4 septembre 2025 |

Ecrit par le 4 septembre 2025

Mortalité routière : quels pays européens déplorent le plus de victimes ?

D’après le bilan annuel préliminaire de l’Observatoire national interministériel de la sécurité routière (ONISR), 3 190 personnes ont perdu la vie sur les routes de France métropolitaine en 2024 (2 477 hommes et 713 femmes), soit 23 tués de plus qu’en 2023 (+0,7%) et 54 de moins qu’en 2019 (-1,7%). En proportion de la population, le taux de mortalité routière était de 48 décès par million d’habitants en 2024, un chiffre stable par rapport à 2023 et en légère baisse comparé à 2019 (50 décès par million).

Qu’en est-il de la sécurité routière chez nos voisins européens ? Selon les données préliminaires publiées par la Commission européenne, en 2024, les 27 États membres de l’UE affichaient un taux de mortalité routière moyen de 44 décès par million d’habitants, ce qui classe donc la France plutôt parmi les mauvais élèves du continent. Le taux de mortalité routière mesuré dans l’Hexagone (48 décès par million) était ainsi similaire à celui enregistré en Italie (51 par million), en Estonie (50 par million), en Slovaquie (47 par million) et en Tchéquie (45 par million). En comparaison, le taux se situait autour de 34 décès par million d’habitants chez nos voisins espagnols et allemands.

Comme l’indique notre carte, les taux les plus élevés de morts sur les routes de l’UE ont été mesurés en Roumanie, en Bulgarie et en Grèce, avec respectivement 77, 74 et 64 décès par million d’habitants en 2024. À l’inverse, les meilleurs élèves européens en matière de sécurité routière sont les pays scandinaves. Si l’on se base sur les taux d’accidents mortels l’an dernier, la Norvège (16 décès par million d’habitants), la Suède (20 par million) et le Danemark (24 par million) présentaient les niveaux de mortalité les plus bas, soit trois à quatre fois moins élevés qu’en Europe de l’Est.

De Tristan Gaudiaut pour Statista


Mortalité routière : quels pays européens déplorent le plus de victimes ?

Des données publiées le 15 juillet par l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) et l’UNICEF confirment la stagnation de la couverture vaccinale à l’échelle mondiale ces dernières années. En 2024, 14,3 millions d’enfants dans le monde étaient dits « zéro dose », c’est-à-dire qu’ils n’avaient reçu aucun vaccin, un chiffre qui n’a quasiment pas évolué en deux ans (14,5 millions en 2022). Le nombre d’enfants non vaccinés reste également supérieur à celui enregistré en 2019 (12,8 millions), avant que la pandémie de Covid-19 ne vienne perturber les services de santé. Dans le détail, plus de la moitié des enfants non vaccinés vivent dans la trentaine de pays qui se trouvent actuellement en situation de fragilité, de conflit ou de vulnérabilité.

Comme l’indique notre infographie, le pourcentage d’enfants ayant reçu trois doses de vaccin contre la diphtérie, le tétanos et la coqueluche (DTC), l’un des principaux marqueurs des progrès mondiaux de la vaccination, s’élevait à 85 % en 2024, soit un chiffre inférieur au pic de 86 % atteint entre 2016 et 2019, avant la pandémie de Covid. Les données montrent également une stagnation du taux de vaccination contre la polio à 84 % (alors qu’il était de 86 % entre 2017 et 2019) et de la tuberculose à 88 % (contre un pic à 90 % en 2017 et 2018). Quant à la couverture vaccinale mondiale contre la rougeole, après d’importants progrès mesurés entre 2004 et 2016, le taux progresse désormais à un rythme beaucoup plus lent : il était de 76 % en 2024 (contre 71 % en 2019), soit un chiffre encore loin du niveau de couverture de 95 % nécessaire pour prévenir efficacement les épidémies.

D’après l’OMS, en 2024, 60 pays ont été frappés par des épidémies « importantes ou perturbatrices » de rougeole, soit près de deux fois plus qu’en 2022. Le manque d’accès aux vaccins dans certaines régions est la principale cause du déficit de couverture vaccinale dans le monde, mais l’agence onusienne pointe aussi du doigt la menace que représente la désinformation sur la science et les vaccins.

De Tristan Gaudiaut pour Statista


Mortalité routière : quels pays européens déplorent le plus de victimes ?

Alors que la période des vacances estivales bat son plein, des données publiées vendredi dernier par Eurostat rappellent que de nombreux Européens n’ont pas les moyens de partir en vacances. En effet, en 2024, un peu plus d’une personne sur quatre dans l’UE (27 %) n’avait pas la capacité financière de s’offrir une semaine de vacances annuelles loin de son domicile.

Comme le montre notre carte, les Européens sont loin d’être égaux face à cette situation : 22% des Français n’ont pas les moyens de partir une semaine par an, contre seulement 9% des Luxembourgeois et 12% des Suédois. Mais ce taux est beaucoup plus élevé dans les pays de l’Est et du Sud de l’Europe. Ainsi, environ un tiers de nos voisins espagnols et italiens (respectivement 33 et 31%) ont déclaré ne pas pouvoir se payer une semaine de vacances. Mais ce sont les Roumains qui sont les plus nombreux à devoir renoncer à une semaine loin du quotidien : près de 60% d’entre eux n’en ont en effet pas les moyens.

De Tristan Gaudiaut pour Statista


Mortalité routière : quels pays européens déplorent le plus de victimes ?

Parcourir les plus de 3 000 kilomètres du Tour de France sans avoir recours à des produits dopants ? Il n’y a pas si longtemps, c’était apparemment impensable pour la plupart des participants à la Grande Boucle. Si l’on se penche sur les données concernant les coureurs du Tour de la fin des années 1990 (entre 1998 et 2000), il s’avère que plus de la moitié d’entre eux ont été épinglés pour dopage au moins une fois au cours de leur carrière.

Après le scandale de l’affaire Festina en 1998 et la création de l’Agence mondiale antidopage l’année suivante, des progrès ont été réalisés en matière de réglementation et de contrôle, tandis que les sanctions prises ont exercé un effet dissuasif. Bien que des affaires continuent d’émailler le cyclisme, la proportion de participants au Tour de France convaincus pour dopage a constamment diminué au cours des deux dernières décennies. Comme le montre notre infographie, ce taux est actuellement inférieur à 10 % depuis 2018 – un chiffre pouvant encore naturellement évoluer au gré des contrôles, aveux et enquêtes à venir, alors que la possibilité d’éventuels cas de dopage avec de nouvelles substances non détectées n’est malheureusement pas à exclure.

Si le nombre de cas confirmés de recours aux produits dopants chez les participants ne cesse globalement de diminuer ces vingt dernières années, la proportion de tricheurs reste néanmoins élevée parmi ceux arrivés en tête de la Grande Boucle. Une statistique permet de mesurer l’ampleur du fléau : de 1998 à ce jour, plus de la moitié des coureurs du top 10 au classement final ont été impliqués dans des affaires de dopage, et sur le podium, ce ratio grimpe à environ deux sur trois. Des chiffres qui illustrent que l’appât du gain lors des grandes compétitions reste l’une des principales motivations à la prise de produits dopants.

De Tristan Gaudiaut pour Statista


Mortalité routière : quels pays européens déplorent le plus de victimes ?

Le Premier ministre François Bayrou a dévoilé mardi 15 juillet son plan d’économies pour le budget 2026 de l’État. L’effort pour réduire le déficit public atteindra 43,8 milliards d’euros et comprend notamment le gel des prestations sociales et des retraites, la diminution des dépenses de santé (remboursement de soins), la réduction des effectifs dans la fonction publique ou encore la proposition de supprimer deux jours fériés. Si le président Emmanuel Macron a estimé que le budget présenté a « la vertu du courage, de l’audace et de la lucidité », ce plan d’austérité a néanmoins entraîné de vives réactions et critiques de tous bords. L’ancien Premier ministre Édouard Philippe (groupe Horizon) a estimé dans les colonnes du Parisien que « quasiment rien dans ce qu’il propose ne règle le problème », tandis que le groupe LFI a dénoncé lors d’une conférence de presse des « annonces antidémocratiques » se résumant à une « déclaration de guerre sociale ».

Comme le détaille notre infographie, les plus gros efforts demandés par le plan Bayrou se situent au niveau des prestations sociales et de retraites, maintenues en 2026 aux niveaux de 2025, soit une économie estimée à 7,1 milliards d’euros, suivies des dépenses de santé, avec des mesures comme le doublement des franchises médicales (reste à charge) et la révision du statut des maladies longue durée, qui devraient permettre d’économiser 5,5 milliards d’euros. Ensemble, ces deux postes contribuent à 29 % (12,6 milliards) des économies prévues pour le budget 2026. 

Parmi les autres sources majeures d’économies, on trouve également la réduction des dépenses de fonctionnement de l’État, avec une diminution des effectifs de fonctionnaires et des coûts liés aux opérateurs de l’État qui devrait permettre d’économiser au total 10 milliards d’euros (23 % du total). La réduction du budget des collectivités territoriales et la proposition de supprimer deux jours fériés (Lundi de Pâques et 8 mai) contribuent de leur côté à hauteur de respectivement 5,3 milliards (12 %) et 4,2 milliards (près de 10 %).

Enfin, combinés ensemble, les trois postes d’économies sur la fiscalité – mesures d’équité fiscale (4,2 milliards), niches fiscales et sociales (3,4 milliards) et lutte contre les fraudes fiscale et sociale (2,3 milliards) – représentent près de 10 milliards d’euros (23 %) du plan d’économies présenté par François Bayrou.


Mortalité routière : quels pays européens déplorent le plus de victimes ?

La France vient d’être touchée par un épisode caniculaire intense et précoce. Lundi 1er juillet, 16 départements (dont l’Île-de-France pour la première fois en cinq ans) ont été placés en vigilance rouge pour canicule, qui correspond à « une canicule extrême, exceptionnelle par sa durée, son intensité, son extension géographique, qui présente un fort impact sanitaire pour l’ensemble de la population et des impacts sociétaux (sécheresse, approvisionnement en eau potable, aménagement ou arrêt de certaines activités, etc.) ». 84 autres départements ont été placés en vigilance orange, et 200 écoles ont fait l’objet d’une fermeture partielle ou totale les 29 juin et 1er juillet en raison des risques liés aux températures.

Ces pics de chaleur deviennent-ils de plus en plus fréquents ? D’après des données de l’Organisation météorologique mondiale (OMM), la Terre a connu l’an dernier la journée la plus chaude jamais enregistrée depuis le début des relevés en 1940 : le 22 juillet 2024, la température moyenne de l’air à la surface du globe a atteint 17,15°C. Ce chiffre dépasse les précédents records de 17,09°C, établi juste un jour plus tôt, et de 17,08°C, établi un an auparavant, le 6 juillet 2023.

À l’échelle mondiale, les records absolus de température s’enchainent autour du globe, comme le montre notre carte qui présente une sélection non exhaustive de records nationaux enregistrés depuis 2021. Les plus récents ont été relevés cette année au Paraguay (46,4°C), en Côte d’Ivoire (49,5°C) et aux Maldives (35,8°C). De nombreux records ont également été atteints en 2024, notamment au Mexique (51,9°C), au Mali (48.5°C), ou encore au Laos (43,7°C). L’année précédente, la Chine avait enregistré une température record de 52,2°C, tandis qu’au Royaume-Uni, le mercure a franchi pour la toute première fois la barre des 40°C en juillet 2022.

Durant l’été 2021, l’un des plus chauds mesurés sur Terre, le Canada, la Turquie, l’Espagne et l’Italie avaient enregistré les températures les plus hautes de l’histoire de leurs relevés. Le record italien, 48,8°C à Syracuse, représente même la température la plus élevée jamais mesurée en Europe.

En Antarctique, le record date de 2020 avec plus de 18°C atteints à la base Esperanza pendant l’été austral. En France, le record national de 46°C mesurés à Vérargues (Hérault) remonte à la canicule de 2019, pendant laquelle d’autres records avait été battus en Europe, comme en Belgique (41,8°C) et en Allemagne (41,2°C).

Deux ans avant, en 2017, le Pakistan (53,7°C) et le Koweït (53,9°C) avaient relevé les quatrième et troisième températures les plus hautes jamais mesurées sur Terre validées par l’OMM (il s’agit des records asiatiques). Le record mondial est toujours officiellement attribué à Furnace Creek, dans le désert californien, avec 56,7°C atteints en 1913.

De Valentine Fourreau pour Statista


Mortalité routière : quels pays européens déplorent le plus de victimes ?

Pilier de son modèle social, le système de redistribution des richesses en France vise à réduire les inégalités et repose sur une logique de solidarité nationale, où les revenus des plus aisés contribuent au financement des services publics et des aides sociales destinées aux plus démunis. Si ses origines remontent à la fin du XIXe siècle, ce n’est qu’après la Seconde Guerre mondiale qu’il s’est réellement structuré, avec la création de la Sécurité sociale en 1945. Ce système fait de nos jours régulièrement l’objet de débat dans la sphère politico-médiatique, avec ses détracteurs qui critiquent son coût ou son inefficacité, tandis que ses défenseurs soulignent son rôle essentiel dans la protection des citoyens contre les aléas de la vie et les inégalités.

La redistribution s’effectue principalement via deux canaux en France : dans un sens les prélèvements obligatoires, comme les impôts et les cotisations sociales (déduites du salaire brut), et dans l’autres les prestations sociales, telles que les allocations familiales, les aides au logement et le revenu de solidarité active (RSA), conçues pour soutenir les ménages les plus démunis. D’après une analyse de l’Insee publiée en 2023, en France, la redistribution élargie améliore le niveau de vie de 90 % des individus appartenant à un ménage dont la personne de référence est âgée de 65 ans ou plus. Chez les 50-59 ans, près de 70 % des individus sont à l’inverse des contributeurs nets à la redistribution.

Les retraités représentent ainsi les principaux bénéficiaires nets de la redistribution en France, en grande partie car ils sont les destinataires des contributions du système de retraite par répartition, mais aussi les principaux bénéficiaires des prestations de santé. En dehors des retraités, les bénéficiaires nets de la redistribution sont surtout les plus modestes, ainsi que les familles avec enfants et les ménages moins diplômés. Comme le montre notre infographie, pour les ouvriers et les employés, le bilan redistributif est quasi neutre, alors que les chefs d’entreprise, cadres et travailleurs indépendants sont des contributeurs nets et, dans une moindre mesure, les professions intermédiaires.

De Tristan Gaudiaut pour Statista


Mortalité routière : quels pays européens déplorent le plus de victimes ?

En 2022, plus de 20 % de la population européenne a été exposée à des niveaux de bruit nocifs supérieurs aux seuils fixés par la directive sur le bruit dans l’environnement (END), qui fixe la limite à 55 décibels pour la période jour-soir-nuit. Cette pollution sonore provient principalement du trafic routier, ferroviaire et aérien. Selon l’Agence européenne pour l’environnement, cette exposition touche des millions de personnes et représente une menace pour la santé publique, car elle est liée à des problèmes cardiovasculaires, au stress et à des troubles du sommeil.

Selon le rapport, rien qu’en 2021, « l’exposition prolongée au bruit des transports en Europe a été liée à quelque 66 000 décès prématurés, 50 000 nouveaux cas de maladies cardiovasculaires et 22 000 nouveaux cas de diabète de type 2. Au total, plus de 1,3 million d’années de vie en bonne santé ont été perdues en Europe à cause de la pollution sonore ».

Le Luxembourg arrive en tête des pays les plus touchés, avec 68 % de sa population exposée à des niveaux sonores malsains. Il est suivi par Chypre (52 %), la France (36 %) et l’Autriche (32 %). À l’opposé, la Slovaquie (8 %), le Portugal (9 %), l’Estonie (9 %) et la Slovénie (11 %) figurent parmi les pays dont le pourcentage de la population affectée est le plus faible.

Selon le rapport, « l’accès à des espaces verts et calmes est bénéfique pour la santé, notamment en réduisant le stress et l’inconfort, en particulier pour les personnes vivant dans des environnements bruyants ». Une analyse géospatiale de 233 villes révèle que seulement 34 % de la population peut accéder à des espaces verts et calmes à moins de 400 mètres à pied de son domicile, « ce qui est une mesure commune d’accessibilité acceptable ».

Que peuvent faire les pays pour remédier à ce problème ? Bien que la pollution sonore « pose des problèmes importants », il existe des solutions efficaces pour en atténuer l’impact. Les solutions clés examinées dans le rapport comprennent, entre autres, des mesures réglementaires et législatives qui réduisent le bruit à la source, des stratégies à long terme qui intègrent la planification urbaine et des transports et la restauration de la nature, ainsi que des initiatives sanitaires préventives liées aux maladies cardiovasculaires et respiratoires et à la santé mentale.

De Valentine Fourreau pour Statista


Mortalité routière : quels pays européens déplorent le plus de victimes ?

Quelques jours après l’échec des négociations entre les partenaires sociaux sur les retraites, le chef du parti présidentiel Renaissance, Gabriel Attal, a proposé une nouvelle réforme des retraites qui se fonderait « uniquement sur une durée de cotisation » (et plus sur un âge légal de 62 ou 64 ans). Dans un entretien aux Échos publié ce mercredi 2 juillet, la présidente de l’Assemblée nationale, Yaël Braun-Pivet, a également estimé que « les retraités les plus aisés pourraient davantage être mis à contribution », rappelant son souhait de supprimer « l’abattement fiscal de 10% sur les pensions, qui ne pénalise pas les petites retraites », une mesure qui pourrait rapporter 4 milliards d’euros par an au budget de l’État selon les estimations rapportées.

À l’heure actuelle, le mode de calcul du financement du régime de retraite par répartition en France (pension de base des salariés) repose principalement la durée de cotisation (nombre de trimestres travaillés), le taux d’annuité (variable selon l’âge de départ) et le salaire de référence. Mais qu’en est-il du financement des retraites chez nos voisins européens ?

D’après les informations compilées par le site Toute l’Europe, tous les pays de l’Union européenne (UE) ont adopté un système par répartition, complété de manière obligatoire ou facultative par une retraite par capitalisation (s’appuyant sur divers dispositifs d’épargne). Cependant, différents modes de calcul sont utilisés pour définir le montant des pensions de base touchées par les retraités européens. Comme le détaille notre carte, au sein de l’UE, on dénombre trois principaux modes de calcul : le régime en annuités – comme en France, en Belgique et en Espagne, les retraites à points – comme en Allemagne et en Irlande, ainsi que les comptes notionnels, comme en Italie et en Suède.

Dans le système à points, le montant de la retraite dépend du nombre de points accumulés, de la valeur attribuée à chaque point (généralement déterminé par les partenaires sociaux) et de l’âge de départ. Quant aux comptes notionnels, utilisés dans cinq États membres (contre quinze pour les annuités et sept la retraite à points), ils reposent sur l’accumulation d’un capital virtuel qui augmente avec les cotisations versées et les revalorisations annuelles.

De Tristan Gaudiaut pour Statista

https://www.echodumardi.com/tag/statista/page/3/   1/1