18 mai 2024 |

Ecrit par le 18 mai 2024

Château de Massillan : luxe, calme et volupté dans un havre de paix 100% zen à Uchaux

« Ce lieu chargé d’histoire est bien plus qu’une escapade en Provence. C’est une philosophie, un art de vivre bio-écologique et écoresponsable. » C’est ce que dit, en prologue, à une visite de cet ancien relais de chasse offert en 1555 par Henri II à Diane de Poitiers, Didier Perréol, le propriétaire du Château de Massillan. Un entrepreneur ardéchois et autodidacte, engagé tout au long de sa vie professionnelle dans le développement de la filière bio et aujourd’hui, à la fois jeune marié et jeune retraité. 

Avec son château de pierres blondes, ses 2 tours crènelées, son parc arboré, ses platanes et marronniers centenaires et son potager de 4 000 m² aux 500 variétés de fruits et légumes bio, d’herbes aromatiques, serres pour végétaux anciens et une immense verrière qui sert de poulailler.

Massillan, c’est un concentré de bonheur ambiant avec ses 32 chambres et suites, classiques ou design, des fibres nobles comme le lin, le chanvre et le coton nature pour les parures de couchage, les serviettes et les rideaux, du chêne massif pour le mobilier, le parquet et les escaliers, une literie haut de gamme 100% Made in France, des peintures à la chaux teintées de pigments naturels, un éclairage doux à basse consommation, mais aussi des espaces « Feng Shui » orientés en fonction des points cardinaux qui insufflent énergie et harmonie.

« Ici, tout est pensé pour que les visiteurs ressentent du bien-être, se relaxent, se détendent, lâchent prise, explique Didier Perréol. C’est un lieu de vie nature, équilibré, au cœur d’une oasis de verdure et à l’écart du bruit même si les autoroutes A7 & A9 ne sont pas loin. »

Pas moins de cinq ans de travaux de rénovation ont été nécessaires pour cet écrin de pierre et de verdure, envahi de ronces au début de cette aventure humaine. Ensuite, au milieu des 10 hectares, des platanes et des oliviers, se sont révélés des bosquets, des pelouses et des massifs de fleurs. Une reconstruction avec des artisans au savoir-faire indéniable, sélectionnés par le patron, un ardéchois exigeant qui a voulu concilier art de vivre et respect de l’environnement. Notamment dans le spa de 600 m² avec un hammam et deux saunas, des cabines de massage, des douches multi-jets, une fontaine de glace revigorante, une cascade d’aquabike, un centre de fitness avec équipements en bois rare et deux gros fauteuils de relaxation massants et chauffants pour se ressourcer, une piscine à l’intérieur et une autre sur le toit avec vue à 360°. Le bassin du spa est chauffé avec un système de géothermie qui récupère la chaleur à 100 mètres de profondeur grâce à 16 forages. Et le tri sélectif est systématique pour le verre, les papiers, cartons, plastiques et les matières végétales sont recyclées ou valorisées.

Côté cuisine, les gourmets ont le choix entre bistronomie et gastronomie. Le chef, Sébastien Nouveau, puise son inspiration dans le potager du jardinier-maison, Damien. Un passionné qui veille sur ses oliviers, ses artichauts violets, ses courges, ses lavandes, ses lauriers, ses romarins, son aneth ou son thym. « Avec le chef et le pâtissier, nous concoctons une carte qui met en valeur les fruits et légumes de saison, certifiés ‘Ecocert’, les framboises, fraises, groseilles et fleurs de sureau et d’acacia qui décorent nos assiettes et surtout apportent du goût. »

Des producteurs exclusivement locaux sont mis à l’honneur. Culture maraîchère et production fermière du Mont-Ventoux, agneaux de la Crau, fromages affinés de Bollène, asperges et truffes d’Uchaux, petit-épeautre de Haute-Provence, riz de Camargue, châtaigne d’Ardèche, huile d’olive bio et vin maison du Domaine de La Guicharde qui appartient aussi à Didier Perréol.

« Ici, c’est un lieu d’échanges, où des salles de réception, de séminaires, de cérémonies, mariages, anniversaires ou comités de direction (de 250 m² & 450 m²) sont aménagées avec vue imprenable sur le parc », conclut Didier Perréol. Il a investi autour de 10M€ pour que ce Château de Massillan devienne le refuge douillet d’une clientèle éprise d’un bonheur champêtre et raffiné. Et il a réussi.

Didier Perréol

Contact : contact@chateaudemassillan.fr / 04 90 40 64 51


Château de Massillan : luxe, calme et volupté dans un havre de paix 100% zen à Uchaux

Le mardi 14 mai 2024, à 17h se tiendra la première édition d’un nouveau format de rencontres culturelles à l’Université d’Avignon qui s’articulera autour du thème « L’Université, un lieu de création ». Une masterclass qui accueillera trois invités prestigieux : Claire Chazal, Lucie Marinier et Ernest Pignon-Ernest.

L’Université d’Avignon continue de développer et de placer sa politique culturelle au cœur de ses préoccupations en proposant une programmation ouverte sur son territoire. Le mardi 14 mai 2024, un nouveau type de rencontres culturelles sera intronisé sur le campus Hannah Arendt, au centre-ville d’Avignon. Ce premier rendez-vous sera abordé sous le prisme de l’université comme lieu de création. 

Pour cette première édition, la journaliste télévisuelle Claire Chazal, la professeure du Conservatoire national des arts et métiers (CNAM) Lucie Marinier et l’artiste français Ernest Pignon-Ernest seront invités à partager leurs expériences autour de la thématique de l’espace public comme lieu de création et de construction d’une culture commune. Cette masterclass sera également animée par Bertrand Dicale, directeur général de News Tank Culture. Un point presse en présence des invités se tiendra de 16h à 16h45, il précèdera la rencontre qui se tiendra à 17h. 

Trois masterclass pour trois thématiques 

Durant l’après-midi, trois conférences distinctes qui auront des thématiques différentes seront animées par chaque invité à destination des étudiants du territoire. Ernest-Pignon-Ernest, artiste plasticien s’occupera d’une masterclass sur le pouvoir culturel de l’art urbain, Claire Chazal tiendra une conférence qui aura pour thème la force de l’émancipation de la culture quand Lucie Marinier se chargera d’une masterclass sur la vie et la mort des œuvres d’art dans l’espace public. 

Ce nouveau type de rencontres insufflé par Avignon Université permet de renforcer le dialogue et les liens culturels avec les acteurs du territoire. À l’heure des grandes mutations dans le champ de la culture, des arts et des sciences, l’université souhaite rester un lieu d’échanges, de diversité et de création, où les étudiants forgent leur identité intellectuelle et sociale.

Infos pratiques : « L’Université, lieu de création ». Mardi 14 mai à 17h. Université d’Avignon, Campus Hannah Arendt, 74 rue Louis Pasteur, Avignon.


Château de Massillan : luxe, calme et volupté dans un havre de paix 100% zen à Uchaux

Ce mercredi 8 mai, la Ville de Vaison-la-Romaine organise une nouvelle édition des Fleuralies, un grand marché aux fleurs et au mobilier de jardin. Au programme : des expositions, des ateliers et des animations sur le thème de la nature et des plantes.

Un atelier de confection de cartes ensemencées (papier 100% biodégradable conçu pour être planté après utilisation), fabriquées à partir de papier recyclé auquel on ajoute des graines de fleurs ou d’herbes aromatiques sera proposé. De 10h à 11h30, il sera possible de réaliser et de repartir avec des sirops artisanaux à base de plantes et de fleurs. Un troisième atelier permettra de fabriquer des bombes à graines à base d’argile.

En plus des ateliers, le public pourra profiter d’une exposition de photographies et d’œuvres sur le thème des plantes réalisées par Mimmo Attademo et Fiorenzo Ferreri. L’exposition sera en place jusqu’au 18 mai à la médiathèque André Thès. Toute la journée, des manèges et des jeux en bois seront en accès libre.

Mercredi 8 mai. De 9h à 16h. Place Burrus et sa contre-allée. Vaison-la-Romaine.


Château de Massillan : luxe, calme et volupté dans un havre de paix 100% zen à Uchaux

L’entreprise vauclusienne Kookabarra, basée à Cavaillon et spécialisée dans la production de jus de fruits et de légumes frais pressés à destination des professionnels de la restauration, accueille un nouveau directeur commercial. Le PDG fondateur, Jérémie Marcuccilli, a nommé Alexandre Roussel à ce poste.

Avec le recrutement d’Alexandre Roussel en tant que directeur commercial, Jérémie Marcuccilli a un objectif de structurer les process de commercialisation pour être davantage présent sur le marché CHR et préparer l’entreprise au B to C. « À l’approche des 20 ans d’existence de Kookabarra, nous nous inscrivons de plus en plus parmi les grandes références sur notre marché, affirme Jérémie Marcuccilli. Toutefois, j’ai la certitude que nous pouvons asseoir davantage notre expertise et nos pratiques innovantes. Alexandre Roussel a le profil et l’expérience idéale pour nous aider à atteindre nos objectifs. »

Petit-fils de grands-pères vigneron et chocolatier-pâtissier-glacier, Alexandre Roussel a un certain attrait pour l’agroalimentaire depuis toujours, ainsi que pour les produits locaux et le terroir. Il était d’ailleurs déjà dans ce secteur depuis 11 ans avant d’intégrer l’équipe de Kookabarra puisqu’il a travaillé en tant que chef de secteur chez Jean Stalaven, au sein du groupe Eckes-Granini, chez la Boulangère et au sein du Groupe Panzani, et il a occupé le poste de responsable commercial Sud-Est chez Ponthier et chez PCB Création.

Alexandre Roussel a été séduit par les valeurs de l’entreprise cavaillonnaise, mais aussi par ses produits, qui sont majoritairement sourcés dans un rayon de 30 km. « Chez Kookabarra, j’ai retrouvé une convivialité et un fort esprit sportif qui me correspondent tant sur le plan personnel que sur le plan professionnel, déclare-t-il. Travailler aux côtés de Jérémie Marcuccilli s’annonce être une expérience dynamisante et riche en enseignements. »


Château de Massillan : luxe, calme et volupté dans un havre de paix 100% zen à Uchaux

Le festival de musique électronique Insane revient pour une nouvelle édition du mercredi 8 au samedi 11 mai à Apt. Installé près du plan d’eau depuis 2018, l’événement devrait encore accueillir plus de 50 000 personnes cette année.

Cette année, ce n’est pas dans la chaleur étouffante du mois d’août que les festivaliers du monde entier vont se réunir pour le festival Insane à Apt, mais dans la fraîcheur printanière du mois de mai. En raison de l’organisation des Jeux Olympiques en France cet été, le festival aptésien a dû être avancé de quelques mois. Un mal pour un bien puisque ce changement devrait pallier le problème de chaleur qui est souvent évoqué par les festivaliers qui viennent d’habitude au mois d’août.

Le festival débutera donc ce mercredi 8 mai. Durant quatre jours, le public bénéficiera d’un site réaménagé, d’une programmation qui se veut plus proche de lui, de plus de DJs, moins de gros concerts, et d’une diminution journalière du nombre de festivaliers. Cette année, l’événement n’en accueillera que 13 000 par jour. Le but étant d’optimiser le confort et la sécurité de tous, mais aussi de diminuer l’impact environnemental global du festival.

Un événement repensé

Le site qui accueille la manifestation musicale sera divisé en deux parties qui ont été toutes deux intégralement repensées. D’un côté, il y aura la partie festival qui comptera trois scènes, un village avec des stands pour diverses informations et les partenaires, des foodtrucks, une zone réservée à la prévention, une ‘safe zone’, une ‘zone chill’, ainsi qu’une ère réservée à des animations en tout genre.

De l’autre côté, le public trouvera la partie bivouac qui pourra accueillir jusqu’à 8 000 campeurs avec une zone pour les douches, une ‘zone chill’, un minibar, un stand réservé au petit-déjeuner, une zone réservée à la prévention et une ‘safe zone’. Cet espace verra son contrôle d’accès renforcé, son éclairage augmenté et un système de douches repensé.

Cette année, il n’y aura pas de scène au sein l’espace bivouac. Ainsi, les trois scènes, qui seront dans la partie festival, seront accessibles à tous les festivaliers durant toute la durée de l’événement.

La programmation

Comme chaque année, la programmation du festival se veut éclectique, pour plaire au plus grand nombre, et mélange des artistes déjà familiers avec l’événement, et d’autres pour qui c’est une nouveauté. Sur scène, le public pourra donc retrouver Diøn, Eshka, Ygnor, Vladimir Cauchemar, Åmrtüm, Dimitri K, Neelix, ou encore Prince Waly.

Les artistes féminines seront aussi nombreuses à faire le show sur scène. Les festivaliers pourront danser sur les sons de La Kajofol, Hosti, Lesss, Uphoria, Bērangēre, Pozclope, et bien d’autres.

Un public à l’image de la programmation

Cette année, les organisateurs de l’Insane ont voulu établir une programmation plus proche de son public. Ainsi, il y a presque autant d’artistes féminines que masculins. À l’instar des festivaliers, qui sont à 46% des femmes et à 54% des hommes.

L’événement voit aussi des festivaliers de tous les âges. 9.4% ont entre 16 et 20 ans, 46.4% entre 21 et 25 ans, 25.9% entre 26 et 30 ans, 9.8% entre 31 et 35 ans, et 8.5% ont plus de 35 ans. S’ils viennent majoritairement du Sud de la France (36% de Provence-Alpes-Côte d’Azur, 22% d’Auvergne-Rhône-Alpes, 15% d’Occitanie), les festivaliers viennent tout de même de tout l’Hexagone.

Un festival en faveur de la transition écologique

Chaque année, l’Insane déploie de nombreux efforts pour réduire son impact environnemental en termes de mobilité, recyclage, énergie, ou encore biodiversité. En matière de mobilité, le festival propose une plateforme de covoiturage, ainsi que des billets qui combinent le transport et l’entrée du festival, et des navettes Avignon-Apt. Le site de l’événement dispose également d’un parking vélo sécurisé avec la possibilité de réparer son vélo sur place. Enfin, l’Insane participe à l’enquête nationale ‘Festivals en mouvement’ qui a pour objectif de diminuer l’impact environnemental des transports dans les festivals.

Le festival tient aussi à sensibiliser les festivaliers, mais aussi ses bénévoles et salariés, quant à la réduction et le tri des déchets. L’Insane s’engage d’ailleurs à restituer le site propre maximum 48h après la fin de l’événement. Le festival a élaboré une charte d’engagement écoresponsable à destination des foodtrucks et partenariat avec l’agricultrice voisine pour le catering.

Comme l’année dernière, l’Insane s’est fixé comme objectif de réduire la part de groupes électrogènes, d’installer uniquement des toilettes sèches à destination du public et de récupérer l’eau restante des citernes incendies pour les agriculteurs locaux. Accompagné du Parc Naturel Régional du Luberon, le festival organise aussi une campagne de sensibilisation à la biodiversité et à la protection de l’environnement.


Château de Massillan : luxe, calme et volupté dans un havre de paix 100% zen à Uchaux

La structure avignonnaise Aladdin Concept, spécialisée dans l’abri de piscine depuis plus de vingt ans, a annoncé que l’ensemble de ses productions d’abris seront désormais conçues en aluminium recyclé. C’est la première entreprise de ce secteur qui va procéder à cette méthode de production, ce qui vient confirmer son désir d’engagement environnemental et contribuer à la transition écologique via ses activités.

L’entreprise « made in Provence » Aladdin Concept va modifier sa chaine de production en fabriquant des abris de piscine 100% recyclé et ainsi réduire l’empreinte carbone de ses réalisations. Avec ce nouveau système, l’empreinte carbone du matériau est divisée par trois, passant de 8,6 kg de CO2/kg (ce qui est la moyenne européenne) à 2,95kg de CO2/kg. Une avancée considérable pour réduire l’empreinte carbone de la firme vauclusienne. 

Cette innovation est dans la ligne directrice insufflée par Aladdin Concept depuis son ouverture. L’entreprise avignonnaise a toujours eu à cœur de mettre en place des stratégies visant à répondre aux questions environnementales, en particulier celles liées à la réduction de l’empreinte carbone. Toutes les chutes d’aluminium émanant de sa production sont envoyées au recyclage et envoyées au recyclage au sein d’une entreprise locale spécialisé dans le traitement des déchets métalliques, et ce, depuis plusieurs années. La firme utilise cette même technique pour les chutes de polycarbonate. 

Lors du chantier de pose de l’abri, aucun déchet n’est généré. Les abris Aladdin sont en effet livrés déjà assemblés, sanglés directement sur la remorque. Aussi, le seul déchet produit est le film de protection plastique, servant à protéger les plaques de polycarbonate pendant le voyage. Ces derniers sont également recyclés directement dans l’usine de production à Avignon.


Château de Massillan : luxe, calme et volupté dans un havre de paix 100% zen à Uchaux

Encouragée par le succès de la Dizaine palestinienne de l’année dernière (du 13 au 22 mai 2023), l’association avignonnaise Présences palestiniennes renouvelle cette année l’expérience et organise pendant huit jours, du mardi 7 au mardi 14 mai, une série d’événements autour de la culture palestinienne.

Devenue ainsi une Huitaine palestinienne, cette semaine culturelle, manifestation inspirée par les semaines italienne, provençale et libanaise qui se tiennent régulièrement depuis plusieurs années à Avignon, prend cette année, en 2024, une résonance particulière. La guerre qui sévit depuis plus de six mois, outre les massacres des populations civiles, détruit aussi des richesses culturelles et tout ce qui constitue le patrimoine national d’un peuple, du peuple palestinien en l’occurrence. 

Mieux connaître la culture palestinienne, à la fois ancienne et ouverte sur le monde contemporain, riche, mais souvent occultée

Mieux la faire connaître, tel est le but de cette Huitaine palestinienne proposée par l’association Présences palestiniennes créée en 2014. En partenariat avec des lieux culturels d’Avignon, cette huitaine veut témoigner de la vitalité résistante de la culture palestinienne, et mettre en valeur l’image positive d’une société et d’un peuple qui vit, aime, travaille, qui a le sens de la fête et de l’hospitalité, un peuple dynamique et cultivé qui réussit à vivre malgré les difficultés.

Conférence à la Maison Jean Vilar : François Abou Salem, faire théâtre pour faire nation

Homme de théâtre français installé en Palestine, François Gaspar, dit Abou Salem, a consacré toute sa vie à l’émergence du courant théâtre palestinien et à sa pérennisation. Najla Nakhlé-Cerruti, agrégée d’arabe et chercheuse au CNRS présentera sa trajectoire singulière à partir des archives qu’il a laissées à sa mort et hébergées au Théâtre National Palestinien/El-Hakawati, actuellement l’unique théâtre palestinien en activité à Jérusalem.
Mardi 7 mai. 18h. Entrée libre. Maison Jean Vilar. Rue de Mons. Avignon.

La traditionnelle exposition du Pont de l’Ascension qui a lieu à Avignon depuis 2016 

Après les artistes plasticiens de 2022, la broderie palestinienne de 2023, ce sera l’exposition de photographies intitulée « Gaza avant, Gaza maintenant », qui sera présentée au Temple Saint Martial.

L’exposition est accompagnée par une sélection de Gaza Stories (1h) projetées en boucle. Le dernier jour de l’exposition – dimanche 12 mai à 15h — rencontre en visio avec le réalisateur Iyad Alasttal suivie d’un goûter palestinien.
Du Jeudi 9 au dimanche 12 mai de 12h à 17h. Temple Saint Martial. 2 Rue Jean Henri Fabre. Avignon.

Une projection-débat au Cinéma Utopia

À Battir, en Cisjordanie, village-musée à ciel ouvert pour ses cultures en terrasse, François Ducat, documentariste qui organise des ateliers vidéo avec les lycéens, y revient suivre leur évolution. Il interroge alors trois jeunes, deux garçons et une fille : comment voyez-vous votre avenir à Battir ? Quitter ou servir son pays ?..

La projection sera suivie d’un débat avec les réalisateurs François Ducat et, sous réserve, SalahAbunima.
Vendredi 10 mai. 20h30. Tarif Utopia. 

Mélodies et chants du Levant au Château Saint Chamand

Le duo Ya Loz Akhdar (Oh, l’amande verte), composé de Basela Abou Hamed et Kader Denednia, interprète des mélodies traditionnelles comme des chansons plus récentes qui évoquent la culture et la vie des Palestiniens et inspirent l’amour et l’espérance.

Le concert sera suivi de la projection du documentaire de Basela Abou Hamed, L’Odeur perdue. Ce documentaire de 8min30 évoque les odeurs de cuisine et des denrées dans des échoppes et sur leurs éventaires dans le camp palestinien de Yarmouk à Damas. L’Odeur perdue, un monde perdu, après la guerre, le siège et la destruction du camp pendant les années 2012-2018.
Samedi 11 mai. 19h. Participation libre. Château St-Chamand. 3 avenue François Mauriac. Avignon. 

Contes de Palestine

Avec le conteur Jihad Darwiche et les conteuses Aïni Iften et Kala Neza. Pour ce spectacle unique, les trois artistes avignonnais ont sélectionné dans le patrimoine du conte palestinien quelques morceaux savoureux ou drôles, pleins de sagesse ou de fantaisie… et surtout de poésie.
Lundi 13 mai .19h. 10€. Gratuit pour les enfants de moins de 12 ans. Chapelle des Italiens. 33 Rue Paul Saïn. Avignon. 

Une rencontre débat : L’agriculture palestinienne sous occupation israélienne : quelle place pour une économie de résistance ? 

La colonisation de la Cisjordanie occupée s’accélère : à la spoliation des terres et des ressources en eau, aux restrictions sur les échanges avec l’extérieur, s’ajoutent la construction du mur, l’extension des colonies et la violence des colons. Que peuvent les agriculteurs palestiniens pour tenir tête à cette stratégie de destruction systématique de leur raison d’être ? Que pouvons-nous pour les aider à vivre ? Rencontre-débat avec Jacques Neno, en dialogue avec Ahmed Dahmani, économiste
Mardi 14 mai. 19h. Entrée libre.  Fenouil à vapeur. 145 Rue Carreterie. Avignon. 

Deux librairies avignonnaises, la Mémoire du monde et La Comédie humaine, mettront en valeur, pendant la huitaine, la littérature de et sur la Palestine.

Du mardi 7 au mardi 14 mai dans divers lieux d’Avignon. presences.palestiniennes@laposte.net


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Le jeudi 9 mai, à Mycampus à Carpentras, à 19h, aura lieu un Workshop entrepreneurs qui abordera le thème suivant : comment passer de la procrastination à l’action. L’idée de cette réunion pensée par Nancy Barthez, consultante formatrice en acquisition de clients est d’aider les entrepreneurs à appréhender la mise en action de leur projet vente sans subir le stress et la procrastination qu’il peut occasionner. 

Une solution concrète pour emmener les acteurs économiques vers leur cible réelle : les clients. Cette initiative comptera sur la présence de la vauclusienne Sandra Martin, coach mental, mais aussi triple championne de France de Trail long 2016 et 2017 et double championne du monde par équipe et Laeticia Béal, dirigeante de MyCampus.

Ce Workshop, qui se déroulera dans l’espace coworking et coaching de Mycampus, sera suivi d’une soirée d’échanges dans une ambiance jazz. Cette rencontre pour les entrepreneurs ne sera pas la seule du mois de mai puisqu’un second rendez-vous aura lieu le 25 mai, une nouvelle fois à Mycampus à Carpentras de 10h à 12h avec un brunch dédié aux femmes actives (limités à 20 participantes). 

Infos pratiques : « Workshop entrepreneurs : passer de la procrastination à l’action ». Jeudi 9 mai,19h. Mycampus, 348 avenue Jean Jaurès, Carpentras. « Brunch des filles actives ». Samedi 25 mai de 10h à 12h. Mycampus, 348 avenue Jean Jaurès, 84200, Carpentras. Inscriptions ici.


Château de Massillan : luxe, calme et volupté dans un havre de paix 100% zen à Uchaux

Le jeudi 11 avril, l’entreprise Enedis, filiale d’EDF, s’est rendue au sein du lycée Alphonse Benoît à l’Isle-sur-la-Sorgue afin de présenter les métiers de techniciens et chargés de projet aux lycéens vauclusiens issus des filières Sciences et Technologies de l’Industrie et du Développement Durable (STI2D), des BTS Électrotechniques ainsi qu’aux étudiants de la branche électricité et de ses environnements connectés (MELEC). 

Enedis poursuit ses missions d’initiation aux métiers techniques auprès des étudiants du Vaucluse. Après les opérations effectuées avec le collège Paul Gauthier, la structure spécialisée en gestion de réseau électrique s’est rendue le jeudi 11 avril au sein du lycée Alphonse Benoît, à l’Isle-sur-la-Sorgue, afin d’encourager les étudiants aux métiers d’Enedis. 

Cette initiative traduit la volonté de la filiale d’EDF de faire découvrir les métiers d’intervention polyvalent et chargé de projets. Pour cela, un programme de présentation a été proposé sur les missions effectuées par les métiers techniques ainsi que sur les offres d’alternance possibles au sein d’Enedis. Pour appuyer son offre, la structure a également mis en place un atelier pratique animé par des techniciens de l’entreprise. 

La théorie et la pratique 

Cet atelier pratique, qui a été offert aux étudiants l’islois par des professionnels d’Enedis, a permis de faire découvrir une partie des activités de leur quotidien au travail. Les élèves ont pu avoir une première expérience à travers une activité spécifique : la Recherche de Détection de Défaut. 

Accompagnés de leur camion, les techniciens ont pu faire étalage d’une démonstration de cette technologie de pointe qui permet aux techniciens de détecter les défauts des câbles souterrains en un temps extrêmement rapide tout en conservant une très grande précision. 

Enedis poursuit la présentation de ses métiers auprès des professionnels de demain 

Très engagé sur le département de Vaucluse, Enedis maintient son engagement auprès des établissements scolaires de son territoire. Ce n’est pas la première opération de ce type menée par la filiale d’EDF qui a déjà essayé cette formule au sein de l’établissement de la Salle à Avignon, mais également sur des bases opérationnelles d’Enedis de la cité papale lors de la participation d’élèves du collège Paul Gauthier de Cavaillon à des ateliers de découverte du métier de technicien travaux sous tension le 15 février dernier. 

Cette matinée d’échange avec les élèves s’inscrit dans cette démarche visant d’une part à former davantage de jeunes talents aux métiers d’avenir de la filière électrique et d’autre part à favoriser leur insertion professionnelle au sein d’Enedis. Pour faire face à une hausse de ses activités et répondre à un triple défi technique, technologique et écologique, Enedis sur les Bouches-du-Rhône, le Vaucluse, les Alpes-de-Haute-Provence et les Hautes-Alpes recrute cette année 160 personnes en CDI et alternance. 

https://www.echodumardi.com/tag/vaucluse/page/4/   1/1