17 septembre 2025 |

Ecrit par le 17 septembre 2025

L’invention de nos vies, du théâtre comme on l’aime

Au départ un best-seller : «  L’invention de nos vies » livre de Karine Tuil paru en 2013 et finaliste au Goncourt de cette même année, un titre intrigant, un thriller haletant, une myriade de personnages campés par 7 acteurs et actrices impeccables et un thème porteur : l’imposture.

Une succession de tableaux enfiévrés
Avocat français installé à New York, Sam connaît une ascension professionnelle et financière exceptionnelle. Mais sa réussite repose sur une escroquerie. Prénommé en réalité Samit, Sam a usurpé l’identité et la confession d’un ami d’enfance, juif et écrivain raté. La pièce débute par les retrouvailles entre les anciens amis….et les masques tombent.

Jeudi 9 novembre. 20h30. 10 à 23€. Salle Jean Moulin. Auditorium. 971 Chemin des Estourans. Le Thor. 04 90 33 96 80. auditoriumJeanMoulin.Vaucluse.fr


L’invention de nos vies, du théâtre comme on l’aime

Le metteur en scène Cyril Cotinaut nous propose la restitution publique de son travail au titre provisoire « Notre Âme commune. »

À l’issue de deux semaines de résidence au Théâtre des Halles, Cyril Cotinaut nous fera part de l’avancement de son travail sur la question d’une humanité commune. Est-ce possible ? Peut-on encore y croire ? « La beauté sauvera le monde », citation dans « l’Idiot » de Dostowevski, l’a guidé pour écrire à plusieurs voix et tenter de reconnecter cinq étrangers forcés de rester ensemble. Les questionnements existentiels sont les mêmes mais les réponses divergeront jusqu’au conflit.

Samedi 4 novembre. 19h. Entrée libre. Théâtre des Halles. Rue du Roi René. Avignon. 04 32 76 24 51.


L’invention de nos vies, du théâtre comme on l’aime

Cette première semaine de novembre s’annonce trépidante au Figuier Pourpre. Pas moins de quatre événements : poésie, exposition, théâtre musical, spectacle de marionnettes.

Lieu de convivialité et de création, le Figuier Pourpre est aussi le lieu de tous les possibles. En se donnant pour seul critère la qualité et pour seul credo la diversité, cette maison de la poésie renommée Figuier Pourpre en 2021 veut s’ouvrir à d’autres horizons et à la création sous toutes ses formes : poésie, slam, chanson francophone, littérature, musique, théâtre, danse… La preuve en est avec la programmation de ce début novembre qui s’annonce variée et accessible à tous les publics. Alors osez pousser la porte de ce lieu très convivial en plein intra-muros qui ne demande qu’à vous accueillir en toute simplicité. Et peut-être même passerez-vous un jour de l’autre côté de la scène, dans le « Mardi des Epicuriens » !

La flûte enchantée, d’après l’opéra de Mozart, avec actrices et marionnettes

L’adaptation envoûtante et fidèle de l’opéra de Mozart, « La Flûte Enchantée », est un rare moment de théâtre musical avec actrice et marionnettes. L’histoire hautement colorée et fantastique est peuplée de fées, de princesses radieuses, de génies, de rois et de prêtres. Les pouvoirs terrestres et surnaturels s’affrontent ; la trahison, la haine et la destruction s’abattent sur l’innocence ; la laideur affronte la beauté ; éternel combat entre le bien et le mal. Ce conte féerique parle aussi de tolérance, de respect des autres et de la recherche de la connaissance. Une initiation à l’opéra, un moment d’intelligence et de beauté. Compagnie Théâtre du Corbeau Blanc.
Mercredi 1ᵉʳ novembre. Jeudi 2. Vendredi 3. Samedi 4. 15h30. 12€ adulte. 8€ enfant.

1 vers 2 trop

Après mille déboires, de groupes en bouteilles, c’est dans le fond du verre que ce duo a fermenté. Entre deux bœufs saucés à la bourguignonne est née l’envie d’accoucher de poésies allongées sur un lit de musique : en somme de la « poésique ». Alors, trinquer aux vers de Genet et se tâcher d’un rouge Aragon. Rire aux éclats le Rictus crispé, Glissant sur les tourments d’Artaud. Et, marteau, se brûler les lèvres de sels noirs Baldwin… La recette est simple : des textes posés sur l’harmonie d’un piano et les cadences de batterie — le tout arrosé d’une voix qui oscille entre spoken word et chanson. Avec Djibril Maïga au piano et chant et Cédric Bénard à la batterie et au chant.
Jeudi 2 novembre. 20h30. Entrée et participation libre. Bar associatif du Figuier.

Le Grand journal de Monaco

Le Grand Journal de Monaco est un journal itinérant qui a vu le jour à Monaco et qui retournera à Monaco quand il aura terminé son périple. Il invite les artistes à publier librement leurs pages présentées sous la forme d’un dazibao. Il est composé de manifestes, photos, slogans, aphorismes des mouvements dada, fluxus, pap’circus, mixage international, punk, lettriste, minimaliste, poésie visuelle… et hors les murs. Vernissage et présentation du Grand Journal et de Doc(k)s par Max Horde. Interventions de JC Gagnieux, Alain Snyers et Denis Elgueta.
Vernissage de l’exposition vendredi 3 novembre. 18h. L’exposition, en entrée libre, restera jusqu’à fin novembre.

Les Sentinelles du désir, spectacle poétique en voix et en musique

Tout un programme de poésies issues du recueil de Martine Biard et mis en musique par Olyy Jenkins. Quand Martine Biard écrit, c’est plus que des mots qui s’alignent et pétillent, ce sont des sensations, des émotions, des univers, des sources qui jaillissent ici ou là, charment, intriguent et transportent vers des horizons calmes ou tumultueux, ensoleillés ou brumeux…
Samedi 4 novembre. 20h30. Participation libre.


L’invention de nos vies, du théâtre comme on l’aime

Ce vendredi 20 octobre, le Cabaret, situé à Carpentras, va accueillir la pièce de théâtre ‘Redoutables’ créée par Isabelle Alexis, Sylvie Audcoeur, Juliette Meyniac et Ariane Séguillon, et mis en scène par Jean-luc Moreau.

On y suit trois comédiennes, qui sont très amies, qui apprennent le soir de leur dernière représentation la trahison de leur metteur en scène. Le film qui doit se monter, adapté de leur pièce, et qui leur promettait la gloire, se fera sans elles. Si les trois femmes s’adorent, chacune veut sauver sa peau.

Vendredi 20 octobre. 20h30. De 9€ à 20€ (billetterie en ligne). Le Cabaret. Parking Saint-Labre. Carpentras.

V.A.


L’invention de nos vies, du théâtre comme on l’aime

« Nous flirtons, au fil des saisons, avec cette atmosphère étrange de l’époque où chacun va, par les rues sentir, toucher ces variations du temps. L’esprit vagabonde, l’imagination reprend ses droits et, sur les plateaux, se tracent coûte que coûte, les aventures à venir ». C’est l’édito de Gérard Vantaggioli, en prélude à sa programmation de la saison 2023- 2024.

Avec sa complice dans la vie comme à la scène, Danielle et « Chipie », une petite caniche au collier rouge, il égrène ce qui attend les fidèles du théâtre de la Rue des Teinturiers. A commencer, le 21 octobre, par « Les ritals », un roman autobiographique de François Cavanna publié en 1978. Il avait déjà été adapté pour la TV par Marcel Bluwal et interprété par Benoît Magimel (1991). Là, à Avignon, c’est Bruno Putzulu qui joue, accompagné à l’accordéon par Grégory Daltin, dans une mise en scène de son frère, Mario.

Le 18 novembre, Myriam Boyer sera de retour dans la Cité des Papes pour « Juste un souvenir » qu’elle avait proposé pendant le festival « Off » au Petit chien. Elle reprend les paroles de chansons anciennes qui ont empreint sa vie de nostalgie, celles de Mouloudji, de Damia, des textes de Jean Cocteau, Boris Vian, Raymond Queneau, mais sans la musique.

 Une semaine plus tard, les 24 et 25, « Humour champêtre et poésie de jardin » avec Catherine Salviat (sociétaire honoraire de la Comédie française) et Aladin Reibel (comédien sommelier) échangent sur le vin et la vigne à travers des écrits de Rimbaud, Saint-Exupéry, Apollinaire et Irène Frain. Cette soirée épicurienne sera arrosée par des vins de Châteauneuf-du-Pape le vendredi et de Laudun le samedi avec ceux du vigneron Pierre Pappalardo.

Dans le cadre de « Fest’hiver », le 18 janvier, « Pendant ce temps-là à Montréal » de et avec Hugo Valat, qui a fait ses classes au Conservatoire d’Avignon et qui a été invité en résidence à la Chartreuse de Villeneuve-lez-Avignon. Le 4 février, un trio familial, Francis Perrin, sa femme Gersende et leur fils, Louis, longtemps autiste. Pour une histoire vraie et humaine : « Louis, pas à pas ».

Toujours dans le genre filiation, « D’un père à sa fille » mais cette fois c’est chez les Bontempelli que ça se passe. Guy, l’auteur-compositeur-interprète (qui a composé des chansons pour Henri Salvador, Françoise Hardy ou Juliette Gréco) et sa fille Elsa à qui il avait écrit une longue lettre. Et c’est sa femme, Isabelle, qui vit toujours dans la maison familiale de Buis-les-Baronnies, qui propose une exploration de ses textes à travers des musiques de Mozart ou de Glück. A l’affiche le 16 février à 19h 30 et le 18 en matinée, à 16h 30 avec un trio flûte, piano, violoncelle.

Autre style, le 15 mars, avec le Festival Andalou et « De sal y de espuma » (De sel et d’écume), une évocation Pieds-noirs / Gitans / Andalousie  d’une rive à l’autre de la Méditerranée avec la quintessence du flamenco interprétée par un chanteur et six musiciens sur scène, dans un tourbillon de musiques, d’émotions et d’échappées belles. Retour du « Festival Escales Voyageuses » du 22 au 24 mars avec des aventuriers passionnés.

Suivra, les 5 & 6 avril « La chienne de ma vie » de Claude Duneton, écrivain et linguiste. Une pièce en forme de déclaration d’amour à une petite chienne avec l’accordéon de Michel Glasko. Le 28 avril « Cache-cache »  de et avec Vanessa Aiffe-Ceccaldi, sur la résilience. Et pour clore la saison, les 22, 24 et 25 mai, place à la relève, les comédiens de demain, les élèves du Conservatoire d’Avignon sur « Médée » de Sénèque, « La nuit des rois » de Shkespeare et « Pelléas et Mélisande » de Maeterlinck. Sans oublier les résidences d’artistes en création qu’accueille le couple Vantaggioli, les ateliers pour écoliers et les interventions dans les lycées.

Des moments de partage avec le plus grand nombre, donc des prix adaptés en ces temps de crise et d’inflation… 5€ le pass-culture, le tarif « abonné » pour les étudiants, intermittents et demandeurs d’emploi à 12€ et 20€ pour les seniors à partir de 60 ans.

Contact : www.chienquifume.com 04 84 51 07 48

          


L’invention de nos vies, du théâtre comme on l’aime

Créé en avril 2023 au Théâtre du Balcon, joué à guichet fermé pendant le festival Off, le Fossé, premier texte de Jean-Baptiste Barbuscia, mis en scène par Serge Barbuscia joue les prolongations hors les murs

C’est ainsi que pendant le mois d’octobre des représentations seront données au Château de Fargues dans le cadre de la saison culturelle de la ville du Pontet. L’association des Amis du Théâtre Populaire (ATP) – dont l’objet est de fidéliser toute l’année un public curieux et ouvert au plaisir d’un théâtre populaire et exigeant – a été également séduite par cette fable contemporaine grinçante à souhait. Le Fossé sera présenté en soirée mais également à un public scolaire car ce spectacle ne peut que séduire une génération qui se cherche et qui ne demande peut-être qu’à creuser….ou pas.

Le Fossé, une fable contemporaine qui fait mouche à chaque réplique.
Ils sont 5 sur scène et tout à la fois : le colon, l’émigré, la prostituée, la mère, la sœur, le joueur de claquettes, dieu dans un environnement peuplé de bouc, lion ou papillon. Il y a du Godot, il y a du Becket mais il y a surtout la plume acerbe de Jean-Baptiste Barbuscia dont c’est le premier texte et la mise en scène alerte de son metteur en scène de père, Serge Barbuscia. Ainsi ce lien intergénérationnel se prolonge sur scène avec humour et gravité à la fois.Les différents niveaux de lecture et de points de vue permettent à chacun de nous d’explorer le monde et ses profondeurs.

Mardi 10 Octobre.14h30 et 20h30. 6 à 14€. Château de Fargues. Avenue Pierre de Coubertin. Le Pontet. Mercredi 18 Octobre.20h. Jeudi 19 Octobre .10h et 14h30. Dans le cadre des Amis du Théâtre Populaire ( ATP). Théâtre Benoît XII,  12 rue de Teinturiers, Avignon. Pour toutes les séances, les réservations se font auprès du Théâtre du Balcon. 38 rue Guillaume Puy. Avignon. 04 90 85 00 80. contact@theatredubalcon.org


L’invention de nos vies, du théâtre comme on l’aime

Ce samedi 7 octobre, le Théâtre des vents à Avignon va accueillir deux spectacles : Gainsbourg Confidentiel, entre théâtre et concert, et un concert de François Staal, qui présentera son dernier album L’humaine beauté.

À 19h30, le spectacle Gainsbourg Confidentiel plongera le public au cœur des questionnements de l’artiste, de ses doutes et de quelques-unes de ses plus belles pépites musicales. Le récit, écrit par Jean-François Brieu, sera joué par le comédien et chanteur Stéphane Roux, qui sera entouré du guitariste David Fabre et du contrebassiste Aurélien Maurice. L’occasion de redécouvrir les chansons à texte très jazzy de Serge Gainsbourg. Pour réserver votre place, qui est au prix de 18€ (14€ tarif réduit), cliquez ici



S’ensuivra à 21h30 le concert de François Staal, qui fait escale au Théâtre des vents pendant sa tournée ‘Avec vous’ pour présenter son 7ᵉ album L’humaine beauté. Le public pourra découvrir ou redécouvrir l’univers poétique et décalé à l’esthétique rock de style anglo-saxon de l’auteur-compositeur-interprète. Pour réserver votre place, qui est au prix de 18€ (14€ tarif réduit), cliquez ici.

Samedi 7 octobre. Théâtre des vents. 63 Rue Guillaume Puy. Avignon.

V.A.


L’invention de nos vies, du théâtre comme on l’aime

Ce samedi 30 septembre, La Factory fait son premier lever de rideau de la saison avec le spectacle pour toute la famille ‘Oh Kids !’ de la compagnie Les Mille Tours Cie au Théâtre de l’Oulle à Avignon.

Le spectacle ‘Oh Kids !’ suit Jasmine, 7 ans, qui est pleine de vie mais trouve ses parents ennuyeux. Alors qu’elle s’ennuie, elle va faire la rencontre de Patrick, son ami imaginaire avec qui elle va former un duo de choc. Grâce à leurs jeux, ils vont explorer, voire dépasser les limites posées par les grandes personnes.

Ce spectacle, qui est fait pour toute la famille, se veut une ode à l’enfance qui, pendant 50 minutes, explore la relation parent / enfant et raconte l’apprentissage des règles en grandissant.

Samedi 30 septembre. 17h. Gratuit sur réservation (lafactory.booking@gmail.com). Théâtre de l’Oulle. 19 Place Crillon. Avignon.

V.A.


L’invention de nos vies, du théâtre comme on l’aime

Qui ne n’est posé au moins une fois cette question sans trop avoir d’idée ? Où s’informer si on veut aller au spectacle ou voir une exposition ? Pas évident. On peut affirmer qu’il existe une dichotomie importante entre l’offre culturelle d’un territoire et ce que ses habitants en connaissent ou en savent. A l’heure du numérique et de l’intelligence artificielle c’est tout à fait étonnant. La culture fait-elle de la résistance au numérique ?

La culture fait-elle de la résistance au numérique ?

Les Parisiens ont de la chance sur au moins un point, ils ont l’Officiel des Spectacles, un guide hebdomadaire papier et aujourd’hui numérique qui se veut exhaustif. Tous les films, concerts, spectacles, expositions, visites et activités pour les plus jeunes de la région parisienne y sont répertoriés avec toutes les informations pratiques nécessaires. Dans le Vaucluse, comme sur d’autres territoires, il n’existe malheureusement pas de support comparable. Si on cherche par exemple un spectacle vivant il faut partir dans des recherches longues et pas toujours fructueuses. Certes, il y a bien les sites de billetteries en ligne qui s’efforcent de répertorier le maximum d’événements. Mais les petits spectacles, les initiatives locales n’y sont pas proposés. On peut aussi s’abonner aux newsletter des salles que l’on aime. Mais comment avoir une vue d’ensemble ?

La place de la culture dans les médias n’est pas à la hauteur de la richesse et de la diversité de la création

Certes, il y a aussi les journaux qui réalisent des critiques et mettent en avant certains événements culturels. Mais pour un article combien sont-ils à ne pas avoir accès aux colonnes ou aux micros de la presse ? La place de la culture dans les médias n’est pas à la hauteur de la richesse et de la diversité de la création. C’est normal vous dirons les responsables de ces médias, la culture ne fait pas beaucoup d’audience. Ce n’est pas que la culture n’intéresse personne c’est que la thématique n’intéresse pas forcément tout le monde et au même moment. Une critique sur un spectacle de danse ne suscitera que l’intérêt qu’auprès des amateurs de cette discipline, qui ne sont sans doute pas majoritaire dans le lectorat d’un journal. A moins que ce soit un grand nom de la danse. On touche là le cœur du sujet. Comment sortir du mainstream et mettre en lumière la nouveauté et le différent ? C’est essentiel puisqu’il s’agit de l’avenir et du renouvellement. Si on ouvre pas d’avantage sur la nouveauté on risque de tourner en rond assez rapidement. C’est d’ailleurs un peu ce qui se passe aujourd’hui avec la création musicale actuelle qui n’offre malheureusement pas dans sa représentation média la richesse de ce qu’elle est réellement aujourd’hui.

Comment sortir du mainstream et mettre en lumière la nouveauté et le différent ?

A un moment où même votre compagnie d’assurance vous envoie un sms pour vous prévenir qu’il va faire très chaud et qu’il est important de s’hydrater, nous ne sommes pas en capacité de nous prévenir qu’autour de nous il y a peut-être un spectacle qui pourrait nous plaire. On recueille nos données personnelles de partout avec nos parcours numériques, mais étonnamment rien sur la culture. Serait-elle pas suffisamment marchande ? C’est certainement une bonne nouvelle, mais pour une fois que le numérique pourrait avoir une utilité culturelle…

https://www.echodumardi.com/tag/theatre/page/17/   1/1