13 septembre 2025 |

Ecrit par le 13 septembre 2025

Les ‘B-canes’ : une seconde vie aux fauteuils roulants

Le fonds de dotation APS solidarité remet gratuitement en circulation des fauteuils roulants revalorisés, appelés les ‘B-canes’, par 10 salariés en insertion professionnelle à Châteaurenard. Une démarche du territoire qui favorise l’inclusion sociale et l’accès à tout pour tous. 

Inclusion sociale et économie circulaire

L’économie circulaire est l’un des piliers de cette initiative. Valoriser des fauteuils usés par la vie en leur donnant un second souffle permet la réutilisation des matériaux et évite ainsi de jeter les fauteuils qui, dans le pire des scénarios, termineront leur voyage hors des sentiers du recyclage. La démarche, en plus de soigner la planète, permet à des salariés en situation d’insertion professionnelle d’être intégrés à un groupe et d’exercer une activité à part entière. « Le reconditionnement des fauteuils roulants est réalisé par le chantier d’insertion dédié au projet porté par l’association ATOL », explique Nathalie Sadowski, chargée de mission au sein d’APS solidarité. Notre objectif est de sortir les personnes vulnérables de leur isolement et promouvoir un usage temporaire des B-canes : fauteuil un jour, pas fauteuil toujours. »

Des acteurs engagés

Le reconditionnement des fauteuils est financé par le mécénat : grâce à la contribution d’Intermarché Pernes-les-fontaines, 11 fauteuils roulants ont été revalorisés. A Pernes-les-Fontaines, ces ‘B-canes’ sont gratuitement mises à disposition du CCAS (Centre communal d’action sociale), de l’épicerie solidaire Anatoth, de la médiathèque, de la bricothèque, de l’office du tourisme… Mais aussi du collège Simone Veil à Châteaurenard pour deux initiatives au cœur du Paraflam’tour, un carrefour pour sensibiliser au handicap.

‘Recycl handy’ lauréat

Et comme toute initiative noble mérite distinction, les collégiens de Simone Veil qui réalisent des accessoires pour fauteuils roulants dans le cadre du dispositif Entreprendre pour Apprendre PACA, viennent de décrocher le prix ‘Solidarité’. Les élèves ont, des mois durant, testé l’entrepreneuriat en confectionnant des sacs, des vides-poches, des coussins pour béquilles… « Des accessoires particulièrement pertinents et utiles car ils répondent aux besoins exprimés par les utilisateurs des fauteuils: ils ont besoin de sac pour leurs courses, leurs clés ou leur bouteille d’oxygène. » Le collège Paul Gauthier à Cavaillon a, pour sa part, remporté le prix ‘Créativité’ avec son projet de création de lampes écologiques en bambou.

Les collégiens ont confectionné un éventail d’objets pratiques. Photo: collège Simone Veil Châteaurenard

Les ‘B-canes’ : une seconde vie aux fauteuils roulants

La Cove (Communauté d’agglomération Ventoux Comtat Venaissin) s’associe à ecosystem.eco pour organiser une grande collecte solidaire d’anciens téléphones portables auprès de ses habitants.

Cette collecte exceptionnelle a débuté symboliquement le 5 juin, journée internationale de l’environnement et est organisée à l’occasion du Tour de France. Grâce aux dons, ecosystem, l’éco-organisme en charge de la seconde vie des équipements électriques, offrira jusqu’à 100 téléphones reconditionnés à des personnes en difficulté sociale.

Peu importe qu’ils soient cassés, fonctionnels, avec ou sans valeur, récents ou non, tous les anciens mobiles sont acceptés. Il est également possible de donner une seconde vie à tous ses équipements électriques et électroniques. L’essentiel est de participer et de faire sortir les 50M de téléphones inutilisés stockés dans nos tiroirs au fur et à mesure des années.

Pour participer, rendez-vous sur l’un des 5 points de collecte ou connectez-vous sur le site : jedonnemontelephone.fr. Les 5 points de collecte du territoire se situent à l’accueil de l’Hôtel de la CoVe à Carpentras, à la mairie de Malaucène, à la mairie de Bédoin, et dans les déchèteries de Carpentras et Malaucène. Chaque geste de don compte et permettra à ecosystem de réparer des téléphones qui seront offerts lors d’une cérémonie officielle le 7 juillet, sur le village du Tour de France à Malaucène.

L.M.


Les ‘B-canes’ : une seconde vie aux fauteuils roulants

Sept magasins vauclusiens* vont participer à la grande collecte nationale ‘Bio solidaire’ organisée les vendredi 4 et samedi 5 juin prochains.

Les 4 et 5 juin, Biocoop organise via son Fonds de dotation la 3e édition nationale de la Collecte Bio Solidaire. Cette collecte aura lieu dans les 378 magasins du réseau Biocoop, dont 7 en Vaucluse*, 1 à Bagnols-sur-Cèze et 1 à Noves notamment, participant à l’opération et rassemblera différentes parties prenantes de Biocoop, engagées en faveur d’un accès pour tous à une alimentation saine et de qualité : sociétaires magasins, salariés, clients, bénévoles d’épiceries sociales et de structures d’aide alimentaire.

Biocoop reversera la marge réalisée
« La Collecte Bio Solidaire est une collecte de produits biologiques dans les magasins Biocoop, donnés par les clients au profit d’une épicerie sociale et solidaire ou d’une association de solidarité alimentaire qui accompagnent des personnes en situation de précarité, expliquent les organisateurs. L’élément différenciant : le versement par les magasins Biocoop à l’issue de la collecte d’un don correspondant au montant de la marge réalisée sur les produits donnés par les clients. »

Comment se déroule la collecte ?
1 – Collecter des produits bio. Conserves de légumes, de poisson, farine, sucre, huile, café, pâtes, riz, céréales, chocolat, produits d’hygiène (nettoyant vaisselle, lessive, etc.), produits cosmétiques (crème main, savon, etc.). Ne sont pas acceptés les produits frais, des produits en vrac ou les fruits et légumes, car ce sont des denrées périssables.

2 – Partager. Les vendredi 4 et samedi 5 juin, des bénévoles et des bénéficiaires des épiceries sociales et solidaires et associations de solidarité alimentaire seront présents dans les magasins Biocoop participants, pour expliquer aux clients le but et les modalités de la Collecte Bio Solidaire. A la suite de la collecte, les épiceries sociales et solidaires et les associations de solidarité alimentaire récupéreront les produits pour en faire bénéficier les personnes en situation de précarité.

3 – Verser un don financier. Une fois tous les produits collectés, les magasins Biocoop feront un don financier à leur épicerie ou association partenaire, correspondant au montant de la marge réalisée sur les produits collectés.

LG

*Biotope : 15, boulevard quai St Lazare. Avignon
Nature élements : 2 Avenue Alexandre Blanc, Place de la Cathédrale. Vaison-la-Romaine.
Biocoop Avignon-Sud : 240, rue du bon vent, Clos de la Cristole. Avignon-Montfavet.
Biocoop l’Auzonne : 283, Avenue Notre-Dame-de-Santé. Carpentras.
Biocoop au quotidien : 586, route de l’Isle-sur-la-Sorgue. Le Thor.
Biocoop l’epicurien Bio : 64, allée Théodore-Monod. Cavaillon.
Cultures Bio : 350, route de Cavaillon. Maubec
.


Les ‘B-canes’ : une seconde vie aux fauteuils roulants

Dans la continuité de la plateforme initiée en mars 2020, la communauté de communes Rhône-Lez-Provence tient toujours active, pour cette 3ème phase de confinement, la plateforme « Réserve civique ».

De quoi il s’agit ? C’est une plateforme de mise en relation entre les habitants du territoire qui en ont le plus besoin en ces moments difficiles et ceux qui sont prêts à les aider bénévolement. Comment devenir citoyen solidaire ? En vous inscrivant en tant que bénévole sur la plateforme ici : https://covid19.reserve-civique.gouv.fr/register/volontaire. La plateforme regroupe déjà plus de 300 000 bénévoles à l’échelle nationale, prêt à trouver des missions en un clic. Plus de 4 000 organisations ont déjà rejoint cet outils.

Faire les courses pour un voisin ? Aider pour un service une personne qui n’en a plus la force ? Echanger et discuter avec une personne ? Des petits gestes pour vous mais une grande aide pour les bénéficiaires…


Les ‘B-canes’ : une seconde vie aux fauteuils roulants

« Nous avons besoin de votre aide ! Nous avons reçu ces derniers temps de nombreux jeunes écureuils roux mis en péril par des élagages. » C’est en ces termes que le Centre de sauvegarde de la faune sauvage situé à Buoux en appelle à la solidarité des Vauclusiens ou simples amoureux des animaux.

Après plusieurs semaines de biberonnage, le temps du sevrage est arrivé́ pour la quinzaine de jeunes écureuils en soin et les stocks de nourriture descendent à vue d’œil. Pour les nourrir le temps de leur émancipation, le centre a cruellement besoin de fruits secs variés et en quantité.

Amandes, noisettes, pignons de pin

Le public est vivement invité à apporter son soutien en envoyant des amandes, des noisettes, des pignons de pin ou des noix (entières ou décortiquées) à l’adresse suivante :  LPO PACA, Centre de sauvegarde de la faune sauvage, château de l’environnement, 84480 Buoux. Pour contribuer à l’achat de médicaments et de nourriture, vous pouvez également faire un don ici : https://paca.lpo.fr/don.

Le centre de sauvegarde en appelle donc une nouvelle fois à la mobilisation du public, qui s’était massivement impliqué suite à la fermeture du centre pour faute de budget en 2019, impliquant un manque de financement estimé à 40 000 €. La fermeture avait suscité un élan de solidarité impulsé par les citoyens, bénévoles et partenaires, mais également par le grand public et les médias qui n’acceptaient pas la disparition de cet établissement, seul centre régional habilité à recueillir la faune sauvage en détresse. La mobilisation financière des collectivités publiques, des mécènes et des donateurs ont finalement permis la réouverture.

1 500 animaux recueillis chaque année

Le centre de sauvegarde de la faune sauvage de Buoux accueille environ 1 500 animaux sauvages en détresse par an (essentiellement des oiseaux). Ces animaux, principalement des espèces protégées de la faune locale, sont généralement découverts par de simples citoyens et acheminés depuis toute la région jusqu’au centre grâce à un réseau de bénévoles : bénévoles engagés dans l’association mais également des professionnels bénévoles (vétérinaires, pompiers).

Crédit: Centre régional de sauvegarde de la faune sauvage de Buoux

L.M.


Les ‘B-canes’ : une seconde vie aux fauteuils roulants

L’association Amitié et entraide franco-marocaine vient d’acquérir deux anciens bus du réseau de transport du Grand Avignon. Des autocars destinés à des écoliers de villages marocains situés aux portes du désert.

Voulant partager sa chance et sa réussite, l’entrepreneur Hamid Rahmouni, patron de l’agence de voyages avignonnaise MAV (le Monde est à vous) et élu à la tête des commerçants de l’avenue Saint-Ruf, a créé en 2006 l’association Amitié et entraide franco-marocaine. Une structure ayant pour but « le rapprochement et l’harmonisation des rapports entre les deux peuples ». Dans ce cadre, l’association caritative a mis en place de nombreuses opérations aussi bien en France qu’au Maroc. Les plus significatives, l’organisation des soirées Marocaine ainsi que la fourniture de bus permettant aux élèves de communes marocaines isolées de se rendre à l’école autrement qu’à pied. Pour ce faire, Hamid Rahmouni a eu l’idée d’acheter des bus recyclés du réseau de transport TCRA du Grand Avignon.

Appels aux dons
Prochainement, dès que les frontières vont rouvrir après la pandémie, ce sont donc deux nouveaux bus qui vont être convoyés pour desservir les villages de Toudgha El Oulya et Laadouane à Tinghir dans la région d’Errachidia, aux portes du désert.Cependant, pour que la réussite soit complète, le fondateur l’association Amitié et entraide franco-marocaine a cœur que ces bus soient remplis de matériels médicales et de fournitures scolaires (cahiers, livres, stylos, cartables, ordinateurs…).
« Il faut donc les remplir », explique Hamid Rahmouni. L’association en appelle donc aux dons. Pour ce faire, rien de plus simple, il suffit de déposer les dons à l’agence de voyage MAV, 8 avenue Saint Ruf à Avignon (04 32 14 64 30) ou de joindre Hamid Rahmouni (06 10 30 63 85) qui peut se déplacer pour récupérer la participation des donateurs.


Les ‘B-canes’ : une seconde vie aux fauteuils roulants

Annie Paly, la Présidente de la Banque Alimentaire de Vaucluse, vient de recevoir l’Ordre national du Mérite. C’est le préfet de Vaucluse, Bertrand Gaume, qui lui a remis la décoration bleue dans les locaux de la Banque alimentaire à Montfavet. Il y était déjà venu à l’automne dernier pour rencontrer les bénévoles de son équipe lors du week-end de collecte des denrées alimentaires, avant d’aller lui-même distribuer des sacs aux clients d’un hypermarché d’Avignon-Sud.

« Nous accueillir et nous assimiler au sens noble du terme. »

Et il a avoué qu’elle savait insister au téléphone pour dénouer avec lui certaines situations tendues. « Elle est tellement gentille et efficace, qu’on ne peut que la rappeler! »
‘Juste quelqu’un de bien’, comme dirait Enzo Enzo. Née en Calabre, à Rosarno, elle a suivi ses parents qui ont émigré en France pour poser leur baluchon à Cairanne. Là, la petite Anna, à peine âgée d’un an devient Annie, « Dans cette nouvelle nation qui a su nous accueillir et nous assimiler au sens noble du terme » dira la récipiendaire dans son discours.
Après avoir fait des études universitaires à Aix-en-Provence (Lettres, puis Droit), et à Suze-la- Rousse (Université de la Vigne et du Vin), elle entame sa vie professionnelle à la Polyclinique Urbain V comme manipulatrice en électro-radiographie avant de bifurquer. Elle fait alors son entrée dans le service juridique du Syndicat général des vignerons des Côtes-du-Rhône puis devient directrice générale de la fédération des AOC (Appellations d’origine contrôlée) du Sud-Est en 1988. Elle y restera jusqu’en 2013, date de sa retraite. Comme elle a plus de temps et qu’elle souhaite le consacrer aux autres, elle intègre la Banque Alimentaire de Vaucluse.

« Depuis le 1er confinement, les choses se sont envenimées. »

« Votre présence dans les locaux de la Banque Alimentaire montre l’intérêt que vous portez à notre association. C’est le lien social, caritatif et solidaire qui est mis en avant grâce à vous, Monsieur le Préfet » dira-t-elle à Bertrand Gaume. « Ces dernières années, la progression de la précarité, des difficultés économiques, des tensions sur le marché du travail et parfois l’usure des liens sociaux ont malheureusement souligné toute l’importance des banques alimentaires et de toutes les associations caritatives. »
Annie Paly enchaîne : « Depuis le 17 mars 2020 (date du 1er confinement) les choses se sont envenimées, emportées par cette bouleversante crise sanitaire. Au-delà du contexte anxiogène, elle a accru le malaise social et les besoins alimentaires (+30% dans le Vaucluse). Merci, à vous monsieur le préfet, au nom de l’Etat, d’avoir aidé et accompagné notre œuvre caritative, merci aux élus qui ont relevé le défi, merci aux salariés et bénévoles d’être restés à bord du navire, grâce à vous tous, la BA 84 a tenu le cap dans la tourmente. »
Annie Paly a conclu en disant « cette distinction, c’est aussi celle de mes parents qui m’ont poussée vers l’instruction et l’humanisme. » Ce 30 mars 2021 c’est également la date de son départ de la présidence de la Banque Alimentaire de Vaucluse. Stéphanie Sergeant lui succède, une aide-soignante qui passe ses nuits à l’hôpital de Montfavet et ses jours à la BA 84 depuis 17 ans avec son mari.
La prochaine collecte, comme chaque année, aura lieu le dernier week-end de novembre, donc les 27 et 28 novembre 2021.

La Banque alimentaire en Vaucluse
– 2,5 millions de repas distribués/an
– 1000 tonnes de denrées collectées/an
– 8 salariés, 60 bénévoles
– 70 associations partenaires
– 33 000 bénéficiaires en Vaucluse (+30% en 1 an)

Contact : 630, Chemin Saint-Pierre-de-Fraisse – 84 140 Montfavet. 04 90 87 81 80


Les ‘B-canes’ : une seconde vie aux fauteuils roulants

La collecte des Restos du cœur s’est ouverte ce vendredi 5 mars dans 67 magasins du département de Vaucluse. Elle se poursuivra le samedi 6 mars de 9h à 19h. A cette occasion, environ 580 bénévoles sont mobilisés pour collecter, trier et stocker les dons alimentaires et d’hygiène auprès de la clientèle des grandes surfaces et magasins de proximité du département.

Cette collecte nationale représente un moment important pour réalimenter les stocks et assurer la continuité de l’aide alimentaire toute l’année. En Vaucluse, l’association des Restos du cœur regroupe plus de 800 bénévoles accueillant près de 15 000 personnes et distribuant 1,68 millions de repas.


Les ‘B-canes’ : une seconde vie aux fauteuils roulants

Le Rotary d’Avignon vient de remettre un chèque de 1 000€ à l’antenne vauclusienne de l’association ‘Les Blouses roses’.

Fondée à Grenoble en 1944 par Marguerite Perrin afin de lutter contre l’isolement des jeunes tuberculeux, Les Blouses roses œuvrent aujourd’hui principalement auprès des enfants hospitalisés et des personnes âgées en Ehpad (Etablissement d’hébergement pour personnes âgées dépendantes) avec des jeux et des animations. « Elles écoutent, réconfortent, distraient les malades et apportent de la joie dans un quotidien de solitude ou de soins », explique la structure reconnue d’utilité publique qui regroupe 5 400 bénévoles présents dans 368 villes en la France. A ce titre, ces derniers interviennent dans 650 établissements de l’Hexagone.

5 000 personnes visitées dont 2 500 enfants
En Vaucluse, le comité d’Avignon des Blouses roses qui a vu le jour en 2006 compte près d’une trentaine de bénévoles présidés par Françoise Espenon.
« Nous ne sommes pas dans le soin mais dans l’animation », insiste la présidente en place depuis maintenant 3 ans qui rappelle « qu’aucune formation médicale est nécessaire pour s’investir dans l’association ».
En Vaucluse, la structure intervient régulièrement à l’hôpital d’Avignon ainsi que dans deux Ehpad de la cité des papes et un à Saint-Saturnin-lès-Avignon.
Avec le Covid-19 et les mesures de ‘distanciation sociale’, l’activité de l’association a brusquement ralenti depuis mars dernier. « En 2019, nous avons visité plus de 5 000 personnes dont 2 500 enfants », poursuit la présidente des Blouses roses d’Avignon.

Une atmosphère apaisée
De l’aveu même des personnels soignants, chaque fois que l’association est là, notamment au sein des urgences pédiatriques, l’atmosphère est plus apaisée.
Dernier action en date des Blouses roses : en décembre dernier elles se sont rendues à l’hôpital d’Avignon pour inaugurer les illuminations offertes par les Etablissements Leblanc à près d’une quarantaine d’hôpitaux en France.
A cette occasion, pour la première fois tous les services de la pédiatrie de l’établissement vauclusien ont pu ainsi bénéficier d’une quinzaine de guirlandes lumineuses et des quelques 90 boules roses et argentées afin d’agrémenter les couloirs, les halls d’entrée et les patios lors des fêtes de fin d’année.
« Ce chèque va nous permettre de financer des spectacles », précise Liliane Cayol Mione, vice-présidente des Blouses roses Avignon.
« Pour nous, il est important de soutenir des associations comme celle-ci, explique Christian Lacroix nouveau président du Rotary d’Avignon depuis l’été dernier.
Fondé en 1929 par l’industriel de Montfavet, Alexandre Poirson, le Rotary d’Avignon compte plus d’une trentaine de membres actifs. L’an dernier, le club a réalisé 25 actions locales afin de récolter des financements pour venir en aide à d’autres associations ou actions caritatives.

Pour la première fois en décembre dernier, l’hôpital d’Avignon a figuré parmi les établissements français à bénéficier de guirlandes de Noël dans le cadre d’un partenariat entre les Blouses roses et le groupe Leblanc illuminations. © DR – Blouses roses Avignon
 

https://www.echodumardi.com/tag/solidarite/page/11/   1/1