
16 septembre 2025 |
Ecrit par le 16 septembre 2025
L’interdiction de Tik Tok au moins de 15 ans vue par Wingz pour l’Echo du Mardi


L’interdiction de Tik Tok au moins de 15 ans vue par Wingz pour l’Echo du Mardi


L’interdiction de Tik Tok au moins de 15 ans vue par Wingz pour l’Echo du Mardi


L’interdiction de Tik Tok au moins de 15 ans vue par Wingz pour l’Echo du Mardi


L’interdiction de Tik Tok au moins de 15 ans vue par Wingz pour l’Echo du Mardi


L’interdiction de Tik Tok au moins de 15 ans vue par Wingz pour l’Echo du Mardi


L’interdiction de Tik Tok au moins de 15 ans vue par Wingz pour l’Echo du Mardi

Si fort malheureusement les abandons de chiens feront encore les gros titres cet été, nombreux sont les maîtres qui, au contraire, mettent tout en œuvre pour que leurs vacances soient compatibles avec le bien-être de leur animal. Comme le montre l’étude réalisée pour Pro-Nutrition par l’institut FLASHS auprès de quelque 4 765 propriétaires partant en villégiature dans les prochaines semaines, ces derniers sont en effet très majoritairement prêts à assumer les contraintes, financières notamment, qu’implique la compagnie d’un chien. Une préoccupation qui confirme la place de membre à part entière qu’ont aujourd’hui nos compagnons à quatre pattes au sein des familles françaises.
La majorité des propriétaires de chiens — 60% d’entre eux seront dans ce cas cet été — ont prévu d’emmener leur animal avec eux sur leur lieu de villégiature. Parmi les autres solutions, le confier à des proches, famille ou amis, l’emporte largement : ils sont 27% à faire ce choix, contre 7% qui solliciteront les services d’une pension ou d’un pet-sitter à domicile et 4% qui le laisseront à la maison en chargent un tiers d’en prendre soin. 2% ne savent pas encore pour leur part quelle option ils retiendront dans les semaines qui viennent.

Un surcoût assumé
Qu’il s’agisse de trouver une location adaptée ou de faire appel à des services de garde, rendre ses vacances « dog friendly » peut entraîner un coût supplémentaire pour les maîtres. Une contrainte financière que presque tous acceptent, puisque 93% d’entre eux le disent, 54% sans hésiter et 39% en restant dans les limites du raisonnable. En l’espèce, les revenus des propriétaires de chiens ne constituent pas un facteur discriminant : 92% de ceux percevant moins de 1 300€ par mois sont prêts à assumer ce surcoût, soit une proportion identique à ceux dont les revenus dépassent les 2 500€ (93%).

Un critère de choix
D’une manière générale, nombreux sont les propriétaires de chiens qui déterminent leur destination, ou en tous les cas leur logement sur place, en fonction de leur protégé. 32% des maîtres disent le faire systématiquement et 48% indiquent que cela a déjà pu peser dans leur choix. Un sur cinq seulement (20%) affirme au contraire ne pas modifier ou adapter ses projets de vacances en lien avec son animal.

Étude réalisée par FLASHS pour Pro-nutrition
L’interdiction de Tik Tok au moins de 15 ans vue par Wingz pour l’Echo du Mardi

Alors que la période des vacances estivales bat son plein, des données publiées vendredi dernier par Eurostat rappellent que de nombreux Européens n’ont pas les moyens de partir en vacances. En effet, en 2024, un peu plus d’une personne sur quatre dans l’UE (27 %) n’avait pas la capacité financière de s’offrir une semaine de vacances annuelles loin de son domicile.
Comme le montre notre carte, les Européens sont loin d’être égaux face à cette situation : 22% des Français n’ont pas les moyens de partir une semaine par an, contre seulement 9% des Luxembourgeois et 12% des Suédois. Mais ce taux est beaucoup plus élevé dans les pays de l’Est et du Sud de l’Europe. Ainsi, environ un tiers de nos voisins espagnols et italiens (respectivement 33 et 31%) ont déclaré ne pas pouvoir se payer une semaine de vacances. Mais ce sont les Roumains qui sont les plus nombreux à devoir renoncer à une semaine loin du quotidien : près de 60% d’entre eux n’en ont en effet pas les moyens.
De Tristan Gaudiaut pour Statista
L’interdiction de Tik Tok au moins de 15 ans vue par Wingz pour l’Echo du Mardi

Le camping est le premier mode d’hébergement touristique en France. L’activité des campings français pèse 3 milliards d’euros de chiffre d’affaires, elle représente environ 50 000 emplois (dont 10 000 à l’année) et 25 millions de clients annuels pour un total de 141 millions de nuitées réalisées en 2024. Comme le montrent les données de la Fédération nationale de l’Hôtellerie de plein air, avec environ 7 500 campings sur son territoire (pour 2,74 millions de lits), la France concentre à elle seule près d’un tiers (29,2 %) de la capacité d’accueil en hôtellerie de plein air en Europe. L’Hexagone devance assez largement le Royaume-Uni (16,7 %), l’Allemagne (10,8 %) et les Pays-Bas (9,1 %). Cependant, si l’on compare la superficie de ces quatre pays, les Pays-Bas (13 fois moins vastes que la France) sortent du lot avec une densité de campings sur leur territoire particulièrement élevée.
De Tristan Gaudiaut pour Statista