Pertuis : Pellenc commence l’année avec deux nouveaux directeurs
Le groupe Pellenc, concepteur, constructeur et distributeur de machines, d’équipements et d’outils pour la viticulture, la viniculture, l’arboriculture fruitière et l’entretien des espaces verts et urbains, basé à Pertuis, vient de nommer Thierry Carbonnel au poste de directeur Produits et de Pascal Moulinier au poste de directeur Recherche & Développement.
Le groupe pertuisien Pellenc commence l’année sur les chapeaux de roues et consolide son comité exécutif. Le jeudi 2 janvier, Thierry Carbonnel et Pascal Moulinier ont rejoint l’équipe et pris leurs fonctions en tant que directeur Produits et directeur Recherche & Développement.
Thierry Carbonnel est ingénieur INSA Lyon en énergie et environnement et diplômé d’HEC Paris d’un Master Innovation et Entrepreneuriat. Il a effectué une grande partie de sa carrière chez Renault Trucks où il a dirigé le développement de la gamme poids-lourds en Europe, Moyen-Orient et Afrique, et où il a lancé la première gamme commerciale de poids lourds électriques pour le marché européen. Il a aussi évolué au sein d’Air Liquide en tant que directeur Marketing et Business Support.
Pascal Moulinier, quant à lui, a exercé près de 35 ans dans le groupe Renault à différents postes sur les périmètres Ingénierie et Opérations, en France et à l’international. Il y a occupé des postes de Chef de Services, de Départements et de Direction qui l’ont amené à développer toutes les compétences autour des composantes de la Recherche & Développement.
« Les équipes sont ravies de pouvoir s’enrichir de leurs expériences respectives et de leurs expertises métiers complémentaires afin de renforcer la proximité client et la dynamique d’innovation, valeurs inscrites depuis toujours dans l’ADN de Pellenc », a déclaré le groupe vauclusien.
Pertuis : Pellenc commence l’année avec deux nouveaux directeurs
La résidence de la Croix Rouge, située 11 et 13 rue Molière, à l’entrée Nord de la Ville d’Orange a été significativement réhabilitée. Une initiative de la Ville d’Orange et d’Axedia, filiale du bailleur social Grand Delta Habitat, le plus important opérateur de Vaucluse.
Les travaux ont consisté en l’amélioration de la performance énergétique des bâtiments de la résidence de la Croix Rouge avec l’isolation des façades, la réfection des toitures, l’installation de robinets thermostatiques, la création de locaux tampons et la mise en place de pompes à débit. Ces différents éléments devraient entrainer une réduction des charges de 20 à 60€ sur les factures énergétiques mensuelles.
Résidence de la Croix Rouge Copyright GDH
L’Amélioration du cadre de vie s’est exercée via la rénovation des entrées, l’installation de vidéosurveillance, la création de nouvelles places de stationnement et le remplacement des portes palières.
La réhabilitation, d’un montant de 3,6M€ a été réalisée sans entraîner de hausse de loyers. La Ville d’Orange ainsi que la Communauté de communes ont assuré la garantie d’emprunt respectivement à hauteur de 70% et 30%.
La gestion de la résidence est assurée par l’agence de proximité d’Orange qui centralise la gestion de 3 000 logements sur 15 communes.
Résidence de la Croix Rouge Copyright GDH
L’inauguration L’inauguration a eu lieu vendredi 5 juillet en présence de : Yann Bompard, Maire d’Orange et ses élus ; Michel Gontard Président Directeur Général d’Axédia et Président de Grand Delta Habitat ; Georges Lemaire, Directeur d’Axédia, les Administrateurs et des équipes de la Coopérative, ainsi que les locataires et les entreprises partenaires de l’opération.
Axédia Tout comme Grand Delta Habitat, dont elle est la filiale, Axédia est une coopérative HLM plutôt tournée vers l’accession à la propriété sécurisée à coûts maîtrisés pour les familles. La structure garantie un accompagnement permanent, avant, pendant et après l’acquisition ; Le rachat du logement en cas de difficultés ; Propose une assurance revente contre les risques de décote ; La garantie de relogement ; Une TVA à 5,5% au lieu de 20% et des frais de notaires réduits avec la possibilité de prêt à taux zéro (PTZ).
Résidence la Croix Rouge Copyright GDH
Pertuis : Pellenc commence l’année avec deux nouveaux directeurs
Jérémy Ferrari, très présent sur la création de l’école puis sur le recrutement de la cinquantaine d’étudiants formant la première promotion de cette école très spéciale, est ensuite parti en tournée, mais a toujours eu un œil sur cette école dont il a rêvé. Cette rencontre mi-décembre – avant de repartir avec ses complices Arnaud Tsamère et Baptiste Lecaplain pour un nouveau spectacle — était donc pour lui un moment privilégié pour faire un point à tiers de parcours avec les étudiants et l’équipe pédagogique.
Ils ne savaient pas que c’était impossible, alors ils l’ont fait
Ils ? Le triumvirat Frédéric Biessy, directeur général de La Scala Paris et de La Scala Provence, Jérémy Ferrari le directeur artistique, et Geneviève Meley Othoniel, la directrice générale.
Quoi ? Créer une École supérieure des Arts du Rire et assumer ce titre qui peut paraître prétentieux, mais il fallait bien ça pour asseoir ce genre humoristique comme un Art d’excellence à part entière.
Faut-il rappeler qu’avec 30 heures de cours hebdomadaires en première année, des masterclass, six professeurs permanents, de nombreux intervenants professionnels de l’humour, des bourses pour permettre aux plus démunis d’accéder à l’enseignement, tout a été pensé et réalisé pour concrétiser ce projet un peu fou ?
Jérémy Ferrari seul en scène à l’heure d’un premier bilan
Il le dit lui-même, il était le premier sceptique. Il pensait sincèrement que ce n’était pas possible pour plusieurs raisons : il fallait une structure, il fallait accepter de perdre de l’argent, il fallait une force et une implication importante, il fallait trouver des gens qualifiés permettant une professionnalisation, obtenir l’agrément pour dispenser des crédits européens (UE universitaire), avoir la reconnaissance d’un diplôme universitaire, trouver des professeurs de qualité qui acceptent de venir en Avignon 1 ou 2 fois par semaine et pas pour « cachetonner » !
« Je n’ai pas été un vrai élève dans mon parcours scolaire mais j’ai créé une vraie école dont je suis fier »
Content, fier, satisfait : ces adjectifs reviennent souvent dans sa bouche. « Très enthousiaste après avoir rencontré les étudiants qui m’ont fait part de ce qui peut encore être amélioré dans le fonctionnement. En fait d’améliorations, les étudiants en veulent plus ! Je n’ai pas été un vrai élève dans mon parcours scolaire, donc je suis à l’écoute de ce qui est améliorable. »
Si j’avais eu cette école j’aurai gagné du temps, j’aurai peut-être été meilleur plus vite !
Jérémy Ferrari
Qu’a-t-elle d’exceptionnelle cette école ?
La bienveillance, le dialogue permanent entre les étudiants et l’équipe pédagogique, l’écoute, la remise en question incessante. C’est exceptionnel d’offrir plus de 30h par semaine de cours avec des gens de qualité (d’autres écoles existent avec seulement 3 à 9h de cours hebdomadaire). Il y a un effectif réduit, un programme complet, on accompagne vraiment les élèves, on fait du sur-mesure, du cas par cas pour trouver des financements. Le rapport avec les professeurs est fluide, respectueux.
Artiste, producteur, diffuseur, éditeur, bientôt réalisateur : « Je ne peux pas être seul avec moi-même »
« Pour moi, cette école, c’est la suite logique dans ma volonté de transmission, ce métier est ma passion. Je ne peux pas être seul avec moi-même, j’aime travailler avec d’autres, intervenir dans toutes les étapes d’un spectacle. C’est ce qui fait mon indépendance et pour moi un gage de sérénité. Artiste, producteur, diffuseur, éditeur, bientôt réalisateur, ça me permet d’être libre, de me donner plus de poids pour me défendre ou défendre d’autres artistes. Je travaille avec des gens que j’aime, j’ai du plaisir et j’en donne. C’est un grand moment pour moi quand j’ouvre une billetterie ! »
Ne pas confondre critique et censure
« Je ne fais pas partie de ces gens qui considèrent que l’on ne peut plus rien dire. Je dis tout ce que je veux depuis 15 ans de carrière. Récemment sur Canal Plus, j’ai encore insulté la moitié de la terre sans problème ! La censure a toujours existé, même au temps de Coluche – lui-même a été censuré sur RMC — la chanson Hexagone de Renaud a été interdite à la radio. Ce n’était pas mieux avant. Les gens confondent censure et critique. Maintenant, on a donné la liberté à tout le monde de donner son avis sur tout. Le problème pour moi, c’est l’importance que l’on donne à ceux qui ne sont pas contents. »
Et l’auto censure ?
« La censure peut venir de tout le monde, de n’importe où et de n’importe qui. La seule chose qu’un humoriste puisse faire contre ça, c’est de ne pas céder. La vraie question à se poser est : est-ce que je vais faire rire les gens avec ça ? Ne pas accepter de se faire couper. Si on accepte une fois, c’est fini. Car comme on n’essaie plus, on a peur. Après, on n’ose plus y aller et on se déteste. »
Ne pas céder
« Prenons l’exemple du Bataclan (attentat du 13 novembre 2015). J’avais le spectacle ‘Vends 2 pièces à Beyrouth’ en préparation sur le terrorisme qui démarrait trois mois après. Je suis obligé de parler de l’attentat. Comment parler de ce fait abominable ? Sur scène, je fais de l’humour noir, donc je ne peux pas le traiter différemment, ce n’est pas possible. Je décide de le traiter d’une manière tellement abominable que ça va paraître absurde et c’est ça qui va permettre aux gens de rire.
Pendant 25 minutes, je me moque des victimes et de la manière dont ils sont morts ! On ne peut pas faire plus abominable que ça. Si demain, j’avais montré ce texte, on m’aurait demandé d’y renoncer.
Or au Trianon, dans une salle de plus de 1000 personnes, les gens m’ont aimé pour ça. Certains ont pu faire leur deuil grâce au rire. D’autres m’ont détesté, mais c’est leur problème. Il faut donc être vigilant toute sa vie pour ne pas s’auto-censurer. Au début, on n’a rien à perdre, le vrai courage vient après. »
« Une société qui va bien, c’est une société où les artistes sont libres. »
Jérémy Ferrari
Les humoristes ne sont pas les ennemis des gens, ce sont les amis des gens
L’École supérieure des Arts du Rire – et c’est sa grande particularité — est dans les locaux de la Scala Provence. À l’occasion de cette rencontre avec leur directeur artistique, le hall grouillait des 47 étudiants nouvellement recrutés. Je suis allée à leur rencontre toute émoustillée à l’idée de rencontrer les talents de demain et de confronter leurs ressentis à celui évoqué par Jérémy Ferrari.
Quel est votre ressenti après 3 mois de fonctionnement ?
Le petit groupe interviewé a répondu d’une seule voix, sans hésiter : « Très agréablement surpris et content de l’investissement de tous les professeurs. On se sent accompagnés, on est dans un cocon, il y a une vraie générosité, une totale bienveillance. »
Compétition ou coopération entre vous ?
« On ne peut pas parler de compétition. Peut-être en 2ᵉ et dernière année l’année prochaine à Paris ? On travaille avec de l’humour, la guerre d’égo ne peut pas se faire, car on peut tous faire un énorme bide quand on est exposé sur scène. On est encore en phase d’apprentissage. De plus, les différents cours et professeurs nous incitent à travailler en groupe pour les impros par exemple, mais également dans la réécriture. Il y a des styles très différents qui se profilent : stand-up, humour noir, absurde, comique visuel, seul en scène. »
« Nous avons des profils très différents : certains sont déjà montés sur scène, d’autres se destinent plutôt à être interprètes, d’autres auteurs. »
Les étudiants de l’ESAR
Humour engagé ?
« On nous apprend à être rigoureux, comprendre où on peut mettre la barre. Il y a pour cela des cours de débat rhétorique pour ne pas calomnier, savoir chercher les sources, établir des faits concrets. On s’amuse, mais rien n’est gratuit. Humour engagé ? Les femmes de la promotion le sont peut-être plus, elles ont plus de choses à dénoncer. »
Votre vie à Avignon
Le mot « cocon » revient souvent ! Les 47 étudiants ont entre 19 et 40 ans et viennent de la France entière. Ils découvrent Avignon et apprécient « la petite ville qui a tout d’une grande, avant d’être lâché l’année prochaine à Paris. » Ils restent plus facilement entre eux, car ils travaillent beaucoup, le programme est dense. Certains s’essaient à la scène sur leurs heures personnelles et se produisent au chapeau dans divers lieux d’Avignon comme La Souricière, La Cave des Pas Sage ou le Théâtre de l’Observance (qui a accompagné à ses débuts un certain Jérémy Ferrari).
Bientôt une scène ouverte
Le public sera officiellement invité à les voir le 24 avril prochain sur le plateau de La Scala Provence lors d’une scène ouverte qui transformera La Scala Provence en Comedy club géant. Les élèves de l’ESAR utiliseront les quatre salles de La Scala Provence et se mêleront aux artistes confirmés que sont Jos Houben, Tania Dutel et Jeremy Nadeau.
La Scala Provence. 3 rue Pourquery de Boisserin. Avignon. 04 90 65 00 90.
Pertuis : Pellenc commence l’année avec deux nouveaux directeurs
Inaugurée le 15 février dernier, la salle de Confluence Spectacles, qui trône en face de la Gare TGV de Courtine, attire les foules !
Les réservations vont bon train, certaines affichent même complet comme ‘Covertramp’, hommage au groupe californien Supertramp, les humoristes Michaël Gregorio et Dany Boon. Mais il reste encore des places pour le spectacle ‘Goldmen’, 100% chansons de Jean-Jacques Goldman le mardi 7 janvier.
Le dimanche 19, retour de Roberto Alagna en Vaucluse dans ‘Al Capone’, une œuvre de Jean-Félix Lalanne, le frère du chanteur. Lui est guitariste, il avait obtenu à 13 ans le Grand Prix de l’Académie de guitare de Marseille. À 17 ans, il avait transcrit pour son instrument fétiche les Nocturnes, Valses et Préludes de Chopin, c’est dire sa virtuosité. Il avait également été nommé aux Victoires de la Musique, pour la musique du film Le passage avec Alain Delon et il signe cette comédie musicale créée en 2023 aux Folies Bergère avec à l’affiche le ténor Roberto Alagna.
Au programme, toujours à Confluence, humour avec Manu Payet dans ‘Emmanuel’ le samedi 25, chansons avec ‘The Rocket Man’, en hommage au chanteur-compositeur britannique Elton John le mardi 4 février, le dimanche 9 concert de Frédéric François. Enfin, le vendredi 7 mars, ‘Abba Gold’, évocation du groupe suédois mythique et de ses tubes ‘Fernando’, ‘Dancing Queen’, ‘Waterloo’, ‘Mamma Mia’, ‘Gimme! Gimme !’ ou ‘Chiquita’.
Pour les balletomanes, ‘Le lac des cygnes’ de Tchaikowski le dimanche 2 mars avec 45 danseurs et 35 musiciens sur scène. Le vendredi 14 place à ‘Hommage et desserts’ avec Patrick Sébastien, le dimanche 30 mars, ‘Carmen’ avec le Barcelona Flamenco Ballet et le vendredi 11 avril, Marc Toesca, l’animateur du fameux ‘Salut, les P’tits loups’ de Canal Plus et de son Top 50 il y a 40 ans, sera à Avignon.
À la fin de l’année, Jeff Panaclock le dimanche 9 novembre, Marie-Claude Pietragalla qui incarnera Barbara le mardi 18, et enfin « la » plus célèbre Demoiselle d’Avignon, Mireille Mathieu sera en tournée face à son public début décembre !
Pertuis : Pellenc commence l’année avec deux nouveaux directeurs
Spectacle adapté d’Une vie, l’autobiographie de Simone Veil publiée en 2007
Dans son autobiographie, Simone Veil évoque son enfance heureuse à Nice, son arrestation par la Gestapo puis sa déportation à Auschwitz. La suite, on la connaît pour beaucoup d’entre nous, car nous avons grandi avec les combats de cette femme hors du commun : l’Europe, l’avortement, les conditions pénitentiaires.
La comédienne Cristiana Réali, nominée au Molière 2022 de la comédienne d’un spectacle de Théâtre Privé incarne Simone Veil
Sur scène, elles sont deux, dont Camille (Noémie Develay-Ressiguier), jeune thésarde invitée à parler de Simone Veil à la radio, lors de son entrée au Panthéon, en juillet 2018. Dès que Camille évoque un souvenir, le fantôme de Simone Veil, interprété par Cristiana Reali, prend la parole avec un regard intense, une gestuelle précise et une diction et intonation confondantes.
L’importance de la transmission
À mesure que progresse l’émission de radio, une conversation voit le jour entre ces deux femmes, comme un dialogue entre deux générations. Comment trouve-t-on la force de consacrer sa vie aux combats politiques ? Comment reçoit-on cet héritage ? La parole de Simone Veil traverse le temps.
Une parole tournée vers les générations futures et – envers et contre tout – un regard confiant porté sur l’avenir.
Mercredi 8 janvier 2025. 20h. 20 et 40€. L’autre Scène. Avenue Pierre de Coubertin. Vedène. 04 90 14 26 40 / www.operagrandavignon.fr
Pertuis : Pellenc commence l’année avec deux nouveaux directeurs
À partir du lundi 6 janvier, le Département de Vaucluse va réaliser des travaux d’aménagement et de réhabilitation au Crestet qui vont engendrer une modification des modalités de circulation durant plusieurs mois.
Le lundi 6 janvier, des travaux vont débuter au Crestet, au niveau de l’intersection de la route de Vaison-la-Romaine (RD977) et de la route du Crestet (RD938). La première partie de ces travaux aura lieu jusqu’à l’été 2025.
Pour un montant total des travaux de 1 550 000€ financés par le Département, un carrefour giratoire sera créé entre les RD938 et RD977 qui permettra de fluidifier et de sécuriser les flux de circulation, et le pont Valentin sera réhabilité pour permettre une circulation des véhicules à double sens et afin de libérer l’ancien pont SNCF situé en parallèle. Ce dernier sera destiné au passage de la future véloroute de l’Ouvèze entre Sablet et Mollans-sur-Ouvèze, portée par la Communauté de communes Vaison Ventoux et subventionnée à hauteur de 390 644€ par l’état au titre du plan France Relance.
Ainsi, le pont Valentin, actuellement emprunté par les véhicules venant du côté Nyons, sera fermé à la circulation. Une circulation alternée par feux tricolores sera mise en place pour permettre un passage sur l’autre pont. Pendant toute la durée du chantier, l’accès sur la RD977 au niveau des travaux sera réservé au garage, à la carrière Vaison Béton, ainsi qu’aux riverains du Chemin du Tarin.
Pertuis : Pellenc commence l’année avec deux nouveaux directeurs
Aménagement d’un carrefour giratoire au Crestet, réhabilitation d’un collège à Vedène, ou encore la réalisation d’une voie verte entre Le Thor et L’Isle-sur-la-Sorgue. Quels travaux sont prévus par le Département de Vaucluse au mois de janvier ?
Dès le début de l’année, le Département de Vaucluse entament des travaux d’envergure. Un carrefour giratoire va être aménagé à l’intersection RD 938 / RD 977 au Crestet et le pont routier Valentin va être réhabilité afin de fluidifier et de sécuriser les flux de circulation. Une partie de la future véloroute de l’Ouvèze, entre Sablet et Mollans-sur-Ouvèze, sera également réalisée. Les travaux démarreront le 6 janvier et dureront jusqu’à l’été.
En ce qui concerne le collège Lou Vignarès à Vedène, les travaux de la phase 2, qui concernent la restructuration et l’extension des bâtiments administratifs, vont se poursuivre jusqu’en septembre. La fin du chantier prévue début 2026, après la réalisation des aménagements paysagers et la dépose du collège provisoire.
Les travaux le long de la RD901, pour la réalisation d’une voie verte entre Le Thor et L’Isle-sur-la-Sorgue, qui ont débuté en juillet dernier, sont terminés. Le marquage au sol ainsi que la signalisation verticale seront réalisés début janvier.
Les autres chantiers en cours
La déviation d’Orange entre le giratoire du Coudoulet et la route de Camaret Les travaux d’aménagement de l’ouvrage de rétablissement du Chemin de Nogaret ont démarré en juin pour 14 mois et ceux d’aménagement de l’ouvrage de franchissement de la route de Jonquières ont débuté en décembre pour une durée de 11 mois.
Aménagement de la Via Venaissia entre Velleron et Robion. Les travaux sont en cours sur la première section comprise entre Velleron et L’Isle-sur-la-Sorgue.
Construction du nouveau bâtiment Memento, pôle des patrimoines de Vaucluse à Avignon. Le chantier est en train de se terminer. Les travaux de finition et essais techniques vont se poursuivre durant le premier trimestre 2025. Le déménagement des Archives départementales ne démarrera pas avant mi-2025, pour une mise en service et ouverture au public prévue en 2026.
Extension du service ‘Livre et Lecture’ à Sorgues. Les travaux ont démarré début avril et pour une durée de 14 mois.
Restructuration du collège Tavan à Montfavet. Les travaux ont démarré en juillet et devraient s’achever en mai 2025.
Pertuis : Pellenc commence l’année avec deux nouveaux directeurs
Le conseil municipal de L’Isle-sur-la-Sorgue a approuvé au cours du mois de décembre le financement du projet de plaine sportive qui s’installera sur le site de Saint-Gervais. Les travaux devraient débuter en avril 2025 et s’achever au 1ᵉʳ trimestre 2028.
Le sport a une place prépondérante au sein de la ville de L’Isle-sur-la-Sorgue qui compte une quarantaine de clubs sportifs et 6 500 licenciés. Ainsi, la municipalité souhaite renforcer sa position en faveur de la pratique sportive, notamment à travers le projet de plaine sportive qui va voir le jour dans les prochaines années sur le site de Saint-Gervais.
La Ville a déjà témoigné de cette envie en réalisant de nouveaux équipements comme le pumptrack ou le skate park, mais aussi en réhabilitant des équipements déjà existants comme des gymnases, un stand de tir, des terrains de pétanque, des tribunes, ou encore des vestiaires. La Ville participe en ce moment à des réflexions sur de nouvelles réhabilitations comme celle du futur centre aquatique intercommunal dont le projet est piloté par la communauté de communes Pays des Sorgues Monts de Vaucluse. La Ville de L’Isle-sur-la-Sorgue soutient aussi de nombreuses associations sportives. Ses actions en faveur du sport lui ont permis d’être labellisée ‘Terre de Jeux 2024’ et d’accueillir le relais de la flamme olympique en juin dernier.
Un projet sur le site de Saint-Gervais
Le projet de plaine sportive à Saint-Gervais va permettre de rénover une partie des équipements existants sur le site, de déplacer certains équipements actuellement situés sur le complexe sportif des Capucins vers ce nouveau site et de créer une nouvelle offre d’équipements sportifs afin de favoriser de nouvelles disciplines.
L’objectif est de regrouper dans un lieu unique des équipements structurants et de développer de nouvelles disciplines qui ne bénéficient pas d’équipements sur le territoire à l’heure actuelle et enfin de mutualiser les équipements accessoires aux pratiques sportives. Ainsi, les pratiques de football seront regroupées grâce à la création d’un stade équipé d’une tribune de 300 places et de trois terrains d’entrainement. Le tennis, quant à lui, qui est sur le site des Capucins, sera déplacé à Saint-Gervais grâce à la création de six terrains extérieurs et deux couverts ainsi que des terrains de pickleball.
Ce projet se veut une réponse à des objectifs de développement durable et de santé. La Ville de l’Isle-sur-la-Sorgue a donc fait le choix de matériaux les plus naturels et les moins énergivores afin de répondre aux objectifs de la COP21.
Aussi, la Ville compte mettre en œuvre un éclairage LED sur l’ensemble des équipements indoor et outdoor, une isolation optimale des bâtiments, un engagement ‘zéro phyto’ pour l’ensemble de ses espaces verts, et un abandon au maximum du microplastique pour son terrain de football synthétique en ayant recours à une garniture en matière organique. Cette garniture en surface sera composée de noyaux d’olives concassés, de maïs ou encore de noix de coco.
Trois ans de travaux
La 1ʳᵉ phase des travaux aura lieu durant le printemps et l’été 2025. Elle permettra la construction de six courts de tennis dont quatre en résine et deux en gazon synthétique, et la réhabilitation du local de pesage en club house et vestiaires. La 2ᵉ phase se tiendra d’août 2025 à août 2026 et permettra la création d’un stade d’honneur de football, la construction de tribunes et de locaux annexes (buvette, vestiaires), ainsi que la réhabilitation des actuels vestiaires destinés aux entraînements. La 3ᵉ phase, qui aura lieu de juillet 2026 à janvier 2027, concernera la création de courts de pickelball et de deux courts de tennis couverts. Enfin, la dernière phase (qui est une phase optionnelle) aura lieu de 2027 à 2028 avec la création d’un terrain d’entrainement de football en gazon synthétique et la rénovation des terrains en herbe existants.
Le montant des trois premières phases de travaux devrait s’élever à 5,7M€. La phase optionnelle pourrait ajouter 2,4M€ au montant total. Sur la surface de 18 hectares du site de Saint-Gervais, les futurs équipements sportifs devraient s’étaler sur 7 hectares.
Pertuis : Pellenc commence l’année avec deux nouveaux directeurs
Ce mardi 31 décembre, Clara Morgane fêtera la fin de l’année 2024 avec les Avignonnais. Elle présentera son dernier spectacle ‘Au 7ème’ à Confluence Spectacles.
Sur scène ce mardi, sept femmes artistes se produiront pendant 2 heures sur sept chansons pour sept tableaux audacieux qui donneront vie aux chansons que Clara Morgane chante en live.
Après 20 ans de carrière dont six sur scène avec son premier spectacle ‘Le Cabaret de Clara’, l’animatrice de télévision, chanteuse et mannequin française dévoile son nouveau spectacle ‘Au 7ème’ dans lequel le public découvre les chansons de son EP 7, le chiffre fil-rouge du spectacle.
Mardi 31 décembre. 20h. À partir de 49€ (billetterie en ligne). Confluence Spectacles. 2 Place de l’Europe. Avignon.