15 septembre 2025 |

Ecrit par le 15 septembre 2025

Chez les Alexandre, la passion de la vigne et du vin coule dans leurs veines depuis 1838

1838, c’est l’année à laquelle il faut remonter pour retrouver trace du premier millésime sur les côteaux des Dentelles de Montmirail. C’est là, au Domaine Les Teyssonnières à Gigondas, que la famille Alexandre est installée depuis six générations et 187 ans.

Au départ, au XIXe siècle, avec le fondateur Jacques Alexandre, ce vignoble faisait 4 hectares. L’ont suivi tour à tour, Ulysse, Jean-Louis, puis Michel qui meurt brutalement d’une crise cardique alors que son fils unique, Franck, n’avait que 12 ans. En 1985, après avoir aidé sa maman Evelyne, veuve, il lui succède officiellement. Vigneron engagé chez les Jeunes Agriculteurs de Vaucluse, puis président de l’AOC Gigondas pendant 10 ans, également banquier, Franck Alexandre a réussi à agrandir le domaine à 13,5 hectares avec des parcelles de vignes de Sablet et de Vacqueyras. Il a aussi obtenu le label « HVE » (Haute valeur environnementale). 

Et depuis 2023, avec son diplôme d’œnologue en poche, place au fiston Aurélien qui tient désormais les rênes de l’exploitation familiale. Et c’est justement cette année-là que le vin blanc de Gigondas a été classé en AOP. « Une reconnaissance de l’INAO après de longues années d’efforts, une gratification pour remplir le cahier des charges avec 70% de Clairette. » En légère altitude, les vignes des Teyssonières, plantées dans des sols de sable provenant du saffre, bénéficient d’un ensoleillement maximum et du mistral qui chasse nuages et humidité.

Sur les 1 200 hectares de l’appellation totale Gigondas, le domaine de la famille Alexandre produit environ 400 hectolitres par an de vin dans les trois couleurs. 25 à 30 000 bouteilles en Gigondas rouge, dont la cuvée iconique ‘Alexandre’ intense et puissante avec des reflets violets,  un millier en Gigondas blanc et 2 500 en rosé Côtes-du-Rhône. Aurélien, qui a fait refaire la cave ces derniers mois pour mettre à l’abri tous les millésimes de ses ancêtres, se félicite de ne pas exporter vers les États-Unis et de ne pas subir les foudres et les caprices douaniers de l’actuel locataire de la Maison Blanche.

Contact : contact@lesteyssonnieres.com / 04 90 12 31 31


Chez les Alexandre, la passion de la vigne et du vin coule dans leurs veines depuis 1838

Le « savoir-fer », c’est l’ADN de Philippe Catinaud, cet ingénieur issu des Arts et Métiers qui a repris la Métallerie Artisanale de Serrurerie et de Ferronnerie (MASFER) en 2001 et s’est implanté sur la zone de la Cigalière au Thor.

Une maison qui a misé sur l’innovation, la fiabilité, la solidité et qui propose des solutions pour tout ce qui concerne les fenêtres, portes, portails, pergolas, rampes, grilles, charpentes, gardes au corps, escaliers hélicoïdaux ou en colimaçon, parois anti-feu, pare-balles ou anti-effraction en aluminium, en acier et aussi en verre pour laisser entrer la lumière au maximum.

Au fil des ans, Philippe Catinaud a sélectionné et constitué une équipe de 24 salariés, dont 17 « compagnons » comme il les appelle, ces artisans compétents. Il accumule les chantiers d’excellence : Palais des Papes, Musée Campredon, théâtres antiques d’Orange et de Vaison-la-Romaine, site mémoriel du Camp des Milles à côté d’Aix-en-Provence. Et il propose du sur-mesure pour un résultat brut, verni, rouillé, noir, thermo laqué, lisse, satiné ou texturé, au choix selon le goût de chacun.

« L’esprit entrepreneurial subsiste dans une maison à taille humaine où chacun est un maillon indispensable. »

Philippe Catinaud

« À 60 ans je n’étais pas encore prêt à transmettre, mais à 67 ans, je l’ai fait. Or, un de mes compagnons, Joan Ballay est venu me voir et m’a dit ‘ça m’intéresse’. On a échangé pendant des mois, envisagé l’avenir, on s’est mis d’accord sur un prix de vente. C’est courageux, lui qui est  marié et père de famille, d’avoir vendu sa maison pour avoir un apport conséquent et faciliter le prêt bancaire. Il l’a fait, il est prêt pour une nouvelle aventure, c’est un réel engagement dans ce monde anxiogène, il croit en l’avenir et dans l’entreprise, tout le monde est content, lui, moi et ses camarades. Il va assurer une forme de continuité, de compétence, d’éthique. On n’est pas racheté par un groupe, un fonds de pension. L’esprit entrepreneurial subsiste dans une maison à taille humaine où chacun est un maillon indispensable de la chaîne MASFER, où on partage les mêmes valeurs du travail, du respect, de la parole donnée. »

D’ouvrier à dirigeant

Joan Ballay a débuté dans la métallerie de son papa dans le Gard à l’âge de 15 ans. Il a été embauché par Philippe Catinaud il y a 5 ans, à la fin du confirnement, il se souvient de la date avec précision, c’était le 20 mai 2020. « D’abord comme ouvrier, puis il s’est occupé des soudures, il est devenu chef de poste, ensuite conducteur de travaux et chargé d’affaires métallerie, donc mon bras droit, explique de Philippe Catinaud. Une belle progression grâce à son savoir-faire, sa détermination, son envie d’apprendre, d’évoluer et la confiance du boss. Et aujourd’hui à 40 ans, dont 25 de métier, il a pris ses marques petit à petit et il succède au patron.

Il a été présenté aux fournisseurs, aux clients, il s’est installé dans le bureau du chef qui lui, s’est aménagé un petit local, à côté, pour l’assister discrètement si nécessaire et assurer une forme de « tuilage » bienveillant. Et l’entreprise se porte bien, le chiffre d’affaires qui était de 3,8M€ l’an dernier devrait grimper à 5M€ en 2025. Grâce notamment au chantier de la Fédération du BTP 84 à Agroparc qui sera livré à la fin de l’année, mais aussi à des chantiers privés de milliardaires autour du Golfe de Saint-Tropez qui désirent des menuiseries très haut de gamme en laiton, cinq fois plus chères que l’acier et l’aluminium qu’on utilise dans l’accastillage des yachts et des voiliers de luxe pour leur qualité de robustesse anti-corrosion.

« La valeur n’attend pas le nombre des années », confirme dans un large sourire Philippe Catinaud, ravi d’avoir trouvé un « fils spirituel » pour lui succéder à 40 ans à la tête de l’entreprise qu’il a créée il y a près d’un quart de siècle et qui a su, avec son équipe de compagnons motivés, lui forger une réputation d’airain, bien au-delà du Vaucluse.

Contact : 04 90 38 27 49


Chez les Alexandre, la passion de la vigne et du vin coule dans leurs veines depuis 1838

René Modica a 77 ans, Quentin Nivet en a 32. 45 ans les séparent mais la même envie d’entreprendre les réunit comme associés.

Au départ Quentin Nivet avait une société, il administrait des entreprises, donnait des conseils de gestion, de développement à celles qui traversaient des difficultés. À ce titre, il s’est occupé de l’Hôtel triplement étoilé du Moulin de la Roque, un site arboré du XVIème siècle au cœur d’un parc de 5 hectares qui était au creux de la vague en 2017. Il a convaincu les propriétaires d’investir pour le rénover, pour qu’il soit plus attractif, pour qu’on puisse y organiser des événements festifs en pleine nature, et ça a marché. 

De son côté, René Modica, dirigeant de société, a sympathisé avec ce jeune patron et ils ont décidé de mettre 500 000€ chacun dans le Domaine La Roque qui jouxte le Moulin. Depuis 3 ans, ils travaillent main dans la main, expérience d’un côté et jeunesse de l’autre, avec une envie d’avancer dans un projet commun : proposer cet espace de 800m² sur deux niveaux pour des bureaux, espaces co-working, séminaires, salles de réunions. « Tout a été repensé, refait, rénové pour accueillir des soirées d’entreprises, des conférences avec du matériel technique pour power-point, sonorisation, estrade », explique René Modica qui salue l’énergie, le savoir-faire de son associé venu du commercial.

Pour Quentin Nivet, « l’avantage de cette association, c’est de travailler avec quelqu’un qui a un vrai savoir-faire, un solide carnet d’adresses, un réseau puisqu’il  évolue depuis un-demi siècle dans l’immobilier et le commerce de gros. Ainsi nous pouvons additionner nos différences, donc nos compétences. Dans ce Domaine La Roque, nous avons un bar à cocktails, avec snack, des salons avec wi-fi, haut-débit et service d’impression. Pour ceux qui veulent passer plus de temps sur place, une entente cordiale nous relie au Moulin*** tout proche, de l’autre côté du parc de 5 hectares en tout, avec piscine et tennis, des chambres confortables et calmes et un magnifique restaurant avec terrasses et son imposante cheminée d’où sortent des grillades incomparables. »

L’objectif des deux hommes est de structurer leur société, d’atteindre une vitesse de croisière en ajoutant par exemple des soirées tapas, un restaurant bistromique, peut-être du padel. René Modica conclut : « Je souhaite juste lancer Quentin, pour qu’à terme il gère tout, sans moi et que je récupère mes 500 000€ d’investissements. Avec lui, son pouvoir de conviction et sa détermination, je ne m’inquiète pas. C’est un vrai entrepreneur, il ira loin. »

Contact : www.domainelaroque.fr / 04 90 41 80 13


Chez les Alexandre, la passion de la vigne et du vin coule dans leurs veines depuis 1838

La troisième édition du repas de gala « Transmission » s’est déroulée au Palais des Papes, mercredi 19 octobre. Organisé dans la majestueuse salle du Grand Tinel par l’association Franco-Bolivienne « La Gourmandise Festival », les convives ont pu goûter à la cuisine d’exception de 10 chefs étoilés.

La troisième édition du dîner caritatif « Transmission » s’est déroulée hier soir, mercredi 19 octobre, dans la salle du Grand Tinel du Palais des Papes à Avignon. Pour ce troisième volet, dix chefs étoilés, dix meilleurs ouvriers de France et 200 bénévoles ont accepté l’invitation de l’association Franco-Bolivienne « La Gourmandise Festival ».

Parmi les chefs présents, quatre triplements étoilés : Glenn Viel, Régis Marcon, Michel Troisgros et Emmanuel Renaut. Accompagnés de chefs locaux, ils ont élaboré le menu ensemble : « On s’est concerté pour faire des choses duplicables pour 300 personnes. L’important c’était que les élèves s’impliquent et apprennent les gestes », explique Emmanuel Renaut.

En effet, l’ensemble des chefs a été soutenu par les élèves du lycée Hôtelier Alexandre Dumas, de l’école Hôtelière d’Avignon, du lycée François Pétrarque et du CFA Chambre des métiers d’Avignon. Les chefs ont rencontré les élèves en amont du dîner pour échanger avec eux. Egalement, une rencontre, ouverte au public, était organisée quelques heures avant le début du repas.

« La transmission fait partie de notre ADN, explique Emmanuel Renaut. L’important, c’est de faire rêver les jeunes qui se destinent à notre métier ». Transmettre à la future génération et l’écouter. « La jeune génération est remplie d’engouement, d’idées, de questionnement. Pour nous c’est vachement enrichissant. Non seulement, on y va pour transmettre ce qu’on nous a transmis, mais en même temps, on écoute parce que ce sont les chefs de demain », ajoute Xavier Mathieu.  

De gauche à droite : les chefs Edouard Loubet, Emmanuel Renaut, Xavier Mathieu, Michel Troisgros, Guilhem Sevin © L’Echo du mardi – Jérôme Renaud

Un repas d’exception

Si le repas a été préparé en amont durant la journée, par les chefs accompagnés des élèves, les convives du soir ont eu l’opportunité d’assister au dressage des assiettes. L’occasion d’observer la construction d’une esthétique de plus en plus présente en gastronomie à l’air des réseaux sociaux. « Il ne faut pas se laisser influencer par l’image Instagram, explique Edouard Loubet. Le plus important, c’est de ne pas perdre le geste. Il ne faut pas oublier la dextérité manuelle ».

L’entrée, un gâteau de céréales aux champignons, tuiles de cèpes et sauce bagna cauda, est disposée dans les assiettes et envoyée aux tables © L’Echo du mardi – Jérôme Renaud

Une tombola gourmande avec des lots tels qu’un dîner dégustation en dix temps au restaurant gastronomique triplement étoilé de l’Ousteau de Baumanière chez Jean-André Charial et Glenn Viel était au programme, ainsi qu’une vente aux enchères au profit de l’association sous le Marteau de Frank Puaux. Parmi la liste des lots aux enchères, deux œuvres de Vincher : un portait de Michel Troisgros signé et un autre de Régis Marcon, également signé.

Portraits signés de Michel Troisgros (à gauche) et de Régis Marcon (à droite) © L’Echo du mardi – Jérôme Renaud

Enfin, des animations ont également rythmé le repas de gala. Pour faire découvrir la Bolivie chère au cœur de Frédéric Clota, président de l’association « La Gourmandise Festival », des danseurs Boliviens ont réalisé une démonstration de caporales, danse traditionnelle marquée par le son des cloches. Cette danse, qui a pour thème principal la séduction, est également l’expression de la discrimination que subissaient les esclaves noirs arrivés en Bolivie au début du XVIIe siècle.

La danse des caporales a pour thème principal la séduction © L’Echo du mardi – Jérôme Renaud  

Pour rappel, la participation à ce dîner caritative d’exception nécessitée un don de 200€ à l’association « La Gourmandise Festival ». Fruit d’une idée commune entre Frédéric Clota et Marianyela Munoz-Rojas, l’association œuvre depuis 2018 au développement de la gastronomie française en Bolivie en initiant et en formant de jeunes élèves boliviens. Les plus déterminés se voient offrir une bourse sous forme de stage gratifié en France, au sein de prestigieuses maisons étoilées.

J.R.


Chez les Alexandre, la passion de la vigne et du vin coule dans leurs veines depuis 1838

Mercredi 19 octobre, dans le cadre des préparatifs du dîner de Gala ‘Transmission’, qui se déroulera au Palais des Papes au profit de l’association Franco-Bolivienne ‘La Gourmandise Festival’, Frédéric Clota organise, dans les cuisines de l’Ecole Hôtelière, une rencontre avec des chefs étoilés, de 15h à 17h.

Après une deuxième édition en 2021, qui avait réuni 263 convives, le dîner d’exception ‘Transmission’ fait son retour mercredi 19 octobre à 19h dans la salle du Grand Tinel au Palais des Papes à Avignon. Pour ce troisième volet, ce sont dix chefs étoilés, dix meilleurs ouvriers de France et 200 bénévoles qui ont accepté l’invitation de l’association franco-bolivienne, ‘La Gourmandise Festival’.

Parmi les chefs qui ont répondu présent, quatre sont triplement étoilés : Glenn Viel, Régis Marcon, Michel Troisgros et Emmanuel Renaut. Ils seront accompagnés de chefs locaux tels que Marc Fontanne, Guilhem Sevin, Pascal Auger et Florent Piétravalle. Tous ont participé à l’élaboration du menu qui sera proposé en sept services avec accord pain et boissons pour 300 convives.

L’ensemble des chefs sera soutenu par les élèves du lycée Hôtelier Alexandre Dumas, de l’Ecole Hôtelière d’Avignon, du lycée François Pétrarque et du CFA Chambre des métiers d’Avignon. Les chefs rencontreront les élèves en amont du dîner pour échanger avec eux, partager leur expérience et transmettre leur savoir-faire. L’objectif est de mettre en lien les élèves qui se lancent avec les plus grands chefs français.

Le grand public aura également l’occasion d’échanger avec les chefs. En effet, Frédéric Clota, président de ‘La Gourmandise Festival’, propose une rencontre avec les chefs étoilés, mercredi 19 octobre de 15h à 17h. Ces derniers seront en pleins préparatifs, dans les cuisines de l’Ecole Hôtelière. Cet évènement est limité à 30 personnes (voir les informations pratiques).  

Les membres de la commission enseignements hôtellerie restauration de gauche à droite : Christian Etienne, Eric-Helen Louis, Xavier Mathieu, Frédéric Clota, Patrice Mounier © Jérôme Renaud pour l’Echo du mardi

La Gourmandise Festival

Les fonds collectés durant le dîner seront reversés à l’association ‘La Gourmandise Festival’ qui œuvre depuis 2018 au développement de la gastronomie française en Bolivie. Cette association est le fruit d’une idée commune entre Frédéric Clota et Marianyela Munoz-Rojas. Leur projet est d’amener la gastronomie française jusqu’en Bolivie et d’initier et former les jeunes élèves. Les plus déterminés se voient offrir une bourse sous forme de stage gratifié en France, au sein de prestigieuses maisons étoilées.

Informations Pratiques

Le dîner ‘Transmission’ aura lieu le mercredi 19 octobre à 19h dans la salle du Grand Tinel au Palais des Papes à Avignon. Un don de 200€ à l’association vous permettra de participer à cette soirée caritative. La réservation s’effectue en suivant ce lien. A noter que le don est défiscalisable à hauteur de 60%. Une facture ainsi qu’un reçu fiscal vous seront transmis le jour du repas, sur simple demande.

La rencontre avec les chefs étoilés aura lieu le mercredi 19 octobre de 15h à 17h, dans les cuisines de l’Ecole Hôtelière, allée des Fenaisons, à Avignon. Réservation obligatoire dans la limite de 30 personnes en suivant ce lien.

Une tombola gourmande ainsi qu’une vente aux enchères seront également au programme de ce dîner caritatif © DR

J.R.


Chez les Alexandre, la passion de la vigne et du vin coule dans leurs veines depuis 1838

In Extenso Finance & Transmission, filiale du groupe d’expertise comptable In Extenso dédiée au conseil et aux opérations de cession, acquisition, transmission et financement, renforce son implantation en Provence-Alpes-Côte d’Azur. Dans ce cadre, cet acteur de référence en France dans le conseil en stratégie et l’ingénierie financière ainsi que dans l’accompagnement et la conduite d’opérations de cession, acquisition et financement pour les PME et leurs dirigeants, vient d’annoncer l’arrivée de Bernard Cendrier, directeur associé, à Meyreuil, près d’Aix-en-Provence.
« Je suis ravi de rejoindre cette région dynamique et attractive en matière de cessions-transmissions, explique Bernard Cendrier. La période post-covid ouvre de nouveaux débouchés pour les entreprises dans des secteurs comme le génie climatique, le ‘facility management’ pour les acteurs de l’énergie et du BTP, mais aussi le secteur de l’éducation notamment post-baccalauréat où il faut s’attendre à des mouvements de consolidation dans des filières de niche. Je mets au service des dirigeants et de leurs entreprises ma connaissance de l’écosystème local (banquiers, avocats), mon expérience professionnelle mais aussi notre formidable maillage national à travers nos bureaux IEFT et les agences d’In Extenso. »
En activité dans les bureaux de Paris depuis 2019, Bernard Cendrier rejoint la région Sud pour s’occuper du développement de l’activité Finance et Transmission. Ce dernier dispose d’une vingtaine d’années d’expérience comme directeur Fusions-Acquisitions au sein de plusieurs grands groupes internationaux (Gaz de France, Rhodia, Solvay). Il a une expertise particulière dans les secteurs de l’énergie et de la chimie, des services B to B, et de l’éducation qui ont été particulièrement porteurs ces derniers mois dans la région. Il anime par ailleurs des cours de finance pour le MBA Executive de l’EM Lyon.

Au plus près des clients
« Cette arrivée s’inscrit pleinement dans la stratégie de développement de nos activités Finance & Transmission avec un large déploiement en régions, précise Yoann Melloul, directeur associé en charge du réseau régional. Avec cette présence à Meyreuil pour couvrir la région Provence-Alpes-Côte d’Azur, le groupe In Extenso montre sa volonté de proposer, aux côtés de nos associés experts-comptables, une offre au plus près des besoins des clients, entrepreneurs et dirigeants de PME / ETI dans leur projet de financement ou de cession-transmission. La solide expérience et la connaissance fine du tissu économique régional de Bernard sont des atouts déterminants pour les entreprises locales, qui recherchent de nouvelles voies de développement. »
Reconnu comme un des leaders français du ‘Small market’, In Extenso Finance & Transmission accompagne les entreprises de 1 à 100M€ de chiffre d’affaires et a réalisé plus de 1 000 opérations de fusions et acquisitions. In Extenso Finance & Transmission s’appuie sur le réseau des 255 agences In Extenso en France dont notamment celles d’Avignon, Nîmes ou bien encore Aix-en-Provence.

L.G.


Chez les Alexandre, la passion de la vigne et du vin coule dans leurs veines depuis 1838

« Pouvoir transmettre à ses enfants, matériellement ou non, est un enjeu intemporel qui a pris de nombreuses formes au cours des siècles, explique Patrimoine store, plateforme spécialisée dans l’investissement immobilier. L’immobilier constitue le patrimoine préféré à transmettre des Français. Loger ses enfants ou bien leur permettre de pouvoir épargner est et restera une aide précieuse. Le gouvernement français veut faciliter cette transmission à l’aide de mise en place de dispositifs et projets de lois. Les aléas de la vie et les imprévus doivent également être considérés et anticipés pour minimiser au mieux les risques. »

Constituer le patrimoine de ses enfants en investissant dans l’immobilier
Que ce soit en période de crise ou non, l’immobilier reste et restera une demande de la part des Français. Le besoin de se loger justifie un placement sûr qui ne pourra pas être impacté comme les autres industries. Un investissement qui permet par ailleurs de faire fructifier son épargne en mettant par exemple son bien en location. Autant de facteurs qui font de l’investissement immobilier la solution d’investissement préférée des Français. Environ 25%1 de la population française privilégierait ce type de placements.

Le besoin et la possibilité de transmettre son patrimoine
La conjoncture économique et sanitaire qui s’installe depuis des années maintenant, a accentué ce besoin de constituer son patrimoine mais également de pouvoir le transmettre en cas d’évènement tragique. Le gouvernement prévoit donc ces situations avec la « donation simple », la « donation- partage », afin d’éviter à ces successeurs l’impossibilité d’accès au bien de leurs familles à cause d’un coût trop onéreux. Au-delà de ces dispositifs de donation, des solutions alternatives existent comme la SCI, le démembrement… Les aléas de la vie restent des facteurs imprévisibles qui se doivent d’être anticipés malgré des dispositions tels que le testament.

Se faire accompagner
« Patrimoine Store rassure donc les particuliers qu’elle accompagne en étant présente auprès de ses clients en cas de problème, assure la plateforme créée en 2015 par Arnaud Groussac. Dès le début du projet, l’entreprise prend en compte l’ensemble des éléments du dossier et analyse la fiscalité du client afin de proposer le montage le plus adapté à l’objectif comme la création éventuelle d’une société (SCI, SCPI,…) De plus, c’est à la demande du particulier que l’offre de Patrimoine Store se dessinera, avec un niveau d’accompagnement proportionnel au besoin de l’investisseur. Un pari permettant de dégager du pouvoir d’achat renforcé par une politique 0% de commission promoteur. Les particuliers peuvent ainsi investir en confiance sans soucier de leurs générations futures. »

https://www.echodumardi.com/tag/transmission/   1/1