17 juin 2025 |

Ecrit par le 17 juin 2025

Poutine se rapproche du record de longévité au pouvoir détenu par Staline

Vladimir Poutine fête aujourd’hui les 25 ans de son arrivée au pouvoir : il est élu président de la fédération de Russie le 26 mars 2000, après avoir occupé le poste de président par intérim après la démission de son prédécesseur Boris Eltsine, lors d’une élection considérée comme la dernière élection présidentielle véritablement compétitive en Russie à ce jour. En poste depuis un quart de siècle – comme président et premier ministre – Poutine a passé au total 9 355 jours à la tête du pays au moment où nous écrivons ces lignes. Réélu l’année dernière pour un mandat de six ans (soit environ 2 190 jours), il devrait battre le record de longévité au pouvoir en Russie depuis le début du vingtième siècle, détenu par Joseph Staline (10 636 jours).

À la fin de la présidence de Dmitri Medvedev, en 2012, la loi russe avait été modifiée pour prolonger le mandat présidentiel de quatre à six ans. Une décennie plus tard, en 2021, Poutine avait signé une autre loi fixant la limite à deux mandats présidentiels (consécutifs ou non), mais sans que soient pris en compte les mandats précédents ou en cours, notamment les siens.

Liberté, corruption, démocratie : le mauvais bilan russe
Sans surprise (voir graphique ci-dessus), la Russie est mal classée en matière de transparence, de corruption ou encore de démocratie dans de nombreux indices internationaux. Les chercheurs de The Economist l’ont par exemple placée au 150e rang sur 167 dans le cadre de son indice de démocratie l’année dernière, critiquant particulièrement l’absence de diversité politique du pays, ainsi que la fréquente manipulation de ses élections. La Russie a également obtenu un score inquiétant en matière de corruption dans le plus récent rapport annuel de l’ONG Transparency International : elle se classe 154e sur 180.

La répression et la censure journalistique du régime du Kremlin sont aussi mises en évidence par son classement en matière de liberté de la presse, puisque Reporters Sans Frontière plaçait la Russie au 183e rang sur 208 l’année dernière, un score peu surprenant, car la Russie emprisonne encore régulièrement des journalistes, par exemple sous prétexte d’« espionnage ». Le gouvernement limite également l’accès à Internet et au contenu critique en ligne.

De Valentine Fourreau pour Statista


Poutine se rapproche du record de longévité au pouvoir détenu par Staline

Dans son récent rapport sur les perspectives économiques de ses États membres, l’OCDE indique que si l’économie mondiale a progressé à un rythme annualisé solide de 3,2 % au second semestre 2024, les récent indicateurs d’activité pointent vers un ralentissement de la croissance en 2025 et 2026. L’OCDE indique en effet que l’inflation, l’augmentation des barrières commerciales dans plusieurs économies du G20 et l’incertitude politique pourraient affaiblir les économies de nombreux pays. La croissance du PIB mondial devrait ainsi ralentir, passant de 3,2 % en 2024 à 3,1 % en 2025 et 3,0 % en 2026. Cependant, certains pays devraient être plus fortement touchés que d’autres – et d’autres pays ne devraient pas être affectés.

La croissance annuelle du PIB réel aux États-Unis devrait ralentir par rapport au rythme très soutenu qu’elle a connu, pour s’établir à 2,2 % en 2025 et à 1,6 % en 2026. Dans la zone euro, la croissance du PIB réel devrait être modérée mais soutenue, passant à 1,0 % en 2025 et 1,2 % en 2026. La France, qui a connu une croissance de 1,1 % l’année dernière, devrait la voir ralentir pour s’établir à 0,8 % cette année, puis remonter à 1,0 % en 2026.

La croissance en Chine devrait également ralentir, passant de 4,8 % cette année à 4,4 % en 2026. L’Inde fait quant à elle figure d’exception : d’après les prévisions de l’OCDE, son économie devrait croître de 6,4 % cette année et 6,6 % l’année prochaine. L’Italie devrait également connaitre une croissance soutenue, de 0,7 % en 2025 et 0,9 % en 2026.

De Valentine Fourreau pour Statista


Poutine se rapproche du record de longévité au pouvoir détenu par Staline

Il reste encore un long chemin à parcourir en Europe pour atteindre la pleine égalité des droits entre les femmes et les hommes. C’est en tout cas ce qui ressort de l’Indice d’égalité des sexes 2024 de l’Institut européen pour l’égalité entre les hommes et les femmes, qui se base principalement sur des données de 2022.

L’indice se base sur six catégories principales : travail (qui inclut la participation au taux d’emploi), argent, éducation, temps (qui mesure les inégalités entre les sexes dans la répartition du temps consacré aux travaux domestiques et aux activités sociales), pouvoir (soit l’accès aux postes de décision dans les sphères politiques, économiques et sociales), et santé. S’y ajoutent deux autres facteurs : la violence envers les femmes, et les « inégalités croisées », désavantages durables qui résultent d’un mélange de privations économiques et de discriminations fondées sur l’identité. Avec un score de 76,1 sur 100, la France se classe sixième et plusieurs points au dessus de la moyenne des pays de l’UE, située à 71.

Comme chaque année depuis de développement de cet indice, la Suède est en tête du classement des pays de l’Union européenne, devant les Pays-Bas et le Danemark. Si des progrès sont à noter depuis la première publication de l’Indice d’égalité des sexes en 2013, l’évolution reste lente : la moyenne de l’Union européenne était alors de 63,1, et n’a ainsi augmenté que de 7,9 points en onze ans.

De Valentine Fourreau pour Statista


Poutine se rapproche du record de longévité au pouvoir détenu par Staline

La Maison Blanche a annoncé, lundi 3 mars, suspendre toute aide militaire à l’Ukraine, dans le but de pousser Kiev à un cessez-le-feu. Après l’altercation lunaire entre Donald Trump, son vice-président J. D. Vance et le président ukrainien Volodymyr Zelensky à Washington vendredi dernier, l’administration Trump a donc décidé de mettre ses menaces à exécution. Cette décision concerne essentiellement des armes et munitions approuvées sous l’administration de Joe Biden, dont assez peu restent encore à livrer. Dans un entretien diffusé sur Fox News lundi soir, J. D. Vance a défendu la décision et attaqué les dirigeants européens qui continuent de soutenir l’Ukraine. « Zelensky, il se rend en Europe et beaucoup de nos amis européens le regonflent à bloc. Ils disent : “Vous êtes un combattant de la liberté. Vous devez continuer à vous battre à jamais.” A jamais avec quoi ? Avec l’argent de qui ? Avec quelles munitions, avec quelles vies ? En fait, le président [Trump] adopte une perspective bien plus réaliste, en disant que tout ça ne peut pas continuer sans fin », a t-il déclaré.

La décision des États-Unis est ainsi prise : sous prétexte d’obtenir la fin des hostilités, l’administration Trump choisit d’abandonner l’Ukraine – et, par extension, les membres de l’OTAN, qui se tiennent à ses côtés.

Si les États-Unis restent de loin le plus large contributeur au budget de l’organisation politico-militaire, avec des dépenses estimées à plus de 967 milliards de dollars l’année dernière, presque tous les pays de l’OTAN ont augmenté leurs dépenses de défense en 2024, et ils étaient une majorité à atteindre l’objectif fixé en 2014 d’accorder 2 % de leur PIB aux dépenses militaires, objectif qui n’était atteint que par 11 des 30 États de l’OTAN en 2023. Selon les plus récentes données publiées par l’organisation, les derniers retardataires dans la réalisation de cet objectif sont l’Espagne, l’Italie, le Portugal, la Croatie, la Belgique, le Canada, la Slovénie et le Luxembourg.

De Valentine Fourreau pour Statista


Poutine se rapproche du record de longévité au pouvoir détenu par Staline

En 2024, le nombre d’espèces menacées identifiées par l’Union internationale pour la conservation de la nature (UICN) s’élevait à près de 18 000. Mais alors que des animaux comme les orangs-outans ou les dauphins à bosse, en danger critique d’extinction, font l’objet d’une grande attention, la part des espèces de mammifères menacées ne représentait que 8 % de l’ensemble des espèces animales menacées.

En 2007, les mammifères représentaient encore 14 % de toutes les espèces animales menacées (définies par l’Union européenne comme des espèces inscrites sur la liste rouge comme étant en danger critique d’extinction, en danger ou vulnérables). Entre 2007 et 2024, les classes d’animaux dont la part dans le nombre d’espèces menacées ont augmenté étaient les reptiles, les insectes, les poissons et les mollusques (classe comprenant les escargots, les limaces, les moules, les calmars et les vers), tandis que la menace qui pèse sur les amphibiens est resté élevée. Près d’une espèce menacée sur quatre dans le monde en 2024 est un poisson.

Si les raisons de la mise en danger des insectes et des poissons sont bien connues et incluent la surpêche, l’utilisation de pesticides et la monoculture, les menaces qui pèsent sur les reptiles et les mollusques sont moins connues. Selon l’UICN, de nombreuses espèces de reptiles sont concentrées dans les régions de forêt tropicale et sont donc menacées par la déforestation. En outre, ces espèces sont particulièrement sensibles aux changements environnementaux, y compris au changement climatique. En ce qui concerne les mollusques, les espèces menacées sont principalement celles qui vivent sur terre et en eau douce. Selon l’American Institute of Biological Sciences, elles sont menacées par la destruction de leur habitat ou par des espèces envahissantes.

Les plus grandes menaces qui pèsent sur la biodiversité
L’agriculture et l’aquaculture constituent la plus grande menace pour les zones clés pour la biodiversité dans le monde, selon les données de la base de données mondiale des zones clés pour la biodiversité (World Database of Key Biodiversity Areas). Les catégories de menaces majeures figurant sur ce graphique reflètent les classifications de l’Union internationale pour la conservation de la nature (UICN), qui sont considérées comme des menaces de premier ordre pour la biodiversité et les écosystèmes.

Comme le montre le graphique ci-dessus, plusieurs des principales menaces pesant sur les zones de biodiversité sont d’origine humaine. Par exemple, le groupe Intrusions et perturbations humaines englobe une série d’actions allant des activités récréatives à la guerre, aux troubles civils et aux exercices militaires, en passant par les activités professionnelles. L’utilisation des ressources biologiques comprend, entre autres, la chasse, l’exploitation forestière et la récolte du bois. La catégorie Modifications des systèmes naturels couvre des activités telles que la construction de barrages et la catégorie Pollution englobe des menaces telles que les eaux usées, les déversements d’hydrocarbures, les pluies acides et la pollution sonore. Les catégories Production d’énergie et exploitation minière et Corridors de transport et de services se classent respectivement à la huitième et à la dixième place, mais ont été incluses dans ce tableau sous la rubrique « Autres ».

Les discussions de la COP16 de la Conférence des Nations unies sur la biodiversité reprennent au siège de l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO), à Rome, du 25 au 27 février. Les négociations reprendront là où les experts se sont arrêtés à Cali, en Colombie, en octobre dernier. La question du financement de la protection de la nature devrait de nouveau être au cœur des discussions.

De Valentine Fourreau pour Statista


Poutine se rapproche du record de longévité au pouvoir détenu par Staline

Selon le suivi des aides internationales promises à l’Ukraine de l’Institut d’économie de Kiel, les États-Unis ont accordé le plus grand soutien à Kyiv depuis le début de l’invasion russe, avec un total d’environ 114 milliards d’euros d’aides, principalement militaire, recensées fin décembre 2024. Les pays dépasse ainsi l’ensemble des institutions de l’Union européenne (auxquelles la France contribue via sa participation au budget de l’UE) qui ont accordé un total d’environ 49 milliards d’euros sur la même période, en incluant les aides financières de la Banque européenne d’investissement. En février 2024, les 27 pays de l’Union européenne s’étaient accordés sur un programme de soutien de 50 milliards d’euros supplémentaires pour l’Ukraine, inclus dans une rallonge du budget de l’UE jusqu’en 2027.

La France se classe quant à elle au 10e rang des pays ou institutions fournissant le plus d’aides en valeur, avec un montant total annoncé de 4,9 milliards d’euros du 24 janvier 2022 au 31 décembre 2024 (dernier relevé disponible). Au cours de cette période, le soutien officiellement accordé par le gouvernement français a principalement été d’ordre militaire (3,5 milliards d’euros). Le 12 mars dernier, l’Assemblée nationale avait voté à une large majorité en faveur de l’accord bilatéral d’aide entre la France et l’Ukraine. Cet accord, signé le 16 février dernier par le président de la République Emmanuel Macron et son homologue ukrainien Volodymyr Zelensky, prévoit entre autres un engagement de dix ans de la France envers l’Ukraine.

Si l’on regarde la contribution rapportée à la taille de l’économie, c’est le Danemark et l’Estonie qui arrivent en première position, avec des montants accordé en aides bilatérales qui représentaient 2,2 % de leurs PIB respectifs sur la période étudiée. La Lituanie (1,8 %) suivait. En comparaison, l’aide engagée par les États-Unis représentait 0,5 % de son (important) PIB.

De Valentine Fourreau pour Statista

Note : pour les pays de l’UE, ces chiffres ne prennent en compte que l’aide bilatérale accordée par chaque pays, et exclut leur participation au budget de l’UE.


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Du 6 au 11 février s’est tenu à Paris le Sommet pour l’action sur l’intelligence artificielle. La présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, y a annoncé un plan d’investissement de 200 millions d’euros pour le secteur de l’IA européenne, « le plus grand partenariat public-privé du monde ». Celui-ci s’accompagne cependant de conditions, telles qu’une simplification drastiques des règles européennes qui encadrent l’intelligence artificielle, ainsi qu’une « réduction des lourdeurs bureaucratiques ». En clôture de l’évènement, Emmanuel Macron a quant à lui déclaré : « Nous avons besoin de continuer à faire avancer une gouvernance internationale de l’intelligence artificielle ». 61 pays ont d’ores et déjà signé une déclaration pour une intelligence artificielle « ouverte », « inclusive » et « éthique » ; les États-Unis et le Royaume-Uni ne font pas partie des signataires.

D’après les prévisions publiées par les Market Insights de Statista, le secteur mondial de l’IA pourrait dépasser les 500 milliards de dollars de chiffre d’affaires d’ici 2028, soit une multiplication par quatre par rapport à la taille du marché estimée en 2023. Les segments qui devraient connaître la plus forte croissance entre 2023 et 2028 sont l’apprentissage automatique, la robotique basée sur l’IA et le traitement automatique des langues, avec une croissance de plus de 200% attendue par les analystes du marché sur cinq ans (plus de 400% pour l’apprentissage automatique). Comme le montre notre infographie, l’apprentissage automatique est de loin le segment le plus important du marché : il pesait environ 38 % du chiffre d’affaires total du secteur en 2023, et cette part devrait grimper à plus de 50 % d’ici 2028.

De Valentine Fourreau pour Statista


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Interviewé récemment sur BFMTV, le ministre de la Justice Gérald Darmanin a suggéré la suppression la commission de magistrats chargée d’étudier les demandes d’OQTF émises par le gouvernement, afin d’expédier les procédures d’expulsion. Le garde des sceaux a également réitéré sa volonté de remettre en cause le droit du sol, et déclaré que le ministre de l’Intérieur, Bruno Retailleau, « a raison de vouloir expulser des gens (…) qui crachent sur la France ». Ces déclarations interviennent quelques jours après l’annulation par la justice administrative de l’expulsion de l’influenceur algérien Boualem Naman, dit « Doualemn », qui vit légalement en France.

D’après les données d’Eurostat, la France est le deuxième pays européen (voir graphique ci-dessous) ayant procédé au plus grand nombre d’expulsions de ressortissants étrangers en 2023 : 12 170, soit 11 % du total des renvois de l’Union européenne, derrière l’Allemagne, avec un peu près de 15 500 renvois (14 % du total de l’UE), et devant la Suède, avec un peu plus de 10 000 (9,3 %).

Avec près de 167 000 dossiers déposés en 2023, dont 145 000 nouveaux dossiers, la France était également le deuxième pays ayant reçu le plus de demandes d’asile en Europe, derrière l’Allemagne (351 510). La Suède, Chypre et la Pologne, entre autres, se distinguent quant à elles par un nombre élevé d’expulsions en rapport aux flux de demandeurs d’asile.

De Valentine Fourreau pour Statista

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Poutine se rapproche du record de longévité au pouvoir détenu par Staline

Célébration de l’amour ou fête commerciale ? Demain aura lieu la Saint Valentin. Autour du monde, certains offriront des fleurs ou des chocolats à leur âme sœur. D’autres choisiront sans doute de ne pas prendre part à cette fête kitchissime, décriée comme trop commerciale. Mais qu’en est-il des célibataires ? Peut-être profiteront ils de cette journée pour tenter de trouver l’être aimé.

Comme le montre notre infographie, basée sur des données compilées par Statista pour ses Market Insights, la France fait partie des pays européens comptant le plus d’inscrits sur des applications de rencontre. En 2024, la France comptait environ 7,2 millions d’utilisateurs d’applications de rencontre (pour une population d’un peu plus de 68 millions), soit un peu moins que l’Allemagne, qui en comptait 7,5 millions (sur une population de 85 millions). L’Espagne, fortement moins peuplée que la France (moins de 49 millions en 2024) comptait quant à elle 6,3 millions de cœurs à prendre à la recherche de l’amour sur les applications de rencontre.

D’après certaines données, les applications de rencontre seraient aujourd’hui la méthode de rencontre la plus commune en France : 20 % des personnes interrogées dans le cadre d’une enquête l’an dernier déclaraient y avoir rencontré leur partenaire. Pour ce qui est des applications préférées des Français, les utilisateurs interrogés par Statista en 2024 étaient 39 % à citer Badoo, 38 % Tinder, 26 % Meetic, et 24 % adopte (anciennement AdopteUnMec).

Quels sont les pires « red flags » sur les apps de rencontre ?
Par ailleurs, comme le montre une enquête menée l’an dernier par YouGov pour l’application de rencontre Fruitz, nombreux sont les comportements que nos concitoyens considèrent comme rédhibitoires lorsqu’il s’agit de trouver un partenaire en ligne.
Des 1 000 jeunes adultes (de 18 à 34 ans) interrogés, près de la moitié (49 %) disaient ainsi considérer les photos visiblement anciennes et la vulgarité dans la biographie comme des « red flags » – comprendre, des drapeaux rouges alertant d’une probable incompatibilité. En matière de photos, 46 % des répondants se disaient contre les photos avec des filtres, et 29 % disaient ne pas aimer les photos de groupes d’amis dont les visages sont cachés par des emojis ; 20 % mentionnaient comme repoussoir les photos à côté ou dans une voiture, et 19 % les photos à la salle de sport. La tenue vestimentaire jouait elle aussi un rôle important, puisque 43 % citaient comme red flag les photos sur lesquelles la personne est à moitié nue/torse nu, 25 % les photos en pyjama ou en tenue ostentatoire avec marques ou logos apparents, et 19 % les photos en jogging, tenue de sport ou maillot de foot. Enfin, certains comportements étaient aussi considérés par beaucoup comme rédhibitoires : 42 % citaient les photos en train de fumer, 30 % les photos en soirée, et 26 % les photos montrant la personne en train de consommer de l’alcool.

De Valentine Fourreau pour Statista

https://www.echodumardi.com/tag/statista/page/5/   1/1