La Ville de Cavaillon organise la 3e édition de sa soirée ‘Cabaret du Moulin Saint-Julien’ ce samedi 26 avril.
Dans le cadre de sa programmation culturelle à la salle du Moulin Saint-Julien, la municipalité créé le temps d’un soir un événement où artistes, acrobates, jongleurs et dresseurs offriront au public de surprenantes performances.
Soirée cabaret. Salle Moulin Saint-Julien. Samedi 26 avril. Cavaillon. Tarif : 20€ par adulte, 10€ pour les -16 ans. Billetterie : www.destinationluberon.com
A.R.C
Cavaillon : 2h de cabaret au Moulin Saint-Julien
En 2025, le groupe Socotec, acteur majeur des services de TIC (Testing, Inspection, Certification) pour les secteurs de la construction, de l’immobilier, des infrastructures et de l’industrie, cherche à recruter 80 collaborateurs en région Provence-Alpes-Côte d’Azur.
Avec 14 000 collaborateurs à travers le monde, Socotec se présente comme le spécialiste de la durabilité du bâti, de la transition environnementale et de la transition énergétique. Afin d’accompagner son développement, le groupe recrute 1 500 collaborateurs en France en 2025, dont 80 en région PACA, qui compte déjà 450 collaborateurs répartis dans 21 agences locales.
Le groupe, qui possède deux agences vauclusiennes à Avignon et Bollène, cherche des managers et directeurs d’agences, des commerciaux, des ingénieurs de la construction et de l’immobilier durable, des spécialistes Énergie & Énergies décarbonées et renouvelables, des techniciens et contrôleurs du bâtiment, ou encore des formateurs dans les domaines de la santé / sécurité. En tout, 80 postes en apprentissage, en CDD ou bien en CDI sont à pourvoir en Région Sud.
Un environnement de travail épanouissant
Socotec prône une qualité de vie au travail optimale pour ses employés. Le groupe est engagé depuis 3 ans dans la démarche ‘Great Place To Work’. Douze pays, dont la France, sur les 26 impliqués en 2024, ont obtenu la certification.
Depuis 2019, Socotec forme ses collaborateurs grâce à son centre de formation d’apprentis (CFA). Le groupe ambitionne de former 200 professionnels chaque année d’ici 2026. Les apprentis peuvent ainsi rester dans l’entreprise à l’issue de leur formation et évoluer au sein de celle-ci. Socotec assure engager 95% de ses collaborateurs en CDI et favoriser la diversité et l’égalité des chances en milieu professionnel.
Pour découvrir les postes à pourvoir et candidater, cliquez ici.
Cavaillon : 2h de cabaret au Moulin Saint-Julien
Pendant quatre jours, la Scala Provence organise son Festival du rire et se transforme en Comedy club géant, mêlant les jeunes élèves de l’École Supérieure des Arts du Rire (ESAR) aux talents confirmés que sont Jos Houben, Tania Dutel et Jérémy Nadeau.
Un Festival du Rire qui trouve légitimement sa place dans le projet global de la Scala Provence : être une maison d’accueil de tous les arts et de tous les artistes toute l’année.
Un des volets a été concrétisé par l’ouverture en septembre 2024 à Avignon de l’École Supérieure des Arts du Rire. Quelques mois plus tard, le résultat est là : la promotion de 46 élèves a pris possession des locaux de la Scala Provence — une école dans un théâtre ! — et a découvert la ville d’Avignon et ses théâtres. En effet, certains élèves s’exercent en dehors de leurs cours (en aucun cas sous l’égide de l’ESAR) toute l’année au stand up au théâtre de l’Observance, à la Souricière ou à la Cave des Passages. Mais ils ont surtout découvert une qualité d’enseignement qui leur permet pour certains d’entre eux de monter sur la scène de la Scala Provence et de présenter au public leurs travaux. Au programme : critique sociale et politique, catharsis émotionnelle, connexion humaine, créativité, perspective philosophique, art de la parole et de la performance et réflexion sur l’humanité.
La soirée de l’ESAR
« La soirée a été conçue sur la base d’une sélection parmi les 32 volontaires de la promotion précise Geneviève Meley Othoniel, directrice générale de l’ESAR. Ainsi 22 étudiants ont été sélectionnés et répartis comme suit : 12 seront en première partie de soirée avec du stand up, 10 seront en deuxième partie en improvisation. Les heureux élus ont bénéficié de 10h de cours supplémentaires (en plus de leurs 30h hebdomadaires en première année) afin de peaufiner leur prestation de 6 minutes chacun pour le stand up. Un étudiant-maître de cérémonie veillera au bon déroulement de la soirée. L’improvisation nécessitant un grand plateau, le public se déplacera dans la salle 600 afin de laisser la scène aux 10 improvisateurs. Tel un ring, ils s’empareront des thèmes choisis par le public.
Grégoire, un des étudiants de l’ESAR nous en parle
« Je ne peux parler qu’en mon nom personnel mais je sais que globalement tout le monde est satisfait de cette première année : la qualité des cours, la bienveillance des professeurs, dialogue constant avec la direction, l’entraide entre élèves. L’idée de séparer la formation une année à Avignon, une année à Paris a soudé la promotion car nous étions “contraints“ de nous rencontrer, de cohabiter – personne n’était originaire d’Avignon. On ne connaissait pas les lieux , la ville et ça a créé une cohésion dans la promotion. En ce qui concerne les matières enseignées, j’ai été particulièrement satisfait des cours d’improvisation et du corps en mouvement. C’est un cours essentiel car ça nous apprend à développer notre présence, notre répondant, notre écoute, notre capacité d’adaptation. C’est le cours le plus collectif dans un cursus qui est à la fin individuel. La première année est cependant très tournée vers le stand up mais avec une volonté de nous former à d’autres pratiques : chroniques radio, théâtre etc.. »
« Entre nous c’est trop chouette »
« Entre nous c’est trop chouette : même avec des niveaux différents, l’humour nous met à égalité. On est tous égaux face à la scène , face au risque de faire un bide. Toute l’équipe pédagogique est énormément bienveillante. Pour la sélection de la soirée il a fallu qu’elle fasse preuve d’exigence mais globalement, même avec les déceptions de certains de ne pas être choisis, cela a été compris. Après le « cocon » d’Avignon, il y a maintenant la peur et l’excitation de monter à Paris en deuxième année. »
Au programme de la scène ouverte des élèves de l’ESAR :
19h30 et 20h45 : numéros de Stand-up 21h et 22h : performance d’improvisations Jeudi 24 avril. 19h30. 12€.
Si le cœur vous en dit, les inscriptions sont ouvertes pour la promotion 2025-2026 :
Un week-end d’humour avec des talents confirmés : Jos Houben, Tania Dutel et Jérémy Nadeau
Seul en scène, Jos Houben, animera une masterclasse d’un genre particulier, entre philosophie et anthropologie. Il y dissèque les mécanismes du rire, en analyse leurs causes et leurs effets. ‘L’Art du Rire’. Vendredi 25 avril. 20h. 19€.
Dans un genre totalement différent, Jérémy Nadeau vaut également le détour : fusion de blagues hilarantes et présence scénique inimitable, famille passée au grill et un avis sur tout ! ‘Beaucoup trop’. Samedi 26 avril. 20h. 34€.
L’humoriste Tania Dutel cultive l’art de la modestie dans le titre de son stand up ‘En rodage’ mais elle le précise elle-même « normalement, ça sera drôle. Après tu connais, nous n’avons pas tous les mêmes grilles de lecture. » À découvrir donc pour ceux et celles qui n’ont pas vu son précédent spectacle ‘Les Autres’. ‘En rodage’. Dimanche 26 avril. 16h. 34€.
Festival du Rire. Du 24 au 27 avril 2025. La Scala. 3 rue Pourquery de Boisserin. Avignon. 04 90 65 00 90. lascala-provence.fr
La Scala Pass : La Scala vous propose un pass de 4 jours à 79€. Pour en profiter, ajoutez les 4 spectacles au plein tarif dans votre panier, la réduction s’effectuera automatiquement.
Cavaillon : 2h de cabaret au Moulin Saint-Julien
« En 2024, le nombre de notifications adressées à la Safer -Société d’aménagement foncier et d’établissement rural- s’est élevé à 14 800 projets de ventes (hors donation et ventes de parts sociales), contre 19 000 au plus fort du boom en 2021, analyse Fabrice Triep Capdeville, directeur départemental de la Safer Vaucluse. Ce nombre de notifications a continué à baisser légèrement, mais le marché s’est presque stabilisé grâce aux nombres de biens rétrocédés par la Safer qui lui est reparti à la hausse.«
Vergers de pommiers Copyright Safer Paca
L’an dernier, à la même période, on s’inquiétait de savoir si l’inflexion rapide à la baisse du marché rural allait se terminer en douceur interroge Fabrice Triep Capdeville, Directeur départemental de la Safer Paca. L’année 2024 est plutôt rassurante sur ce point et nous permet de dire que l’on est revenu à la normale. Ceux qui parlaient d’un réajustement du marché semblaient donc avoir une bonne lecture du marché. On a, bien sûr, quelques variations d’un département à l’autre, mais dans l’ensemble, les marchés se sont stabilisés.
Le marché au niveau régional La variation globale du marché en nombre de ventes s’établit à une baisse de 4%, après avoir connu des chutes de plus de 20%. Les volumes en surfaces sont beaucoup plus erratiques chaque année et finissent avec une hausse de 8%. En valeur, la baisse du volume des transactions s’établit à 5,3 Milliards d’€ perdant 5%.
DR Safer Paca
Les marchés urbains-agricoles En segmentant le marché rural sur une grille de lecture Urbains/Agricoles, les courbes apparaissent en très légère hausse en 2024 pour la Région. C’est une troisième courbe ‘hors-segment’ qui comprend essentiellement des ventes de lots de copropriétés bâties qui montre une continuité à la baisse. Ces derniers biens sont habituellement sortis de nos analyses du marché rural, mais conservés dans les volumes globaux, comme un thermomètre sur la dynamique des marchés. Ainsi, les marchés agricoles et naturels ou les maisons à la campagne se comportent mieux que les biens de la ville.
DR Safer Paca
Volumes, un marché 2024 copié-collé de 2023 Le marché Vauclusien est à l’image du marché régional sur les volumes cette année, mais avec une stabilité encore plus marquée. En volume global, le nombre de transactions avec 3 156 est resté presque identique à 10 unités prés. En surface, avec 4 492 ha échangés, nous sommes sur un chiffre très proche de 2023 avec seulement 85 ha en moins (-2%). Seuls les volumes financiers ont une valeur qui s’écarte un peu du profil régional, avec une légère hausse du volume de 5% pour atteindre 760 Millions d’€.
DR Safer Paca
Le boum post-covid était bien immobilier En observant les courbes départementales sur le profil des marchés ruraux en Vaucluse, on observe sensiblement la même chose que sur la Région. Le boom post-Covid était bien un boom immobilier. On a connu deux ans de marché d’une intensité exceptionnelle en 2021 et 2022, et le retour à la normale s’est opéré brutalement l’an dernier par une baisse massive. Cette chute n’a pas perduré cette année, ce qui tend bien à confirmer que ce n’est pas une crise immobilière qui s’était amorcée, mais un réajustement. Sur ces courbes, on perçoit que ce boom a eu lieu essentiellement sur les biens immobiliers de l’Urbain-rural, à savoir principalement le marché des maisons à la campagne.
Vaucluse, le département le plus rural et agricole de toute la région Sur ces courbes de tendance, on constate également que le département du Vaucluse présente un visage beaucoup plus rural et agricole que le profil régional. En dehors des deux années de boom, les marchés agricoles en nombre de vente collent, chaque année, aux marchés urbains ruraux. Sur la région, le différentiel est plus net, avec des marchés agricoles plus faibles que l’Urbain, signe que le Vaucluse est un peu plus à l’écart des pressions périurbaines. Tout dépend sur quel secteur, bien sûr.
DR Safer Paca
Le secteur de Carpentras-Pernes a été le plus gros pourvoyeur du marché rural en 2024 avec 620 transactions, suivi par celui de la vallée du Rhône (529) et les deux secteurs Luberon Sud et Nord (461 et 434 ventes respectives). Le marché est plus fermé sur le Ventoux (218 ventes). Les deux secteurs Avignonnais sont en net retrait car il s’agit pour beaucoup des ventes de marché très citadins qui ne rentrent pas dans le champ d’information du rural.
Carpentras-Pernes En nombre de ventes agricoles ou naturelles, c’est encore le secteur de Carpentras-Pernes qui a vu le plus d’opérations se réaliser (313), devant la vallée du Rhône et le Haut-Vaucluse (227). Si l’on pondère en pourcentage ces marchés pour comparer de manière équitable, ces classements changent et c’est le secteur du Mont-Ventoux qui présente le visage le plus agricole et naturel avec 57% des ventes. Tout juste devant le Haut-Vaucluse et la Vallée du Rhône. Le Secteur de Carpentras-Pernes avec 50% se retrouve en quatrième rang. C’est encore au-dessus du taux départemental qui s’établit à 47% de marché agricole en nombre. En dessous de ce seuil, on trouve les secteurs d’Avignon et du Grand Avignon avec 18 et 25% qui représentent bien un marché rural avec une forte prégnance de l’urbain résidentiel. Le secteur du Pays des Sorgues et les deux secteurs Luberon ont des profils plus périurbains avec un nombre de vente agricole s’élevant à 40%.
L’activité de la Safer bien relancée en Vaucluse après une année 2023 morose La Safer Paca a rétrocédé 1 560 propriétés en 2024. C’est une belle reprise avec 200 transactions en plus, après une année 2023 qui avait été difficile. Ces ventes ont mouvementé 7 461 ha soit 1 500 ha de plus qu’en 2023. Ces superficies représentent 28% de prise de marché sur les marchés agricoles. Un niveau de présence qui doit permettre de peser sur les marchés.
Des opérations inférieures à 15 000€ Comme chaque année, un peu plus de 55% des interventions de la Safer se font sur des opérations inférieures à 15 000€, ce pourcentage passe à 85 % pour les ventes inférieures à 75 000€. Ces indicateurs sont là le marqueur d’une intervention généralisée sur les propriétés dites parcellaires. La mission de service public de la Safer vient donc s’exercer sur ces unités parcellaires dont le prix médian est de 4 000 €, pour une surface médiane de 35 ares. En matière de préemption la Safer a été présente cette année en réalisant plus de 700 préemptions dont 445 préemptions en révision de prix.
Concrètement Dans le Vaucluse, le niveau d’activité de la Safer est nettement remonté avec 461 rétrocessions qui ont représenté 997 ha de foncier. Dans ce marché, la Safer a réalisé 115 interventions en préemptions dont 59 en révisions de prix pour réguler le marché.
DR Safer Paca
Un marché reparti à hausse, comment est-ce possible ? Comment le marché appréhendé par la Safer, a pu repartir à la hausse alors que les voyants et les alertes structurelles restent vifs pour la crise viticole (on parle de crise de consommation) et que toutes les filières agricoles ne sont pas non plus en pleine santé ?
Restructuration du paysage agricole Dans les faits, on assiste à une restructuration du paysage viticole avec la vente de plusieurs domaines. Ces ventes sont souvent liées à des arrêts d’activité sans reprise familiale ou à des projets de restructuration interne. Ainsi, le foncier continue d’être mouvementé. On pressent par les projets initiés que ce phénomène va se poursuivre en 2025, reste à savoir si les candidats à la reprise seront au rendez-vous. C’est la crainte qui court, avec cette épée de Damoclès qui verrait des biens à la vente, sans personnes pour les reprendre au prix et même en dessous.
51 promesses d’échanges de propriétés à Uchaux et Piolenc Dans les autres facteurs d’explication à cette bonne année pour la Safer, il y a eu un effet d’aubaine également, avec la finalisation en 2024 d’un échange multilatéral d’envergure sur Uchaux et Piolenc principalement. Ce travail de fond initié il y a plusieurs années a permis l’échange de 81 ha pour 23 exploitations agricoles. Cela concerne 52 propriétés et propriétaires différents et au final la signature de 51 promesses d’échanges, sachant que la Safer avait réalisé 26 acquisitions sur 19 ha en vue de réaliser son stock nécessaire aux échanges.
Le surcoût du stockage du foncier Enfin, dernier point d’explication, il y a un effet de réaction face aux difficultés rencontrées en 2023, notamment sur les coûts de stockage du foncier, avec la hausse des frais financiers. La Safer a passé en revue son stock foncier, a accéléré la libération de plusieurs propriétés ou parcelles qui attendaient des restructurations plus larges. Pour pérenniser des stocks stratégiques, organiser la transmission d’exploitations agricoles ainsi que les politiques d’aménagement portées sur certains territoires la Région Sud Paca a enclenché la première tranche en 2024, prévue dans un partenariat ambitieux avec la Safer d’aide au portage foncier. Ça devrait permettre d’initier d’autres projets structurants à moyen ou long terme.
Le prix des vignes en Vaucluse
DR Safer PacaLes Crus DR Safer Paca
Cavaillon : 2h de cabaret au Moulin Saint-Julien
Dans le cadre de sa politique de gestion des déchets en bord de route, le Département de Vaucluse réalise, chaque année, une campagne de collecte de déchets souvent non biodégradables et pouvant nuire à la santé et à l’environnement. Elle a lieu avant le démarrage du fauchage le long des 2 381 km de routes départementales. 204 agents, sur 23 sites, seront notamment mobilisés.
Cette opération de grand nettoyage accélère cette semaine. Elle précède celle de fauchage qui vont bientôt débuter. Objectif : ramasser le maximum de déchets dans le cadre du plan départemental de prévention et de gestion des déchets en bordure du réseau routier, adopté en mai 2021. Ce dernier comporte douze actions suivant trois axes d’intervention : améliorer la collecte et le stockage des déchets, valoriser les déchets et en assurer la traçabilité ainsi que sensibiliser les usagers, former les agents et impliquer les partenaires locaux
Sensibiliser les Vauclusiens Les équipes de patrouille des centres routiers constatent régulièrement de nombreux détritus sur les bords des routes, sur les accotements ainsi que sur les aires de repos. Pour faire place nette, la campagne de ramassage de ces déchets sur des secteurs pilotes est devenue nécessaire. Cette opération coordonnée entre tous les centres routiers départementaux et la direction fait l’objet d’une importante mobilisation de plus de 200 agents. Au-delà de ce nécessaire nettoyage, le Département, à travers les services routiers, appelle les usagers à faire preuve de civilité et à adopter les bonnes pratiques : ne rien jeter par les fenêtres, jeter les détritus et déchets dans les poubelles prévues à cet effet, déposer les déchets volumineux dans une déchetterie locale.
689 tonnes de déchets collectées en 2024 Les nombreux déchets collectés l’an passé au bord des routes se composaient de : ▪ Déchets organiques et assimilés (aires de repos) : 74 T ▪ Encombrants : 6 T ▪ Déchets plastiques : 8 T ▪ Déchets mélangés : 260 T ▪ Déchets métalliques : 32 T ▪ Déchets pneumatiques : 7 T ▪ Cartons : 7 T ▪ Déchets verts : 7 T ▪ Déchets dangereux et spécifiques : 103 T ▪ Amiante : 4 T ▪ Cadavres d’animaux : 1 T ▪ Déchets balayage : 180 T
Les déchets collectés (dont le tonnage ne cesse d’augmenter, 524 T en 2022 contre 689 T en 2024) sont, dans un premier temps, entreposés temporairement dans les bennes spécifiques présentes dans les centres des quatre agences routières. Selon les cas et les distances, un partenariat local permet de déposer les déchets dans les déchetteries les plus proches. Ce service permet un traitement local moins consommateur en carburant. Les autres déchets sont enlevés et traités par des entreprises spécialisées. Le coût de la collecte 2024 s’est élevé à 194 000 € : location de bennes, enlèvement externalisé ou en régie, traitement.
Opération de fauchage, le longs des 2 381 km de routes départementales de Vaucluse. Crédit : DR/Département de Vaucluse
Prochaine étape : le fauchage raisonné L’étape du nettoyage des bords des routes est primordiale avant de procéder au fauchage. Le ramassage permet d’éviter davantage de pollution en broyant les déchets avec les machines mais il permet aussi d’éviter d’endommager ces dernières. Mis en œuvre depuis plusieurs années, le fauchage raisonné consiste à : ▪ Couper plus haut : aujourd’hui, la coupe est faite entre 11 cm et 15 cm du sol pour préserver les couloirs écologiques et pour réduire la détérioration du matériel et des sols. ▪ Couper moins souvent : un à trois passages dans l’année sont réalisés afin de préserver la biodiversité et d’optimiser les interventions des agents. Toutefois, le traitement des dégagements de visibilité et des points particuliers de sécurité, notamment les virages et les carrefours, sont maintenus et réalisés lorsque cela s’avère nécessaire, ainsi que la lutte contre les espèces exotiques envahissantes comme l’ambroisie. ▪ Retarder la coupe : les campagnes de fauchage sont retardées afin de s’adapter à la maturité de la végétation sans qu’elle devienne gênante en termes de visibilité, ainsi qu’au cycle de vie de la petite faune et de la flore. Cette action de fauchage tardif permet de préserver le bord des routes qui constitue un refuge pour de nombreuses espèces végétales et animales.
Cavaillon : 2h de cabaret au Moulin Saint-Julien
Depuis 2014, le programme Les Entrep’ est présent en Vaucluse. Chaque année, des étudiants et jeunes diplômés se réunissent par petits groupes afin de monter des projets d’entreprise qui sont ensuite mis en compétition. Pour cette 11e édition, 81 jeunes vauclusiens, répartis en 18 équipes, ont tenté de relever le défi.
Pendant 5 mois, les 18 équipes de la 11e promotion du programme Les Entrep’ Vaucluse ont expérimenté la création d’entreprise. Accompagnés par plus de 60 professionnels bénévoles, les jeunes vauclusiens ont découvert le monde de l’entreprise et développé leurs compétences entrepreneuriales pour booster leur employabilité.
Chaque équipe a dû élaborer une idée d’entreprise et défendre cette dernière avec le pitch parfait. Sur les 18 équipes candidates en Vaucluse, huit se sont démarquées et une ira en finale nationale le 22 mai prochain.
Les lauréats
Une seule équipe ira en finale nationale des Entrep’, et c’est l’équipe du projet ‘Feel Safe’, une application qui allie prévention, défense et un accompagnement pour les femmes, imaginée par Chloé Castalan, Jade Nabet, Flavie Payen, Yasmine Houmadi et Marc Bern, qui ont été coachés par Pierre Poncie, fondateur de 2P International Conseil.
Sept autres équipes ont su faire leur preuve :
Trophée ‘Parcours entreprendre’ : le projet ‘Provenska’, qui vise à redonner à la vodka ses lettres de noblesse, imaginée par Mattew Barthee, Noam Conseil Sarmento, Manon Issartier et Claire Soulier, qui ont été coachés par Lionel Dosne et Serge Edmond de la Chocolaterie Castelain.
Trophée ‘Économie créative, environnementale et inclusive’ et ‘Trophée du public’: le projet Mottaz Agency’, une agence de projets dans le secteur du mannequinat qui valorise des personnes issues, ou non, du milieu, en partenariat avec des marques indépendantes, imaginée par Théo Mottaz, Théo Lopez, Gabriel Boiron, Elsa Chauvet et Inès Ali, qui ont été coachés par Tania Boulahrouf d’Auchan Mistral 7 et Didier Goguillon de Würth France.
Trophée ‘Innovation’ : le projet ‘Grappeline’, un produit alcoolisé à base de moût de raisin partiellement fermenté avec adjonction de CO2, imaginé par Jules Robert-Chapot, Marie Muh, Nolwenn Bisogno, Juline Bonnand et Lorène Mouraret, qui ont été coachés par Jean-Yves Grand de Force Cadres et Christophe Vanneste d’Aqua Innovation.
Trophée ‘Coup de Cœur’ (ex-æquo) : le projet ‘Valora’ qui revalorise les invendus agricoles ou coproduits de l’industrie agroalimentaire qui pour en faire des soins cosmétiques, imaginé par Julie Uso, Valentina Ballester-Segura, Mia Knight, Muriel Barrier et Pauline Gagnat, qui ont été coachés par Laurent Ansellem de Prodjects 4iT et Grégoire Bouchez de Force Cadres.
Trophée ‘Coup de Cœur’ (ex-æquo) : le projet ‘H@rmonie’, une plateforme de mise en relation des différents agents de la culture au moyen de “bibliothèques
d’adresses / d’artistes”, imaginée par Taïssa Popov, Laurie Daumas, Eva Foggiaroli et Adèle Panabières, qui ont été coachées par Joël Derrien de Smart Change et Magali Jouffret, enseignante et géobiologue.
Trophée ‘Dream Team’ : le projet ‘SGL Esport’, un tournoi Esport autour de jeux de simulation, imaginé par Quentin Mangeot, Karine Aleatico, Louis Raffin, Thomas Castagnet et Lucie Ariès, qui ont été coachés par Xavier Bourgue du Campus Sup Pasteur et Christian Lacroix d’Association Mut’Com.
Trophée ‘Communication’ : le projet ‘Brain Factory’, un site internet centralisant l’ensemble des innovations écologiques, imaginé par Léo Petrequin, Romane Strauch, Julien Granier et Lucas Panloup, qui ont été coachés par Marie-Christine Pessiot, accompagnatrice de dirigeants, et Jean-Jacques Bravais de la Fondation Tour du Valat.
Les 10 autres équipes du concours n’ont pas démérité avec leurs projets ‘Spik’, ‘BaliPack’, ‘Champi’Go’, ‘Hight-tech Toilets’, ‘Recy’clique’, ‘BioSerre Mayotte’, ‘Vino’matic’, ‘Virtuellement là’, ‘En chœur’, et ‘EK’eau Rénov’.
Alors que tous les voyants sont au rouge : recul de la consommation, des surfaces de vignes et de la production mondiale qui n’a jamais été aussi basse depuis 1961 avec 225,8Mhl, soit -4,8%, l’interprofession de la Vallée du Rhône se décarcasse pour proposer des moments de partage et de convivialité dans les 21 Villages de l’AOC, de Chusclan à Visan en passant par Châteauneuf-de-Gadagne, Plan de Dieu, Roaix, Sablet, Séguret, Suze-la-Rousse et Valréas.
« Nous voulons montrer une vraie dynamique, une visibilité, une notoriété de nos vins et de nos vignes qui sont l’un des pôles d’attractivité touristiques majeurs du Vaucluse, précise Denis Alary, vigneron et coprésident de la commission ‘Promotion’ d’Inter Rhône. Puisqu’il attire des festivaliers qui consomment sur place, dans les commerces, hôtels, campings et restaurants. »
Il ajoute : « Nous avons un savoir-faire, nous respectons notre terroir, nous prenons soin des paysages, nous représentons une vraie tradition agricole et nous souhaitons partager tout cela avec le plus grand nombre. »
Florence Quiot, coprésidente de la commission ‘Promotion’ d’Inter Rhône, décline la longue liste des festivités pour « un été haut en couleurs avec les Côtes-du-Rhône. » Il débutera le samedi 10 mai par le Live sur le parvis du Palais des Papes avec bar à cocktails, stands de dégustations, food-trucks et animation musicale. La Maison des Vins accueillera du 4 au 26 juillet le Bar à vins, pendant tout le festival d’Avignon et chaque soir une vingtaine de vignerons proposeront leurs productions et parleront de leurs vins et des cépages qui contribuent à leur assemblage en chai.
D’autres soirées sont prévues à Plan de Dieu qui fêtera son AOC Village le 20 juin. De son côté, Visan mettra l’accent sur le rosé le 7 juillet. Sablet proposera une plage avec de vrais palmiers et 32 cuvées le 13 juillet, Vaison Voit et Boit rouge le 21 juillet. Sainte-Cécile organisera la Fête du rosé le 3 août, Roaix vient de rénover sa Place aux vins et accueillera 11 appellations le 5 août.
D’autres rendez-vous sont prévus hors Vaucluse. À Saint-Andéol, dans la Drôme, le 3 mai seront dégustés des magnums qui ont été immergés par des spéléologues dans une grotte souterraine pendant un an. Philippe Faure-Brac, meilleur sommelier du monde en 1992, comparera avec des bouteilles qui, elles, ont vieilli en cave à l’air libre. Au programme, à Lyon, Rhône in white le 16 juin avec le vin blanc en vedette même s’il ne représente que 7% de la production totale des Côtes du Rhône. Suivra le Lyon Street Food Festival du 25 au 29 juin avec 120 chefs étoilés dans la capitale de la gastronomie française. L’an dernier ils avaient attiré 52 000 visiteurs, en 2025 ils tablent sur 60 000 participants. Jazz à Vienne est aussi une occasion de visibiliser les vins des Côtes du Rhône, notamment les appellations septentrionales les plus réputées comme Condrieu, Cornas, Côte-Rôtie, Saint-Joseph et Saint-Péray. Ce festival, organisé entre le 26 juin et le 11 juillet, prévoit 250 concerts, invite un millier de musiciens et il est fréquenté par 200 000 amateurs.
Enfin, les Compagnons des Côtes du Rhône ont mitonné les Estivales le 7 juin, la Grande tablée sur le Chemin de Halage, en face du Pont d’Avignon avec 200 convives le 27 juin et enfin le Ban des vendanges le 30 août qui se déroulera sur la Barthelasse, puisque le jardin du Rocher des Doms est en travaux.
Cavaillon : 2h de cabaret au Moulin Saint-Julien
L’entreprise cavaillonnaise Kookabarra, fabricant de jus de fruits frais, lance le Kocktail Kontest, un défi dédié aux mixologues et barmen qui ont jusqu’au dimanche 27 avril pour candidater.
Depuis sa création en 2006, Kookabarra conçoit jus, purées de fruits ou encore nectars pour faciliter le travail au quotidien et répondre aux attentes des professionnels de la restauration, notamment des mixologues et barmen pour qui l’entreprise a créé le Kocktail Kontest. Ce concours va permettre à ces professionnels de se challenger avec la gamme des jus et nectars artisanaux Kookabarra.
Les candidats devront présenter une création de mocktail inédite à base de purées de fruits fraiches Brut de la marque Kookabarra et publier ensuite leur recette sur les réseaux sociaux en taguant Kookabarra. Le mélange des saveurs, l’originalité et même la mise en scène de la vidéo seront pris en compte par le jury.
Les mixologues et barmen intéressés ont jusqu’au dimanche 27 avril pour remplir le formulaire d’inscription en ligne, puis jusqu’au lundi 12 mai pour créer une vidéo de leur recette et la publier sur leur compte Instagram en taguant Kookabarra. L’entreprise cavaillonnaise annoncera le grand gagnant du Kocktail Kontest le lundi 19 mai. Ce dernier verra sa création mise en lumière sur les différents supports de la marque, bénéficiera d’une visite de la Fabrique avec une dotation d’une sélection de la gamme et d’un défi grandeur nature aux cotés de Jérémie Marcuccilli, fondateur de Kookabarra
Cavaillon : 2h de cabaret au Moulin Saint-Julien
Dans un contexte de forte pénurie de logements pour les plus vulnérables, l’association territoriale Habitat et Humanisme Vaucluse lance un appel aux propriétaires de biens à louer pour leur proposer une location sereine, solidaire et avantageuse, notamment sur les agglomérations d’Avignon, de Cavaillon, d’Orange et de Carpentras.
En confiant leur bien à un organisme agréé, tel qu’Habitat et Humanisme, à un loyer inférieur au prix du marché pour loger des personnes en difficulté, les propriétaires bailleurs peuvent bénéficier d’une réduction d’impôt sur le revenu proportionnelle à la baisse de loyer consentie. Selon l’effort fourni, la réduction d’impôt peut varier entre 20 et 65%, un véritable encouragement fiscal pour soutenir la location solidaire.
Une gestion locative sécurisée et, même, aidée Une gestion locative qui allie sécurité, tranquillité d’esprit et avantages. Grâce à son expertise, Habitat et Humanisme accompagne déjà plus de 5 000 propriétaires solidaires en France. «Nous assurons une gestion rigoureuse et transparente des biens, en mandat de gestion ou en location-sous location et nous pratiquons un suivi des locataires axé sur la prévention des risques locatifs, tout au long du bail, précise l’association Habitat et humanisme. Nos équipes peuvent également informer et, dans certains cas, accompagner les propriétaires dans leurs démarches de rénovation, notamment énergétique de leur bien. A ce titre des subventions et primes peuvent être obtenues.»
Copyright Habitat et Humanisme Vaucluse
Pénurie de logements «Dans un contexte de grave pénurie de logements accessibles aux ménages modestes, le dispositif Locavantages est un levier déterminant pour mobiliser une nouvelle offre de logements tout en sécurisant les propriétaires bailleurs, explique Pascal Isoard-Thomas, Directeur Général de la Fédération Habitat et Humanisme. C’est un dispositif ‘gagnant-gagnant’ qu’il faut faire connaître alors que des centaines de milliers de logements restent vacants. Accompagnés par les équipes engagées et expérimentées d’Habitat et Humanisme, les propriétaires peuvent s’engager à leur tour, en toute sécurité ! »
Témoignage «Lors d’échanges avec des personnes mal-logées ou vivant dans la rue, je me suis aperçu que c’était beaucoup plus que de l’inconfort physique et qu’il était très difficile d’en sortir, relate Bruno, propriétaire solidaire. Devant ce constat, je ne voulais pas rester les bras croisés. Je suis devenu propriétaire solidaire, un dispositif proposé par Habitat et Humanisme. L’idée est de confier son bien à l’association pour loger une personne seule ou une famille en difficulté, laquelle sera accompagnée pour lui permettre de retrouver autonomie et confiance en soi. Devenir propriétaire solidaire, c’est donner un sens à son patrimoine.»
Un appel à la solidarité et à l’action « Habitat et Humanisme Vaucluse invite les propriétaires bailleurs à s’engager à ses côtés, dans la location solidaire relève le président vauclusien Pierre Caly. En devenant propriétaire solidaire, vous contribuez à agir contre le mal-logement tout en bénéficiant d’avantages fiscaux et d’une tranquillité de gestion ».
En savoir plus Association située à Avignon, Habitat et Humanisme Vaucluse a été créée en 2015. Forte de ses 54 bénévoles et 5 salariées, elle dispose d’une cinquantaine de logements acquis en propre ou confiés par des propriétaires solidaires, afin de loger les personnes en difficulté. La structure gère et anime un habitat collectif destinés à des personnes d’âges variés, toutes isolées et avec de faibles ressources. Un des logements est réservé à des femmes victimes de violence conjugale. En 2025, elle a plusieurs d’habitats collectifs à Orange, Entraigues-sur-la-Sorgue et Carpentras.
Noël 2024 à la résidence des Remparts à Avignon Copyright Habitat et Humanisme Vaucluse
Avignon, Carpentras, Entraigues, Orange, « Notre association Habitat et Humanisme Vaucluse gère et anime une résidence intergénérationnelle de 18 logements,la résidence Les Remparts à Avignon intra-muros, permettant de loger des personnes d’âges variés, toutes isolées et à faibles ressources, explique Pierre Caly. Un logement est réservé à des femmes en situation de violence conjugale. Par ailleurs, 30 logements nous ont été confiés par des propriétaires solidaires. Quels que soient les dispositifs, nous accompagnons les personnes logées pour recréer des liens et favoriser l’insertion. Nous sommes engagés dans plusieurs projets d’habitats collectifs : À Orange, nous avons la création d’un habitat inclusif pour personnes âgées et personnes en situation de handicap de 20 logements au sein de 2 immeubles ; À Entraigues-sur-la-Sorgue, nous aménageons une résidence de 25 logements pour des familles monoparentales, des jeunes et des personnes âgées. À Carpentras, nous rénovons une belle bâtisse type mas provençal qui permettra la création d’une résidence accueil de 25 logements, à destination des personnes en précarité présentant des troubles psychiques.Tous ces projets seront proches des commerces, transports, centres-villes et avec un objectif de hautes performances énergétiques. »
Les infos pratiques Habitat et Humanisme. 2, rue Honoré d’Urfé à Avignon. 04 90 27 97 41. vaucluse@habitat-humanisme.org