12 mai 2025 |

Ecrit par le 12 mai 2025

Cinéma : les premiers tournages soutenus par le Département dévoilés

Le Conseil départemental de Vaucluse vient d’attribuer ses premières aides pour des tournages et des productions réalisées dans le département. Ces soutiens, d’un montant total de 200 000€, s’inscrivent dans son fonds de soutien au cinéma et à l’image animée.
Pour débuter, 5 dossiers sont donc retenus dans le cadre du premier appel à projet qui s’est clôturé le 8 septembre dernier et qui a été validé après un vote de l’assemblée départementale en novembre. Ce fonds est complémentaire aux fonds de la Région Sud ainsi qu’au fonds du Grand Avignon.

Alors que le prochain appel à projets pour le fonds de soutien du Département débutera le vendredi 10 janvier 2025, voici déjà les 5 projets qui vont bénéficier des premières aides du Conseil général de Vaucluse. Il s’agit :

▪ De la Série Les gouttes de Dieu saison 2 dont la première saison avait recueilli une audience moyenne de 2 millions de spectateurs. Production Dynamic. Tournage en partie à Jonquières (40 000€).
▪ Le long-métrage ‘Au temps pour nous’. Les Films du Kiosque. Scénario et réalisation : Agnès Jaoui. Tournage en partie à Lacoste, au Château du Marquis de Sade (50 000€).
▪ Le long-métrage ‘Inspecteur croquettes’ (film d’animation) réalisé par Benoît Delépine et Antoine Robert avec notamment les voix de Philippe Katerine et Vincent Dedienne. La Station animation. Travail en partie dans les studios à Avignon (45 000€).
▪ Le long-métrage ‘Mu Yi et le beau général’ (film d’animation) du Studio La Cachette, réalisé par Julien Cheng. Travail en partie dans les studios Duetto à Avignon (45 000€).
▪ Le long-métrage ‘Avignon’. Nolita cinéma avec Alison Wheeler et Baptiste Lecaplain. Tournage presque intégralement à Avignon (20 000€).

Tournage du téléfilm ‘Résistantes’ à Pernes-les-Fontaines. Un tournage qui s’est déroulé du 20 septembre au 16 octobre derniers et dont la quasi-totalité a été réalisée en Vaucluse, aux alentours de Carpentras mais aussi à l’Abbaye de Saint-Hilaire, à Ménerbes. Crédit Cyril Cortez-Département de Vaucluse

Rendre le territoire plus attractif pour les tournages et la production numérique
« La création du fonds départemental de soutien à la production audiovisuelle et cinématographique vise à soutenir la création artistique, à encourager la diversité des œuvres, à développer le rayonnement culturel et à mettre en valeur le patrimoine du département », explique le Conseil départemental qui s’appuie tout particulièrement sur la Commission du Film Luberon Vaucluse, pour accompagner la réalisation de long-métrages, de séries, de documentaires et de films d’animation tournés ou produits en Vaucluse.
Pour cela, le Département a également signé une convention de coopération avec l’Etat, le Centre National du Cinéma et de l’Image Animée (CNC), la Région Sud, le Département des Alpes-Maritimes et la Métropole Aix-Marseille dans le cadre d’un plan global pour l’attractivité du territoire et l’essor d’un secteur économique en plein développement.
En effet, chaque euro dépensé par une collectivité pour un tournage génère 7,60€ de retombées pour le territoire (rémunérations, dépenses techniques, hébergements, etc).

L’opportunité de créer de nouvelles filières
Pour le Département l’objectif est donc de positionner le Vaucluse comme un acteur de la création cinématographique et audiovisuelle en France en attirant réalisateurs, artistes et techniciens, tout en mettant en lumière ses paysages uniques déjà présents dans de nombreux films ou séries.
La production d’œuvres pour le cinéma, les plateformes de streaming ou la télévision est aussi l’opportunité de créer de nouveaux débouchés professionnels avec des emplois qualifiés à la clé, poursuit le Conseil départemental de Vaucluse. Cette filière est d’ailleurs en plein essor avec l’implantation d’écoles reconnues internationalement et de nouveaux studios d’animation sur le Vaucluse. Ce plan s’articule également autour d’axes complémentaires : la sensibilisation des collégiens à l’image, le soutien à la diffusion, aux festivals et aux circuits itinérants ainsi que le développement des studios d’animation et des formations spécialisées. »


Cinéma : les premiers tournages soutenus par le Département dévoilés

Le mot figure dès 1993 dans une tribune du Vauclusien Jean Viard publiée dans Libération. Il l’appelait alors « La société d’archipel » et la définissait comme une figure qui cernait l’évolution de nos territoires individuels. Et trente ans plus tard, le sociologue revient sur la réflexion qu’il a prolongée avec ce livre-somme. Il fait le point en 445 pages sur les métamorphoses de notre société ces dernières décennies, la place de chacun, son interaction avec l’autre, passant de la ligne Maginot à la Chute du Mur de Berlin puis au mur érigé entre les États-Unis et le Mexique.

Un chapitre est dédié à la Provence, « Pays entre la mer Méditerranée et le massif alpin… C’est l’axe Nice / Marseille / Avignon, celui des capitales actuelles du pouvoir d’Etat, celui des TGV et des autoroutes. Un principe double, de mer et de montagne. » Les calanques côtières de Marseille, restée ville grecque d’un côté, de l’autre Aix-en-Provence, siège de l’Évêché, du Parlement, ville de la rente terrienne, de notaires et de juristes. L’aristocratique et la populaire à moins de 30 km de distance. L’une a dominé et géré la côte, la mer, le commerce, les croisières, la seconde l’intérieur, Cadarache et Iter.

Jean Viard zoome ensuite sur « Le Vaucluse », limité par la Durance au Sud et le Rhône à l’Ouest. « Quand la Révolution invente les départements, il n’y a pas de Vaucluse. » Les Pays du Luberon sont dans les Bouches-du-Rhône, le Nord du département dans la Drôme et le Comtat Venaissin encore au Pape. Quand le rattachement à la France est proclamé, le Vaucluse est dessiné autour du Comtat, Pertuis lorgne déjà vers Aix. Puis le pouvoir central est déplacé de Carpentras vers Avignon. Et le flux économique est drainé par le Rhône « où remontent sur Paris les fruits et légumes des maraîchers, les vins des vignerons. Là sont les grands marchés agricoles, Cavaillon, Châteaurenard. » Puis les MIN de Carpentras et d’Avignon.

Il évoque ensuite un nouvel ordre du temps où vitesse et santé ont boosté le mouvement de démocratisation du XXᵉ siècle avec « Logements chauffés, eau courante, bains, éclairage, stockage alimentaire, divertissements à domicile, études, moyens de transports. Avec l’électricité, la TV, les supermarchés, la poste, l’électroménager, l’information. » En 1900, la France comptait 3 000 véhicules (plutôt des diligences et des fiacres) et aujourd’hui 30 millions de voitures.

Jean Viard passe à ce fameux « Individu écologique » au milieu d’un monde d’une infinie diversité. « Comment lier la fragmentation en archipels de nos espaces-temps au sein d’une planète bornée, limitée et interactive ? Demande-t-il. Avons-nous une vision trop européenne ? Quelles réflexions communes entre un jeune Asiatique bousculé par un démarrage économique trop rapide ? Un Africain qui tente de se protéger du désespoir qui submerge son continent, du jeune Ukrainien qui ne sait pas encore s’il échappera à la guerre et une jeune des banlieues qui hésite entre le RSA et la dope ? Cela démontre justement ce qu’est un monde d’archipels. »

L’auteur habite dans le Vaucluse. « Entre deux cimetières, chacun distant de 20km, celui de Lourmarin où est enterré le Prix Nobel de littérature Albert Camus et celui de Manosque où repose Jean Giono. L’un est l’auteur de La Peste, l’autre du Hussard sur le toit qui se passe au temps du choléra. » Le grand confinement imposé pendant la pandémie a bouleversé nos vies, poursuit Jean Viard. « Je ne m’étais jamais servi de Zoom avant, ni de Skype. On est totalement immergés dans le chaudron numérique, Twitter a été inventé en 2007, Facebook organisé la même année et 38 millions de Français achètent par e-commerce. Huit milliards d’êtres humains ont vécu la même aventure de confinement. La pandémie a été un accélérateur de tendances, un lanceur d’alertes pour façonner un nouveau monde. »

Il poursuit : « Nous sommes face à un désir vital de radicalité : déménager, démissionner, se séparer, changer de métier, quitter son patron, voter pour des solutions extrêmes. Le CDI ne fait plus rêver. Deux ans après les Gilets Jaunes, le terrain demeure extrêmement glissant. Il va falloir apprendre à faire des compromis. Le journalisme inquisiteur ne remplace ni le travail d’enquête sur le terrain, ni la rigueur, ni la compétence. Passer en boucle des élus marginaux, des syndicalistes minoritaires et des citoyens protestataires ne représente par l’opinion, mais tente de la façonner et d’y mettre le feu », ajoute-t-il.

Jean Viard évoque alors un débat avec l’éthologue Boris Cyrulnik en juin dernier, au cœur du magnifique théâtre de Châteauvallon, à quelques encablures de Toulon, où, il y a une quarantaine d’années, l’historien Fernand Braudel avait longuement parlé de la civilisation méditerranéenne. Les deux hommes ont évoqué la baisse de la natalité. « Les femmes se sont libérées d’une domination grâce au travail, aux études où elles sont meilleures que les hommes et où les hommes se disent je n’ai plus besoin de faire tourner le foyer, bouillir la marmite. On voit se multiplier les décohabitations. Les jeunes filles issues de l’immigration sont au même niveau que les autres en deux générations, ce qui n’est pas le cas des garçons. Et le problème, c’est la natalité qui baisse, avec en prime peu, trop peu de crèches. A contrario, les pères d’aujourd’hui s’occupent davantage de leurs enfants et peuvent bénéficier d’un long congé parental. »

Jean Viard conclut : « Nous devons relier nos bribes d’appartenances, de genre, de culture, de religion, de nation, de continent pour nous rapprocher, nous rassembler. Mais pour y parvenir, voir plus loin que les brumes noires de l’actualité hystérisées par des réseaux numériques complotistes et manipulateurs, nous devons reprendre l’immense combat ‘pour faire humanité commune’, comme l’écrivait le philosophe sénégalais Souleymane Bachir-Diagne en 2016 ou comme l’a fait Nelson Mandela en construisant un pays post-apartheid ». Un double exemple porteur d’espoir pour ne pas nous emmurer chacun dans sa tour d’ivoire, son archipel.

Référence : ‘L’individu écologique‘ de Jean Viard – L’Aube éditeur 26€


Cinéma : les premiers tournages soutenus par le Département dévoilés

Suite à l’incendie dont la cathédrale Notre-Dame de Paris a été victime les 15 et 16 avril 2019, cette dernière va enfin rouvrir ses portes ce dimanche 8 décembre après une remise en état colossale. Trois entreprises vauclusiennes ont participé aux travaux de restauration, dont l’Atelier Quoirin, situé à Saint-Didier, spécialisé dans la réparation et l’entretien d’orgues.

Quelques jours après l’incendie qui a ému la planète entière au-delà des religions, des croyances et des cultes, dès le 23 avril 2019, Pascal Quoirin, facteur d’orgues installé depuis les années 70 à Saint-Didier, était sur place, à Paris, au chevet de Notre-Dame pour estimer les dégâts. « C’est un miracle, l’orgue n’a pas souffert ». Entre poutres calcinées à terre, gravats, plomb fondu, odeur de suie, alors que la température avait grimpé à 1000°C en hauteur, elle est restée basse à hauteur du soubassement. « Grâce aux thermomètres à mémoire, on sait que la chaleur ne l’a pas trop endommagé. D’ailleurs, il suffisait de souffler sur la surface empoussiérée par une matière comparable à du sable pour l’enlever », commente Pascal Quoirin qui est en ce moment à Paris pour prendre part à la cérémonie d’inauguration avec une cinquantaine de chefs d’Etats venus du monde entier invités à assister à cette « renaissance. »

L’histoire de la Cathédrale Notre-Dame de Paris débute au XIIᵉ siècle sur l’Ile de la Cité. Et celle des orgues en 1733. Elle évolue et s’enrichit en claviers, tuyaux et ingénierie au fil du temps. Ils échappent à la tourmente de la Révolution en 1789 grâce, paraît-il, à l’interprétation de musiques patriotiques comme La Marseillaise et Ça ira. Modernisation aussi avec l’architecte Eugène Viollet-Le-Duc qui demande en 1860 au célèbre facteur d’orgues Aristide Cavaillé-Coll de créer un instrument à quatre claviers et pédalier « suffisant pour les dimensions de cette église. » Il lui commandera une autre modification pour ce grand orgue qui comptera jusqu’à 86 jeux répartis sur cinq claviers. L’histoire se poursuit avec l’organiste Pierre Cochereau qui restera titulaire de ce magnifique instrument de 1955 à sa mort en 1984, pendant une trentaine d’années et qui conseillera son électrification et sa réharmonisation. 

Donc, en 2020, un an après l’incendie, l’Atelier Quoirin est principalement choisi pour entamer la restauration de cet immense orgue qu’il connaissait déjà. Et pour cause : il l’avait remis en état lors de la grande restauration commandée par le Ministère de la Culture dans les années Mitterrand. En 1992, le Ministre de la Culture, Jack Lang, confiera au Cardinal Lustiger les clés de cet ‘Orgue 2.0’ et de ses 7 952 tuyaux gérés par sept ordinateurs.

Cette équipe d’artisans hors du commun (menuisiers, ébénistes, charpentiers, sculpteurs, tuyautiers, harmonicistes) est appuyée par des ingénieurs, mécaniciens, informaticiens et spécialistes de fonderie. Puisque les tuyaux de toutes tailles sont un mélange d’étain, de cuivre et de plomb, avec des formes multiples. Les soufflets et les mécanismes qui relient les milliers de pièces et inter-réagissent, à partir des impulsions des mains de l’organiste, mais aussi de ses pieds sur les claviers, boutons et pédales pour créer des sons qui invitent à la spiritualité et au recueillement. C’est à la fois sportif et artistique.

Avec une vingtaine de compagnons de l’Atelier vauclusien, la remise en état, entamée en 2020, a duré jusqu’à ces dernières semaines. Une longue dépose du matériel et un minutieux nettoyage de la poussière de plomb qui a recouvert les orgues le jour de l’incendie, ce fameux lundi 15 avril 2019. Puis l’équipe a participé avec Pascal Quoirin, le patron, au réaccordage du plus grand instrument de France, de ses 115 boutons, cinq claviers et 8 000 tuyaux répartis sur 3 étages et qui mesurent jusqu’à 10m de haut.

Pascal Quoirin, qui a créé son atelier dans le Comtat à Saint-Didier en 1970, affiche un bilan qui fait rêver. Sa 1ʳᵉ réalisation a été l’orgue de la Cathédrale Saint-Siffrein à Carpentras. Suivront celui du Temple Saint-Martial à Avignon, de la Collégiale de Roquemaure, de la Cathédrale de Montauban. Il a aussi créé de toutes pièces celui de la Salle de concerts de Hamamatsu au Japon, du Conservatoire de Genève, de l’Académie de Musique Ancienne de Mexico, de l’Église de l’Ascension à New-York comme d’autres lieux de cultes en Espagne et Bolivie. Mais aussi en France, à Bordeaux, Fréjus, Saint-Maximin, Lyon, Evreux, Saint-Rémy de Provence. De même, pour l’orgue de la Cathédrale Notre-Dame de Nazareth d’Orange, qui date de 1551 et avait été reconstruit en 1912. Avec ses 1 000 tuyaux, il a récemment fait l’objet d’une remise en état globale par la Manufacture Quoirin, réputée dans le monde entier pour la qualité de son travail. Grâce à Pascal Quoirin et la quinzaine d’artisans et techniciens hautement qualifiés qu’il a choisis et formés et qui font rimer tradition et modernité. Une entreprise devenue SCOP (Société Coopérative et participative) pour que la transmission de ce savoir-faire unique perdure éternellement, comme Notre-Dame de Paris. 

Contact : Rue des Artisans – 84 210 Saint-Didier / 04 90 66 04 16


Cinéma : les premiers tournages soutenus par le Département dévoilés

Les notaires de Vaucluse participent à l’action de communication nationale de la profession, ‘Les 3 jours de la Famille’, mardi 10, jeudi 12 et vendredi 13 décembre. Mission : proposer des consultations et des conseils gratuits.

Ces consultations et conseils gratuits seront donnés les mardi 10 décembre, lors d’une émission sur France Bleu Vaucluse de 9 h à 10 h, Jeudi 12 décembre de 16h à 18h, et vendredi 13 décembre de 10h à 12h, par téléphone au 04 90 85 24 00. Les notaires répondront à l’ensemble de vos questions concernant la famille : union (mariage, pacs, concubinage) ; filiation et adoption ; protection ; donation ; succession ; séparations… Leurs consultations et conseils sont gratuits et anonymes.

«Dans un contexte où l’incertitude plane sur l’évolution future de la fiscalité des donations et successions, il semble opportun par exemple de réfléchir à d’éventuelles transmissions anticipées et de ne pas différer vos projets. Nous sommes à votre disposition pour approfondir la réflexion et optimiser tous vos projets en la matière.» détaillait Alexandre Audemard, président de la Chambre des notaires de Vaucluse.  


Cinéma : les premiers tournages soutenus par le Département dévoilés

Les festivités de Noël 2024 sont officiellement lancées ! Tout au long du mois de décembre, retrouvez sur cette carte interactive mise à jour régulièrement le programme des festivités de Noël de Vaucluse et du bassin de vie d’Avignon.

La carte interactive des festivités de Noël de Vaucluse.




Cinéma : les premiers tournages soutenus par le Département dévoilés

Harmonie Mutuelle a organisé la 5ᵉ édition de son Prix Santé Entrepreneurs qui récompense les projets d’entrepreneurs ayant pour objectif d’améliorer leur santé, mais aussi celle de leurs collaborateurs et de leurs clients. C’est une entreprise vauclusienne qui a remporté le 1ᵉʳ prix national.

Chaque année, Harmonie Mutuelle valorise, à travers son Prix Santé Entrepreneurs, les initiatives menées dans les territoires en faveur de la santé, de la solidarité et de la transition écologique. Ce sont six entrepreneurs qui ont été récompensés lors de l’édition 2024.

Du 1ᵉʳ juin au 25 septembre derniers, près de 300 entrepreneurs, répartis sur l’ensemble du territoire, ont concouru afin de présenter les initiatives. Trois lauréats ont été récompensés en région Provence-Alpes-Côte d’Azur dont l’entreprise Les Monocyclettes, basée à la Bastide des Jourdans. Parmi les 32 lauréats dans les différentes régions, 3 lauréats nationaux, dont l’entreprise vauclusienne, ont été choisis par le public et par les membres de la commission Harmonie Mutuelle Entrepreneurs et ont reçu un prix. Trois autres projets ont également été récompensés par le Prix ‘Coup de cœur de la commission Harmonie Mutuelle Entrepreneurs’, le Prix ‘Coup de cœur des Experts-comptables’ et le Prix ‘Coup de cœur de la transition écologique’.

Les Monocyclettes, fondées par Angélique Lecomte en 2019, ont reçu le 1ᵉʳ Prix national Santé Entrepreneurs. Cette entreprise est une marque de lingerie post-mastectomie spécialisée dans le concept de soutien-gorge mono-bonnets modulables, personnalisables et ergonomiques. Ce prix la récompense pour son engagement en faveur des femmes atteintes du cancer du sein. Angélique a également reçu un chèque de 5 000€ qui lui permettra de continuer à œuvrer pour la mise en œuvre de nouvelles gammes. « Avec le soutien d’Harmonie Mutuelle, nous allons pouvoir poursuivre nos objectifs dans ces prochains mois en créant une gamme balnéaire pour l’été prochain et en développant notre offre avec de nouveaux modèles, conclut la fondatrice des Monocylettes. Nous envisageons également d’étendre notre offre aux femmes ayant une asymétrie mammaire naturelle, afin de leur proposer (enfin) une alternative à la chirurgie mammaire. »


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L’entreprise Nicollin a repris le 1ᵉʳ novembre dernier la prestation de collecte des déchets dans six communes du Grand Avignon, pour les six prochaines années. Dès ce lundi 2 décembre, les jours de ramassages vont changer pour les communes de Vedène, Le Pontet, Sauveterre, Jonquerettes et Velleron.

Le ramassage des déchets à Jonquerettes, Le Pontet, Saint-Saturnin-lès-Avignon, Sauveterre, Vedène et Velleron, est effectué par l’entreprise Nicollin qui a repris cette prestation suite à la défaillance de l’entreprise Eco-déchets. Cette dernière effectuait certaines collectes l’après-midi, mais le ramassage étant plus avantageux tôt dans la matinée pour éviter la circulation aux heures de pointe ou pour ne pas laisser les conteneurs remplis trop longtemps sur l’espace public, le programme de collecte va être réorganisé à partir de ce lundi 2 décembre pour certaines communes du Grand Avignon.

Les communes de Jonquerettes, Le Pontet, Sauveterre, Vedène et Velleron sont concernés par ces changements. Le programme de ramassage pour la commune de Saint-Saturnin-lès-Avignon, lui, reste inchangé. Si les fréquences des tournées restent les mêmes, les jours de collecte, eux, vont être modifiés. Afin d’éviter les confusions, les habitants concernés ont reçu un flyer et un calendrier de collecte dans leur boîte aux lettres.

Les changements à compter du 2 décembre

La collecte des ordures ménagères :

  • Le mardi matin pour Jonquerettes.
  • Le vendredi matin pour Velleron.
  • Le mercredi matin pour le secteur 1 de Vedène, le mardi matin pour le secteur 2, et le lundi matin pour les secteurs 3, 4 et 5.
  • Le lundi matin pour les secteurs 1, 2, 3 et 7 du Pontet, et le mardi matin pour les secteurs 4, 5 et 6.
  • Le mercredi matin pour Sauveterre.

La collecte du tri :

  • Le mercredi matin pour Jonquerettes.
  • Le vendredi matin pour Velleron.
  • Le jeudi matin pour Vedène.
  • Le mercredi matin pour les secteurs 1, 2 et 3 du Pontet, et le vendredi matin pour les secteurs 4, 5, 6 et 7.
  • Le jeudi matin pour Sauveterre.

Cinéma : les premiers tournages soutenus par le Département dévoilés

Après le rassemblement de la semaine dernière, les agriculteurs de Vaucluse se mobilisent à nouveau pour une manifestation à Avignon. La circulation risque être particulièrement difficile en début de matinée sur la route de Marseille ainsi qu’aux abords de la préfecture.

A l’appel des Jeunes agriculteurs de Vaucluse et de la FDSEA 84 (Fédération départementale des syndicats d’exploitants Agricole), ce rassemblement se déroulera ce mercredi 27 novembre devant la Chambre d’agriculture de Vaucluse située dans la zone d’activités d’Agroparc.
Attendus avec leur tracteurs et leurs bennes, les agriculteurs réclament « de stopper les sur-contraintes et la surrèglementation ».

Notre fin sera votre faim
« Nos revendications demeurent inchangées, expliquent les représentants du monde agricole locale. Des mesures conjoncturelles et de trésorerie pour soutenir les agriculteurs et les agricultrices, une simplification administrative drastique par des mesures à la main du gouvernement, légiférer pour remettre le gout d’entreprendre au cœur des politiques agricoles, stop aux incohérences européennes et mondiales : pour redonner une ambition à la souveraineté alimentaire européenne. »
Le cortège partira d’Agroparc vers 8h pour rejoindre le centre-ville et bloquer les administrations, les agences et les services de l’Etat. Au moins, deux points d’arrêt sont prévus.

Crédit : DR/Jeunes Agriculteurs de Vaucluse/FDSEA 84/Facebook

Cinéma : les premiers tournages soutenus par le Département dévoilés

À l’occasion de la parution des Carnets de voyage ‘Sud Luberon’ et ‘Ventoux, des terres au sommet’, l’équipe du Petit Futé a également présenté les prochains guides Vaucluse et Provence, dont la parution est prévue au printemps 2025, dans les salons du prestigieux Hôtel de La Mirande à Avignon.

Petit Futé devenu grand

Le Petit Futé, toujours détenu par ses deux fondateurs Dominique Auzias et Jean-Paul Labourdette, n’en finit pas de voyager et de grandir. Le temps est loin où ces deux étudiants lancèrent en 1976 la première édition du Petit Futé, un guide des bonnes adresses de la ville de Nancy. Près de 50 ans plus tard, la collection s’est étoffée : Carnets de voyage, City book, City-guides, Country guide, Mag, guides thématiques qui vont du chocolat aux circuits en camping-car… et des services comme se créer un guide de voyage personnalisé avec Mypetitfute.fr. Avec 130 salariés et 800 pigistes dans le monde entier, le Petit Futé couvre 192 pays sur 195 reconnus par l’Organisation des Nations Unies.

Passage au Web

Quand le Petit Futé passe au web en 2000, c’est déjà un précurseur dans le monde de l’édition des guides de voyage. Encore aujourd’hui, tout est en accès libre et gratuit et « nous sommes les seuls éditeurs francophones à proposer ce service », ajoute fièrement Michel Granseigne, responsable régie locale. « En 2023, on a pu compter 66 000 000 visiteurs dont 6 500 000 d’étrangers. Le temps moyen sur le site est de 3 minutes et 43 secondes, ce qui est énorme. On est bien référencé, 80% des internautes arrivent par le moteur de recherche. Il y a 430 000 opt-in actifs : l’opt-in actif oblige l’internaute à cocher une case qui autorise l’éditeur du site à le contacter par émail ou par SMS pour recevoir des offres du Petit Futé. »

Une communauté active

On peut compter 1 950 000 membres de la communauté Petit Futé dont 600 000 abonnés à la newsletter hebdomadaire, 700 000 membres sur les réseaux sociaux.  Cette newsletter se veut un magazine de suggestion pour de nouvelles destinations ou de nouvelles pratiques thématiques. 

Les petits derniers de la collection : ‘Carnets de voyage’

Comme son nom l’indique, le carnet de voyage est une édition de poche, du sur-mesure qui permet de découvrir un territoire ou une thématique. « C’est un guide pratique :  adresses, portraits, photos sans sacrifier à une qualité rédactionnelle qui donne envie d’explorer le territoire. »

Carnets de voyage « Ventoux, des terres au sommet »

« C’est un guide qui va à l’essentiel, celui du Ventoux est offert via les offices de tourisme des communes du Ventoux », précise Véronique Dardoize, responsable d’édition. Le Parc naturel régional du Mont-Ventoux, créé en 2020, nous évoque instantanément son plus haut sommet à la couleur calcaire si particulière. Trônant à 1912 mètres d’altitude, il est pris d’assaut par les cyclistes du monde entier dès la belle saison… Mais ce carnet de voyage dépasse la notoriété d’une appellation : Ventoux. Il nous emmène dans les chemins de traverse et nous découvrons aussi bien une randonnée qu’une bonne table, une chapelle qu’une association de spéléologie.  

Carnet de Voyage ‘Sud Luberon’

Après le Carnet de Voyage Luberon classique (Luberon nord et Luberon sud) qui va sortir en novembre 2024, ce carnet Sud Luberon est une édition sur mesure à destination des nouveaux arrivants et des habitants. Il nous emmène dans le Sud du Luberon, plus précisément entre Durance et Pays d’Aigues pour découvrir ses 16 communes de caractère. 

Avec les City book, finies les mauvaises surprises !

Guide de ville, puis city-guide et enfin city book en 2018 avec un « relookage » en 2023, cette collection qui compte 35 villes en France est un guide à destination de ses habitants. Beaucoup de mairies l’offrent aux nouveaux arrivants de leur commune. On va trouver des adresses de tous les jours : coiffeur, boulanger, école, cordonnier etc… Mais aussi un agenda des rendez-vous incontournables de l’année. Un format adapté à feuilleter sur une table à la maison avant de se décider pour une course, une visite ou un loisir.

Le parti pris ici est d’être interactif : en chargeant une application dans le navigateur de son smartphone, on prend en photo un pictogramme qui nous donne accès à un contenu additionnel. Ainsi finies les mauvaises surprises : on consulte le menu du jour du restaurant, les fermetures exceptionnelles d’un musée ou une promotion dans un magasin. L’édition city book sur Marseille en parution 2024 est particulièrement attractive : belles photos, papier lisse, idées d’escapade, et coups de cœurs sincères. La périodicité annuelle, la diffusion nationale et les deux versions (papier et numérique) à prix accessible achèvent de le rendre attractif.

Le Petit Futé dans six régions de France

Cette collection sortie en 2023 se veut à mi-chemin entre le beau livre et le guide. Il s’adresse plutôt au touriste francophone qui veut voyager à environ une heure autour de chez soi. On est sur une notion de proximité, sur une idée de tourisme durable et responsable.

Le Mag

Depuis 19 ans, le Mag sort deux fois par an, en kiosque, mais il est également offert sur des salons, car ce sont des ouvrages sur mesure, avec des reportages conçus pour inspirer des destinations nouvelles. 

Le country guide, conçu par les acteurs du cru

Lancés en 1992, les country-guides du Petit Futé sont des guides de voyage sur les pays étrangers. La force éditoriale de cette collection est qu’elle est conçue par des auteurs du cru : une destination, un auteur ! « Les country-guides ne cessent d’investir de nouveaux horizons et proposent aujourd’hui encore des destinations sur lesquelles aucun guide n’existe. Ainsi, après plus de 20 ans de travail et 209 destinations, les country-guides sont la plus importante collection francophone en nombre de titres… et le défrichage continue ! »

https://www.echodumardi.com/tag/vaucluse/page/31/   1/1