4 mai 2024 |

Ecrit par le 4 mai 2024

Vaucluse : il faut sauver les écureuils roux !

« Nous avons besoin de votre aide ! Nous avons reçu ces derniers temps de nombreux jeunes écureuils roux mis en péril par des élagages. » C’est en ces termes que le Centre de sauvegarde de la faune sauvage situé à Buoux en appelle à la solidarité des Vauclusiens ou simples amoureux des animaux.

Après plusieurs semaines de biberonnage, le temps du sevrage est arrivé́ pour la quinzaine de jeunes écureuils en soin et les stocks de nourriture descendent à vue d’œil. Pour les nourrir le temps de leur émancipation, le centre a cruellement besoin de fruits secs variés et en quantité.

Amandes, noisettes, pignons de pin

Le public est vivement invité à apporter son soutien en envoyant des amandes, des noisettes, des pignons de pin ou des noix (entières ou décortiquées) à l’adresse suivante :  LPO PACA, Centre de sauvegarde de la faune sauvage, château de l’environnement, 84480 Buoux. Pour contribuer à l’achat de médicaments et de nourriture, vous pouvez également faire un don ici : https://paca.lpo.fr/don.

Le centre de sauvegarde en appelle donc une nouvelle fois à la mobilisation du public, qui s’était massivement impliqué suite à la fermeture du centre pour faute de budget en 2019, impliquant un manque de financement estimé à 40 000 €. La fermeture avait suscité un élan de solidarité impulsé par les citoyens, bénévoles et partenaires, mais également par le grand public et les médias qui n’acceptaient pas la disparition de cet établissement, seul centre régional habilité à recueillir la faune sauvage en détresse. La mobilisation financière des collectivités publiques, des mécènes et des donateurs ont finalement permis la réouverture.

1 500 animaux recueillis chaque année

Le centre de sauvegarde de la faune sauvage de Buoux accueille environ 1 500 animaux sauvages en détresse par an (essentiellement des oiseaux). Ces animaux, principalement des espèces protégées de la faune locale, sont généralement découverts par de simples citoyens et acheminés depuis toute la région jusqu’au centre grâce à un réseau de bénévoles : bénévoles engagés dans l’association mais également des professionnels bénévoles (vétérinaires, pompiers).

Crédit: Centre régional de sauvegarde de la faune sauvage de Buoux

L.M.


Vaucluse : il faut sauver les écureuils roux !

L’association Amitié et entraide franco-marocaine vient d’acquérir deux anciens bus du réseau de transport du Grand Avignon. Des autocars destinés à des écoliers de villages marocains situés aux portes du désert.

Voulant partager sa chance et sa réussite, l’entrepreneur Hamid Rahmouni, patron de l’agence de voyages avignonnaise MAV (le Monde est à vous) et élu à la tête des commerçants de l’avenue Saint-Ruf, a créé en 2006 l’association Amitié et entraide franco-marocaine. Une structure ayant pour but « le rapprochement et l’harmonisation des rapports entre les deux peuples ». Dans ce cadre, l’association caritative a mis en place de nombreuses opérations aussi bien en France qu’au Maroc. Les plus significatives, l’organisation des soirées Marocaine ainsi que la fourniture de bus permettant aux élèves de communes marocaines isolées de se rendre à l’école autrement qu’à pied. Pour ce faire, Hamid Rahmouni a eu l’idée d’acheter des bus recyclés du réseau de transport TCRA du Grand Avignon.

Appels aux dons
Prochainement, dès que les frontières vont rouvrir après la pandémie, ce sont donc deux nouveaux bus qui vont être convoyés pour desservir les villages de Toudgha El Oulya et Laadouane à Tinghir dans la région d’Errachidia, aux portes du désert.Cependant, pour que la réussite soit complète, le fondateur l’association Amitié et entraide franco-marocaine a cœur que ces bus soient remplis de matériels médicales et de fournitures scolaires (cahiers, livres, stylos, cartables, ordinateurs…).
« Il faut donc les remplir », explique Hamid Rahmouni. L’association en appelle donc aux dons. Pour ce faire, rien de plus simple, il suffit de déposer les dons à l’agence de voyage MAV, 8 avenue Saint Ruf à Avignon (04 32 14 64 30) ou de joindre Hamid Rahmouni (06 10 30 63 85) qui peut se déplacer pour récupérer la participation des donateurs.


Vaucluse : il faut sauver les écureuils roux !

Annie Paly, la Présidente de la Banque Alimentaire de Vaucluse, vient de recevoir l’Ordre national du Mérite. C’est le préfet de Vaucluse, Bertrand Gaume, qui lui a remis la décoration bleue dans les locaux de la Banque alimentaire à Montfavet. Il y était déjà venu à l’automne dernier pour rencontrer les bénévoles de son équipe lors du week-end de collecte des denrées alimentaires, avant d’aller lui-même distribuer des sacs aux clients d’un hypermarché d’Avignon-Sud.

« Nous accueillir et nous assimiler au sens noble du terme. »

Et il a avoué qu’elle savait insister au téléphone pour dénouer avec lui certaines situations tendues. « Elle est tellement gentille et efficace, qu’on ne peut que la rappeler! »
‘Juste quelqu’un de bien’, comme dirait Enzo Enzo. Née en Calabre, à Rosarno, elle a suivi ses parents qui ont émigré en France pour poser leur baluchon à Cairanne. Là, la petite Anna, à peine âgée d’un an devient Annie, « Dans cette nouvelle nation qui a su nous accueillir et nous assimiler au sens noble du terme » dira la récipiendaire dans son discours.
Après avoir fait des études universitaires à Aix-en-Provence (Lettres, puis Droit), et à Suze-la- Rousse (Université de la Vigne et du Vin), elle entame sa vie professionnelle à la Polyclinique Urbain V comme manipulatrice en électro-radiographie avant de bifurquer. Elle fait alors son entrée dans le service juridique du Syndicat général des vignerons des Côtes-du-Rhône puis devient directrice générale de la fédération des AOC (Appellations d’origine contrôlée) du Sud-Est en 1988. Elle y restera jusqu’en 2013, date de sa retraite. Comme elle a plus de temps et qu’elle souhaite le consacrer aux autres, elle intègre la Banque Alimentaire de Vaucluse.

« Depuis le 1er confinement, les choses se sont envenimées. »

« Votre présence dans les locaux de la Banque Alimentaire montre l’intérêt que vous portez à notre association. C’est le lien social, caritatif et solidaire qui est mis en avant grâce à vous, Monsieur le Préfet » dira-t-elle à Bertrand Gaume. « Ces dernières années, la progression de la précarité, des difficultés économiques, des tensions sur le marché du travail et parfois l’usure des liens sociaux ont malheureusement souligné toute l’importance des banques alimentaires et de toutes les associations caritatives. »
Annie Paly enchaîne : « Depuis le 17 mars 2020 (date du 1er confinement) les choses se sont envenimées, emportées par cette bouleversante crise sanitaire. Au-delà du contexte anxiogène, elle a accru le malaise social et les besoins alimentaires (+30% dans le Vaucluse). Merci, à vous monsieur le préfet, au nom de l’Etat, d’avoir aidé et accompagné notre œuvre caritative, merci aux élus qui ont relevé le défi, merci aux salariés et bénévoles d’être restés à bord du navire, grâce à vous tous, la BA 84 a tenu le cap dans la tourmente. »
Annie Paly a conclu en disant « cette distinction, c’est aussi celle de mes parents qui m’ont poussée vers l’instruction et l’humanisme. » Ce 30 mars 2021 c’est également la date de son départ de la présidence de la Banque Alimentaire de Vaucluse. Stéphanie Sergeant lui succède, une aide-soignante qui passe ses nuits à l’hôpital de Montfavet et ses jours à la BA 84 depuis 17 ans avec son mari.
La prochaine collecte, comme chaque année, aura lieu le dernier week-end de novembre, donc les 27 et 28 novembre 2021.

La Banque alimentaire en Vaucluse
– 2,5 millions de repas distribués/an
– 1000 tonnes de denrées collectées/an
– 8 salariés, 60 bénévoles
– 70 associations partenaires
– 33 000 bénéficiaires en Vaucluse (+30% en 1 an)

Contact : 630, Chemin Saint-Pierre-de-Fraisse – 84 140 Montfavet. 04 90 87 81 80


Vaucluse : il faut sauver les écureuils roux !

La collecte des Restos du cœur s’est ouverte ce vendredi 5 mars dans 67 magasins du département de Vaucluse. Elle se poursuivra le samedi 6 mars de 9h à 19h. A cette occasion, environ 580 bénévoles sont mobilisés pour collecter, trier et stocker les dons alimentaires et d’hygiène auprès de la clientèle des grandes surfaces et magasins de proximité du département.

Cette collecte nationale représente un moment important pour réalimenter les stocks et assurer la continuité de l’aide alimentaire toute l’année. En Vaucluse, l’association des Restos du cœur regroupe plus de 800 bénévoles accueillant près de 15 000 personnes et distribuant 1,68 millions de repas.


Vaucluse : il faut sauver les écureuils roux !

Le Rotary d’Avignon vient de remettre un chèque de 1 000€ à l’antenne vauclusienne de l’association ‘Les Blouses roses’.

Fondée à Grenoble en 1944 par Marguerite Perrin afin de lutter contre l’isolement des jeunes tuberculeux, Les Blouses roses œuvrent aujourd’hui principalement auprès des enfants hospitalisés et des personnes âgées en Ehpad (Etablissement d’hébergement pour personnes âgées dépendantes) avec des jeux et des animations. « Elles écoutent, réconfortent, distraient les malades et apportent de la joie dans un quotidien de solitude ou de soins », explique la structure reconnue d’utilité publique qui regroupe 5 400 bénévoles présents dans 368 villes en la France. A ce titre, ces derniers interviennent dans 650 établissements de l’Hexagone.

5 000 personnes visitées dont 2 500 enfants
En Vaucluse, le comité d’Avignon des Blouses roses qui a vu le jour en 2006 compte près d’une trentaine de bénévoles présidés par Françoise Espenon.
« Nous ne sommes pas dans le soin mais dans l’animation », insiste la présidente en place depuis maintenant 3 ans qui rappelle « qu’aucune formation médicale est nécessaire pour s’investir dans l’association ».
En Vaucluse, la structure intervient régulièrement à l’hôpital d’Avignon ainsi que dans deux Ehpad de la cité des papes et un à Saint-Saturnin-lès-Avignon.
Avec le Covid-19 et les mesures de ‘distanciation sociale’, l’activité de l’association a brusquement ralenti depuis mars dernier. « En 2019, nous avons visité plus de 5 000 personnes dont 2 500 enfants », poursuit la présidente des Blouses roses d’Avignon.

Une atmosphère apaisée
De l’aveu même des personnels soignants, chaque fois que l’association est là, notamment au sein des urgences pédiatriques, l’atmosphère est plus apaisée.
Dernier action en date des Blouses roses : en décembre dernier elles se sont rendues à l’hôpital d’Avignon pour inaugurer les illuminations offertes par les Etablissements Leblanc à près d’une quarantaine d’hôpitaux en France.
A cette occasion, pour la première fois tous les services de la pédiatrie de l’établissement vauclusien ont pu ainsi bénéficier d’une quinzaine de guirlandes lumineuses et des quelques 90 boules roses et argentées afin d’agrémenter les couloirs, les halls d’entrée et les patios lors des fêtes de fin d’année.
« Ce chèque va nous permettre de financer des spectacles », précise Liliane Cayol Mione, vice-présidente des Blouses roses Avignon.
« Pour nous, il est important de soutenir des associations comme celle-ci, explique Christian Lacroix nouveau président du Rotary d’Avignon depuis l’été dernier.
Fondé en 1929 par l’industriel de Montfavet, Alexandre Poirson, le Rotary d’Avignon compte plus d’une trentaine de membres actifs. L’an dernier, le club a réalisé 25 actions locales afin de récolter des financements pour venir en aide à d’autres associations ou actions caritatives.

Pour la première fois en décembre dernier, l’hôpital d’Avignon a figuré parmi les établissements français à bénéficier de guirlandes de Noël dans le cadre d’un partenariat entre les Blouses roses et le groupe Leblanc illuminations. © DR – Blouses roses Avignon
 

Vaucluse : il faut sauver les écureuils roux !

En décembre dernier, les Compagnons du Goût, le réseau de bouchers charcutiers traiteurs indépendants, lançaient une opération solidaire via la vente de tablettes de chocolat au prix de 3€ intégralement reversés à l’association Petits Princes. Malgré le contexte sanitaire, l’opération a remporté un franc succès, l’association ayant reçu 36 000 € afin de permettre aux enfants malades de réaliser leurs rêves.

Dans le Vaucluse, 5 artisans ont participé à l’opération :

Claudine et Denis Da-Prato : Grande Rue à Cabrières d’Avignon
Anne-Marie Méjean, Choc Viandes : 128 avenue Jean-Henri Fabre à Carpentras
Yvan Amsallem, Les Frères Bouchers : 319 route de Caumont à Jonquerettes
Axel Da Prato, Maison Rastello : 356 bd St Roch à La Tour d’Aigues
Alexis Roumette : 41 rue St Martin à Orange

Créée en 1987, l’association Petits Princes réalise les rêves d’enfants et d’adolescents gravement malades. Elle est à ce jour la seule association en France à réaliser plusieurs rêves pour un même enfant en fonction de l’évolution de sa pathologie. Depuis 33 ans, plus de 7 900 rêves ont été réalisés, avec plus d’un rêve réalisé par jour.


Vaucluse : il faut sauver les écureuils roux !

Le Soroptimist international Avignon soutient depuis 2016 l’association franco-indienne Adaïkalam qui a fondé, à Pondichéry en Inde, un orphelinat accueillant des fillettes de 6 à 16 ans dans ‘La Maison d’Agathe’.

Récolter des fonds
Pour récolter des fonds et aider au fonctionnement de cette maison, le Soroptimist Avignon organise toutes les années, lors de la quinzaine d’activisme, ‘Oranger le monde’ du 25 novembre au 10 Décembre (qui consiste à éclairer en orange des bâtiments de la ville en soutien aux femmes battues) ainsi qu’une séance de cinéma publique dans le cadre de la lutte contre la violence à l’égard des femmes. 

Un don pour les petites orphelines indiennes
«C’est avec infiniment de plaisir que nous remettrons un chèque de 1 200€ à Ranga Ariapouttry, Président de l’association Adaïkalam », explique Michèle Michelotte, membre des Soroptimist d’Avignon, expliquant qu’en 2020, à cause de la crise sanitaire cette séance de cinéma suivie d’un débat n’avait pu avoir lieu. Toutefois, lors de la réunion du mois de décembre 2020 les membres du club se sont prononcés pour le maintien de cette aide.

La remise de chèque
La remise de chèque se fera Vendredi 29 janvier 2021 à 16h, au siège de l’association au Centre Atma, 50 Rue des Lices à Avignon. 

L’Association Adaïkalam
L’association avignonnaise Adaïkalam, créée en 2015, a pour principal but d’apporter assistance matérielle, scolaire et humaine aux populations les plus défavorisées et en priorité aux enfants par toute action favorisant le lien entre la France et l’Inde. La structure Adaïkalam (qui veut dire refuge en Tamoul), a été fondée en 2015 par Ranganathan Ariapouttry indien, natif de Pondichéry. L’homme, professeur de yoga à Avignon depuis plus de 25 ans, son épouse Isabelle médecin également à Avignon et leur fille Anaïs, ont créé la structure en souvenir de leur autre fille Agathe disparue à l’âge de 20 ans. C’est d’ailleurs pour elle que sa famille a créé ‘La Maison d’Agathe’ ‘afin que la vie continue en son nom’.

La maison d’Agathe
Cette maison, ouverte en 2017, accueille aujourd’hui 15 petites orphelines ou abandonnées, parfois des fratries, âgées de 6 à 16 ans. Elles sont scolarisées à proximité, entourées et accompagnées dans le respect de leur culture et vivent dans un lieu rassurant et sécure où sont privilégiés l’accès à l’éducation et aux activités culturelles comme la danse, le yoga et la musique.

Depuis janvier 2021
Depuis Janvier 2021, les enfants et les jeunes filles ont même commencé à suivre des cours de français en partenariat avec l’Alliance Française de Pondichéry, le but de l’association étant de les accompagner jusqu’à leur majorité et surtout les aider à devenir autonomes. La grande maison, qui bénéficie d’un jardin spacieux, propose une capacité d’accueil de 30 personnes. Dix personnes sont employées par l’association, les 7 permanents sont la cuisinière, la femme de ménage, la directrice administrative, la gouvernante, la répétitrice, le gardien et le jardinier et 3 salariés sont à mi-temps : la comptable, l’assistante sociale ainsi qu’un homme à tout faire.

Adaïkalam
L’association Adaïkalam compte un peu plus de 230 adhérents soutenant l’association par leurs cotisations, leurs dons ou parrainages. La cotisation annuelle est de 20 €, les parrainages se font par prélèvement mensuel d’un montant compris entre 30 et 50€. Enfin, l’association est déclarée ‘d’intérêt général’ permettant aux cotisations et dons d’être déductibles des impôts dans la limite de 66 % de leur montant.

Ils soutiennent la structure
Le Rotary club, le Lions’s club, Lumière de l’Inde en Périgord et Soroptimist international Avignon soutiennent Adaïkalam.


Vaucluse : il faut sauver les écureuils roux !

Face à la crise sanitaire, la solidarité s’organise à Monteux. Ainsi, le centre communal d’action sociale (CCAS) a pu compter sur la générosité des habitants, des associations ainsi que des élus et bénéficier de plus de 28 000 € de dons afin d’aider les plus démunis.  

En mai dernier, le maire de la Ville Christian Gros avait lancé un appel aux dons au profit du CCAS de Monteux. Un appel qui a semble-t-il été entendu puisque la commune a recueilli 7 485 €. Dans la foulée, 11 associations montiliennes ont décidé de renoncer à leur subvention au profit du CCAS afin d’afficher leur soutien envers les personnes en difficultés. Une générosité qui a permis de récolter la somme de 17 152 €. Enfin, le mardi 22 décembre, c’est l’Amicale des élus de la majorité de Monteux (représentée par le maire Christian Gros, Michel Mus, 1e adjoint délégué à la proximité et à la vie quotidienne, Annie Millet, adjointe déléguée aux finances et aux ressources humaines et Mireille Sauvayre Gaudin, adjointe déléguée aux affaires sociales) qui a remis à Catherine Siau, directrice du CCAS, un chèque de 4 000 €. L’intégralité des sommes récoltées va permettre de poursuivre les actions mises en place et d’en développer des nouvelles pour venir en aide à celles et ceux qui sont actuellement dans des situations économiques difficiles.


Vaucluse : il faut sauver les écureuils roux !

Claude Nahoum, 1er adjoint au maire d’Avignon délégué à la ville éducative, culturelle et solidaire vient de remettre des paniers garnis de Noël aux soldats de l’opération ‘Sentinelle’ déployés dans la cité des papes durant la période des fêtes de fin d’année 2020. En tout, une vingtaine de colis ont été ainsi offerts aux militaires du 8e RPIMA (Régiment de parachutistes d’infanterie de marine) de Castres qui patrouillent dans les rues d’Avignon depuis des semaines maintenant.

« C’est avec un grand enthousiasme que Cécile Helle, maire d’Avignon et son conseil municipal ont décidé en ces fêtes de fin d’année d’apporter tout leur soutien aux militaires engagés dans les opérations, qu’elles soient ‘extérieures’ ou ‘intérieures’ comme Sentinelle », explique Claude Nahoum. « Cette démarche illustre l’attachement et les remerciements de la Ville d’Avignon au travail effectué, aussi bien en période estivale que durant les fêtes de fin d’années, par les militaires de Sentinelle », poursuit le 1er adjoint. Ces colis de Noël, comprenant notamment du foie gras, du champagne et autres douceurs, ont été remis au sein de l’hôtel de ville en présence de Bertrand Gaume, préfet de Vaucluse.

https://www.echodumardi.com/tag/solidarite/page/8/   1/1