5 juillet 2025 |

Ecrit par le 5 juillet 2025

Réforme des retraites, les sapeurs-pompiers volontaires bénéficient d’une bonification pour leur retraite

Lucien Stanzione, sénateur de Vaucluse, avec son groupe PS (parti socialiste), a déposé un amendement qui a été accepté visant à prévoir une majoration de la durée d’assurance –bonification- pour la retraite des sapeurs-pompiers volontaires, au titre de la solidarité nationale pour consolider le modèle de sécurité civile français et valoriser le volontariat des sapeurs-pompiers.

L’amendement, présenté par le sénateur Lucien Stanzione  est écrit en ces termes : «Les sapeurs-pompiers volontaires ayant accompli 10 ans de service en qualité de sapeur-pompier volontaire ont droit à une bonification de leur durée d’assurance de trois trimestres. La bonification  mentionnée est complétée par l’attribution d’un trimestre supplémentaire tous les 5 ans au-delà de 10 ans d’engagement comme sapeur-pompier volontaire.»

«Cette bonification ne peut conduire à porter au-delà de 4, le nombre de trimestres validés par un assuré, par année civile, dans les différents régimes légaux ou rendus légalement obligatoires, de base et complémentaires, français et étrangers.»


Réforme des retraites, les sapeurs-pompiers volontaires bénéficient d’une bonification pour leur retraite

En raison des difficultés persistantes d’approvisionnement des stations-service en produits pétroliers et carburants en Vaucluse, la préfète de Vaucluse a décidé de reconduire, sur l’ensemble du département de Vaucluse et jusqu’au jeudi 30 mars 2023 inclus.

Cela concerne les mesures suivantes :

• la vente et l’achat de carburant (essence, gazole, éthanol, GPL) sont limités à :

– pour les véhicules de particuliers d’un PTAC inférieur à 3,5 tonnes : 30 litres avec une livraison minimale de 5 litres,
– pour les véhicules d’un PTAC entre 3,5 tonnes et 12 tonnes : 120 litres,
– pour les véhicules d’un PTAC supérieur à 12 tonnes : 200 litres.

Cette limitation ne concerne pas les véhicules des services listés en annexe de l’arrêté (voir tableau en fin d’article).

• la vente et l’achat de carburants (essence, gazole, éthanol, GPL) dans des récipients transportables manuellement restent interdits (notamment jerricans et bidons), à l’exception des professionnels du monde agricole qui bénéficient d’une dérogation pour les dispositifs de lutte contre le gel.

• les détaillants, gérants et exploitants des stations-service prennent les dispositions nécessaires pour faire respecter ces dispositions et affichent sur leurs pompes l’arrêté afin d’en informer les usagers.


Réforme des retraites, les sapeurs-pompiers volontaires bénéficient d’une bonification pour leur retraite

L’Agence d’urbanisme Rhône-Avignon Vaucluse propose, dans le cadre de son webinaire ‘Le réveil de l’Aurav’ une visio-conférence consacrée aux déserts médicaux, l’état des lieux de la situation vauclusienne et les solutions pouvant être apportées.

Les infos pratiques
Déserts médicaux, états des lieux en Vaucluse et solutions. Jeudi 30 mars de 9h à 9h45. La demande de participation se fait par courrier auprès de aurav@aurav.org .

MH


Réforme des retraites, les sapeurs-pompiers volontaires bénéficient d’une bonification pour leur retraite

En raison des difficultés persistantes d’approvisionnement des stations-service en carburant, la préfète de Vaucluse a décidé de reconduire, sur l’ensemble du département de Vaucluse et jusqu’au lundi 23 mars inclus, les mesures suivantes :

  • La vente et l’achat de carburant (essence, gazole, éthanol, GPL) sont limités à 30 litres avec une livraison minimale de 5 litres pour les véhicules de particuliers d’un PTAC inférieur à 3,5 tonnes et à 120 lites pour les véhicules d’un PTAC supérieur à 3,5 tonnes.
  • La vente et l’achat de carburant dans des récipients transportables manuellement restent interdits (notamment jerricanes et bidons).

Pour rappel, huit stations ont mis en place des files dédiées aux véhicules prioritaires.


Réforme des retraites, les sapeurs-pompiers volontaires bénéficient d’une bonification pour leur retraite

Ce dimanche 26 mars aura lieu le 19ème concours des Jeunes Créateurs de la Coiffure organisé par l’union nationale des entreprises de la coiffure Vaucluse et qui aura pour thème « Les Vikings ».

Artisans, salariés et apprentis mettront en avant leur savoir-faire lors des différentes épreuves qui se dérouleront tout au long de la journée : coiffure de mariée, coiffage tendance femme, coupe homme et barbe et coiffure à thème « viking ».

Pour rester fidèle à son objectif de valorisation et de promotion du métier de coiffeur, l’union nationale des entreprises de la coiffure dédira un espace à la formation avec la présence des campus de métiers de la région et de la chambre des métiers et de l’artisanat du Vaucluse.

L’emploi sera également au programme puisque cette journée sera l’occasion pour les chefs d’entreprise de venir recruter apprenti, salarié et/ou artisan.

Enfin, les professionnels et le grand public pourront découvrir l’association « Coiffeurs Justes ». Cette association récolte les cheveux dans les salons de coiffure pour les recycler. Une fois recyclés, les cheveux peuvent servir de fertilisants, d’isolants, de filtrants et permettent de créer des emplois.

La journée se clôtura par un grand show sur le thème du concours : les Vikings.

Dimanche 26 mars à partir de 10h à la salle polyvalente de Montfavet, rue Félicien Florent (entrée gratuite).


Réforme des retraites, les sapeurs-pompiers volontaires bénéficient d’une bonification pour leur retraite

A l’aube des Jeux Olympiques et Paralympiques de Paris 2024, Gilles Bonnassieux, président du comité départemental d’aviron en Vaucluse, souhaite mettre en avant ce sport qui n’est, selon lui, pas médiatisé en dehors des JO.

« L’aviron est un sport qui a une forte notoriété, mais qui est très peu visible. On en parle une fois tous les quatre ans pendant les Jeux Olympiques », explique Gilles Bonnassieux, président du comité départemental d’aviron en Vaucluse (CD84). Ce comité, qui s’articule autour des clubs d’Avignon et de Caderousse, a pour vocation la promotion de ce sport nautique et de le faire découvrir à de nouveaux pratiquants : adultes, jeunes, étudiants, parcours santé…

Le comité souhaite mieux prendre en compte le contexte territorial, économique et social dans lequel il s’inscrit : un besoin de solidarité et de bien-être individuel accentué par la crise sanitaire et une préoccupation environnementale de plus en plus prégnante. « Post-pandémie, il y a une attente des gens de retourner dehors et de pratiquer une activité physique. Si on prend tous les avantages de l’aviron, cela coche toutes les cases. » déclare le président du comité aux 254 adhérents (2021-2022).

Au vu de ces éléments, le comité départemental souhaite mettre en place une stratégie pour promouvoir la pratique de l’aviron au sein du département de Vaucluse : faire connaître, communiquer et démontrer, tel est le plan de Gilles Bonnassieux. La première étape de cette stratégie de promotion est de s’adresser en priorité à un public adulte, touché par la pandémie et qui souhaite reprendre l’activité physique. Pour le président du comité, viser ce public « est le choix de la facilité. Il faut juste leur donner le dernier un coup de pouce pour qu’ils franchissent le pas ».

Un sport complet et ouvert à tous

« L’Aviron est un sport complet », explique Gilles Bonnassieux. « Ce n’est pas traumatisant pour les articulations, c’est bon pour le cœur et c’est surtout un sport convivial » poursuit-il. Tout le monde peut s’y mettre et pour les personnes en perte d’autonomie, sédentaires ou éloignées d’une pratique physique, atteintes de maladies métaboliques, cardiovasculaires ou de cancers et/ou en rémission, un programme spécial a été pensé : Aviron Santé.

En plein air, été comme hiver, sur rivière, lac ou en mer, en solo, à deux, quatre ou huit, mixte ou non, l’aviron est un sport exigeant, mais complet, tant pour une pratique de loisir que pour de la compétition, même si pour Gilles Bonnassieux, l’entrée dans ce sport, principalement des jeunes, doit passer par le plaisir : « la médaille Olympique est le Graal, mais ce n’est pas comme ça qu’on rentre dans ce sport, ce n’est pas comme ça que vous allez attirer les jeunes ».

Prototype de bateau solo développé par l’entreprise ATG Technologies © Aviron en Vaucluse

Pour permettre la découverte de ce sport, au coût matériel important, un prototype de bateau une place a été développé par l’entreprise ATG Technologies (Agroparc) et mit en pratique durant plusieurs évènements comme lors de la journée autour du handicap organisée à la plaine des sports d’Avignon. Cela permet aux curieux d’établir un premier contact avec ce sport, même si Gilles Bonnassieux confie que ces premiers contacts se transforment rarement en inscription.

 « Aujourd’hui, on ne vit que sur les subventions »

« L’objectif numéro deux, après avoir communiqué auprès des adultes, est de trouver les bons moyens au niveau du département pour aller chercher les jeunes pour qu’ils se mettent au sport et, dans mon cas, à l’aviron » confie le président du comité. « Aujourd’hui, on ne vit que sur les subventions. On a un budget qui est de l’ordre de 12 000 € et qui mon outil pour la promotion, pour la démonstration de l’aviron. » Mais cela ne suffit pas, confie Gilles Bonnassieux qui souhaite trouver des entreprises vauclusiennes partageant sa même conviction de remettre les adultes et jeunes au sport.

Pour l’heure, le président du comité compte poursuivre son partenariat avec ATG Technologies (Agroparc) et BigBird Communication (Morières), entreprise de communication à l’origine de la vidéo ci-dessus, tout en poursuivant sa recherche de mécènes.


Réforme des retraites, les sapeurs-pompiers volontaires bénéficient d’une bonification pour leur retraite

Voilà, c’est fait, la mise en œuvre du Zéro artificialisation nette (Zan) a été adoptée le 16 mars dernier au Sénat. Même si le dispositif l’avait été, deux ans auparavant, dans le cadre de la Loi Climat, le Sénateur vauclusien LR Jean-Baptiste Blanc en a soulevé les difficultés pratiques et demandé d’améliorer le texte avant que celui-ci ne passe à l’Assemblée Nationale.

La proposition ? Soumettre une application plus souple et décentralisée du Zan sans remettre en question l’objectif de sobriété foncière. Et l’avocat, devenu incollable sur le sujet, ne manquait pas d’arguments après avoir recueilli, sur le terrain, plus de 60 avis un peu crispés d’élus de l’hexagone.

Et plus encore
Mais surtout Jean-Baptiste Blanc, rapporteur du dispositif Zan, avec certains de ses homologues, a obtenu de garantir à chaque commune une surface minimale de développement d’un hectare ; la sortie des jardins, parcs et pelouses résidentiels du texte sénatorial, et d’inclure, dans une enveloppe séparée, les grands projets nationaux tels que les prisons, les ports, les centrales nucléaires… Face à ces avancées notables, qui apaisent les maires, le sénateur l’assure, le ministre de la Transition écologique, Christophe Béchu, est ouvert au dialogue sur les modalités techniques mais restera ferme sur les grands principes du Zéro artificialisation nette, histoire de ne pas dénaturer l’esprit de la Loi.

Quelles conséquences ?
Concrètement, le Zan contraint voire bloque, la capacité à construire du logement déjà mise à mal par l’inflation ce qui induira une forte pression sociale sur l’habitat -en passe de se raréfier- et déjà existant ou à rénover pour cause de diagnostic énergétique. Le dispositif immobilise également le logement social déjà très impacté par la hausse des coûts des matériaux de construction, la baisse du pouvoir d’achat des populations déjà fragiles -ce qui impacte le règlement des loyers- et l’amenuisement programmé des aides de l’Etat.

En attendant
Le texte doit prochainement être soumis à l’Assemblée Nationale. Dans le même temps, le sénateur prône un accompagnement des élus locaux sur la sobriété foncière avec de nouvelles méthodes d’aménagement, et l’arsenal déjà connu des collectivités comme la densification ‘des dents creuses’, l’accélération du renouvellement urbain et la requalification d’îlots dégradés.

Quel avenir pour l’habitat ?
Désormais le Zan exclut le pavillon avec jardin et préconise l’élévation de la construction, la renaturation de la ville avec des plantations d’arbres, une préservation des milieux humides, l’aménagement de retenues d’eau, l’organisation de jardins collectifs et de micro-fermes urbaines.

Dans le détail
Le Zéro Artificialisation Nette (ZAN) est un objectif fixé pour 2050. Il demande aux territoires, communes, départements, régions de réduire de 50 % le rythme d’artificialisation et de la consommation des espaces naturels, agricoles et forestiers d’ici 2030 par rapport à la consommation mesurée entre 2011 et 2020. Propos qui ont fait hurler les élus des communes rurales par rapport aux grandes agglos déjà très consommatrices d’espaces. Car à bien y réfléchir les communes peu consommatrices d’espaces devenaient les mauvais élèves, tandis que des communes ultra dispendieuses en foncier se faisaient à peine taper sur les doigts et même étaient encouragées à continuer de construire. Quelle logique y avait-il à tout cela ?


Mais au fait, pourquoi avoir créé le Zéro artificialisation nette ?

Le dispositif a été mis en place pour stopper une artificialisation des sols galopante, en France, cause entre autres, de la baisse de la biodiversité, du grignotage accéléré des espaces agricoles, naturels et forestiers, d’un mouvement ennemi de décarbonation puisque les sols sont des réservoirs de carbone naturels. Enfin, l’artificialisation a été identifiée comme vecteur d’inondation, empêchant l’infiltration des eaux pluviales dans le sol, le retour de l’eau dans les nappes phréatiques et favorisant la progression annuelle des jours de canicule en ville, avec plus de 28 jours, en juillet, à Avignon.

Sénatoriale intervention
Les aménagements portés au Zan, suite aux remontées de terrain du sénateur Jean-Baptiste Blanc, devraient permettre une meilleure compréhension à la fois du Gouvernement et des élus à s’engager dans ce processus, inévitable si l’ont veut protéger la nature, concourir à vivre mieux en ville et cesser de nourrir un réchauffement climatique plus prégnant chaque année.


Réforme des retraites, les sapeurs-pompiers volontaires bénéficient d’une bonification pour leur retraite

Dès aujourd’hui, le lundi 20 mars, la vente de carburants est limitée en Vaucluse, et ce, jusqu’au jeudi 23 mars inclus. Les mouvements sociaux des derniers jours ont engendré une difficulté d’approvisionnement des stations-service du département. Bon nombre d’automobilistes n’ont pas pu faire le plein de carburant ce week-end.

Afin d’éviter que ce problème ne persiste, la préfecture a décidé de prendre un arrêté préfectoral 2023/03-20 qui prévoit que la vente et l’achat de carburants (essence, gazole, éthanol, GPL) sont limités à 30 litres avec une livraison minimale de 5 litres pour les véhicules de particuliers d’un PTAC inférieur à 3,5 tonnes, et à 120 litres pour les véhicules d’un PTAC supérieur à 3,5 tonnes.

Cette limitation ne concerne pas les véhicules des services publics et ceux des entreprises assurant une mission de service public. La vente et l’achat de carburants dans les récipients manuellement transportables (jerricans et bidons) sont interdits.

Mise en place de files dédiées aux véhicules prioritaires

La préfète de Vaucluse a également décidé de mettre en place à compter de demain, mardi 21 mars, un dispositif permettant à sept stations-services préalablement identifiées de réserver des files dédiées aux véhicules des services prioritaires.

Ce dispositif de priorisation, basé sur un maillage territorial qui se veut le plus équilibré possible compte tenu des difficultés d’approvisionnement rencontrées, concerne les stations-service suivantes :

  • Auchan Mistral 7 – Route de Marseille 84000 Avignon – 9H30 à 12H30
  • Auchan Le Pontet – Route de Carpentras 84130 Le Ponter – 8H30 à 14H00
  • Intermarché Cavaillon – 130 Allée Roch Pape 84300 Cavaillon – 8H30 à 20H00
  • Total – 428 Boulevard Saint Roch 84240 La Tour d’Aigues – 8H à 11H00
  • Leclerc Auzon Ventoux – Boulevard Alfred Naquet 84200 Carpentras – 9H30 à 12H30
  • Leclerc – Route de Saint-Paul-Trois-Chateaux 84 500 Bollène – 9H30 à 12H30
  • Intermarché de Sault – Route de Saint Trinit – 84 390 Sault – 9H30 A 12H30

V.A.


Réforme des retraites, les sapeurs-pompiers volontaires bénéficient d’une bonification pour leur retraite

Le magazine de voyages américain Travel + Leisure a dressé une liste des 23 plus beaux villages du monde. Et à la première place de ce classement se tient un village vauclusien incontournable : Gordes !

Shirakawa-gō au Japon, Oia en Grèce, Ban Rak Thai en Thaïlande, ou encore Portofino en Italie. Voici quelques-uns des villages qui font partie du classement des 23 plus beaux villages du monde selon le magazine Travel + Leisure. Un village français, qui plus est vauclusien, se hisse à la première place du podium : Gordes.

« Gordes a tendance à être envahi de touristes l’été. Mais peut-on blâmer les visiteurs de vouloir s’imprégner de la magie d’un des plus beaux villages de France, voire du monde ? », évoque l’article. Le village perché semble continuer de conquérir le cœur des étrangers, autant que celui des Français et celui de ceux qui le connaissent déjà comme leur poche.

Le reste du classement propose des destinations connues de tous mais aussi des pépites cachées. De l’architecture aux paysages à couper le souffle, la liste des 23 plus beaux villages du monde met plusieurs coins du monde en lumière. De quoi ravir les férus de voyage en quête de nouvelles aventures !

https://www.echodumardi.com/tag/vaucluse/page/98/   1/1