18 mai 2024 |

Ecrit par le 18 mai 2024

Vaccination par la médecine du travail : quel impact pour l’employeur ?

Le sujet du mois vu par les éditions Tissot : depuis le 25 février, les services de santé au travail peuvent vacciner, sous certaines conditions, les salariés contre la Covid-19. Un questions-réponses du ministère du Travail apporte des précisions intéressantes sur les conséquences de cette vaccination pour l’employeur vis-à-vis de son service de santé au travail et des salariés (information des salariés, coût éventuel, etc.). 

Les médecins du travail, voire les infirmiers, ont la possibilité de vacciner les salariés volontaires des entreprises adhérentes avec le vaccin Astrazeneca. Actuellement, la vaccination par les services de santé au travail est réservée aux personnes de 50 à 64 ans inclus, atteintes de comorbidités et qui sont volontaires. En effet, le médecin du travail doit, comme le médecin traitant, obtenir le consentement éclairé du salarié avant de pratiquer l’acte vaccinal notamment par le biais d’un entretien médical avec celui-ci, avant la première injection.
Du côté de l’employeur, cette vaccination comporte aussi des conséquences.

Les conséquences de la vaccination dans la relation employeur-service de santé au travail
Le secret médical doit avant tout être respecté. Dès lors, si l’employeur est invité à collaborer à la vaccination des salariés en les informant de cette possibilité, son rôle auprès de la médecine du travail est en fait assez réduit, car il ne doit pas savoir qui se fait ou non vacciner.
Le médecin du travail n’a ainsi pas le droit de l’informer des employés vaccinés. Il agit en toute indépendance. Le secret médical couvre non seulement ce qui lui a été confié, mais aussi ce qu’il a vu, entendu ou compris.
C’est également lui qui vérifie si les salariés sont éligibles à la vaccination et non l’employeur.
Pour faciliter cette confidentialité, il est d’ailleurs préférable de faire la vaccination dans les locaux des services de santé au travail et non dans l’entreprise.
Autre point intéressant à soulever : cette campagne de vaccination ne coûte rien à l’entreprise. En effet, la visite est couverte par la cotisation annuelle versée au service de santé au travail interentreprises, et les services de santé au travail mettent à la disposition de la campagne vaccinale leurs ressources en termes de professionnels de santé et de logistique.
Quant aux vaccins, ils sont fournis gratuitement par l’Etat. L’employeur n’a donc aucune charge financière supplémentaire à supporter.

Les conséquences de la vaccination dans la relation employeur-salariés
Un employeur ne peut pas demander à un salarié s’il s’est fait vacciner, mais il doit informer tout le monde de la possibilité de le faire.
Cette information est large puisqu’elle doit être diffusée à l’ensemble des salariés quel que soit leur âge. Elle doit toutefois faire mention du ciblage de la stratégie nationale (personnes de 50 à 64 ans inclus atteintes de comorbidités à ce stade de la campagne). Elle doit aussi être assez explicite et rappeler que la vaccination repose sur le volontariat. A aucun moment le salarié ne doit se sentir contraint, il s’agit d’une simple information. Les modalités de cette information ne sont pas précisées, l’employeur peut donc procéder comme il le souhaite (courrier, e-mail, affichage, message dans l’Intranet, etc.).
Il doit également penser aux salariés vulnérables, absents de l’entreprise, ou qui bénéficient de l’activité partielle.
A noter qu’une information peut également être diffusée par le service de santé au travail qui peut cibler les salariés susceptibles d’être concernés.
Si le salarié éligible refuse la vaccination, cela n’a aucune conséquence. L’employeur ne peut ni le sanctionner, ni l’écarter de son poste. Il ne doit d’ailleurs même pas être au courant. Aucune décision d’inaptitude ne peut également être tirée de ce refus.
Enfin, notons qu’un salarié peut s’absenter de son poste pour se faire vacciner. Il doit alors seulement informer son employeur qu’il rencontre le médecin du travail à sa demande sans avoir à lui préciser le motif.

Source : Questions-réponses du ministère du Travail sur la vaccination par les services de santé au travail, mis à jour le 1er mars 2021

Par Anne-Lise Castell, juriste en droit social et rédactrice au sein des éditions Tissot. www.editions-tissot.fr pour Réso Hebdo Eco – www.reso-hebdo-eco.com

 

Anne-Lise Castell. ©Gilles Piel

Vaccination par la médecine du travail : quel impact pour l’employeur ?

La Communauté professionnelle territoriale de santé (CPTS) du Pays des Sorgues et Luberon informe que la vaccination sera désormais accessible aux personnes âgées de plus de 70 ans au centre de vaccination de l’Isle-sur-la-Sorgue/Cavaillon dès demain, samedi 27 mars.
Situé place des frères Brun au centre hospitalier de l’Isle, le centre de vaccination est accessible uniquement sur rendez-vous par téléphone au 04 90 38 96 53 (du lundi au vendredi de 8h30 à 12h et de 13h30 à 17h30) selon le nombre de doses de vaccin disponibles.

Pour s’informer de l’ouverture de nouveaux créneaux de vaccination de vaccination, les habitants sont invités à consulter :


Vaccination par la médecine du travail : quel impact pour l’employeur ?

L’immunité collective contre le Covid-19 pour cet été est-elle réalisable ? C’est en tout cas l’objectif que s’est fixée en ligne de mire l’Union européenne, qui espère être dans la « possibilité d’atteindre l’immunité au niveau du continent » au cours du mois de juillet. À l’occasion d’une interview sur TF1 dimanche, le commissaire européen au Marché intérieur, Thierry Breton, a détaillé la montée en cadence des livraisons attendues en Europe : 60 millions de doses livrées en mars, 100 millions en avril, 120 millions en mai, puis entre 300 et 350 millions d’ici le début du mois de juin.

Comme le montre notre graphique, si ce rythme se confirme, L’Union européenne sera effectivement en mesure de vacciner entièrement 70 % de sa population adulte au mois de juillet, et pourra espérer atteindre le cap des 100 % en septembre. Mais doses livrées ne signifie pas forcément doses administrées et il faudra dans le même temps être capable d’augmenter considérablement la cadence des vaccinations pour espérer atteindre l’immunité collective. À ce jour, moins de 2,5 millions de personnes ont été vaccinées avec deux injections en France (moins de 4 % de la population). Il faudra donc pouvoir vacciner 18 fois plus de personnes avant juillet, y compris les moins à risque, pour atteindre cet objectif dans l’Hexagone, comme le rapporte France Info.

De Tristan Gaudiaut pour Statista  


Vaccination par la médecine du travail : quel impact pour l’employeur ?

Un nouveau centre de vaccination porté par le centre hospitalier de Pont-Saint-Esprit et les professionnels de santé libéraux, va ouvrir le lundi 22 mars. Avec les centres de Bellegarde et Saint Ambroix ouverts jeudi dernier, il s’agira du 12e centre gardois (cela représente 1 centre pour 62 500 habitants). Le nouveau site de Pont-Saint-Esprit pourra proposer 210 vaccinations par semaine et aura la capacité de monter en puissance dès le mois d’avril.
« La vaccination est ouverte pour les personnes de plus de 75 ans ainsi que les personnes de 50 à 74 ans avec une pathologie à très haut risque de forme grave de COVID-19. Dans ce dernier cas, se rendre au centre de vaccination avec une prescription médicale, rappelle la préfecture du Gard. Pour obtenir un rendez-vous, il convient soit de se connecter sur le site https://www.sante.fr/cf/centres-vaccination-covid.html et de choisir ensuite un centre de vaccination soit de composer le 0800 54 19 19. »

A signaler que l’ensemble des centres de vaccination du Gard (département où le taux d’incidence dépasse 290) vont offrir près de 10 000 plages de vaccinations supplémentaires sur l’ensemble des deux dernières semaines du mois de mars.

*Les 12 communes qui disposent d’un centre de vaccination : Aigues-Mortes, Alès, Bagnols-sur-Cèze, Bellegarde, Nîmes (CHU et cerntre des Costières), Pont-Saint-Esprit, Saint-Ambroix, Uzès, Vauvert, Les Angles (espace le Forum) et Le Vigan.


Vaccination par la médecine du travail : quel impact pour l’employeur ?

Orizo, le réseau de transport en commun du Grand Avignon, adapte son service ‘Allobus vaccination’ à l’ouverture de 2 nouveaux centre de vaccination sur le territoire de l’agglomération.
Opérationnel depuis le 1er février dernier, ce service transporte les personnes depuis leur domicile jusqu’aux centres de vaccination du Grand Avignon par des petites navettes sur réservation au 0800 456 456.
Il permet de desservir les centres de vaccination de l’Hôpital d’Avignon, la maison médicale SOS médecins au Pontet, centre intercommunal de vaccination Covid-19 au Forum des Angles ainsi que les nouveaux sites du Château de la Barbière à Avignon et l’Espace Dion à Morières-lès-Avignon.

Mode d’emploi
Dès le rendez-vous de vaccination confirmé, la personne peut appeler le 0800 456 456 (N° vert gratuit depuis un poste fixe ou un mobile) pour réserver son service Allobus vaccination. Les réservations peuvent s’effectuer jusqu’à 2h avant le déplacement et pourront se prendre jusqu’à 6 semaines après, pour le rendez-vous de la 2e injection.
L’hôtesse indiquera l’heure de rendez-vous aller et retour. Il est prévu une arrivée 10 à 15 minutes avant le rendez-vous de vaccination et un retour 45 minutes après. Le tarif est le prix d’un ticket 1 voyage (à savoir 1,40€ le voyage, soit 2,80€ l’aller-retour) en vente auprès du conducteur et sur l’application Orizo (accompagnateur autorisé et gratuit pour les personnes âgées ou à mobilité réduite).
Le service fonctionne sur réservation du lundi au samedi (hors jours fériés) et s’adapte aux horaires d’ouverture des centres de vaccination du Grand Avignon. Le service fonctionne sur tout le territoire du Grand Avignon.
Le standard Allobus est accessible du lundi au vendredi de 7h30 à 18h et le samedi de 9h à 12h.


Vaccination par la médecine du travail : quel impact pour l’employeur ?

Alors que le ministère des solidarités et de la santé a renforcé dès ce week-end la dotation en vaccins Pfizer-BioNTech des départements français placés en vigilance renforcée face à la circulation du virus, 18720 doses supplémentaires de ce vaccin ont été livrées aujourd’hui en Provence-Alpes-Côte d’Azur. De quoi permettre d’injecter 30 000 doses ce week-end dans la région dont 2 000 en Vaucluse grâce à la mise en place d’une douzaine de centre de vaccination dans le département.

Cette vague de vaccination s’adresse avant tout aux :

  • aux personnes de plus de 75 ans,
  • aux personnes à très haut risque sans critère d’âge,
  • aux personnes de 50 à 74 ans vulnérables (personnes souffrant d’insuffisance rénale, personnes greffées, diabétiques, patients obèses ou souffrants de graves maladies respiratoires),
  • à l’ensemble des professionnels du secteur de la santé quel que soit leur âge.

Bilan de la stratégie vaccinale en Vaucluse 2 mois après son déploiement
Le déploiement de la campagne de vaccination Covid-19 a débuté en Vaucluse le 18 janvier 2021 et a permis de vacciner 26 720 personnes parmi lesquelles : 4 140 résidents (Etablissement d’hébergement pour personnes âgées dépendantes et ULSD (Unité de soins de longue durée) et 16 692 personnes de plus de 75 ans. Déjà 15 691 personnes ont reçu leur seconde injection et sont donc complètement protégées.
Durant le mois de mars, près de 7 020 doses de Pfizer seront livrées chaque semaine sur le département.
« En Vaucluse, les centres de vaccinations sont implantés selon le principe d’un maillage territorial équilibré, explique la préfecture de Vaucluse. Afin d’aller au plus près des populations ciblées, des innovations ont été mises en œuvre. »

2 nouveaux centres de vaccination et création d’une équipe mobile
Dans ce cadre 2 nouveaux centres de vaccination ont été ainsi ouverts dans le Grand Avignon le 1er mars : l’un dans le quartier de la Barbière et l’un à Morières-lès-Avignon. L’objectif est de se rapprocher davantage des publics vulnérables : ainsi le centre la Barbière pré-réserve des journées de vaccination pour les personnes identifiées par les services de l’action sociale d’Avignon.
Par ailleurs, une équipe vaccinale mobile a été déployée en partenariat avec le Sdis et les médecins volontaires de l’Ordre des médecins. Celle-ci se rendra chaque semaine au cours du mois de mars et d’avril dans des communes éloignées des centres de vaccination et ayant une proportion importante de personnes de plus de 75 ans.
La première opération à Sault le lundi 1er mars a permis de vacciner 42 personnes.

Les rendez-vous en ligne vont rouvrir au mois de mars, tout en maintenant une prise de rendez-vous par téléphone pour les personnes n’ayant pas accès à internet.

La solution à privilégier est la prise de rendez-vous en ligne sur le site www.sante.fr

  • Par téléphone sur le numéro national 0 800 009 110
  • Par téléphone aux numéros indiqués dans la carte illustrant cet article

Vaccination par la médecine du travail : quel impact pour l’employeur ?

En semaine 7 (du 15 au 20 février derniers), le taux d’incidence est en nette baisse dans le Vaucluse. Sur cette période, il s’établit à 210 nouveaux cas pour 100 000 habitants contre 240 la semaine précédente et après avoir atteint 289 sur la semaine 3 (le plafond ayant été enregistré en semaine 44 en novembre 2020 avec un taux de 725). On constate également une légère baisse du nombre de cas en milieu scolaire.
Par ailleurs, le nombre de personnes hospitalisées stagne toujours sur un plateau haut : le pic du nombre de personnes hospitalisées pour Covid a eu lieu le 17 novembre, avec 526 personnes hospitalisées. Hier, 289 personnes étaient hospitalisées dont 16 en réanimation et soins intensifs, 166 en hospitalisation conventionnelle et 107 en soins de suite et réadaptation.

Bilan de la mortalité et de la campagne de vaccination
Au 22 février, le Vaucluse totalisait 819 décès depuis le début de la pandémie (637 à l’hôpital, dont 22 en semaine 7, ainsi que 182 en Ehpad – Etablissement d’hébergement pour personnes âgées dépendantes).
Depuis le début de l’année sur la période 1er janvier-9février, le nombre de décès a augmenté de 20% par rapport à l’année précédente (825 en 2021 contre 686 en 2020).
Enfin, concernant la campagne vaccinale, 22 039 personnes ont été vaccinées en Vaucluse dont 3 858 résidents en Ehpad, soit 17,5% des personnes traitées.


Vaccination par la médecine du travail : quel impact pour l’employeur ?

A partir du lundi 1e février, le Grand Avignon et Orizo mettent en place un nouveau service de transport vers les centres de vaccination de l’Hôpital d’Avignon, de SOS Médecins Avignon et du Forum aux Angles.

Ce service transportera les personnes depuis leur domicile jusqu’aux centres de vaccination du Grand Avignon par des petites navettes sur réservation au 0800 456 456. Les réservations peuvent s’effectuer jusqu’à 2h avant le déplacement et pourront se prendre jusqu’à 6 semaines après, pour le rendez-vous de la 2ème injection. Il est prévu une arrivée 10 à 15 minutes avant le rendez-vous de vaccination et un retour 45 minutes après.

Le tarif est le prix du ticket 1 voyage à savoir 1,40 € le voyage, soit 2,80 € l’aller-retour en vente auprès du conducteur et sur l’appli Orizo. Un accompagnateur est autorisé pour les personnes âgées ou à mobilité réduite.

Le service fonctionne sur réservation du lundi au samedi (hors jours fériés) et s’adapte aux horaires d’ouverture des centres de vaccination du Grand Avignon. Le standard Allobus est accessible du lundi au vendredi de 7h30 à 18h et le samedi de 9h à 12h.


Vaccination par la médecine du travail : quel impact pour l’employeur ?

«Notre public ? Des entreprises, des villes (mairies), des lieux, des monuments, des bâtisses, des clubs, des écoles, autant de sujets devenant le théâtre d’un immense terrain jeu où tout peut se dérouler. Des particuliers aussi : des familles, des amis, des enfants… Notre point fort ? Nous adapter à la demande. Ainsi nous rencontrons les entreprises, des mairies, des écoles, organisons des anniversaires, animons des événements… Notre actu ? Notre dernière intrigue concerne ‘Les fondamentaux et principes de la prévention : santé et sécurité au travail’.»

Le concept ?

«Nous concevons les énigmes à la demande, selon le public et le ou les lieux choisis. Nous avons ainsi investi le Château de Clary à Roquemaure pour animer le marché d’automne. Le propriétaire nous a demandé de fonder des énigmes sur l’histoire du château et ses nombreux propriétaires. Cette recherche documentaire s’est avérée passionnante. Nous avons aussi organisé le Noël des pompiers de Bagnols-sur-Cèze ; créé des événements pour des Maisons familiales et rurales sur la cohésion et l’environnement ; le Club de rugby d’Orange sur la cohésion de groupe ; le centre aéré de Piolenc ; des colonies de vacances à Orange avec l’association Aller-Retour…»

300 enfants autour de l’équilibre alimentaire

«Nous sommes également intervenues dans une école de Roquemaure autour de l’équilibre alimentaire en faisant participer 300 enfants du Cp au CM2 ! Apprendre en s’amusant ? Ça donne confiance aux enfants ! Ils ont appris à collaborer les uns avec les autres, cela a créé de la cohésion, de la fluidité dans l’apprentissage et surtout beaucoup d’enthousiasme.»

Le décor

«Nous adorons chiner, offrir une nouvelle vie aux objets ce qui nous permet de concevoir des décors qui sortent de l’ordinaire. Nous sommes sur la passion de ce que nous faisons. Depuis la création d’Enigmae, nous sommes intervenus sur une vingtaine d’événements grâce aux réseaux sociaux et de bouche à oreille. Les boîtes cadeaux sont demandées lors des fêtes de fin d’année ; les anniversaires ponctuent l’année et les événements en entreprises tendent à se développer. Nous travaillons sur tous les sujets : histoire, sport, sujets pédagogiques, animaux, chaque événement est personnalisé.»

Un univers immersif

«Quand on est passionnés on a envie de tout partager avec ce plaisir de mener l’enquête pour résoudre les énigmes. La partie passionnante réside dans la préparation du thème que l’on nous a confié. Cela donne le point de départ à des recherches documentaires, des photos, des films, à la conception d’un scenario, d’un décor, d’une ambiance, tout concourt à construire une histoire à tiroirs où l’on apprend une foule de choses. C’est très enrichissant intellectuellement et artistiquement. Nous créons un univers immersif. Notre récompense ? Créer des émotions, voir les gens s’amuser ensemble. C’est à la fois un challenge et de belles réussites.»

Enigmae ?

C’est ‘l’ambiguïté volontaire dans la présentation d’une donnée, d’une situation pour résoudre une énigme’ et dans ce cas ? Ce sont aussi quelques lettres empruntées et mélangées aux prénoms des deux créatrices Elodie 35 ans et Anne-Sophie 41 ans. Dans la vie ? L’une est assistante qualité et l’autre ingénieure sécurité-environnement et formatrice.

Aller au-delà ?

Leur envie ? Sortir résolument des sentiers battus «Nous mettons à l’œuvre nos imaginations fertiles, créant machination, scénarii, construisant des énigmes, semant indices et objets pour ouvrir le cadenas du coffret vous permettant de résoudre l’énigme finale.»

Au départ ?

«Nous étions un peu lassées des anniversaires d’enfants dans les parcs de jeu en intérieur, nous nous sommes interrogées sur les ‘Escape game’ (jeu d’évasion) pour enfants en y ajoutant des exigences pédagogiques comme des multiplications, des additions et des soustractions. Nous nous sommes aperçu qu’au lieu d’être freinés, les enfants apprenaient avec enthousiasme dès lors que l’apprentissage prenait la forme d’un jeu pédagogique ou festif.»

Un support à messages

«Nous nous sommes dit qu’avec les énigmes, nous pouvions faire passer plein de messages. Ensuite nous avons décliné toutes nos prestations autour de l’énigme. Ce que nous avions créé pour nos enfants commençait par faire tâche d’huile et les familles nous disaient que c’était un super concept. Nous, ce qui nous intéresse, c’est le partage, la cohésion, l’environnement, alors oui, nous avons décidé de proposer nos idées à une sphère plus étendue.»

Les formules

La formule anniversaire est à 200€. La boîte cadeau Enigmes standard en bois est à partir de 15€. Elle propose 3 énigmes permettant d’ouvrir le cadeau où pourront être déposés, au préalable et par le commanditaire des objets de son choix comme des chocolats, bouteilles de vin ou composition DIY (Do It Yourself). Personnalisée, compter à partir de 18€, enfin, le calendrier ‘Enigm’ et sens 2021 est à 15€.   

Un calendrier pour défendre les femmes

«Les confinements successifs ont mis au jour, peut-être plus qu’en temps normal, la souffrance des femmes vivant des violences au sein même de leur foyer. En tant que femmes et mères nous y sommes très sensibles et surtout solidaires, car nous pensons que beaucoup de femmes se taisent. Ça n’arrive pas qu’aux autres. C’est la raison pour laquelle nous avons décidé qu’une partie des fruits de la vente de notre calendrier ‘Enigmatique et sensoriel’ sera reversée à l’association Rheso qui lutte contre les violences faites aux femmes.»

www.enigmae.com  / contact@enigmae.com  / 07 76 69 83 81 / Vidéo de présentation ICI 

La Prévention
La salle Interdite

https://www.echodumardi.com/tag/vaccination/page/7/   1/1