15 mai 2025 |

Ecrit par le 15 mai 2025

Luberon : Enedis s’engage pour préserver la faune et la biodiversité à Goult 

La société Enedis, très engagée pour la protection de l’environnement et la préservation de la biodiversité, démarre un chantier d’envergure de plusieurs jours sur la commune de Goult qui vise à protéger les oiseaux qui fréquentent le Parc naturel régional du Luberon. Cette opération se fait en collaboration avec la Ligue pour la Protection des Oiseaux PACA.

Le chantier mis en place par Enedis et en partenariat avec LPO PACA verra une équipe de techniciens de la structure gestionnaire du réseau de distribution d’électricité mettre en place du matériel « avifaune » sur une ligne de haute tension (TSA) qui traverse les vignes du Luberon du mercredi 17 avril au vendredi 19 avril. 

Cette initiative, qui vise à préserver la faune et la biodiversité dans une zone faisant partie du Parc naturel régional du Luberon, n’aura aucune conséquence sur les clients et habitants de la commune de Goult puisque ces travaux se feront sans coupures. Ce mercredi 17 avril, à 11h, a eu lieu la pose du perchoir et d’effaroucheurs qui vont s’étendre sur plusieurs kilomètres de la ligne électrique haute tension, à Goult. 

Pour l’occasion, le maire de Goult, Didier Perello, la directrice adjointe territoriale Enedis Vaucluse, Emilie Blondel et la directrice de la ligue pour la protection des oiseaux PACA Magali Goliard, étaient présents pour assister à ce chantier qui témoigne de l’engagement pris pour l’avenir naturel du territoire. 

DR

Un chantier en faveur de l’avifaune 

Ces nouveaux travaux sont mis en place dans le cadre du partenariat entre Enedis et LPO. Il vient répondre à une recommandation du Comité Régional Avifaune qui a mis en évidence la nécessité de protéger les Faucons Crécelle contre les risques d’électrocution. 

Le commencement de ce chantier pose les bases d’une avancée majeure dans la lutte pour la protection de la biodiversité locale. Plusieurs autres mesures concrètes sont en cours d’acheminement et vont être mises en place rapidement. 

9 zones protégées avec cette initiative 

Avec le début de ce dispositif, c’est neuf supports électriques potentiellement dangereux répartis sur le territoire de Goult qui vont être sécurisés. Cela implique des solutions concrètes visant à réduire les risques pour la faune aviaire, parmi lesquelles : 

-un perchoir qui offre un point d’attraction sécurisé pour les oiseaux et qui permet de contrôler les risques en offrant aux Faucons Crécelle un lieu sûr pour atterrir et se poser sans risques d’électrocution. 

-des effaroucheurs (roues anti-contact) dont l’objectif est de dissuader les oiseaux de se poser sur des lieux potentiellement dangereux, en empêchant leur accès. Un vrai mécanisme visant à protéger la faune aviaire du Luberon et des visiteurs volants du Parc du Luberon de tous risques d’électrocution tout en assurant une sécurité maximale.

Aucunes conséquences pour les habitants et les clients 

Dans sa volonté de mettre en place une politique d’amélioration de la qualité de fourniture de l’électricité, Enedis s’engage à mobiliser ses équipes de techniciens spécialisés dans les travaux sous tension. Ces professionnels interviennent sur des installations sous tension pour maintenir ou raccorder des réseaux aériens HTA, dans le but d’assurer la satisfaction des clients Enedis par la réduction du nombre de et des temps de coupures pour causes de travaux. Ces interventions nécessitent une prise en compte permanente de la prévention des risques pour garantir une sécurité totale. 

Grâce à ces interventions sur le réseau électrique 20 000 volts sous tension, Enedis n’a pas recours à l’utilisation de groupes électrogènes. Cela permet l’économie de plusieurs tonnes de CO2 non utilisées. Un calcul de ces émissions entre en compte dans le choix des priorisations de chantier sous tension par Enedis. 


Luberon : Enedis s’engage pour préserver la faune et la biodiversité à Goult 

Ce samedi 20 avril, la SPA vauclusienne organise une randonnée canine caritative en partenariat avec l’association Asser Sorgues, qui oeuvre pour proposer des activités sportives, artistiques, culturelles et éducatives pour toutes et tous.

Tous les bénéfices seront reversés à la SPA vauclusienne. L’occasion de se balader durant 1h30 en compagnie de chiens qui cherchent une famille aimante. Il est possible de venir accompagné de son propre chien (laisse obligatoire pour la sécurité de tous les participants).

La balade débutera à 10h au parking de l’Oiselay à Sorgues. Inscription obligatoire au 04 32 44 30 92 (5€ par personne).


Luberon : Enedis s’engage pour préserver la faune et la biodiversité à Goult 

A l’occasion du Frames festival qui s’achève aujourd’hui à Avignon, la Commission du film Luberon-Vaucluse a profité de ce rendez-vous national des vidéastes professionnels pour dévoiler son bilan 2023.

Une année marquée par la confirmation de la dynamique de reprise de l’attractivité locale pour le secteur avec l’accompagnement de 56 tournages ayant générés 288 journées de tournage dans le département.

C’est mieux qu’en 2022 où le Vaucluse avait accueilli 237 jours de tournages et à peine moins qu’en 2021 (293 jours de tournage). Cela reste cependant bien au-dessus des 141 jours de 2019, avant le trou d’air du Covid, et surtout des 84 jours de tournages en 2018.

Pêle-mêle, le Vaucluse a ainsi constitué le lieu de tournage des films ‘Finalement’ de Claude Lelouch, ‘Le Molière imaginaire’ d’olivier Py, ‘Les jeux sont faits’ de Nele Mueller-Stöfen pour la plateforme Netflix, ‘Toutes pour une’ de Houda Benyamina, ‘Segpa 2’ d’Ali et Hakim Bougheraba ainsi que les séries ‘Les gouttes de dieu’ de France télévision, ‘Murder in Provence’ de la BBC, ‘Isabelle’ de Philippe Dajoux ou bien encore ‘Tout cela je te le donnerai’ de Pascal Fontanille et Françoise Charpiat.

© DR-Commission du film Luberon-Vaucluse

L’an dernier, cette présence a ainsi permis le recrutement de 620 techniciens, artistes et figurants dans le Vaucluse.

Au final, l’activité de la Commission du film Luberon-Vaucluse, pilotée par Anne-Cécile Celimon-Paul, a notamment générés l’équivalent de 6 082 nuitées en 2023. De quoi générer 7,28M€ de retombées économiques locales grâce au tournage de ces fictions.

Pour faire mieux en 2024, les professionnels de l’audiovisuel peuvent s’appuyer sur les 344 décors recensés par la Commission du film Luberon-Vaucluse dans la base de données décors internationale ainsi que les 428 techniciens et artistes locaux apparaissant dans l’annuaire Film-France spectacle.


Luberon : Enedis s’engage pour préserver la faune et la biodiversité à Goult 

A 100 jours des JO de Paris, Bruno Fabre et Olivier Sanzeri de l’Insee Paca (Institut national de la statistique et des études économiques de Provence-Alpes-Côte d’Azur) dresse un état des lieux du sport dans la région*. En 2022, plus de 800 000 licences sportives ont été délivrées en Provence-Alpes-Côte d’Azur, dont huit sur dix pour un sport pratiqué durant les Jeux olympiques d’été. Avec 161 licences sportives pour 1 000 habitants, la région se classe au 6e rang des régions françaises. Pour sa part, en affichant un taux de 155 licenciés pour 1 000 habitants, le Vaucluse figure en 63e position des départements métropolitains.

« La grande majorité des habitants de la région pratiquent une activité physique et sportive, qu’elle soit occasionnelle ou régulière, expliquent Bruno Fabre et Olivier Sanzeri de l’Insee Paca. Cette pratique peut être réalisée soit de manière autonome, en dehors de toute structure, soit encadrée au sein d’une association ou d’un club. Les clubs sportifs sont affiliés à l’une des 89 fédérations unisports qui délivrent les licences sportives nécessaires pour participer à des compétitions officielles. En 2022, les 8 200 clubs de Provence-Alpes-Côte d’Azur délivrent 828 000 licences annuelles sportives. Ce nombre avait nettement baissé en 2021 (-10 % par rapport à l’année précédente), en lien avec l’épidémie de Covid-19, mais est revenu à son niveau d’avant-crise dès l’année suivante. Par rapport à 2017, et malgré la hausse de la population régionale, le nombre de licences apparaît relativement stable. En 2022, Provence-Alpes-Côte d’Azur compte 161 licences pour 1 000 habitants, soit un taux de licence semblable à celui observé en France. »

Insee-Paca

Le Vaucluse 63e département en taux de licenciés
Dans le détail, avec un taux de 155 licences sportives pour 1 000 habitants le Vaucluse est en retrait de la moyenne régionale. Un résultat qui le place en 63e position du classement des départements métropolitains dominés par les Landes (217), les Pyrénées-Atlantiques (206) et les Hautes-Alpes (205).
Chez nos voisins, Drôme et Ardèche apparaissent comme plus sportif avec des taux respectifs de 172 et 177. A l’inverse, Gard (151) et Bouches-du-Rhône (149) affiche des niveaux de pratiques moins importants que le Vaucluse.

Insee-Paca

Davantage d’hommes et d’enfants
En région, « le taux de licence est deux fois plus important chez les hommes (225 licences pour 1 000 hommes) que chez les femmes (102 pour 1 000 femmes), poursuit l’étude de l’Insee-Paca. Cette différence peut s’expliquer par des pratiques plus fréquentes en dehors de clubs sportifs pour les femmes ou par une délivrance de licences différenciée selon le type de sport pratiqué. »

« La pratique d’un sport avec une licence au sein d’une fédération est très élevée chez les enfants : on compte 500 licences pour 1 000 enfants de 5 à 14 ans. Un décrochage progressif de la pratique sportive au sein d’une fédération est visible à l’adolescence. Prise de distance envers un encadrement, charge scolaire plus importante et pratique d’autres loisirs (dont des activités sportives en dehors de fédérations) sont des éléments qui peuvent expliquer en partie ce phénomène. Bien qu’il puisse également être pratiqué en dehors d’une structure officielle, l’insuffisance ou le manque de pratique sportive en fédération peut être un enjeu de santé publique, en particulier chez les enfants et adolescents. Chez les seniors, la pratique d’un sport au sein d’une fédération est peu fréquente : on ne compte que 70 licences pour 1 000 personnes âgées de 65 ans ou plus (voir graphique ci-dessous). »

Nombre de licences pour 1 000 habitants par tranche d’âge et par sexe en Provence-Alpes-Côte d’Azur. Insee-Paca

Football, tennis et équitation sur le podium des sports olympiques d’été
« À partir du 26 juillet 2024, la France accueillera les 33e Jeux olympiques d’été, rappellent Bruno Fabre et Olivier Sanzeri. Si la majorité des épreuves se dérouleront à Paris, les villes de Marseille et Nice seront aussi hôtes d’épreuves sportives. Des rencontres du tournoi olympique de football se dérouleront à Marseille et à Nice. Marseille accueillera en outre les épreuves de voile (dériveur, planche à voile, kiteboard, etc.). »

« Parmi l’ensemble des 828 000 licences comptabilisées dans la région, 658 000 (79% de l’ensemble des licences) sont délivrées par une des 32 fédérations olympiques d’été et 157 000 par une des 54 fédérations non olympiques (19%). Parmi ces dernières, la fédération de pétanque et de jeu provençal enregistre le nombre le plus important de licences (27 000) devant celles de randonnée pédestre (25 000) et de karaté (21 000). Les trois fédérations olympiques d’hiver ne regroupent que 14 000 licences (moins de 2%). »

Paca compte deux fois moins de licences de football qu’en Bretagne
« En Provence-Alpes-Côte d’Azur, les sports olympiques d’été sont, dans l’ensemble des licences de la région, légèrement sous-représentés. Parmi ces sports, le football (117 000 licences, 18 % de l’ensemble des licences des sports olympiques d’été) est le plus pratiqué devant le tennis (95 000 licences, 15 %) et l’équitation (44 000 licences, 7 %). Les dix sports olympiques d’été les plus pratiqués concentrent trois quarts des licences comme au niveau national. »

Données issues de l’édition 2024 du Vaucluse en chiffres de l’Echo du mardi.

« Parmi les sports comptant le plus de licences, la région se singularise par rapport à la France par une sous-représentation marquée du football (18% des licences olympiques d’été dans la région contre 24 % au niveau national). Rapporté à la population, le nombre de licences de football est deux fois plus faible dans la région qu’en Bretagne et Pays-de-la-Loire. Le basket-ball y est également moins pratiqué (4 % contre 6 %). La voile (6 % contre 3 %) et le tir (5 % contre 3 %), sont en revanche, surreprésentés dans la région. »

Quelle place pour les femmes dans le sport ?
« Dans la région, 222 000 licences sont détenues par des femmes, soit un tiers de l’ensemble des licences des fédérations olympiques d’été. Cette part est similaire à celle constatée en France. L’équitation (38 000 licences, 13% des licences olympiques d’été détenues par des femmes), le tennis (29 000, 9%) et la natation (20 000, 8%) sont les trois sports les plus pratiqués par les femmes au sein d’une fédération. Sur le podium masculin, le football est sur la première marche (106 000 licences, 24% des licences olympiques d’été détenues par des hommes), suivi du tennis (66 500, 15%) et du golf (29 000, 6%). Au niveau national, sur les podiums par sexe, le basket-ball arrive en 3e position avant le golf chez les hommes et la gymnastique remplace la natation chez les femmes. »

« Les femmes sont très présentes au sein des fédérations d’équitation, de danse et de gymnastique. Pour ces sports, plus de huit licences sur dix sont détenues par des femmes. Elles sont également surreprésentées au sein de la fédération de natation, avec plus d’une licence sur deux détenue par des femmes. Inversement, elles sont très nettement sous-représentées dans les fédérations de football, de rugby et de tir. »

Données issues de l’édition 2024 du Vaucluse en chiffres de l’Echo du mardi.

Quel âge pour quel sport ?
 « Le golf est le sport olympique d’été dont l’âge médian des licenciés est le plus élevé (61 ans), suivi du tir (50 ans) et de l’aviron (48 ans). À l’inverse, certains sports sont pratiqués par des personnes bien plus jeunes : une licence sur deux de gymnastique est détenue par une personne de moins de 8 ans, de moins de 9 ans pour le judo et de moins de 11 ans pour la natation et le taekwondo. »

« Jusqu’à 9 ans, la gymnastique est le sport le plus prisé par les filles (17% des licences des filles de moins de 9 ans sont enregistrées au sein de la fédération de gymnastique) puis l’équitation passe en tête, jusqu’à 34 ans (20% des licences entre 10 et 34 ans), suivie du tennis (16% des licences chez les plus de 34 ans). Au-delà de 50 ans, la pratique du golf devient la plus courante (16%). Les garçons de moins de cinq ans pratiquent souvent le judo (22%). Puis le football devient le sport le plus choisi, jusqu’à 49 ans. À partir de 50 ans, les pratiques du tennis, du tir et du golf arrivent en tête. »

Une hausse importante du nombre de licences notamment chez les femmes
« Entre 2017 et 2022, dans la région, le nombre de licences dans les fédérations olympiques d’été augmente de 4,1% quand la population croit d’environ 2%, conclut l’étude de l’Insee. La progression dans la région est la plus forte de France (hors Mayotte), juste derrière la Corse (+4,4%). Au niveau national, le nombre de licences stagne sur la période (-0,1%) malgré une augmentation de la population (+1,6%). »

© Aviron en Vaucluse.mp4

« En Provence-Alpes-Côte d’Azur, l’évolution du nombre de licences dans les fédérations olympiques d’été varie fortement entre les départements. Les départements les plus dynamiques sont les Alpes-Maritimes (+7,6%) et les Hautes-Alpes (+5,9%). Le nombre de licences augmente dans le Var (+4%) et les Bouches-du-Rhône (+3,4%). Il est stable en Vaucluse (+0,1 %) tandis qu’il diminue fortement dans les Alpes-de-Haute-Provence (-7,6%). Dans le top 10 des fédérations olympiques d’été, deux connaissent une baisse de leur nombre de licences entre 2017 et 2022 : la fédération de judo (-15%) et celle de handball (-5%). La natation et la voile ont le vent en poupe avec des augmentations de respectivement 22% et 15 %. Le nombre de licences de basketball est stable. Entre 2017 et 2022, la hausse du nombre de licences est environ deux fois plus importante pour les femmes (+5,9% contre +3,2%). Au niveau national, le nombre de licences détenues par des femmes progresse moins vite (+1,8%), tandis qu’il diminue pour les hommes (-1%). »

Etude de Bruno Fabre et Olivier Sanzeri de l’Insee Paca complétée par des données de l’édition 2024 du Vaucluse en chiffres de l’Echo du mardi ( L.G.)

*Les éléments préparatoires à cette publication ont été réalisés dans le cadre d’une collaboration entre l’Insee et l’Institut national de la jeunesse et de l’éducation populaire (Injep). L’Injep, à travers sa mission des enquêtes, des données et études statistiques (Medes), constitue le service statistique ministériel (SSM) responsable des champs de la jeunesse, de l’éducation populaire, de la vie associative et du sport.

Les hommes, les cadres et les plus diplômés déclarent plus souvent une activité physique et sportive
En Provence-Alpes-Côte d’Azur, huit personnes de 15 ans ou plus sur dix déclarent pratiquer dans l’année une activité physique et sportive (au sein d’un club, d’une association, en salle de sport ou en dehors de toute structure) que ce soit occasionnellement (moins d’une fois par semaine pour un peu plus d’une personne sur dix) ou à un rythme régulier (au moins une fois par semaine pour près de sept personnes sur dix). Marche, course à pied, athlétisme, activités de la forme et de la gymnastique, danse, vélo et sports urbains (skate, roller) sont les activités les plus prisées, que ce soit avec ou sans licence.
Le profil socio-démographique influe fortement sur la pratique d’une activité physique et sportive. Elle est moins fréquente chez les femmes (77% contre 85% chez les hommes). De même, les moins diplômés (niveau d’étude inférieur au bac) pratiquent moins souvent une activité physique ou sportive (70% contre 95% pour les diplômés d’un niveau supérieur au bac). De manière générale, les personnes en emploi pratiquent plus fréquemment une activité physique ou sportive (90%) notamment les cadres et professions intellectuelles supérieures (93% contre 68% des ouvriers). La pratique d’une activité physique et sportive occasionnelle ou régulière est plus fréquente chez les moins de 50 ans notamment chez les personnes âgées de 15 à 29 ans (94%). En revanche, elle est bien moins développée chez les personnes de 50 ans ou plus (71%).


Luberon : Enedis s’engage pour préserver la faune et la biodiversité à Goult 

La chanteuse franco-américaine, Cécile Mclorin Salvant, qui a remporté trois Grammy Awards avec trois albums différents, se produira le samedi 4 mai à 19h30 à la salle Confluence Spectacles, à Avignon. Un événement proposé par l’Orchestre national Avignon-Provence.

Fille d’une mère française et d’un père haïtien, élevée dans la culture musicale de Miami, Cécile McLorin Salvant donnera une représentation unique le samedi 4 mai 2024 à Confluence Spectacles, à Avignon.

L’artiste de jazz, qui possède une résonnance internationale grâce à la victoire de Grammy Awards avec trois albums différents sortis en 2016, 2018 et 2019, a enchainé avec un nouvel album Ghost Song en 2022, élu album de l’année aux Victoires du Jazz.  Elle revient en concert cette année avec la présentation de son nouvel album Mélusine son premier entièrement produit en français.

Infos pratiques : Concert de Cécile Mclorin Salvant. Samedi 4 mai 2024, à 19h30. Confluence Spectacles, 2 place de l’Europe, Avignon. Billetterie disponible en cliquant ici.


Luberon : Enedis s’engage pour préserver la faune et la biodiversité à Goult 

APEF, réseau de 152 agences de service à la personne, lance un grand campagne de recrutement. 1000 postes d’intervenants à domicile sont à pourvoir en France, dont 30 en Vaucluse. Auxiliaires de vie, assistants ménagers, gardes d’enfant, jardiniers, assistants d’agence, ou encore responsables de secteur, les postes sont à pourvoir en CDI, immédiatement ou en renfort pour la période estivale. APEF compte trois agences vauclusiennes à Orange, au Pontet et à Cavaillon

Les métiers d’aide à domicile sont tournés vers l’humain et les possibilités d’évolution sont nombreuses. De plus, ce sont des métiers ouverts aux étudiants souhaitant acquérir une expérience professionnelle rémunératrice en complément de leurs études. « Nous attachons beaucoup d’importance au savoir-être et aux valeurs, affirme Manon Midou, gérante de l’agence APEF Cavaillon. Pour ce qui est du savoir-faire, nous avons fait de la formation et de l’accompagnement des collaborateurs une priorité au sein de notre stratégie de recrutement. C’est pourquoi l’expérience et le CV ne sont plus des incontournables. »

Pour postuler, cliquez ici ou rendez-vous directement dans une agence.

454 Boulevard Edouard Daladier, Orange
1 Avenue Charles de Gaulle, Le Pontet
234 Cours Gambetta, Cavaillon


Luberon : Enedis s’engage pour préserver la faune et la biodiversité à Goult 

Créée en 2017 au Festival d’Avignon à la Chapelle des pénitents blancs, Tristesse et joie dans la vie des Girafes, écrit pat Tiago Rodrigues, n’a rien d’enfantin

Un titre en effet enfantin – spectacle à partir de 10ans – pour une pièce qui ne l’est pas. Il y est question de crise économique, de deuils, de solitudes, de renoncements. C’est en confrontant un regard enfantin (ingénu, plein de d’espoir) avec la réalité des rouages économiques d’aujourd’hui que Tiago Rodrigues surligne les cruautés et les aberrations d’un Portugal et d’une Europe en déroute. La pièce aborde un sujet peu traité au théâtre : la violence de la crise financière telle qu’elle est vécue par les enfants.

La pièce de Tiago Rodrigues, mise en scène par Thomas Quillardet, emprunte les codes du conte

La pièce est un parcours initiatique. Girafe est une petite fille de 9 ans. Un peu sur le modèle de Candide, elle va de rencontre en rencontre, en traversant une Lisbonne dévastée par la crise économique. Elle est accompagnée par son ours en peluche suicidaire : Judy Garland. La pièce avance de manière logique tout en laissant aux spectateurs des surprises. C’est cette dramaturgie que mettra en avant la mise en scène. Le dispositif scénique est simple : il met en avant les quatre acteurs,  un quatuor comme un petit orchestre avec plusieurs instruments pour bruiter, mettre en musique. Des accessoires surgiront de ce quatuor pour ponctuer l’avancée dans la narration.

Vendredi 19 avril. 20h. 12 à 35€. La Scala. 3 rue Pourquery de Boisserin. Avignon. 04 90 65 00 90.


Luberon : Enedis s’engage pour préserver la faune et la biodiversité à Goult 

L’hôtel Le Phébus & Spa vous donne rendez-vous dès ce samedi 20 avril pour des retrouvailles gourmandes et relaxantes. Ses restaurants, La Table de Xavier Mathieu et Le Café de la Fontaine, et son Spa Ila & Végétalement Provence, rouvrent leurs portes à l’arrivée des beaux jours.

L’hôtel Le Phébus & Spa, situé à Joucas, qui a déjà 5 étoiles à son compteur, vient d’obtenir une Clef du Guide Michelin, qui récompense les meilleurs hôtels au monde qui proposent un séjour singulier. « Tout comme pour la restauration, les sélections des Clefs du Guide Michelin se basent sur des critères nobles, tels que les émotions, l’humanité et l’expérience, explique Xavier Mathieu, propriétaire de l’hôtel. Des valeurs ajoutées, bien au-delà du luxe standardisé, que nous nous attelons à apporter chaque jour à notre clientèle, en cohésion avec notre région. »

Une excellente nouvelle pour cet établissement situé au cœur du Luberon, qui s’apprête à rouvrir ses deux restaurants et son spa. Dès ce samedi 20 avril, il sera de nouveau possible de profiter d’une vague de bien-être grâce à la piscine intérieure, aux cabines de soins, aux lieux de repos, à la tisanerie, au hammam, à la salle de fitness, à la douche sensorielle mais aussi au jacuzzi extérieur. Il sera également possible d’apprécier un délicieux repas provençal au restaurant gastronomique étoilé La Table de Xavier Mathieu ou au bistrot Le Café de la Fontaine. Il est d’ores et déjà possible de réserver sa table sur le site internet.

Un dîner caritatif comme soirée d’ouverture

Pour célébrer cette réouverture, Xavier Mathieu s’associe au chef Edouard Loubet pour organiser un repas à quatre mains ce vendredi 19 avril, dont les bénéfices seront versés à l’association Le Sothiou. Cette dernière, qui a été créée en 2005 par le docteur Grégory Marslen, chirurgien-dentiste à Lourmarin, a pour objectifs d’apporter des soins dentaires aux populations rurales d’Afrique de l’Ouest privées de structures de soins adaptées, d’organiser des actions de prévention et de formation médicale, et d’aider à la création de structures de soins par l’acheminement de matériels et de fournitures depuis la France.

Lors de ce dîner caritatif, les chefs concocteront trois plats chacun, mettant, tour à tour à l’honneur, l’olive, l’escargot, l’asperge, la truite, la pintade et le blé vert. Le menu en huit temps est au prix de 200€ (68€ après défiscalisation). Les réservations se font auprès d’Isabelle Crost au 06 61 91 28 65 ou par mail à l’adresse icrost@yahoo.fr
Vendredi 19 avril. 19h. Hôtel Phébus & Spa. 220 Route de Murs. Joucas.


Luberon : Enedis s’engage pour préserver la faune et la biodiversité à Goult 

Insercall, La Cité de l’emploi et Avignon Musées proposent ce vendredi 19 avril, au Palais du Roure, une rencontre professionnelle ludique et culturelle qui s’intitule « le CV des légendes. » Avec ce format qui est réédité pour la seconde fois, les deux entités qui sont également rejointes par l’association Passerelle sur ce projet, souhaitent optimiser les candidatures des participants, élargir leur réseau professionnel tout en favorisant un accès libre à la culture. 

Un « serious game » pour mieux appréhender les démarches liées à l’emploi 

L’exercice de l’entretien d’embauche est redouté par l’ensemble des chercheurs d’emplois. Le stress lié à l’envie d’obtenir un « job » tétanise souvent les candidats. La présentation d’un CV clair, concis et percutant est tout aussi important et cela nécessite un travail en amont qui est capital. 

C’est dans cette optique de préparation que le « CV des légendes » a mis en place une expérience très innovante sous la forme d’un jeu grandeur nature. Ce format consiste à enlever toute forme de pression au candidat en le plaçant en acteur, et non en sujet. Une manière plus éducative et divertissante d’appréhender les étapes de la création du C.V et de l’entretien d’embauche.

Un bon moyen également de gagner en performance et en confiance en soi sans contourner la recherche d’excellence, car en déplaçant l’enjeu, on ne le dissout pas, mais on apprend à le contrôler. Ce jeu se déroulera en plusieurs étapes avec une épreuve finale qui permettra aux candidats de se confronter avec des entreprises et des partenaires. Un test en grandeur nature qui offrira aussi aux candidats la possibilité de renforcer leur réseau professionnel. 

La possibilité d’incarner Frédéric Mistral 

Toujours dans l’optique d’apprendre et de s’améliorer de manière ludique, « le CV des légendes » a mis en place un dispositif tout aussi ludique qu’éducatif. Les candidats auront l’opportunité, après une visite d’un musée créée pour l’occasion de se replonger dans l’époque du XIXᵉ siècle et de Frédéric Mistral. L’idée sera pour les participants de se poser les interrogations : « Et si Frédéric Mistral s’était téléporté en 2024 ? Quels postes pourrait-il viser ? Comment l’aider à préparer sa candidature ? ». 

Un rôle de conseiller envers le prix Nobel provençal qui se fera par deux afin de renforcer la cohésion et l’esprit d’équipe. Les candidats auront le loisir de choisir parmi un éventail de noms célèbres qu’ils devront aider dans leurs étapes de recherche d’emploi en 2024. On retrouve par exemple Jeanne de Flandresy, John Stuart Mill, etc. Trois niveaux seront nécessaires pour compléter cette étape du jeu et à l’issue de celle-ci, chaque équipe se verra attribuée une mention spéciale par le jury. 

Mélanger insertion et culture sur le long terme 

Adeptes des « pas de côtés », insercall,pilote du projet, et la Cité de l’emploi sont aussi friandes de projets collaboratifs et de mises en synergies. La première édition qui s’était déroulée au printemps 2023 au Palais du Roure, avec un accueil au musée Calvet dès l’automne suivant, avec les rencontres professionnelles poétiques et ludiques « Ces mots qui me dessinent ».

En 2024, Avignon Musées réaffirme son engagement pour l’accès à la culture pour tous, sa sensibilité sur le sujet de l’insertion professionnelle, et sa capacité à inventer de nouvelles formes de médiation culturelle. 

Pour cette nouvelle édition, l’association Passerelle rejoint l’aventure avec quelques salariés participants. Elle se tiendra aux côtés de Face Vaucluse et le club vauclusien « les entreprises s’engagent » qui seront aussi de la partie aux côtés d’entreprises partenaires et d’acteurs locaux.

Un concept né à Lens 

C’est en 2022 que Gwenaël Bourboulon, directrice d’insercall, tombe par hasard sur une émission de radio qui relate l’expérience originale menée, trois ans plus tôt, par Pôle Emploi Hauts-de-France et le musée du Louvre-Lens.

Le déplacement opéré pour les chercheurs d’emploi grâce à la rencontre des mondes de l’insertion et de la culture avait donné des résultats très positifs en termes d’engagement, d’outillage et de capacité à se recentrer ensuite sur son propre projet.

Emballée par ce concept, la directrice contacte le chargé de projets de médiation du musée : Ludovic Demathieu. Ravi d’imaginer que le projet pourrait « s’exporter », il accepte de partager son expérience. C’est ainsi que naîtra quelques mois plus tard la première édition du CV des légendes, une version remaniée du projet lensois, librement adaptée pour le territoire avignonnais.

Infos pratiques : « CV des légendes. » Samedi 18 mai à 18h. Exposition des CV des légendes lors de la nuit européenne des musées, Palais du Roure, 3 rue du collège du Roure, Avignon. Vendredi 19 avril de 10h à 13h. Candidatures des personnages historiques devant des entreprises et partenaires et remise spéciale aux joueurs, Palais du Roure, 3 rue du collège du Roure, Avignon. 

https://www.echodumardi.com/tag/vaucluse/page/62/   1/1