) à Cadenet, à la 7e position avec 35 000 visiteurs en 2024
  • Ôkhra (écomusée de l’ocre) à Roussillon, à la 9e position avec 26 235 visiteurs en 2024
©Entreprise et découverte / CRT PACA

Quel type de visiteurs pour ces entreprises ?

Les touristes étrangers constituent une grosse partie de ces visiteurs qui partent à la découverte des entreprises du territoire. En région PACA, ils représentent 40% des visiteurs, ce qui est bien supérieur à la moyenne nationale qui est à 18%. Cependant, plus de 40% des entreprises de la Région Sud déclarent recevoir régulièrement des visiteurs venant de la région, notamment sur les ailes de saison.

Ce sont les familles qui visitent le plus les entreprises dans la région (55%), suivies de près par les seniors (45%). Ainsi, le tourisme industriel et de savoir-faire constitue aujourd’hui un nouveau modèle économique pour les entreprises. Le tarif moyen de visite s’élève aujourd’hui à 9€, contre 5,50€ en 2019.


(Vidéo) Blachère Illumination présente sa première guirlande 100% made in France

À l’occasion de l’inauguration de l’extension de l’atelier de production de l’entreprise Atelier de la Boiserie, située à Gargas, l’Orchestre national Avignon-Provence s’est déplacé en Pays d’Apt pour offrir une représentation aux invités présents.

Fin juin, Atelier de la Boiserie a inauguré l’extension de son atelier de production à Gargas que 300 personnes — élus, partenaires, clients et collaborateurs — ont pu découvrir. Lors de cette soirée, les artisans de l’entreprise ont présenté leur savoir-faire à travers des démonstrations en conditions réelles.

À cette occasion, Atelier de la Boiserie a invité l’Orchestre national Avignon-Provence à venir se représenter à Gargas. Sous la direction de Débora Waldman, l’Orchestre a résonné en plein cœur de l’atelier de montage, transformé pour l’occasion en scène éphémère, sous les lustres de Mathieu Lustrerie, une entreprise aussi installée à Gargas.

Cette collaboration étonnante a permis de mettre en lumière l’excellence et le savoir-faire vauclusien, mais aussi des valeurs partagés par les deux entités comme le soucis du détail et la transmission. Atelier de la Boiserie et l’Orchestre national Avignon-Provence entendent poursuivre cette alliance. Un nouveau concert à l’atelier est d’ores et déjà en projet pour l’année prochaine.


(Vidéo) Blachère Illumination présente sa première guirlande 100% made in France

Les bénévoles de l’association Orange Passion Provence organisent la 15ᵉ édition du salon ‘Passion Santons’ ces samedi 14 et dimanche 15 décembre au Parc des expositions d’Orange. Près de 70 artisans santonniers devraient être présents.

Ce week-end, les traditions et le savoir-faire provençaux seront à l’honneur lors du 15ᵉ salon ‘Passion Santons’. 68 artisans santonniers et créchistes, ainsi que de nombreux exposants seront présents pour l’occasion. Au programme : des ateliers autour de la confection de santons, la réalisation d’une crèche sur place, et bien d’autres temps forts.

Chaque année, un atelier d’artisans santonniers est mis en lumière. Pour cette 15ᵉ édition, il s’agit de l’Atelier de Fanny, basé à Aubagne. Depuis plus de 20 ans, Gilbert et Anthony Macciocu partagent leur passion et leur savoir-faire pour créer des santons de Provence et des décors de crèches artisanales. Expédiés partout en Europe, leurs santons de 7 cm passeront par Orange ce week-end.

Ils viennent de Suze-la-Rousse, Valensole, Marseille, Salon-de-Provence, Saint-Mamert-du-Gard, Saint-Gilles, Montauban, Nîmes, Les Angles, Bollène, Aubignan, ou encore Jonquières. Les santonniers vous donnent rendez-vous ce week-end. L’occasion d’étoffer sa crèche avec de nouveaux personnages et de nouveaux décors.

Des animations

Les santons et les décors provençaux ne seront pas les seuls à l’honneur ce week-end au Parc des expositions d’Orange. Des artistes et producteurs exposeront aussi leurs produits, comme l’Atelier Pascaline (artiste peintre), la Cave les Côteaux du Rhône, le Miel du Vent, l’écrivain Bernard Sorbier, le Rotary Club d’Orange qui proposera des soupes, la Chocolaterie Castelain, ets.

De nombreuses animations seront prévus sur les deux jours comme des chants et dances provençaux, un atelier de maquillage pour enfants, des ateliers de coloriage de santons, fabrication de santons et peinture sur santons, mais aussi la venue du Père Noël avec qui il sera possible de faire des photos.

Une grande tombola sera organisée avec de nombreux lots à gagner tels que : une pièce unique de l’Atelier de Fanny, un stage de deux jours à l’Atelier de Fanny pour deux personnes, deux repas au Comptoir de Piolenc, une composition florale, et bien d’autres surprises.

Samedi 14 décembre de 10h à 19h. Dimanche 15 décembre de 10h à 18h. Entrée libre. Parc des expositions. 164-352 Avenue Charles Dardun. Orange.


(Vidéo) Blachère Illumination présente sa première guirlande 100% made in France

Suite à l’incendie dont la cathédrale Notre-Dame de Paris a été victime les 15 et 16 avril 2019, cette dernière va enfin rouvrir ses portes ce dimanche 8 décembre après une remise en état colossale. Trois entreprises vauclusiennes ont participé aux travaux de restauration, dont l’Atelier Quoirin, situé à Saint-Didier, spécialisé dans la réparation et l’entretien d’orgues.

Quelques jours après l’incendie qui a ému la planète entière au-delà des religions, des croyances et des cultes, dès le 23 avril 2019, Pascal Quoirin, facteur d’orgues installé depuis les années 70 à Saint-Didier, était sur place, à Paris, au chevet de Notre-Dame pour estimer les dégâts. « C’est un miracle, l’orgue n’a pas souffert ». Entre poutres calcinées à terre, gravats, plomb fondu, odeur de suie, alors que la température avait grimpé à 1000°C en hauteur, elle est restée basse à hauteur du soubassement. « Grâce aux thermomètres à mémoire, on sait que la chaleur ne l’a pas trop endommagé. D’ailleurs, il suffisait de souffler sur la surface empoussiérée par une matière comparable à du sable pour l’enlever », commente Pascal Quoirin qui est en ce moment à Paris pour prendre part à la cérémonie d’inauguration avec une cinquantaine de chefs d’Etats venus du monde entier invités à assister à cette « renaissance. »

L’histoire de la Cathédrale Notre-Dame de Paris débute au XIIᵉ siècle sur l’Ile de la Cité. Et celle des orgues en 1733. Elle évolue et s’enrichit en claviers, tuyaux et ingénierie au fil du temps. Ils échappent à la tourmente de la Révolution en 1789 grâce, paraît-il, à l’interprétation de musiques patriotiques comme La Marseillaise et Ça ira. Modernisation aussi avec l’architecte Eugène Viollet-Le-Duc qui demande en 1860 au célèbre facteur d’orgues Aristide Cavaillé-Coll de créer un instrument à quatre claviers et pédalier « suffisant pour les dimensions de cette église. » Il lui commandera une autre modification pour ce grand orgue qui comptera jusqu’à 86 jeux répartis sur cinq claviers. L’histoire se poursuit avec l’organiste Pierre Cochereau qui restera titulaire de ce magnifique instrument de 1955 à sa mort en 1984, pendant une trentaine d’années et qui conseillera son électrification et sa réharmonisation. 

Donc, en 2020, un an après l’incendie, l’Atelier Quoirin est principalement choisi pour entamer la restauration de cet immense orgue qu’il connaissait déjà. Et pour cause : il l’avait remis en état lors de la grande restauration commandée par le Ministère de la Culture dans les années Mitterrand. En 1992, le Ministre de la Culture, Jack Lang, confiera au Cardinal Lustiger les clés de cet ‘Orgue 2.0’ et de ses 7 952 tuyaux gérés par sept ordinateurs.

Cette équipe d’artisans hors du commun (menuisiers, ébénistes, charpentiers, sculpteurs, tuyautiers, harmonicistes) est appuyée par des ingénieurs, mécaniciens, informaticiens et spécialistes de fonderie. Puisque les tuyaux de toutes tailles sont un mélange d’étain, de cuivre et de plomb, avec des formes multiples. Les soufflets et les mécanismes qui relient les milliers de pièces et inter-réagissent, à partir des impulsions des mains de l’organiste, mais aussi de ses pieds sur les claviers, boutons et pédales pour créer des sons qui invitent à la spiritualité et au recueillement. C’est à la fois sportif et artistique.

Avec une vingtaine de compagnons de l’Atelier vauclusien, la remise en état, entamée en 2020, a duré jusqu’à ces dernières semaines. Une longue dépose du matériel et un minutieux nettoyage de la poussière de plomb qui a recouvert les orgues le jour de l’incendie, ce fameux lundi 15 avril 2019. Puis l’équipe a participé avec Pascal Quoirin, le patron, au réaccordage du plus grand instrument de France, de ses 115 boutons, cinq claviers et 8 000 tuyaux répartis sur 3 étages et qui mesurent jusqu’à 10m de haut.

Pascal Quoirin, qui a créé son atelier dans le Comtat à Saint-Didier en 1970, affiche un bilan qui fait rêver. Sa 1ʳᵉ réalisation a été l’orgue de la Cathédrale Saint-Siffrein à Carpentras. Suivront celui du Temple Saint-Martial à Avignon, de la Collégiale de Roquemaure, de la Cathédrale de Montauban. Il a aussi créé de toutes pièces celui de la Salle de concerts de Hamamatsu au Japon, du Conservatoire de Genève, de l’Académie de Musique Ancienne de Mexico, de l’Église de l’Ascension à New-York comme d’autres lieux de cultes en Espagne et Bolivie. Mais aussi en France, à Bordeaux, Fréjus, Saint-Maximin, Lyon, Evreux, Saint-Rémy de Provence. De même, pour l’orgue de la Cathédrale Notre-Dame de Nazareth d’Orange, qui date de 1551 et avait été reconstruit en 1912. Avec ses 1 000 tuyaux, il a récemment fait l’objet d’une remise en état globale par la Manufacture Quoirin, réputée dans le monde entier pour la qualité de son travail. Grâce à Pascal Quoirin et la quinzaine d’artisans et techniciens hautement qualifiés qu’il a choisis et formés et qui font rimer tradition et modernité. Une entreprise devenue SCOP (Société Coopérative et participative) pour que la transmission de ce savoir-faire unique perdure éternellement, comme Notre-Dame de Paris. 

Contact : Rue des Artisans – 84 210 Saint-Didier / 04 90 66 04 16


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La 499ᵉ édition de la Foire de la Saint-Siffrein aura lieu du mercredi 27 novembre au dimanche 1ᵉʳ décembre à Carpentras. Cet événement met en lumière les traditions d’antan, le savoir-faire local et l’artisanat.

L’agriculture sera mise en avant lors de cette 499ᵉ Foire de la Saint-Siffrein. Métiers traditionnels, animaux de la ferme, saynètes de la vie d’autrefois se mélangeront aux stands des professionnels qui font rayonner le territoire. La Ville de Carpentras, elle aussi, aura son stand et présentera, comme chaque année, l’un de ses projets. Cette année, il s’agit de ‘La régie agricole de la Denoves’, qui permet de fournir en fruits et légumes bio et frais les cantines de la ville depuis la rentrée scolaire de 2023.

La Foire, qui s’adresse aux adultes comme aux enfants, s’étalera sur plusieurs lieux de la Ville : les parkings des Platanes et Saint-Labr, ainsi que sur la place d’Inguimbert en centre-ville. « Depuis 1525, cette manifestation nous rassemble, affirme Serge Andrieu, maire de Carpentras. Un moment de partage et de tradition du 27 novembre au 1ᵉʳ décembre. »

Le programme

Durant cinq jours, la Ville de Carpentras proposera à ses habitants et visiteurs un programme riche. Il y en aura pour tous les âges et pour tous les goûts. L’événement débutera le mercredi 27 novembre à 9h30 avec le défilé des Reliques de Saint-Siffrein au départ du Monument de la Victoire.

Sur les cinq jours, de nombreux ateliers pédagogiques auront lieu autour de la ferme d’autrefois : les graines nourricières, le sel aromatique, les empreintes des animaux, la vie des abeilles, etc. Des dégustations, des spectacles, des concerts, et bien d’autres animations viendront rythmer ce rendez-vous incontournable de la ville. La culture provençale sera également mise en lumière.

Le Corso se joint à la fête

L’historique corso de Carpentras, qui se déroulait à l’époque en juillet, fait sa réapparition cette année et se joint à la Foire de Saint-Siffrein. Il partira le mercredi 27 novembre à 14h30 de l’extrémité Sud des allées Jean-Jaurès, côté hôtel-Dieu. Le défilé s’étalera sur près de 300 mètres et parcourra 1,6 km.

« Le corso s’est imposé cette année comme une évidence dans le but de redonner à la foire son caractère champêtre, traditionnel et agricole », indique la Ville.

Pour découvrir tout le programme de la Foire, cliquez ici.
Du mercredi 27 novembre au dimanche 1er décembre. Carpentras.


(Vidéo) Blachère Illumination présente sa première guirlande 100% made in France

Duralex, créé en 1945 par Saint-Gobain, qui possède un centre d’études et de recherches à Cavaillon, co-crée une série limitée de verres avec Le Slip Français pour relancer l’entreprise fabricante de vaisselle en verre trempé suite à sa reprise par ses employés. Un projet auquel le groupe Carrefour prend part pour apporter sa force de vente. Les verres seront notamment vendus dans l’hypermarché d’Orange.

Duralex a été repris par ses salariés, sous la forme d’une Société Coopérative de Production (SCOP). Dans cette reprise, Le Slip Français et Duralex ont imaginé une Commande Nationale sous la forme d’une série limitée de verres qui seront vendus dans plus de 130 hypermarchés du groupe Carrefour. En Vaucluse, on pourra les trouver dans celui qui se situe à Orange.

Cette première commande de 8 000 lots de six verres, soit 50 000 pièces, vise à promouvoir le savoir-faire français de Duralex auprès des clients de Carrefour et permettra de contribuer à la relance de l’entreprise. Le Slip Français, de son côté, accompagne les salariés de Duralex dans la valorisation du patrimoine culturel et industriel de l’entreprise, en mettant à disposition son expertise en matière de marketing et de
communication.

©Duralex x Le Slip Français

Préserver l’emploi local

En accompagnant Duralex, Carrefour et Le Slip Français souhaitent participer à la préservation de l’emploi local, et à la sauvegarde de savoirs uniques qui permettent de produire de façon plus durable et responsable. Grâce à la reprise de l’entreprise par ses salariés, les 229 emplois de La Chapelle Saint Mesmin, près d’Orléans, sont maintenus, et permet la mobilisation de 380 fournisseurs et 600 emplois locaux, du cartonnier au décorateur de verre.

L’entreprise Duralex, forte de 350 références, fabrique par ailleurs ses verres de façon plus durable puisqu’ils génèrent 58% d’émissions de CO2 en moins que leurs équivalents importés.


(Vidéo) Blachère Illumination présente sa première guirlande 100% made in France

Le concours régional des Jeunes créateurs de la coiffure a fêté ses 20 ans ce dimanche 7 avril à Montfavet. 70 participants se sont affrontés lors de ce concours sur le thème des Jeux Olympiques à travers plusieurs épreuves.

Artisans, salariés, et apprentis de la région ont mis leur savoir-faire à l’épreuve pour le concours régional de la coiffure organisé par l’Union Nationale des Entreprises de Coiffure (UNEC) Vaucluse. Ils étaient en tout 70, et si tous ont montré un talent exceptionnel et une technique résultant de plusieurs années de pratique, 10 ont su se démarquer.

De plus, le concours avait cette année une saveur spéciale puisqu’il célébrait son 20ᵉ anniversaire. Pour l’occasion, Robert Mouttet, président de l’UNEC PACA, a remis à l’ensemble de l’équipe de l’UNEC Vaucluse un trophée pour la féliciter d’avoir chaque année depuis 20 ans organisé un concours de coiffure qui permet de mettre en avant le savoir-faire de ce métier.

Une Roue de la fortune virtuelle avait été installée pour la première fois cette année. Elle a permis de récolter 200€ qui ont été remis à l’association Agir et Vivre l’Autisme.

Les lauréats

L’épreuve ‘Coiffure la Mariée’ sur modèle vivant :
• Catégorie CAP : Julie Paris du CFA d’Avignon
• Catégorie BP : Tara Hugot du CFA de Salon de Provence
• Catégorie BM : Ismérie Ramette du CFA d’Avignon

L’épreuve ‘Coiffure la Mariée’ sur tête malléable :
• Catégorie CAP : Tony Medinelli du Lycée Clovis Hugues d’Aix-en-Provence
• Catégorie BP : Éléa Meyere du Lycée Clovis Hugues d’Aix-en-Provence
• Catégorie BM : Alexia Fedidah, cheffe d’entreprise

L’épreuve ‘Coiffage Tendance Femme’ sur modèle vivant :
• Catégorie CAP : Célie Ney du CFA d’Avignon

L’épreuve ‘Coiffage Tendance Femme’ sur tête malléable :
• Catégorie CAP : Grégory Elbeze du CFA de Digne-les-Bains

L’épreuve ‘Duo de Talent’ sur modèle vivant :
• Alexia Fedidah et Enzo Bail

L’épreuve ‘Coiffure à Thème Jeux Olympiques’ sur modèle vivant :
• Alexia Fedidah, cheffe d’entreprise

©UNEC Vaucluse

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Après la Fashion week, le savoir-faire vauclusien est de nouveau mis en lumière lors d’un événement à la renommée internationale. Les lustres de Mathieu Lustrerie ont été aperçus dans le film d’ouverture de la 76ᵉ édition du Festival de Cannes, qui a débuté ce mardi 16 mai.

‘Jeanne du Barry’, c’est le nouveau film de la réalisatrice et actrice franco-algérienne Maïwenn, dans lequel elle joue aux côtes de Johnny Depp. Why Not Productions a choisi l’excellence de la société gargassienne pour le film. On peut y apercevoir de nombreuses créations de la Lustrerie dans plusieurs scènes.

« Faire des décors de Louis XV, du XVIIIᵉ siècle, en France est un pari osé, et nous sommes très heureux de participer à ce pari-là », affirme Régis Mathieu, fondateur de l’entreprise vauclusienne. Ainsi, le film ‘Jeanne du Barry’, qui raconte le coup de foudre entre Louis XV et Jeanne, a été projeté en tant que film d’ouverture de la 76ᵉ édition du Festival de Cannes, qui a débuté le 16 mai et s’achèvera le 27 mai.

Ce n’est pas la première fois que Mathieu Lustrerie se distingue lors d’un événement de renommée internationale. Au mois de février, l’entreprise avait éclairé le défilé ‘Wowen’s winter 23 show’ de la collection de la maison de haute couture Yves Saint Laurent lors de la Fashion week de Paris.

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