18 août 2025 |

Ecrit par le 18 août 2025

Le centre dentaire Aésio du Pontet s’équipe de nouvelles caméras miniatures

Les centres dentaires mutualiste du Pontet d’Aésio santé dispose désormais de caméras numériques intra-orales miniaturisées. Grâce à cette technologie, les praticiens peuvent capturer des images haute-définition de la cavité bucale, facilitant le diagnostic, la planification des traitements et le suivi. Ces visuels permettent également aux patients de voir en temps réel leur état bucco-dentaire, améliorant ainsi leur compréhension des soins proposés.

« Une qualité d’image exceptionnelle. »

« Après ces premiers jours d’utilisation, je peux déjà dire que c’est un véritable gain de temps au fauteuil et un confort certain pour les patients, témoignent les premiers retours des dentistes. La précision est impressionnante, et cela facilite énormément la prise d’empreinte et la planification des cas. »
« Une qualité d’image exceptionnelle, un logiciel intuitif, une manipulation aisée,… », constate un autre professionnel.

« Ces témoignages confirment que cette technologie s’impose comme un outil de précision. Ces équipements s’inscrivent dans une démarche plus globale d’amélioration continue de la qualité des soins et de modernisation des pratiques, insiste Aésio santé qui vient aussi d’équiper son cabinet de Torremila à Perpignan. Les centres dentaires mutualistes réaffirment ainsi leur volonté de proposer des soins de qualité à la fois humains et technologiquement avancés, accessibles à tous. »

5 100 professionnels de santé et 200 établissements
Aésio santé est un acteur mutualiste majeur de santé en France. Il propose, à travers près de 200 établissements de santé, une offre de soins et de services, dans les domaines sanitaire (chirurgie, médecine, cancérologie, soins de suite et de réadaptation, hospitalisation à domicile, radiologie, centre de santé, dentaire), médico-sociale (accueils pour personnes âgées, en situation de handicap, petite enfance, services à la personne), biens et services (pharmacies, centres d’optique, d’audioprothèse, orthopédie générale et matériel médical) ainsi qu’en matière d’innovation, de recherche et de développement. Au total, 5 100 professionnels de santé accompagnent quotidiennement les patients d’Aésio Santé.


Le centre dentaire Aésio du Pontet s’équipe de nouvelles caméras miniatures

Du 6 au 11 février s’est tenu à Paris le Sommet pour l’action sur l’intelligence artificielle. La présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, y a annoncé un plan d’investissement de 200 millions d’euros pour le secteur de l’IA européenne, « le plus grand partenariat public-privé du monde ». Celui-ci s’accompagne cependant de conditions, telles qu’une simplification drastiques des règles européennes qui encadrent l’intelligence artificielle, ainsi qu’une « réduction des lourdeurs bureaucratiques ». En clôture de l’évènement, Emmanuel Macron a quant à lui déclaré : « Nous avons besoin de continuer à faire avancer une gouvernance internationale de l’intelligence artificielle ». 61 pays ont d’ores et déjà signé une déclaration pour une intelligence artificielle « ouverte », « inclusive » et « éthique » ; les États-Unis et le Royaume-Uni ne font pas partie des signataires.

D’après les prévisions publiées par les Market Insights de Statista, le secteur mondial de l’IA pourrait dépasser les 500 milliards de dollars de chiffre d’affaires d’ici 2028, soit une multiplication par quatre par rapport à la taille du marché estimée en 2023. Les segments qui devraient connaître la plus forte croissance entre 2023 et 2028 sont l’apprentissage automatique, la robotique basée sur l’IA et le traitement automatique des langues, avec une croissance de plus de 200% attendue par les analystes du marché sur cinq ans (plus de 400% pour l’apprentissage automatique). Comme le montre notre infographie, l’apprentissage automatique est de loin le segment le plus important du marché : il pesait environ 38 % du chiffre d’affaires total du secteur en 2023, et cette part devrait grimper à plus de 50 % d’ici 2028.

De Valentine Fourreau pour Statista


Le centre dentaire Aésio du Pontet s’équipe de nouvelles caméras miniatures

Le groupe Egide vient de signer un nouveau contrat pluriannuel avec Lynred. Le premier, dont le siège est implanté à Bollène, est spécialiste mondial des boîtiers hermétiques et des solutions de dissipation thermique pour composants électroniques sensibles, le second, installé à Veurey-Voroize en Isère, est leader en développement et production de détecteurs infrarouges de haute qualité pour les marchés de l’aérospatial, de la défense, et de multiples applications industrielles.

Avec ce nouveau contrat cadre pluriannuel les deux acteurs renforcent leur partenariat stratégique dans le domaine de la Base industrielle et technologique de défense (BITD) française. Il s’inscrit dans la continuité d’une collaboration de plusieurs décennies entre les deux entreprises. Il réaffirme aussi leur volonté commune de développer des solutions technologiques toujours plus innovantes et adaptées aux besoins de leurs clients en conjuguant leurs expertises respectives dans un esprit de partenariat industriel.

« Ce nouvel accord avec Lynred est une étape importante dans notre histoire commune, précise David Hien, directeur général d’Egide. Il nous permet de poursuivre et d’intensifier notre travail collaboratif pour concevoir des solutions de pointe répondant aux exigences croissantes de nos clients dans le secteur de la défense. »

« Nous sommes ravis de renouveler notre partenariat avec Egide, complète pour sa part Xavier Caillouet, directeur général de Lynred. Ce contrat cadre pluriannuel témoigne de notre confiance mutuelle et de notre volonté commune d’innover pour rester à la pointe de la technologie. »

Xavier Caillouet, directeur général de Lynred (à gauche) et David Hien, directeur général d’Egide. Crédit : Linkedin/Egide/Lynred

Le centre dentaire Aésio du Pontet s’équipe de nouvelles caméras miniatures

Les deepfakes (abréviation de « deep learning » et « fake ») sont des enregistrements vidéo ou audio réalisés ou modifiés à l’aide de l’intelligence artificielle (IA). Avec le développement et le perfectionnement des technologies d’IA générative ces dernières années, les cas de fraude par deepfake se multiplient dans le monde. Comme le montre notre carte basée sur les chiffres du rapport annuel de la société Sumsub, les tentatives de fraude à l’identité liées aux deepfakes ont explosé entre 2022 et 2023 dans de nombreux pays du globe. 

Par exemple, le nombre de cas de fraude de ce type a augmenté de 4 500 % d’une année sur l’autre aux Philippines, suivis par des pays comme le Vietnam (+ 3 050 %), les États-Unis (+ 3 000 %) et la Belgique (+ 2 950 %). Les capacités de l’intelligence artificielle étant susceptibles de continuer à augmenter significativement à l’avenir, les tentatives de fraude par deepfake pourraient s’étendre à de multiples domaines. « Nous avons vu les deepfakes devenir de plus en plus convaincants ces dernières années et cela ne fera que se poursuivre et s’étendre à de nouveaux types de fraude, comme on l’a vu avec les deepfakes vocaux », commente Pavel Goldman-Kalaydin, responsable du département couvrant l’intelligence artificielle et l’apprentissage automatique chez Sumsub, dans le rapport susmentionné.

De Tristan Gaudiaut pour Statista


Le centre dentaire Aésio du Pontet s’équipe de nouvelles caméras miniatures

Même si les semi-conducteurs font partie intégrante de l’industrie automobile et informatique depuis des décennies déjà, la course à l’IA et le transfert d’une part croissante des infrastructures numériques vers le cloud ont considérablement exacerbé le besoin de centres de données de grande capacité et de puces électroniques, produites par des entreprises telles que Samsung ou TSMC. Cependant, même si des entreprises américaines comme Intel occupent les premiers rangs en matière de ventes mondiales, il en est tout autre concernant la production de ces composants stratégiques.

Selon les données de l’organisation professionnelle des semi-conducteurs SEMI, environ 70 % de la capacité de production mondiale se trouve en Corée du Sud, à Taïwan et en Chine. Les Amériques (8 %) se classent au cinquième rang mondial, derrière le Japon, dont la part s’élevait à 13 % en 2022. La situation était bien différente il y a de ça quelques dizaines d’années, puisque les États-Unis couvraient 37 % de la capacité mondiale de fabrication en 1990, l’Europe 44 % et le Japon 19 %. 

Le pays du Soleil-Levant était considéré comme une puissance des semi-conducteurs dans les années 80, puisqu’il représentait 51 % des ventes mondiales en 1988. Mais l’éclatement de la bulle économique japonaise dans les années 90 lui a fait perdre son rôle de leader dans ce domaine au profit des économies occidentales, puis de ses rivaux régionaux.

De Tristan Gaudiaut pour Statista


Le centre dentaire Aésio du Pontet s’équipe de nouvelles caméras miniatures

En 2023, la France est le pays qui offre la meilleure qualité de vie numérique à ses citoyens. C’est ce qui ressort de l’étude annuelle de la société de services VPN Surfshark, qui place l’Hexagone au premier rang de l’indice de qualité de vie numérique sur 110 pays analysés en 2023. Ce classement mondial se base sur plusieurs critères comme l’accessibilité financière et la qualité du réseau Internet, le développement des infrastructures, le niveau d’administration électronique, ou encore la cybersécurité. La France progresse ainsi de six places par rapport au classement de 2021, passant d’un score de 0,71 à 0,79 points.

Dans le détail, les principaux points forts de la France dans le domaine numérique restent l’accessibilité financière d’Internet, les lois sur la protection des données et la vitesse du haut-débit. L’Hexagone se situe dans la moyenne des pays développés concernant le développement de ses infrastructures numériques, mais obtient en revanche un score médiocre en matière de stabilité des connexions Internet (36ème sur 110).

Cliquez sur l’image pour l’agrandir.

Valentine Fourreau, Statista.


Le centre dentaire Aésio du Pontet s’équipe de nouvelles caméras miniatures

La start-up vauclusienne BLR Aviation est présente au Salon International de l’aéronautique et du spatial qui se tient au Bourget du 19 au 25 juin.

La jeune société, qui conçoit et fabrique des drones gros porteurs, a été invitée à représenter la filière régionale sur le stand de la Région Sud. L’occasion pour Damien Blairon et son équipe d’exposer leurs projets et de rencontrer clients, partenaires et investisseurs potentiels.

L’entreprise d’Entraigues sur la Sorgue travaille actuellement sur 3 projets : un drone gros porteur multi-usages en kit pour la catégorie 80-150 kg, un drone monoplace et une voiture volante. Elle souhaite aussi communiquer sur son expertise dans les matériaux composites (conception, fabrication, réparation).

Le BLR014, drone gros porteur en kit, dernier-né de BLR Aviation © DR

Concernant le prototype informatique de voiture volante développée par BLR Aviation, il pourrait transporter deux personnes, ou jusqu’à 250 kg de charge utile, avec une masse maximale de 550 kg. Composé de quatre bras équipés de deux moteurs monopales chacun, ces derniers se déploient pour permettre à la voiture de décoller.

De nombreux tests ont déjà été réalisés afin de collecter diverses données. L’objectif de cette voiture volante est d’être multifonctionnel et de permettre : l’évacuation de blessés, le transport d’organes, la lutte contre les feux de forêt ou les incendies en hauteur et bien d’autres.

J.R.


Le centre dentaire Aésio du Pontet s’équipe de nouvelles caméras miniatures

L’année dernière, la Région Sud avait sélectionné Brad Technology pour mettre en place son projet ‘Sols ouverts’. Un projet qui vient de démarrer chez les viticulteurs de l’AOC Ventoux qui vont tester les bénéfices apportés par les données collectées par les sondes agricoles de la startup.

Le projet ‘Sols ouverts’, d’une durée totale de 24 mois, permet la mise à disposition sans frais de sondes établies par Brad Technology pour chaque agriculteur, ainsi que l’accès complet à Brad, l’application associée d’aide à la décision pour exploiter les données collectées et enrichies. « Le projet illustre parfaitement notre vision d’une agriculture ouverte, collaborative et connectée, qui adresse le grand défi du changement des générations et des pratiques qui doit mobiliser au-delà de l’écosystème agricole », explique Olivier Lépine, fondateur de la startup.

17 adhérents de l’AOC Ventoux se sont montrés intéressés par le projet. Ainsi, des tests vont être conduits sur 25 parcelles, qui représentent un total de 53 hectares. Les données récoltées seront partagées de manière anonyme avec toutes les parties prenantes puis analysées. L’objectif est d’offrir un accompagnement vers la transition agroécologique au travers d’une agriculture durable et des gains sur la qualité de vie des agriculteurs. « À travers ces vignerons volontaires et leurs parcelles, nous avons un panel très large et diversifié de cépages, de types de terroirs, d’âge de la vigne, de pratiques culturales, d’irrigation ou non, etc, développe Frédéric Chaudière, président de l’AOC Ventoux. Les tests promettent d’être intéressants. »

Les premières analyses issues des tests réalisés seront dévoilées au mois de novembre. Des étudiants de l’ISARA, école d’ingénieurs en agronomie, agroalimentaire et environnement basée à Avignon, participent à l’élaboration des comptes-rendus de ces tests. D’autres expérimentations devraient bientôt démarrer avec d’autres organismes.

V.A.


Le centre dentaire Aésio du Pontet s’équipe de nouvelles caméras miniatures

La téléphonie mobile a fêté son 50e anniversaire début avril. Le 3 avril 1973, Martin Cooper, ingénieur chez Motorola, se trouvait dans une rue de New York lorsqu’il a passé le tout premier appel depuis un téléphone portable, appelant son principal concurrent Joel Engel, qui travaillait chez Bell Labs. L’appel, effectué sur un prototype de ce qui deviendra plus tard le Motorola DynaTAC (surnommé « la brique »), a été bref d’après les souvenirs de Cooper. J’ai dit : « Joel, c’est Marty. Je t’appelle d’un téléphone portable, un vrai téléphone portable. Il y a eu un silence à l’autre bout du fil. Je pense qu’il grinçait des dents ».

L’appel de Martin Cooper a marqué un tournant dans l’histoire des télécommunications, car il a amorcé le début d’une nouvelle ère. Aujourd’hui, les téléphones portables sont omniprésents, avec plus de 5,4 milliards de personnes dans le monde disposant d’au moins un forfait mobile, selon la GSM Association. En fait, on compte désormais plus d’abonnements à la téléphonie mobile que d’habitants sur la planète, les premiers ayant dépassé les seconds en 2016.

Selon l’Union internationale des télécommunications (UIT), plus de 8,58 milliards d’abonnements mobiles étaient utilisés dans le monde en 2022, alors que la population mondiale était estimée à 7,95 milliards d’habitants au milieu de l’année.

De Tristan Gaudiaut pour Statista

https://www.echodumardi.com/tag/technologie/   1/1