‘Les Grands Enfants’ ce samedi 1er novembre au Pôle culturel de Sorgues
Sébastien Blanc et Nicolas Poiret nous offrent une nouvelle comédie sur l’amitié et les relations familiales interprétée par les comédiens Éric Laugérias et Frédéric Bouraly.
Sami et Thomas sont les meilleurs amis du monde depuis toujours, à tel point que leurs enfants respectifs se sont mariés ensemble. Un vraie bonheur qu’une grande nouvelle vient bousculer… Cette pièce de Sébastien Blanc et Nicolas Poiret met en scène deux amis prêts à tout pour leurs enfants, mais plus encore leur amitié. Vraiment prêts à tout. Une comédie pleine de rebondissements, servie par des interprètes. Une occasion de s’interroger avec humour sur les dynamiques familiales et amicales.
Les infos pratiques ‘Les Grands Enfants’. Samedi 1er novembre. 21h. Pôle culturel Camille Claudel. 285, avenue d’Avignon. Sorgues. Tout public. Durée : 1h30. Tarifs : de 10€ (Pass famille) à 30€. Billetterie ouverte au Pôle culturel et dans les points de vente habituels (Fnac, Ticketmaster, Auchan, Cultura…). Renseignements : 04 86 19 90 90.
Charlotte Rouger (stagiaire)
‘Les Grands Enfants’ ce samedi 1er novembre au Pôle culturel de Sorgues
Grand succès aux Off 2022 et 2024, le Dom Juan de Tigran Mekhitarian s’affranchit des règles du classique tout en respectant le texte original de Molière.
Dom Juan est introuvable. Accusé de fuite et de trahison par la famille de sa promise Dona Elvire, une chasse à l’homme s’engage. Sganarelle, meilleur ami et serviteur de Dom Juan, tente de raisonner ce dernier pendant leur périple pour lui éviter une mort certaine. Dom Juan est déjà à la recherche d’un nouveau cœur à séduire…
L’impro, le rap et l’énergie d’une jeunesse française qui trouve son identité dans des codes urbains, sont au cœur de la mise en scène
Le texte original, toujours conservé et respecté, est projeté dans un univers au plateau qui l’inscrit dans les codes urbains du rap et du hip-hop. La musique, la danse, les expressions et les styles vestimentaires de notre époque deviennent l’écrin qui sublime le texte. La vraie modernité du travail de Tigran Mekhitarian réside dans sa capacité à traiter la langue de Molière avec la fougue et le flow du phrasé d’aujourd’hui.
Déconseillé au moins de 10 ans. Mise en scène : Tigran Mekhitarian
‘Les Grands Enfants’ ce samedi 1er novembre au Pôle culturel de Sorgues
Alors qu’il a fait sa toute première rentrée l’année dernière, le campus avignonnais de l’école de cinéma et d’audiovisuel 3iS s’enrichit déjà de nouvelles filières, notamment celle de l’Acting & Théâtre, qui enseigne le jeu d’acteur, la direction d’acteurs et la mise en scène.
3iS Avignon vient de dévoiler sa toute nouvelle formation dédiée à l’acting, qui a fait sa rentrée ce lundi 13 octobre. Cette nouveauté marque une nouvelle étape dans le développement de l’offre de formation de l’école dédiée aux métiers de la création et de l’audiovisuel.
« L’arrivée de la filière Acting à Avignon est une évidence dans une ville qui vit et respire le théâtre, déclare Isabelle Hostaléry, directrice du campus d’Avignon. C’est un formidable pont entre la tradition scénique d’Avignon et les nouvelles écritures audiovisuelles que nous accompagnons à 3iS. Jean-Claude Walter, président du groupe 3iS a lui-même été président du Festival Off d’Avignon et cette filière représente un engagement fort. »
Le Bachelor Acting & Théâtre
Cette nouvelle formation, qui a fait sa rentrée ce lundi 13 octobre, est dispensée sur trois ans. Conçue pour répondre aux attentes du secteur du spectacle vivant, du cinéma, des séries et des nouveaux médias, elle offre aux étudiants une immersion complète dans l’univers de l’interprétation, du jeu d’acteur à la direction d’acteurs, en passant par la mise en scène.
Encadrés par des professionnels expérimentés et en activité, les étudiants bénéficient de conseils personnalisés qui leur permettent de se construire une véritable identité artistique personnelle au travers de plusieurs disciplines enseignées : le théâtre, le cinéma, l’enregistrement voix en studio, l’écriture, la danse ou encore le chant.
Le campus avignonnais comptabilise désormais trois formations : Bachelor Acting & Théâtre, Bachelor Son & Musique, et Bachelor Cinéma & Audiovisuel.
‘Les Grands Enfants’ ce samedi 1er novembre au Pôle culturel de Sorgues
La 71e saison des ATP d’Avignon débutera ce lundi 13 octobre à 20h au Théâtre Benoît XII, avec Le Barbier de Séville, une version à la fois fidèle et virevoltante de la célèbre pièce de Beaumarchais et du chef-d’œuvre de Rossini.
Rosine, une jeune orpheline de 18 ans, est retenue captive par son tuteur, le docteur Bartholo, qui, épaulé par le cupide Basile, a l’intention de l’épouser au plus vite. Mais Rosine est tombée amoureuse d’un mystérieux jeune homme qui la courtise en secret. Ce dernier n’est autre que le comte Almaviva. Aidé de son ancien valet, le malicieux barbier Figaro, il va tenter de la délivrer. Tous les stratagèmes ne sont-ils pas bons pour libérer une captive de son tyran ?
Une comédie pétillante
Une comédie pétillante ponctuée de moments musicaux, où, avec humour et arrogance, Beaumarchais dénonce et interroge les mœurs de son époque, et où les personnages sont tour à tour passionnés, amoureux, fous, névrosés, apeurés… Un beau moment de sourires et de plaisir !
Texte : Beaumarchais Mise en scène : Justine Vultaggio Avec Michaël Giorno-Cohen, Jules Fabre, Alexis Rocamora, Oscar Voisin et Justine Vultaggio,
Lundi 13 octobre. 20h. 10 à 20€. Membres de la FATP, AFIA, groupes : 15€. Théâtre Benoît XII . 12 rue des Teinturiers. Avignon. 04 86 81 61 97 / atp.avignon@gmail.com
‘Les Grands Enfants’ ce samedi 1er novembre au Pôle culturel de Sorgues
« 43 années que le bateau navigue ici, à deux pas de la Sorgue — Rue des Teinturiers et ses iconiques roues à aubes — avec ses tempêtes imaginées et ses coups de vent qui l’ont fait chavirer. » Ainsi s’exprime, dans l’édito du programme, le patron du Théâtre du Chien qui fume qui utilise la métaphore de la marine pour ce voyage imaginaire à la recherche de l’île aux trésors.
Et dès l’entrée du théâtre, on est cerné par Carolyn Carlson, la danseuse et chorégraphe californienne qui a enflammé la Cour d’Honneur du Palais des Papes cet été, autour de l’installation magique de Jean-Michel Othoniel, ses astrolabes, ses colliers, ses sphères et ses pavés multicolores en verre soufflé de Murano. Elle est là, en gros plan ou silhouette, exposée sur les murs, prise en photo en noir et blanc par Guy Delahaye en 1968 à Venise. Entre brume et nuage, en double sur la lagune, une ‘Sérénissime’ peut en cacher une autre…
Dès le mercredi 8 octobre, à l’affiche, ‘Hamlet Take Away’, une confrontation entre le héros danois de Shakespeare et le comédien italien non voyant Gianfranco Berardi. Le dimanche 12, ‘L’incantatore’ de la musicologue et dramaturge Natalia Di Bartolo qui donne la parole au théâtre, en vers de 11 pieds, sur une musique de l’Avignonnais Eric Breton qui sera au piano pour accompagner la soprano Lydia Mayo.
Le dimanche 26 octobre, place à des bons vivants, défenseurs du patrimoine, de la culture locale et de la vigne : les Chanteurs des Côtes-du-Rhône qui pousseront la chansonnette pour montrer leur amour de ce terroir, de ces vignobles avec ‘Lo Mescladis’, un joyeux mélange avec grosse caisse, trompette, accordéon, tambourin et galoubet. Des chansons à boire à 10€ l’entrée, apéro compris autour de Pierre Pappalardo, œnologue et vigneron à Laudun.
En novembre, le dimanche 9, ‘La deuxième mort de Laura Belle’, un roman noir d’Olivier Douau. Façon huis clos américain des années 50. Le dimanche 23, ‘Erre’, poésie et violon avec Paul Camus et la musicienne Véronique Bourgue. Le dimanche 7 décembre, ‘Les 3 Divas-Opus 2’, trois anciennes amies cantatrices se retrouvent et chantent leur vie de grands-mères, entre humour et autodérision, carrière et famille, opéra et opérette.
Pour entamer 2026, le 25 janvier ‘PME’ — Petites et Moyennes Entourloupes —, un texte de Jean-Jacques Devaux sur un patron magouilleur et cynique fracassé par une comptable qu’il a virée. Le 8 février, ‘Ukrainienne(S)’, un spectacle d’Oksanna Zhurvel-Ohorodnyk, née au sud-est de Kiev, écrit et mis en scène par Hugo Valat. Il y est bien sûr question de l’Ukraine qui se bat bec et ongle contre le rouleau-compresseur russe et fait la part belle à des femmes, d’hier et aujourd’hui, héroïques dans leur lutte pour la liberté.
Place à ‘Dames brunes’ le 13 février, un récital voix-piano autour de Barbara, suivi d’un buffet convivial (25€, à réserver, le nombre de places étant limité). Le 4 mars, ‘Solah, le maloya imaginaire’, un spectacle venu de La Réunion avec guitare, tabla et voix. Le 7 à partir de 10h, ‘Quels pré-textes!’, une journée dédiée à l’écriture contemporaine avec le Conservatoire à Rayonnement Régional du Grand Avignon. Pendant le 25ᵉ Festival andalou, le 20 mars, ‘Encuentro’, du flamenco délicat et mélancolique, mais aussi enlevé avec guitare, percussions, basse et violon.
Autre anniversaire, les 29 ans des ‘Escales voyageuses’ (27-29 mars), rencontres authentiques autour du voyage et de l’aventure. Enfin, pour clore cette saison 2025-2026 du Théâtre du Chien qui fume, le 12 avril, un opéra de Purcell, ‘Didon & Enée’ d’après l’Enéide du poète latin Virgile. Avec, dans la distribution, des chanteurs lyiriques, mais aussi des choristes et musiciens de la Région Sud et le claveciniste Jean-Marie Puli.
‘Les Grands Enfants’ ce samedi 1er novembre au Pôle culturel de Sorgues
Pour la 9ᵉ année consécutive, la Bella Italia s’invite à Avignon du 4 au 19 octobre. À cette occasion, le Théâtre du Balcon programme ‘Io provo a volare’ de la Compagnie Gianfranco Berardi, un spectacle en italien surtitré français.
‘J’essaie de voler’ est une dramaturgie originale qui, à partir des notices biographiques de Domenico Modugno, raconte la vie de l’un des nombreux jeunes qui ont grandi dans la province qui cherche à réaliser le rêve de devenir des artistes. C’est autour de la description des attentes, des déceptions et des efforts que l’histoire est articulée. Sous couvert de la vie cet artiste, le spectacle devient un hommage à la persévérance, au courage des travailleurs en général et au spectacle en particulier, qui, mu par la passion, se lancent constamment dans des aventures dans des expériences jugées indignes, uniquement parce qu’elles sont moins visibles.
Un univers poétique original entre narration, musique et danse
Seul en scène, l’extraordinaire acteur Gianfranco Berardi mêle poésie, musique, chansons de Modugno et danse. Il est accompagné par Davide Berardi à la voix seule et guitare et Bruno Galeone à l’accordéon.
Dimanche 5 octobre. 17h. 5 à 23€. Théâtre du Balcon. 38 rue Guillaume Puy. Avignon. 04 90 85 00 80 – contact@theatredubalcon.org
‘Les Grands Enfants’ ce samedi 1er novembre au Pôle culturel de Sorgues
Après avoir accueilli ‘Que ma Joie demeure’ de Giono et la Saison 1 et 2 des Trois mousquetaires, la Scène Nationale de La Garance nous invite à découvrir la Saison 3 des Trois mousquetaires.
La ville de Pernes-les-Fontaines va être transformée pour l’occasion en un formidable terrain de jeu pour d’Artagnan et ses compagnons. Avec sa troupe de comédiens complices, Clara Hédouin signe une mise en scène malicieuse — car transposée à notre époque — et crée ainsi un théâtre populaire, drôle, festif et inventif, à vivre ensemble !
Si vous avez manqué les épisodes précédents ?
Pas besoin d’avoir vu les épisodes précédents, un résumé est prévu ! Au début de cette saison 3, nous voici au cœur d’une réunion de la police organisée par le cardinal Richelieu. L’arrivée à Paris de d’Artagnan et son amitié avec Athos, Porthos et Aramis ont contrarié les plans du cardinal visant à mettre en difficulté Anne d’Autriche, la reine de France. L’honneur de la reine sera-t-il sauvé ? Le suspense est à son comble !
En 2012, au sein du collectif 49 701, Clara Hédouin et Jade Herbulot imaginent la série ‘Les Trois Mousquetaires’
Leur crédo ? Instaurer un dialogue entre patrimoine littéraire, institutionnel et architectural en investissant l’espace public pour ressusciter l’œuvre de Dumas sous forme de feuilleton.
Désormais, la série des Trois Mousquetaires, c’est : six saisons,19 épisodes, et une troupe de 16 comédiennes et comédiens.
Samedi 4 octobre. 16h30. Dimanche 5 octobre. 16h30. 3 à 22€. Espace public. Pernes-les-Fontaines. Scène Nationale La Garance. Rue du Languedoc. Cavaillon. 04 90 78 64 64.
‘Les Grands Enfants’ ce samedi 1er novembre au Pôle culturel de Sorgues
Impropistou ? Kesako ?
Le Festival Impropistou, c’est le festival des saveurs improvisées, une occasion de découvrir pendant deux jours le théâtre d’improvisation sous un autre jour, tantôt loufoque, tantôt émouvant, rempli d’actions ou de sensible.
Les Comédiens et comédiennes viennent de diverses troupes régionales : Impropistou, Le Mia, Le Mithe, En Cours de Rénovation, les Presque, La Compagnie des Gens qui…
Au programme
Vendredi 26 septembre
19h30 : Tu nous manques (?) Ils et elles se sont connus par le passé et ont vécu des choses ensemble. Aujourd’hui deux d’entre eux continuent à se voir et l’autre n’est plus là. Pourquoi ? Depuis quand ?
21h30 : Murmures et mélodies. Poétique et musical, donnez-nous vos mots les plus enchanteurs, on en fait un slam spontané et une histoire qui en découle. Laissez-vous rêver au son improvisé d’une flûte, harpe ou piano. L’impro commence, une histoire se crée…
Samedi 27 septembre
15h-17h : Atelier découverte de l’improvisation (adulte). Vous n’avez jamais fait de théâtre improvisé mais vous brûlez de découvrir ce format jovial qui surfe avec l’imprévu ? Venez participer aux ateliers découverte de l’improvisation.
16h : Les pirates à l’attaque… Une histoire improvisée de pirates et de perroquets qui iront là où vous les emmènerez…
18h : Détours. Ce spectacle explore les marques d’amour visibles et invisibles, de toutes les relations. Amour filial, amical, intime… L’amour dans toutes ses formes, n’est pas toujours facile à exprimer et on peut passer à côté en se taisant. Que se serait-il passé si j’avais pu lui dire…
19h : Les Statues. Tout autour de vous, sur un fond sonore, des comédien·ne·s sont figés comme stoppés dans leur élan. Lorsque la musique s’arrête, ils reprennent vie, comme des éclats de vie soudains.
20h : Remington. Remington, derrière sa machine, n’a qu’une nuit pour trouver l’histoire de son roman. Entre fausses pistes et ratures, les personnages qu’il invente prennent vie sur scène et s’emparent de l’histoire qui s’écrit… et de celle de son auteur.
21h30 : Les invités. Cette cuisine, on y vient pour dire tout haut ce qu’on pense tout bas dans le salon. Dans ce salon se déroule une fête, une action, un événement. C’est à vous de voir… Mais on ne la verra pas.
Vendredi 26 septembre. 19h30 à 22h30. Samedi 27. 16h à 23€. 5 à 10€ par spectacle. Pass 2 jours : 40€. La Scierie. 15 boulevard du quai Saint Lazare. Avignon. 04 84 51 09 11 / equipe@lascierie.coop
‘Les Grands Enfants’ ce samedi 1er novembre au Pôle culturel de Sorgues
Il fallait bien 2 monstres sacrés de la scène, Denis Lavant et Jacques Bonnafé pour interpréter un autre sommet de la littérature : ‘En attendant Godot’ de Samuel Beckett.
Rarement joué dans le Off vu sa longueur (plus de 2h), le théâtre des Halles reçoit de nouveau une création de Jacques Osinski — celui-ci ayant déjà mis en scène en juillet 2022, fin de partie de Samuel Beckett. Il s’attaque en création « mondiale » à la plus connue des pièces de Beckett en choisissant d’adapter la version de San Quentin, version à laquelle Beckett participa et qu’il valida en 1984 pour une mise en scène de Walter Asmus.
Un décor épuré pour une histoire apparemment simple
Deux clochards, deux vagabonds au pied d’un arbre. Ils attendent,Godot. Qui est Godot ? Pourquoi l’attendre ? On ne le saura jamais….et eux non plus. Cette attente paraît vaine mais elle nous permet toutes les métaphores : attente d’un Sauveur, espoir d’une autre vie, voyage imaginaire, échappée onirique? Le tableau de Caspar David Friedrich, ‘Deux hommes contemplant la lune’, avait été la source d’inspiration de Godot. Le metteur en scène Jacques Osinski reprend sur le plateau les principaux éléments : un arbre noueux, un rocher, une lune marqueur de temps, deux vagabonds, une route en fond de scène traversée par de drôles de personnages. Absurde et dérision, dialogues ciselés, interprétation magistrale feront le reste.
Un concentré d’humanité
Denis Lavant est Estragon. Jacques Bonnaffé est Vladimir. Aurélien Recoing est Pozzo et Jean-François Lapalus est Lucky. Et tous les quatre sont formidables. Comme dans l’histoire de Godot, on ne peut déceler qui a le plus besoin de l’Autre, qui prend le plus soin de l’Autre. A la fin du spectacle, on ne peut imaginer Denis Lavant et Jacques Bonnaffé regagnant chacun leur hôtel. Ils sont tellement incroyables pendant plus de 2h dans leur jeu, leurs regards complices, leur agacement respectif, leur tendresse ! Entre Gogo et Didi , c’est à la vie, à la mort. Même si on ne sait toujours pas pour quoi.
Du 25 mars au 3 mai 2026 au Théâtre de l’Atelier à Paris, puis en tournée dans toute la France.