Reconnaissez-vous ces visages ? En plein dans le mille, le fameux tandem Fabrice et Briac de l’aventure ‘Pekin express’ sillonne actuellement les routes dans le cadre d’un tour de France pour la ligue contre le cancer. Du doux nom de « fabriactour », cet événement inclus un passage en Vaucluse avec notamment le sommet du Mont Ventoux. C’est en toute simplicité qu’ils se sont arrêtés à la rencontre des gendarmes de Gordes.

Allier vélo et lutte contre le cancer ? C’est possible ! Fabrice et Briac se lancent dans un défi audacieux. Ils vont parcourir la France entière à vélo pendant 6 mois. Ce tour de France ne représente pas moins de 10 000km à faire en 6 étapes de 25 jours chacune, soit un total de 150 jours. Les deux compères iront au contact de la population et dormiront chez l’habitant pour reprendre le concept de l’émission. Les deux hommes ont décidé à travers cette initiative de faire appel à la générosité des français pour la lutte contre le cancer et de collecter un maximum de dons. Ces grands cœurs ont choisi la Ligue contre le cancer comme association bénéficiaire. Les dons se feront via le site GlobeDreamers. Pour suivre leur aventure et participer à la collecte de dons, cliquez ici.

Tous son unanimes, la 11e étape de la grande boucle sera mémorable, spectaculaire et inédite. Les cyclistes graviront le sommet du Ventoux non pas une, mais deux fois.

Une double ascension périlleuse, diffusée dans 190 pays. Des millions de téléspectateurs contempleront le duel qui s’offrira sous leurs yeux. Des coureurs ou du géant de Provence, qui arrivera à bout de l’autre ? Réponse le 7 juillet prochain. « Avoir survolé le Mont Ventoux lors d’un vol Paris-Nice a été l’une des plus belles émotions dans ma vie. Le Mont Ventoux est obnubilant, obsédant et magnifique. C’est tout ce que représente le tour de France : une légende, un mythe, des drames aussi, mais surtout la vie », s’exclame Christian Prudhomme devant un auditoire d’élus et de journalistes ce jeudi 3 juin à Sorgues.

Le directeur du Tour de France a tenu à saluer l’investissement des maires des communes traversées. Tous se sont mobilisés afin de préparer l’événement qui propulsera les richesses du Vaucluse au centre du monde. Lors de ce rendez-vous sportif incontournable (3ème événement mondial derrière les Jeux olympiques et la Coupe du monde du football en terme de spectateurs), les cyclistes parcourront 199km, avec 4 500m de dénivelé lors de l’étape vauclusienne.

« On parle du Mont Ventoux au bout du monde »

Cette 11e étape du Tour 2021, de Sorgues à Malaucène, ressemble à un ‘Tour du Vaucluse’ à l’intérieur de la grande boucle puisqu’elle part de la vallée du Rhône pour finir au nord du Ventoux en passant par le Luberon, les monts de Vaucluse, l’arc comtadin et le sommet deux fois. C’est inédit. « Quand on a la chance d’avoir un tel sommet, il faut en profiter. C’est une montagne mythique, un grand rendez-vous du cyclisme. Cette année, avec le parcours choisi, je voulais que le Ventoux existe tout le temps à l’image, le voir pendant toute la durée de l’étape où que l’on soit. C’est aussi la raison pour laquelle nous passons par les trois portes d’entrée du Ventoux que sont Sault, Bedoin et Malaucène. Des lieux que connaissent tous les cyclotouristes de la planète, j’exagère à peine », explique Christian Prudhomme, directeur du Tour de France.

Le nouvel aménagement du sommet est important pour ce dernier. Ainsi que le fait que le Ventoux soit désormais classé Parc naturel régional. « C’est le plus beau décor du monde et qui se mérite, que l’on soit à vélo ou à pied, déclare Christian Prudhomme. Il y a bien entendu d’autres sommets prestigieux à conquérir dans les Alpes ou les Pyrénées mais il a une place à part avec la forêt qui précède les pierres, la chaleur et la lumière, une intensité minérale qui frappe les esprits que l’on soit cycliste ou simple spectateur. »

Une histoire d’amour de 70 ans

Bien sûr, le Tour de France ne passe pas chaque année dans notre département. Mais depuis 1951, l’année du premier passage au sommet du Ventoux, chacune des étapes vauclusiennes dégage un parfum de mystère et presque de magie. Entre le Vaucluse et la grande boucle, c’est une histoire d’amour qui dure depuis 70 ans. Il s’agit de la 16ème ascension du Mont Ventoux, dont 9 arrivées d’étape.

« Il faut dire que l’ascension n’est pas toujours une partie de plaisir. Si le vainqueur oublie presque instantanément ses douleurs une fois la ligne d’arrivée franchie, il déploie des efforts considérables pour atteindre le sommet », précise Maurice Chabert, président du conseil départemental de Vaucluse. Nul doute que cette année encore, entre Sorgues et Malaucène, la magie du Tour et les exploits sportifs seront au rendez-vous.

Mobilisation entière des communes

Pour Thierry Lagneau, vice-président du Conseil départemental et maire de Sorgues: « c’est un moment historique, une étape qui va faire rayonner le territoire. » Les habitants vivent le tour depuis l’annonce de son passage dans la commune. « Je trépigne d’impatience. Nous avons mis en place une série d’animations impliquant les plus jeunes comme une capsule temporelle. Les commerçants ont contribué à la réussite de l’événement en décorant leur vitrine. Tout le monde participe à faire monter cette fête en puissance. Des expositions ont pris part dans les endroits stratégiques de la ville afin de montrer des photos historiques du passage du Tour. » Frédéric Tenon, maire de Malaucène, se joint à l’excitation du moment : « être ville d’arrivée, c’est pour Malaucène une occasion extraordinaire de mieux faire connaître notre commune, véritable porte d’entrée du Ventoux. Les retombées de cette visibilité internationale se feront sentir pendant plusieurs années. »

Affirmer sa réputation de terre de vélo

Dominique Santoni, Vice-présidente du Conseil départemental, entend bien affirmer la réputation de terre de vélo que nourrit le Vaucluse. « Nous sommes dans le peloton de tête des départements cyclables de France. » Financièrement, cette arrivée de la 11e étape représente une bouffée d’oxygène pour les nombreux restaurateurs, hébergeurs (hôtels, gîtes, etc.) et commerçants, qui pourront ainsi constater des retombées notamment en matière de nuitées et de hausse du chiffre d’affaires.

Le Département sort les grands moyens

Logistique, sécurité, protection de l’environnement, routes et déviations… ce seront 80 agents d’exploitation sur le terrain, 45 engins mobilisés, et les cadres du Département seront d’astreinte pendant toute la période. La mobilisation de l’équipe territoriale est totale pour accueillir le tour. Le Département participe également financièrement à l’accueil du Tour de France à hauteur de 116 000€. Pour l’organisation de cette 11ème étape, l’Assemblée départementale a signé plusieurs contrats tripartites avec la société Amaury Sport Organisation (A.S.O) et les collectivités concernées par l’épreuve : la commune de Malaucène pour l’accueil de l’arrivée, la commune de Sorgues pour l’accueil du départ, et la commune de Vaison-La-Romaine pour la prise en charge des coûts liés à la mise à disposition du centre de presse et de la permanence des organisateurs.

« Le Tour de France est le symbole de notre forte identité cycliste. Nous développons de manière très volontariste le cyclotourisme avec une quarantaine de circuits existants et trois véloroutes, comme la véloroute du Calavon, qui relie Cavaillon et Apt, ou encore la Via Venaissia. Et bien sûr, nous soutenons la ViaRhôna, qui permettra à terme d’aller de la Suisse jusqu’à la Méditerranée », précise Dominique Santoni. Espérons que cette étape située à mi-parcours soit décisive. Il y a d’excellents grimpeurs mais aussi d’excellents descendeurs. La descente fera-t-elle la différence ?

Le Tour de France consacrera sa 11e étape le 7 juillet prochain au Mont Ventoux, au départ de Sorgues et à l’arrivée à Malaucène, en passant par Bédoin.

Pour l’arrivée des cyclistes, Malaucène lance un appel sous le signe de l’entraide. Les bénévoles et âmes charitables sont ainsi invités à participer activement à la réussite de cet événement, atout majeur pour l’attractivité du territoire et de ses acteurs économiques. Plusieurs missions seront proposées aux volontaires : poser le fléchage la veille de l’arrivée, aider à la mise en place en place des barrières, gérer le stationnement, surveiller les espaces caméras, informer et sensibiliser les visiteurs et aider dans la gestion des déchets. Les candidats sont invités à envoyer leur candidature par mail à mairie@malaucene.fr ou s’adresser à Margaux Pantin, référente du tour de France au 06 65 77 68 79.

En raison du retentissement médiatique et des retombées économiques du Tour de France, qui ruisselleront vers tous les hébergeurs, commerçants et professionnels du tourisme sur le territoire, la Cove (Communauté d’agglomération Ventoux Comtat Venaissin) a décidé d’aider financièrement la commune de Malaucène. Cette dernière bénéficiera ainsi d’une enveloppe de 300 000€ dans le cadre du plan de relance de l’économie locale.

Le tour de France 2021 passera par le village de Sault le 7 juillet prochain. Dans une bâtisse du 18e siècle réaménagée, surplombant la plaine de Sault et à proximité immédiate des gorges de la Nesque et du Mont Ventoux, l’hôtel gîte Le Nesk se prépare à ouvrir ses portes le 7 mai. Objectif ? Accueillir les amoureux du vélo pour une halte mémorable. Rencontre avec son propriétaire.

Perché à 760 mètres à Sault en Provence dans le Ventoux, Le Nesk, aux 18 chambres et un gîte, ouvrira ses portes ce 7 mai après des mois de travaux titanesques. Le projet correspond en tous points aux aspirations de son propriétaire : Michel Navarro. Ancien ingénieur à la tête d’un bureau d’étude, Michel a tout plaqué pour changer de lieu et d’environnement.  « Je suis VTTiste mais je n’ai malheureusement pas le temps de fouler les sentiers, j’aimerais bien monter au Mont Ventoux chaque semaine ! » s’amuse-t-il. Alors que les jours s’égrènent avant l’ouverture annoncée de son hôtel gîte, il lui tarde d’accueillir sa clientèle et de lui faire vivre un séjour magique en altitude.

Au cœur d’un écrin naturel

« Le Nesk est situé sur un territoire authentique, la vallée de Sault est une zone de revitalisation rurale, un bassin qui a une belle histoire. Il y a énormément de routes praticables et peu empruntées par les voitures. De quoi faire du vélo tranquillement, sans être dérangé. La vue est ressourçante, une belle énergie se dégage de la montagne, les gens aiment s’aérer dans cet endroit. »  L’hôtel gîte Le Nesk, érigé sur l’ancien hôpital de Sault, se situe à la croisée de plusieurs géographies variées. Non loin se profilent les gorges vers Gordes, le Toulourenc du côté de Montbrun-les-Bains, les gorges de la Méouge au nord et puis le plateau d’Albion. Les gorges de la Nesque, elles, offrent un canyon spectaculaire et sauvage percé de grottes.

Les amoureux du vélo peuvent ainsi s’aventurer sur des terrains caillouteux, opter pour des balades faciles conçues en partenariat avec la Fédération française de cyclisme (FFC), mais aussi s’engager sur des circuits plus corsés. Le Gravel Bike, qui mélange des passages sur route ainsi que sur des sentiers, des pistes et des chemins, est également plébiscité autour du Ventoux. Michel s’est entouré de compétences, notamment avec l’organisateur du Trail Ventoux, afin d’élaborer des parcours aux niveaux de difficulté différents.

1 600m² chargés d’histoire

La bâtisse historique de l’hôtel gîte Le Nesk en fait un endroit unique et atypique. « Nous avons la chance d’avoir des plafonds provençaux datant du 18^e siècle et de vieilles poutres charmantes. Le salon et la salle à manger avoisinent les 150m². J’ai volontairement cassé des cloisons pour diminuer le nombre de chambres et mettre en valeur les espaces d’origine. » Ce qui impressionne, ce sont les grands espaces de vie. 70 personnes peuvent être accueillies, avec à disposition trois salles à manger, 18 chambres, un gite de 6 chambres, le tout sur 1600m². Le reste de la bâtisse est dédié aux entreprises pour leur session de ‘teambuilding’ et leur réunion.

Le Nesk propose également un espace bien-être présentant des fondations du 14^e siècle. Pour s’imprégner de l’énergie des lieux, il faut connaitre son histoire. A l’origine, les voûtes du bâtiment abritaient une buanderie ou les sœurs religieuses de l’ancien hôpital local lavaient leur linge. « Afin d’exploiter ce lieu au plafond bas, nous avons décidé d’en faire un espace bien-être incluant un sauna, un hammam et une salle de massage. Les gens ont réellement l’impression de descendre dans une crypte lorsqu’ils s’y aventurent. » L’endroit, orné de jolies pierres, dégage une énergie positive, presque spirituelle. Les coureurs pourront ainsi s’octroyer un moment de détente après le sport, les accompagnateurs pourront également profiter de ce moment d’évasion.

100 ans de vélo

Clou du spectacle, une chapelle abrite les vélos des plus grands champions (Eddy Merckx, Raymond Poulidor, Bernard -Hinault…), aux côtés d’autres modèles retraçant cent ans de cycles depuis le grand-bi de 1888. De fantastiques pièces de la collection de Lino Lazzerini. Les chambres offrent un décor raffiné, faisant la part belle au cyclisme, des maillots colorés sont arborés sur les murs, des clichés artistiques décorent la salle à manger. Nicolas Ughetto, photographe à Sault, rappelle ainsi aux convives les richesses naturelles et patrimoniales de la région à travers des photos aussi belles que poétiques.

Cet ancrage en terre de vélo, Michel Navarro espère bien le voir récompensé par la fidélité de ses convives. « Tout l’hôtel est pratiquement réservé pour le passage du Tour de France. Une clientèle majoritairement étrangère : hollandaise, belge, allemande, et quelques français. C’est un point positif, malgré la morosité de cette période, la passion du vélo reste un moteur dans la vie. »

Atelier réparation, garage sécurisé et cryothérapie

Atelier de réparation, garage sécurisé (vidéo et alarme) de 40 places, base lavage, accompagnateurs professionnels… Michel a pensé à tout. « En accord avec la philosophie du label La Provence à Vélo, nous mettons à disposition de notre clientèle du matériel et tous les équipements nécessaires. Ils peuvent recharger leur vélo électrique (VTT ou vélo de route). » Les convives pourront même disposer d’un espace de cryothérapie jusqu’alors inexistant à Sault. Un équipement qui permettra de soulager les tendons et soigner les douleurs musculaires. Concernant la distinction de l’hôtel gîte : « il manquait un positionnement 3 étoiles dans la région, c’était pour moi logique d’occuper ce positionnement là. Je préfère être un bon 3 étoiles qu’un mauvais 4 étoiles. »

Local et écologique

Michel s’est adjoint les services de producteurs et commerçants locaux en favorisant l’approvisionnement en circuit court, notamment avec Aroma’plantes qui fournit les savons. « Le développement durable, je l’ai abordé très tôt dans le projet, je défends le zéro plastique. J’ai réalisé une installation d’alimentation d’eau pour permettre un recyclage et les robinets sont tous équipés d’émulseurs. » Objectif ? Viser le label Clef verte. Les travaux liés à l’énergie ont par ailleurs permis d’économiser 10 000€ grâce aux subventions accordées. « Nous seront prêts pour le 7 mai, en respectant les dispositions sanitaires, les jauges, le gel disposé dans des endroits stratégiques, le conditionnement individuel de certains produits, l’organisation des passages, les repas potentiellement pris en chambre. »

Un projet à 2,3M€

Michel ne cache pas son incompréhension quant au dispositif d’aide octroyé par l’Etat. « Nous avons perdu presque une année entière d’exploitation. La création d’entreprise a été mal gérée avec la covid, les aides de l’Etat ont quasiment été inexistantes pour ma part. Comptablement, je n’avais pas de bilan à ma disposition, mon exercice était à cheval sur deux ans. J’avais un chiffre affaire égal à 0 mais déjà des milliers d’euros de charges. » Le chef d’entreprise a toutefois pu bénéficier d’une subvention européenne de 200 000€, justifiée par l’emplacement dans une zone à carence d’hébergement. Michel regrette l’abattage médiatique autour des aides, « j’ai perdu 100 000€ en une année, que ce soit pour une entreprise ou un auto-entrepreneur qui perd 5 000€, cela reste une perte. » Le chef d’entreprise fustige une politique inefficace concernant les « critères d’aides mal établis et non réévalués ». Il regrette également ne pas avoir été éligible au fond de solidarité octroyé par la région. Le projet aura coûté 2,3M€ et a permis le recrutement de 3 collaborateurs, d’autres seront potentiellement envisagés pour faire face à l’activité.  Activité qui, comme l’ambitionne Michel, sera à la hauteur du prestige de ce lieu.

Les réservations sont d’ores et déjà ouvertes sur www.lenesk.com. 3 rue Belle Vue, 84390 Sault. Tél. : 06 29 94 66 73.

Emilie Blondel de la direction Enedis Vaucluse a convié plusieurs élus à la réception des travaux de sécurisation des réseaux électriques souterrains de Malaucène. En effet, alors que se profile le Tour de France prévu en juillet prochain, les routes du secteur font peau neuve. Pour l’occasion Enedis et le Conseil départemental de Vaucluse ont coordonné, en amont, la réalisation des travaux. Thierry Lagneau, vice-président du Conseil départemental de Vaucluse en charge des travaux, de l’aménagement, du territoire et de la sécurité ; Frédéric Tenon, maire de Malaucène et Max Raspail, président du SEV 84 (Syndicat d’énergie Vauclusien) se sont rendu sur place.

Le 27 juillet dernier, le conseil communautaire de la Cove a voté une enveloppe de 300 000€ pour un plan de relance de l’économie locale, dont une partie a vocation à renforcer l’attractivité touristique du territoire. Or, le Tour de France consacrera sa 11e étape le 7 juillet prochain au Mont Ventoux, au départ de Sorgues et à l’arrivée à Malaucène « ville étape », en passant par Bédoin.

En raison du retentissement médiatique et des retombées économiques du Tour de France, qui ruisselleront vers tous les hébergeurs, commerçants et professionnels du tourisme sur le territoire de la Cove (Communauté d’Agglomération Ventoux Comtat Venaissin). Le conseil communautaire a décidé d’aider financièrement la commune de Malaucène, en complément du soutien technique toujours apporté autour du passage du Tour de France, en lui octroyant au titre exceptionnel du plan de relance de l’économie touristique, une subvention de 50% de la somme restant à la charge de la ville-étape, pour un montant maximum de 30 000€.

Financièrement, cette arrivée de la 11^e étape sonne comme une bouffée d’oxygène pour les nombreux restaurateurs, hébergeurs (hôtels, gites, etc.) et commerçants, qui pourront ainsi constater des retombées notamment en matière de nuitées et de hausse du chiffre d’affaires. Reste à savoir si la clientèle étrangère, habituellement fidèle au rendez-vous, pourra s’affranchir des restrictions afin de prendre part à l’événement. Christian Prudhomme, directeur du Tour a confirmé que la course cycliste se déroulerait bien aux dates prévues mais n’a pas encore de réponse pour ce qui est de la jauge de spectateurs.

L.M.