Sorgues : ‘Ouvre la cage’, quand une danseuse devient oiseau
Ce samedi 23 septembre, la Compagnie Petitgrain proposera deux représentations de son spectacle jeune public ‘Ouvre la cage’ au Pôle culturel Camille Claudel à Sorgues.
Durant 30 minutes, le public découvrira le parcours d’une danseuse qui se retrouve enfermée dans une grande cage aux barreaux dorés dans laquelle elle va peu à peu se parer d’un plumage coloré pour se transformer en un oiseau pas tout à fait ordinaire.
Samedi 23 septembre. 11h et 15h. Entrée libre sur réservation à la médiathèque. Salle de spectacle. Pôle culturel Camille Claudel. 285 Avenue d’Avignon. Sorgues.
V.A.
Sorgues : ‘Ouvre la cage’, quand une danseuse devient oiseau
Ce vendredi 15 septembre, la commune de Gordes va accueillir un spectacle mêlant sons et lumières intitulé ‘La déesse de Gordes’ retraçant l’histoire de la commune du Luberon grâce à un vidéomapping projeté sur le Château. Initié par la mairie de Gordes, cet événement fera également l’objet d’un tournage de l’émission Des racines et des ailes diffusée sur France 3.
Le collectif Luminagora, qui a pour objectif la valorisation du patrimoine en projection monumentale et par le spectacle vivant, va illuminer le Château de Gordes avec le spectacle ‘La Déesse de Gordes’ ce vendredi 15 septembre à 22h. Trois vidéo projecteurs et deux projecteurs laser seront installés pour mettre en lumière une des façades du Château.
Le spectacle retracera 2000 ans de la commune avec l’animation d’archives (tableaux, fresques, documents anciens), couplée à la création de visuels autour des celtes, des romains, des rois, des barons, des marquis et autres comtes de Provence, des temps modernes et du protestantisme, mais aussi des artistes qui sont passés par Gordes. L’eau et la nature, deux thématiques importantes en Provence et pour la commune, seront aussi évoqués, sans oublier les valeurs de la Provence, sa langue, son folklore, et son artisanat. La création de ce spectacle a pu être possible grâce aux financements de la mairie de Gordes, à Luminagora, mais aussi grâce à la participation des associations, historiens, ou encore artistes de Gordes, ainsi que celle des acteurs du tourisme locaux comme Destination Luberon. Un événement organisé dans le cadre de la 2e édition de la fête annuelle de l’Amitié créé par la municipalité.
Cet événement va également l’objet d’un tournage de l’émission Des racines et des ailes, consacrée au patrimoine, à l’histoire et à la connaissance, et diffusée sur France 3, la chaîne télévisée souhaitant réaliser un reportage sur un village autour de la mise en place d’un spectacle historique qui met en valeur le patrimoine.
Le spectacle débutera à 22h et non 21h30.
Vendredi 15 septembre. 22h. Château de Gordes.
Exemple de ce que fait Luminagora.
V.A.
Sorgues : ‘Ouvre la cage’, quand une danseuse devient oiseau
Qui ne n’est posé au moins une fois cette question sans trop avoir d’idée ? Où s’informer si on veut aller au spectacle ou voir une exposition ? Pas évident. On peut affirmer qu’il existe une dichotomie importante entre l’offre culturelle d’un territoire et ce que ses habitants en connaissent ou en savent. A l’heure du numérique et de l’intelligence artificielle c’est tout à fait étonnant. La culture fait-elle de la résistance au numérique ?
La culture fait-elle de la résistance au numérique ?
Les Parisiens ont de la chance sur au moins un point, ils ont l’Officiel des Spectacles, un guide hebdomadaire papier et aujourd’hui numérique qui se veut exhaustif. Tous les films, concerts, spectacles, expositions, visites et activités pour les plus jeunes de la région parisienne y sont répertoriés avec toutes les informations pratiques nécessaires. Dans le Vaucluse, comme sur d’autres territoires, il n’existe malheureusement pas de support comparable. Si on cherche par exemple un spectacle vivant il faut partir dans des recherches longues et pas toujours fructueuses. Certes, il y a bien les sites de billetteries en ligne qui s’efforcent de répertorier le maximum d’événements. Mais les petits spectacles, les initiatives locales n’y sont pas proposés. On peut aussi s’abonner aux newsletter des salles que l’on aime. Mais comment avoir une vue d’ensemble ?
La place de la culture dans les médias n’est pas à la hauteur de la richesse et de la diversité de la création
Certes, il y a aussi les journaux qui réalisent des critiques et mettent en avant certains événements culturels. Mais pour un article combien sont-ils à ne pas avoir accès aux colonnes ou aux micros de la presse ? La place de la culture dans les médias n’est pas à la hauteur de la richesse et de la diversité de la création. C’est normal vous dirons les responsables de ces médias, la culture ne fait pas beaucoup d’audience. Ce n’est pas que la culture n’intéresse personne c’est que la thématique n’intéresse pas forcément tout le monde et au même moment. Une critique sur un spectacle de danse ne suscitera que l’intérêt qu’auprès des amateurs de cette discipline, qui ne sont sans doute pas majoritaire dans le lectorat d’un journal. A moins que ce soit un grand nom de la danse. On touche là le cœur du sujet. Comment sortir du mainstream et mettre en lumière la nouveauté et le différent ? C’est essentiel puisqu’il s’agit de l’avenir et du renouvellement. Si on ouvre pas d’avantage sur la nouveauté on risque de tourner en rond assez rapidement. C’est d’ailleurs un peu ce qui se passe aujourd’hui avec la création musicale actuelle qui n’offre malheureusement pas dans sa représentation média la richesse de ce qu’elle est réellement aujourd’hui.
Comment sortir du mainstream et mettre en lumière la nouveauté et le différent ?
A un moment où même votre compagnie d’assurance vous envoie un sms pour vous prévenir qu’il va faire très chaud et qu’il est important de s’hydrater, nous ne sommes pas en capacité de nous prévenir qu’autour de nous il y a peut-être un spectacle qui pourrait nous plaire. On recueille nos données personnelles de partout avec nos parcours numériques, mais étonnamment rien sur la culture. Serait-elle pas suffisamment marchande ? C’est certainement une bonne nouvelle, mais pour une fois que le numérique pourrait avoir une utilité culturelle…
Sorgues : ‘Ouvre la cage’, quand une danseuse devient oiseau
Le traditionnel Feu de Monteux aura lieu le vendredi 25 août à la Plaine des Sports Raymond Chabran. Cette année, la Ville proposera au public un véritable festival d’art pyrotechnique et plein d’autres surprises. La soirée sera animée par l’inégalable Calixte de Nigremont.
Le célèbre maître de cérémonie est bien connu du public vauclusien puisqu’il présente depuis plusieurs années le Gala des Crinières d’Or du grand événement équestre Cheval Passion. L’édition 2023 du Feu de Monteux promet donc d’être grandiose et inoubliable !
Sorgues : ‘Ouvre la cage’, quand une danseuse devient oiseau
Ces vendredi 25 et samedi 26 août, la Ville de Carpentras vous propose de découvrir le spectacle ‘Cirque et Compagnie’, élaboré par la Compagnie Archibald Caramantran.
Dans la cour intimiste de la Charité, voyagez dans un univers artistique grâce aux prouesses fantastiques du merveilleux monde du cirque. Les deux représentations sont gratuites. La billetterie en ligne n’ayant plus de place disponible, la Ville conseille de » se rendre le soir dudit spectacle à la Charité afin de pouvoir bénéficier, le cas échéant, de places désertées. »
25 et 26 août. 20h30. Cour de la Charité. 77 Rue Cottier. Carpentras.
V.A.
Sorgues : ‘Ouvre la cage’, quand une danseuse devient oiseau
Ayant été déclarés comme «non essentiels», le spectacle vivant et la culture en général ont été des victimes collatérales de la gestion de la crise sanitaire. Les mois ont passé et on peut dire aujourd’hui que la création artistique n’est pas morte, même si de nombreux artistes, entreprises et projets ont bu la tasse. Les premiers bilans des manifestations comme le festival d’Avignon montrent que le public a été au rendez-vous. Enfin une bonne nouvelle !
Les organisateurs du Off n’hésitent pas à dire que 2023 aura été l’année de tous les records. 1491 spectacles dont 466 créations, 1270 compagnies, 2 millions de billets vendus et près de 27 millions de CA. Voilà pour les chiffres. Pour le In le bilan est également largement positif. Bref, nous pourrions y voir là une occasion de se réjouir et de faire la démonstration que la culture et le spectacle vivant sont en définitive essentiels à la vie. Et bien non. On va trouver quelques chose qui ne va pas.
Les organisateurs du Off n’hésitent pas à dire que 2023 aura été l’année de tous les records.
En effet, l’année prochaine avec les JO qui se tiendront en France (pour ceux qui n’auraient pas suivi l’affaire), le festival d’Avignon sera avancé d’une semaine. Catastrophe et que n’avons-nous pas entendu ? Comment ferons les comédiens pour faire garder leurs enfants ? Comment s’organiser pour la mise en place dans les lieux scolaires libérés le 28 juin ? Comment se loger fin juin ? On en appelle à la mise en place d’un fond de solidarité pour compenser le manque à gagner de la première semaine.
Demander des aides dans la perspective d’une éventuelle déconvenue dont on ne sait rien pourrait déjà être en soi critiquable. Pas sûr que les collectivités appelées à mettre la main à la poche puissent financer par anticipation des hypothétiques pertes de fréquentation et de CA.
Le négatif n’est plus l’accident qui vient perturber le positif, il devient l’élément de langage dominant et récurrent.
Même si les questions posées sont totalement légitimes et compréhensibles, ont-elles leur place ici et maintenant ? Ne pourrait-on pas avant tout savourer cette victoire de la culture ? Et battre en brèche tous ceux qui considéraient la culture comme non essentielle ? Pourquoi faut-il aller chercher systématiquement ce qui ne va pas comme si le bon fonctionnement n’était plus la norme. Le négatif n’est plus l’accident qui vient perturber le positif, il devient l’élément de langage dominant et récurrent. Ca en devient fatiguant. Peut-être que l’année prochaine nous pourrions voir dans l’un des spectacles du Off une pièce sur ce thème. Ce serait sans aucun doute le moyen d’en rire !
Sorgues : ‘Ouvre la cage’, quand une danseuse devient oiseau
Ces vendredi 11 et samedi 12 août, la Compagnie Les Sœurs Goudron proposera deux représentations de son spectacle ‘Dames de France’ au centre culturel La Charité à Carpentras.
Raffinement, distinction, grâce et élégance. Les cinq plus belles dames de France sont réunies dans un concours, une seule d’entre elle remportera le titre ultime de ‘Dame de France’. Pour ce faire, elles devront redoubler d’efforts afin d’offrir la meilleure performance et de conquérir le cœur du public. Larmes, voyeurisme, manipulation, ou encore exhibition, seront-elles faire face au monde cruel des concours de beauté ?
Le public sera immergé dans cette histoire et pourra même participer à l’élection de la ‘Dame de France’. Les deux représentations sont gratuites, dans la limite des places disponibles. Il faut donc tout de même réserver son billet sur la billetterie en ligne.
11 et 12 août. 20h30. Cour de la Charité. 77 Rue Cottier. Carpentras.
V.A.
Sorgues : ‘Ouvre la cage’, quand une danseuse devient oiseau
Après le succès de ‘Nîmes, cité des Dieux’ l’été dernier, la Ville de Nîmes et son délégataire Edeis vous proposent de découvrir leur nouveau spectacle nocturne ‘Arena et les clés du temps’ au sein des Arènes. Il y aura en tout six représentations les lundi 7, mardi 8, jeudi 10, vendredi 11, lundi 14 et mardi 15 août.
‘Arena et les clés du temps’ promet de plonger les spectateurs dans le passé durant 1h30. Les majestueuses Arènes de Nîmes seront sublimées par plus de deux cents figurants vêtus de 400 costumes toutes époques et des cascadeurs feront le doublage des comédiens afin de rendre l’expérience plus vraie que nature. Une traduction du spectacle sera même proposée pour les spectateurs étrangers.
Le public participera donc à un véritable voyage dans le temps. Il sera d’abord propulsé à l’époque romaine, puis au XVIᵉ siècle avec François 1ᵉʳ, donateur du blason de Nîmes, au XVIIIᵉ siècle, notamment à l’époque de la Révolution française, pour finir en 2023, où présent et passé vont s’unir.
Le synopsis
L’histoire du spectacle repose principalement sur deux personnages : le gardien des arènes et sa fille. Ce premier a 50 ans et c’est un amoureux inconditionnel de la ville de Nîmes qui, selon la légende de sa famille, a protégé ses ancêtres depuis près de deux mille ans. En racontant ses histoires, il raconte aussi celles des arènes, de sa ville et de sa région.
La fille du gardien, Arena, a 20 ans. Tous deux sont dans le présent, mais emportés par leurs récits, ils deviennent les héros de chaque tableau dont l’action va donner vie aux aventures familiales, qui traversent le temps. Leur imagination fait naître des héros et des héroïnes dans des tableaux spectaculaires. L’objectif du héros est de transmettre à Arena les clés du temps afin d’en faire la première gardienne des arènes.
Informations pratiques
Les tarifs vont de 15€ à 40€ selon l’emplacement choisi. Pour les enfants entre 4 et 12 ans, et les groupes comprenant minimum 20 personnes, les tarifs vont de 5€ à 27€. Il est également possible de réserver un pack famille pour deux adultes et deux enfants pour 80€ ou 108€ selon l’emplacement. Pour accéder à la billetterie en ligne, cliquez ici.
7, 8, 10, 11, 14 et 15 août. 21h30 (ouverture des portes à 20h). Arènes de Nîmes. Boulevard des Arènes. Nîmes.
V.A.
Sorgues : ‘Ouvre la cage’, quand une danseuse devient oiseau
Alors qu’initialement cela devait être Vincent Dedienne, c’est finalement Christophe Willem qui va inaugurer la nouvelle salle de Confluence spectacle dans la zone de Courtine à Avignon. Cette structure implantée en face de la Gare TGV avait accueilli la programmation de l’Opéra d’Avignon pendant les 4 ans qu’ont duré ses travaux de rénovation du site historique de la place de l’Horloge. Elle appartient au Grand Avignon qui vient de céder le bâtiment à 4 entrepreneurs.
Tout d’abord, il y a René Kraus, le directeur général du Cinéma My West-Capitole du Pontet, président des ‘Rencontres du Sud’ et vice-président du Syndicat Alpes-Provence-Corse, soit 80 salles dans le Sud-Est. Puis il y a Grégory Cometti qui dirige le KFT (Kafé-Théâtre à Saint-Galmier, près de Saint-Etienne) et « Le Paris (dans la Cité des Papes). Il a aussi repris la programmation du théâtre ‘Le Vox’ de la famille Bizot sur la Place de l’Horloge, en prenant la suite de Sophie Laffont pour l’édition du festival 2019. Ensuite Patrice Fabre, à la tête d’un restaurant d’Avignon-Nord et enfin l’avignonnais Christian Dupré, directeur technique des 11 salles du multiplex du Pontet depuis 11 ans, qui sera donc directeur d’exploitation de la scène « Confluence Spectacles ».
C’est un concert du chanteur-auteur-compositeur Christophe Willem, vainqueur de la Nouvelle star 2006, qui inaugurera Confluence Spectacles, le 15 février prochain .
Ce dernier a d’abord évoqué les travaux à réaliser dans cette salle de spectacles pour la mettre aux normes : « 850 000€ pour une nouvelle sono, un accueil convivial, des loges plus grandes comme les espaces restauration, une capacité d’accueil étoffée, avec 1 020 places assises et 1 700 debout grâce à l’installation de gradins supplémentaires. Finie la couleur rouge des façades, on passera à un dégradé violet-rose-doré ».
« Pas d’élitisme. Des prix compris entre 15 et 45€ pour être accessibles au plus grand nombre. »
Christian Dupré
Christian Dupré évoque ensuite la programmation : « Elle sera diversifiée, avec chanson, théâtre, cirque, magie, comédies musicales, jeune public, contes pour enfants, humour, one man/woman show, soirées électro, ciné-concerts. Pas d’élitisme. Et surtout, des prix compris entre 15 et 45€ pour être accessibles au plus grand nombre ».
D’ores et déjà, on sait que c’est la révélation de ‘La nouvelle star’ 2006, le chanteur-auteur-compositeur Christophe Willem qui inaugurera Confluence Spectacles, le 15 février 2024 pour un récital. Le 16, lui succèdera Vincent Devienne, acteur et humoriste. Longtemps chroniqueur dans ‘Quotidien’ de Yann Barthès où il présentait, tous les lundis, une revue de presse totalement déjantée et loufoque. Mais qui a aussi décroché 2 Molière en 2017 et 2022 pour ses spectacles.
Le 18 avril une humoriste-chanteuse-actrice, Camille Lellouche. Suivront Keen V le 29 mars, Anne Roumanoff le 7 avril, l’humoriste et ancienne camarade de promotion de François Hollande et Ségolène Royal à Sciences-Po, l’inoxydable Enrico Macias le 14, le magicien Dani Lary le 9 novembre et Sheila le 23. « En tout nous commencerons avec une soixantaine de dates en 2024 (Louane, Bernard Lavilliers sont aussi dans les tuyaux). A terme, on vise une centaine de levers de rideau pour ce nouveau lieu populaire » conclut Christian Dupré. En plus, un parking gratuit de 500 places jouxte la salle.
Entre les salles voisines de taille comparable, à Châteaurenard, Nîmes et Aix-en-Provence, Confluence – Spectacles entend jouer la carte de la diversité et de la proximité au cœur d’un éco-système culturel déjà riche avec l’opéra, les salles de théâtre permanent, les cinémas et les festivals d’Avignon.
Ouverture le 15 février 2024 avec Christophe Willem 16 février : Vincent Dedienne 18 Février : Camille Lellouche 21 Février : Le cirque Leroux avec son spectacle Elephant in the room 23 Fevrier : Bouder 1 mars :Laura Laune 2 mars :un diner d’adieu 6 mars : Franjo 8 mars : 3 cafés gourmands 9 mars : Geremy Credeville 29 mars : Keen V 4 Avril : Les hommes viennent de mars et les femmes de venus 5 avril : Laura Calu 7 avril : Anne Roumanoff 12 avril : Erick Baert 14 avril :Enrico macias 18 avril :Elisabeth buffet 26 avril : Djal 28 avril : Little max 18 Mai : Soirée Electro 24 mai : Sellig 25 mai : Blond and blond and blond 24 octobre : magie Antonio 30 octobre : Le loup est revenu 9 novembre : Dani lary 23 novembre : Sheila