16 septembre 2025 |

Ecrit par le 16 septembre 2025

Vedène, 3e édition, Festival du documentaire animalier : ‘Escapades en vies sauvages’

Le festival animalier : ‘Escapades en vies sauvages’ propose de découvrir, au gré de films, de conférences, de café-rencontres, d’exposition, d’ateliers, le témoignage filmé, photographié et relaté de naturalistes passionnés. L’événement a lieu vendredi 12, samedi 13 et dimanche 14 septembre, à l’Autre scène, à Vedène et connaît un immense succès : plus de 1 700 personnes dont 400 écoliers sont attendus. Tout le programme ici.

Autour de la fondatrice de l’association Le Caracal et présidente, Anouk Mégy, nombre de naturalistes, photographes et vidéastes, acteurs ‘d’Escapades en vies sauvages’, un événement de trois jours, sur la faune sauvage, organisé à l’Autre scène de Vedène.

Objectif ?
Susciter la prise de conscience d’une biodiversité en réel danger car, «En Vaucluse, la question de la chute de la biodiversité est devenue cruciale, relève Anouk Mégy. Il est urgent de redonner une place à la nature, de la montrer, de la comprendre, pour mieux la protéger.»

Nous sommes la nature
Sensibiliser le public par l’image, à travers des films, des expositions, des conférences et des ateliers. Ainsi, l’action de l’association Le Caracal repose sur trois axes : La valorisation des écosystèmes locaux et mondiaux ; La pédagogie active, notamment auprès du jeune public ; et l’Expérience artistique et sensorielle comme levier d’éveil écologique. «L’image est un vecteur puissant pour faire connaître et aimer la vie sauvage, reprend Anouk Mégy. Elle permet l’émerveillement, l’apprentissage et l’engagement.»

Les points forts de cette édition 2025
10 ateliers participatifs ; Neuf films documentaires ; Deux conférences ; Deux café-rencontre ; Un ciné-concert inédit ; Une exposition de David Allemand sur les chauves-souris du Grand Avignon ; Des invités artistes animaliers. En détail ici.

Des invités de renommée internationale
René Heuzey, parrain de cette 3e édition d’Escapades en vies sauvages’ 2025, est plongeur professionnel, réalisateur et producteur de films sous-marins français, avec notamment son label Bleu production. Il collabore avec les plus grands cinéastes du monde. Il est également l’auteur de ‘Cachalots, une histoire de famille’. Un film exceptionnel qui l’a conduit à se faire adopter par une famille de cachalots qu’il suit depuis 10 ans.

Anouk Mégy Copyright MMH

«C’est l’histoire vraie d’une famille de titans : une trentaine de cachalots, quinze femelles et onze petits, qui vivent au large de l’île Maurice, auxquels s’ajoutent les grands mâles qui reviennent de longs mois de chasse dans les mers australes. René Heuzey conclura par une conférence, après la projection du film.

Projection  de ‘Cachalots, une histoire de famille’, durée 43 mn, de René Heuzey et François Sarrano, biologiste marin. Samedi 13 septembre à 16h45. Projection suivie par une conférence de René Heuzey à 18h. Le vidéaste animalier évoquera comment il a pu se faire adopter par la famille des cachalots et partagera des anecdotes ainsi que sa passion.

Les très rares aigles de Bonelli
«L’aigle de Bonelli est l’un des rapaces les plus rares de France, relate Thomas Roger, l’invité d’honneur d’Escapades en vies sauvages. Dans le midi, au fil des siècles, il a pu vivre en harmonie avec l’homme. Mais, aujourd’hui, ce seigneur des garrigues doit faire face aux menaces d’une démographie et d’une urbanisation galopantes, qui dévorent peu à peu son royaume.» Thomas Roger, guide naturaliste et vidéaste animalier propose de regarder ‘L’aigle de Bonelli, le prince des Garrigues.
La projection aura lieu Vendredi 12 septembre, à 21h, pour une durée de 21h, en plein air, au parc Bardi, 220 avenue Pierre de Coubertin à Vedène.

Les infos pratiques
Escapades en vies sauvages. Chez L’Autre scène. Avenue Pierre de Coubertin à Vedène. Les vendredi 12, samedi 13 et dimanche 14 septembre L’Autre Scène, Vedène (Grand Avignon) Tarifs : 5 € la séance / 15 € le pass week-end / Gratuit pour les -12 ans Horaires : 10h–18h (stands/ateliers), projections dès 10h30 Réservations ici.
Tout le programme ici.

De gauche à droite, Philippe Chavaren, Dimiti Marguerat, Anouk Mégy, un ami et au second plan : Alain Martinez, Gilles Blanc et Serge Andréozzi Copyright MMH

Ils ont dit, les membres de l’association Le Caracal
«L’association Le caracal et son événement annuel : ‘Escapades en vies sauvages’ sont une aventure humaine qui permet d’aborder des questions et des sujets de masse pour les jeunes qui n’ont pas accès habituellement à ce genre d’initiative. C’est le seul festival du département qui, spécifiquement, traite de la sensibilisation à la nature et à la biodiversité.» 

« On s’est retrouvés quelques-uns autour de la table, on a relevé nos manches et on s’est dit : on va tenter cette aventure.  Et il faut dire que dès le début, la première année je crois, on était aux alentours de 1 200 personnes dont des scolaires. Et puis la deuxième année nous avons accueilli aux alentours de 1 350 personnes.»

«Aujourd’hui, le fait que l’on prenne une place dans ce paysage-là renforce la légitimité de l’association à aller au-delà, notamment pour séduire de nouveaux partenaires financiers. Egalement, nous aimerions recevoir des collégiens, car notre compréhension du monde vivant est très importante dans les premières années de nos vies. C’est une sensibilisation qui s’ancre pour se développer dans la vie de ces futurs adultes.»

«En réalité, peu de gens connaissent la faune qui vit autour d’eux. Et puis il y a beaucoup de légendes autour des animaux comme le loup, le corbeau… Alors il faut susciter l’émotion et l’empathie afin de préserver la biodiversité, de lutter contre son hécatombe accélérée par l’agriculture chimique qui, entraine, entre autre, la disparition des invertébrés, la nourriture des oiseaux. Ça touche toute la chaîne alimentaire, les polluants sont véhiculés dans l’eau qu’on retrouve dans les pôles, tout comme les pesticides. Ce sont tous des produits très dangereux.»

«Et puis, quand des espèces disparaissent, c’est beaucoup le cas de oiseaux, notamment dans les espaces agricoles, d’autres réapparaissent ailleurs, en zone urbaine parce qu’ils s’adaptent. Ca fait partie des découvertes et observations que nous avons faites.»

L’évènement ‘Escapades en vies sauvages’ a été conçu et réalisé par une poignée de naturalistes passionnés réunis autour de l’association Le Caracal à Vedène. lecaracal@orange.fr ; www.lecaracal.fr 06 61 10 16 58


Vedène, 3e édition, Festival du documentaire animalier : ‘Escapades en vies sauvages’

Le collectif Luminagora, basé à Vedène et spécialiste de la valorisation du patrimoine par projection monumentale et par le spectacle vivant, fête son 10 anniversaire en 2025. Ce vendredi 12 septembre, il présentera le spectacle ‘Si la Provence m’était contée’ à Gordes.

Fondé par Philippe Rota en Champagne-Ardenne il y a une décennie, le collectif Luminagora est désormais basé à Vedène, en Vaucluse. Depuis 10 ans, l’association met en lumière le patrimoine à travers du vidéomapping, souvent couplé avec du spectacle vivant. « Le vidéomapping est une technologie qui permet de projeter sur des grandes façades mais qu’on voit souvent dans les grandes villes, explique le fondateur, aussi directeur artistique. L’idée, c’était d’apporter cette technologie en milieu rural et de valoriser le ‘petit patrimoine’. »

Ce collectif est né au fil des rencontres avec un metteur en scène, des comédiens au théâtre, puis une chorégraphe. Est donc venue l’idée de s’allier pour monter des spectacles. Philippe Rota, lui, a apporté, entre autres, son expérience dans le vidéomapping. Aujourd’hui, un spectacle nécessite la mobilisation d’une quinzaine de personnes. « La création du collectif, c’est le prolongement de ce que je voulais faire quand je faisais seulement du vidéomapping, parce que l’idée de l’association c’est de mettre en valeur le patrimoine par l’outil de vidéo et lumière », ajoute Philippe Rota.

Du vidéomapping, du spectacle vivant, et plus

Ainsi, sur les façades de bijoux d’architecture sont projetés des photos, des vidéos, des fonds qui servent souvent de décors à des comédiens qui, ensemble, font vivre un récit et mettent en lumière les histoires et les cultures des territoires dans lesquels ces spectacles sont donnés.

« Notre leitmotiv, c’est de faire rêver le public en parlant du patrimoine et en le valorisant, que ce soit le patrimoine culturel, le patrimoine historique ou les terroirs. »

Philippe Rota

Ce sont donc une dizaine de spectacles qui sont proposés chaque année dans toute la France depuis 10 ans par le collectif, qui a encore de belles années devant lui. « On a encore de belles choses à raconter », déclare le créateur de l’association.

Un studio à Vedène

Désormais basé en Vaucluse, c’est à Vedène qu’est installé le studio de tournage de Luminagora qui est aussi ouvert à d’autres associations.

« Le studio est à disposition des associations du département ou de la région qui auraient besoin d’un espace pour faire des podcasts, des tournages vidéo, pourquoi pas des répétitions de danse pour des associations de théâtre, etc », explique Philippe Rota.

Un spectacle à Gordes pour la tournée des 10 ans

Pour sa tournée des 10 ans, Luminagora passera notamment par Gordes ce vendredi 12 septembre et présentera le spectacle ‘Si la Provence m’était contée’. « Cette année, en collaboration avec Richard Kitaeff, le maire de Gordes, on a décidé de traiter des auteurs de Provence », affirme Philippe Rota.

Ainsi, Frédéric Mistral, Jean Giono, Marcel Pagnol, Henri Bosco, ou encore Alphonse Daudet seront à l’honneur. Sur la façade du Château de Gordes seront projetées des scènes connues extraites des récits de ces auteurs provençaux. Pour ce spectacle, il n’y aura pas de comédiens sur scène, mais des acteurs feront leur apparition dans les projections. Pour la première fois, le dessin sera aussi de la partie. De quoi émerveiller petits et grands.


Vedène, 3e édition, Festival du documentaire animalier : ‘Escapades en vies sauvages’

‘La Distance’ : un titre simple pour une histoire simple

Nous sommes en 2077. Amina est partie sur Mars, convaincue d’un monde meilleur à reconstruire ailleurs, sans en avertir son père Ali. Celui-ci va chercher à la convaincre de revenir. Seuls les messages vocaux sont possibles mais le compte à rebours de la mémoire a commencé.

Une histoire improbable ?

Pas si sûr car le réchauffement climatique, la destruction programmée de notre Terre, les guerres planétaires, donnent toute sa crédibilité à cette histoire bouleversante. Elle interroge le lien familial, la mémoire, notre engagement individuel pour sauver la planète ou construire une humanité meilleure. Peut on être humain ailleurs ? 

Une interprétation bouleversante et exceptionnelle

Dialogues forts et épurés servis par une interprétation exceptionnelle d’Adama Diop en père aimant et bouleversé par l’exil volontaire de sa fille, et la jeune Alison Dechamps fragile mais déterminée, représentant toute une génération qui arrête de nous demander des comptes et préfère agir, quitte à la faire d’une manière radicale. 

Un dispositif scénique affolant

Par la présence astucieuse d’un plateau tournant évoquant une nature hostile, le désespoir et l’incompréhension du père répond à la détermination et à l’espoir de sa fille. Il y a cependant des points de rencontre, où la proximité n’a jamais été aussi proche, malgré la distance. Le plateau tourne de plus en plus vite car le temps presse, la mémoire s’estompe jusqu’à un glaçant «  excusez moi, qui êtes vous ? », l’oubli étant plus fort que la distance. Le vertige affolant de la perte nous emporte fracassant au passage nos Orwell, Huxley ou Barjavel de référence. 

Pour ceux et celles qui n’ont pas eu de places ou sont absents, sachez que le spectacle sera à Istres en mai 2026 et à Aix en Provence en juin 2026.

Jusqu’au 26 juillet. 12h. 40 et 45€. L’autre Scène. Avenue Pierre de Coubertin. Vedène.


Vedène, 3e édition, Festival du documentaire animalier : ‘Escapades en vies sauvages’

A la recherche d’alternants pour recruter dans les métiers de la mobilité, le GEIQ Auto Camion 2 Roues Sud (GEIQ AC2R Sud) vient de tenir sa première assemblée générale suite à sa création il y a tout juste 1 an. L’occasion de dresser le bilan d’une première année d’activité qui a déjà permis de signer 17 contrats d’alternance.

Ce GEIQ (Groupement des employeurs pour l’insertion et la qualification) a été créé il y a tout juste un an, en juin 2024 à Avignon. Il forme aux métiers de l’automobile, des poids-lourds et bientôt des motos. Avec comme président Denis Bréchet, par ailleurs concessionnaire Citroën à Monteux, et comme directrice Loëtitia Fijalowicz, il regroupe notamment Chabas-Iveco, spécialisé dans les véhicules industriels et utilitaires, la Bécanerie à Avignon, le concessionnaire Gemelli au Pontet et le réseau des centres Feu Vert. Le groupement d’employeur fédère aujourd’hui 16 entreprises du secteur de la mobilité et de l’automobile, engagées pour l’insertion professionnelle de jeunes éloignés de l’emploi.
C’est au lycée des Métiers Domaine d’Eguilles de Vedène, l’un des plus anciens lycées professionnels de la Région Sud (71 ans), que sont dispensées toutes ces spécialisations qui débouchent immédiatement sur des emplois en fin d’études, ce qui n’est pas négligeable dans ce secteur en tension.

« Le GEIQ, c’est une alliance d’entreprises qui croient que la qualification est un levier d’insertion durable »

Denis Bréchet, président du GEIQ AC2R Sud

Loëtitia Fijalowicz, directrice du GEIQ AC2R, souffle la première bougie du groupement d’employeur en compagnie des administrateurs de la structure. Crédit : GEIQ AC2R

 « Le GEIQ, c’est une alliance d’entreprises qui croient que la qualification est un levier d’insertion durable », a ainsi rappelé Denis Bréchet en ouverture de la séance qui s’est tenue dans les salons du Crédit agricole Les Amandiers à Avignon.
« Nous sommes là pour former les professionnels de demain, tous ensemble, complète pour sa part Loëtitia Fijalowicz. Nous sommes tous investis, tous engagés dans l’inclusion par l’alternance. Il y a des garages qui cherchent de la main d’œuvre compétente et motivée d’un côté. Et de l’autre, des jeunes passionnés de mécanique qui ne demandent qu’à apprendre et s’épanouir dans leur métier. Nous leur tendons la main et en un an, nous avons déjà signé 17 contrats pour des apprentis de 18 à 25 ans (voir aussi encadré en fin d’article). »

« Nous sommes là pour former les professionnels de demain. »

Loëtitia Fijalowicz, directrice du GEIQ AC2R

La directrice poursuit : « Nous les accompagnons avec nos partenaires et nous les formons à la maintenance, l’entretien et la réparation d’autos et de camions, bientôt à la filière carrosserie ainsi qu’à la vente de pièces détachées et à la logistique ».
Durant l’AG, deux tandems ‘tuteur-apprenti’ ont aussi apporté leurs témoignages. Zakaria et son tuteur Guillaume Chovin, récemment élu au Conseil d’Administration du GEIQ, ont partagé leur parcours commun. « C’est une aventure humaine. Le regard change, la confiance revient », a affirmé Guillaume, salué par l’assemblée.
De son côté, Jacques Bregere de Midi Auto salue l’accompagnement de très grande qualité du GEIQ et est ravi de son apprenti Sasha qui s’épanoui dans l’atelier.

Une soixantaine de personnes ont participé à la première AG du GEIQ Auto Camion 2 Roues Sud. Crédit : GEIQ AC2R

Quelles ambitions pour 2025 ?
Alors que Nicolas Fontana, tout juste recruté comme coordinateur emploi-formation, est venu étoffer l’équipe, le GEIQ AC2R affiche ses ambitions pour l’année à venir. Parmi les perspectives annoncées pour 2025 : le développement de nouvelles formations, la recherche de mécénat, et le renforcement des partenariats avec l’OPCO Mobilités et Mobilians Région SUD, dont le président en Vaucluse est Pascal Bongiovanni, pour répondre aux besoins encore non couverts du secteur. L’objectif est désormais de féminiser ces professions de la mobilité et de permettre la signature de CDI pour environ 25 alternants l’année prochaine.

De quoi susciter de nombreux soutiens de la part des participants de cette première AG qui en appelle certainement beaucoup d’autres : « une initiative inspirante et exemplaire sur le territoire » pour Pascal Lenne, président de la caisse locale du Crédit agricole, alors que Sylvie Brès de Union Patronale de Vaucluse et Patrick Chatrieux, président de Mobilians Région Sud, ont eux aussi souligné « le rôle structurant du GEIQ dans l’écosystème local de l’emploi et de la formation ».

Andrée Brunetti

Premier bilan pour le GEIQ AC2R
Depuis son lancement officiel le 1er juin 2024, le GEIQ Auto Camion 2 Roues Sud a permis la signature de 17 contrats d’alternance. Dans le même temps, la structure représente 1 053 heures de formation dispensées, plus de 4 000 heures en entreprise, et 100% de publics accompagnés en situation de vulnérabilité. Parmi les profils accueillis, 12 jeunes sans diplôme, 5 en difficulté avec la langue française, ou encore 13 confrontés à des problématiques de mobilité. « Derrière chaque chiffre, il y a une histoire » rappelle Loëtitia Fijalowicz, la directrice du GEIQ AC2R.


Vedène, 3e édition, Festival du documentaire animalier : ‘Escapades en vies sauvages’

Quentin Martinet, conducteur routier au sein du site vedènois du groupe haut-savoyard Dupessey & Co vient de remporter la finale régionale du trophée régional des routiers de Provence-Alpes-Côte d’Azur.
Organisé par l’assureur Carcept Prev, le groupe AFTRAL (Apprendre et se former en transport et logistique) et l’OPCO Mobilités, le Trophée des Routiers est le plus important concours professionnel national dédié au transport routier de marchandises et aux conducteurs de poids lourds.
« Il valorise un métier essentiel à notre quotidien et met à l’honneur les compétences techniques, la prévention et l’éco-conduite », expliquent les organisateurs qui ont créé ce concours en 2014.

« Gagner, c’est une belle surprise ! »

Quentin Martinet

Lors des épreuves régionales, Quentin Martinet s’est imposé grâce à sa maîtrise et à son engagement tout au long des épreuves.
« Je suis content pour moi, pour mon entreprise, explique ce dernier. Je ne visais pas la victoire, j’espérais finir sur le podium… mais gagner, c’est une belle surprise ! »
Pour l’emporter, le jeune chauffeur vauclusien s’est distingué dans lors des tests théorique (réglementation, sécurité routière, éco-conduite, prévention santé…) ainsi que des épreuves pratiques (éco-conduite sur route, manœuvres de précision, mises en situation théoriques).
Il devance Alexandre Jeres, conducteur basé à Vitrolles au sein du groupe avignonnais Berto Méditerranée et Thierry Hourtolou, de XPO Logistics à Port-de-Bouc.

Rendez-vous au 24h du Mans camion pour la grande finale nationale
Avec cette victoire régionale, Quentin Martinet va pouvoir participer à la grande finale nationale qui se déroulera le 20 septembre prochain dans le cadre prestigieux des 24 Heures Camions du Mans. A cette occasion, il se mesurera aux 11 lauréats des autres régionaux sélectionnés parmi près de 300 candidats hexagonaux de cette édition 2025. Objectif : être désigné le meilleur conducteur de France de l’année.

Crédit : Trophée des routiers

Vedène, 3e édition, Festival du documentaire animalier : ‘Escapades en vies sauvages’

Dernier rendez-vous symphonique avec la jeune trompettiste Lucienne Renaudin Vary à l’Autre Scène de Vedène ce vendredi

Musique baroque en Avignon s’associe à l’Orchestre National Avignon Provence
« Élue « Révélation » aux Victoires de la Musique 2016, Lucienne Renaudin Vary joue aujourd’hui en solo ou avec les plus grands orchestres internationaux et dans les salles les plus prestigieuses.
La jeune trompettiste, qui est dans la lignée des Maurice André – la référence absolue de l’instrument – et, plus près de nous, de David Guerrier, et que « le Monde » qualifie joliment de « Fée trompette », a une identité artistique unique qui lui permet de briller aussi bien sur les scènes classiques que sur la scène jazz ».

Des œuvres de Neruda et Vivaldi avec l’Orchestre National Avignon Provence
Johann Baptiste Georg Neruda, Concerto pour trompette
Antonio Vivaldi, Concerto pour violon et orchestre op.3 n°9, transcription pour trompette solo
Antonio Vivaldi, Vedro con mio diletto tiré de l’Opéra Il Giustino

La directrice musicale Débora Waldman a souhaité associer Mozart et Haydn
En choisissant de nous présenter la n°36 de Mozart dont elle saura nous faire partager le ton malicieux, et avec « Les Adieux» de Haydn la plus célèbre du compositeur, avec cet Adagio final (un cinquième mouvement ?) où les musiciens désertent l’orchestre les uns après les autres pour ne plus rester que deux violons seuls, pianissimo.

Joseph Haydn, Symphonie n°45 : « les adieux »
Wolfgang Amadeus Mozart, Symphonie n°36 : « linz »

Direction musicale, Débora Waldman
Trompette, Lucienne Renaudin Vary

Vendredi 20 juin. 20h. 17 à 34€. L’autre Scène. Avenue Pierre de Coubertin. Vedène. 04 90 14 26 40. www.operagrandavignon.fr


Vedène, 3e édition, Festival du documentaire animalier : ‘Escapades en vies sauvages’

Restitution du projet ‘Duo des Arts’  mené en partenariat avec Sainte-Catherine, Institut du cancer Avignon-Provence, le Ballet de l’Opéra Grand Avignon et le pôle des actions culturelles de l’Opéra Grand Avignon. 

Ce projet a été réalisé auprès des patients de l’Institut Sainte-Catherine et de l’hôpital Henri Duffaut. La restitution de ce travail qui force l’admiration face au courage de ces patients pour affronter la maladie est ouverte à tous. 

Retrouver confiance en soi

Initié par le Ballet de l’Opéra Grand Avignon, ce projet, qui mêle chant et danse, existe depuis 2018. Les mouvements de danse permettent une réppropriation du corps parfois meurtri, et cette année, le chant vient s’ajouter à cette expérience afin d’y apporter l’expression vocale. Ainsi, cette action culturelle permet à des femmes et des hommes en traitement ou en rémission de retrouver confiance en eux, de s’exprimer et de partager cette aventure humaine. 

Une restitution attendue

Des répétitions se sont étalées sur une période de trois semaines depuis mi-février. Pour assister à cette unique restitution, merci de contacter le pôle actions culturelles de l’Opéra Grand Avignon à l’adresse suivante : actionsculturelles.opera@grandavignon.fr 

Mardi 18 mars. 18h. Entrée libre.  L’autre Scène. Avenue Pierre de Coubertin. Vedène. 04 90 14 26 40.


Vedène, 3e édition, Festival du documentaire animalier : ‘Escapades en vies sauvages’

L’histoire du Soldat de Stravinsky créée en 1917

L’Opéra Grand Avignon présente une version chorégraphiée de la pièce de Stravinsky dont l’action est replacée en 1950. À sa création en 1917, ce spectacle de musique, texte et pantomime racontait l’histoire d’un soldat qui vend son violon (représentant son âme) au Diable, l’action se passant au cœur de la guerre.

Chorégraphié par Eugénie Andrin et le Ballet de l’Opéra Grand Avignon

L’intrigue se joue dans une chambre d’enfant. L’histoire se déroule dans les années 1950. Le réveil sonne, un jeune garçon se lève de son lit et va jouer avec ses petits soldats, on est plongé dans son imaginaire d’enfant. Les jouets animés deviennent inquiétants. Sommes-nous ans son univers ludique ou est-ce un cauchemar ? L’histoire de ce jeune homme qui se perd car il ne se satisfait de rien, devient à nouveau très actuelle.

Version de l’enregistrement paru chez Harmonia Mundi : L’Histoire du Soldat d’Igor Stravinsky
Didier Sandre, Denis Podalydès, Michel Vuillermoz de la Comédie-Française
Olivier Charlier : violon
Ensemble instrumental sous la direction de Jean-Christophe Gayot

Samedi 15 mars. 16h. 16 à 12€. À partir de 9 ans. L’autre Scène. Avenue Pierre de Coubertin. Vedène. 04 90 14 26 40. 


Vedène, 3e édition, Festival du documentaire animalier : ‘Escapades en vies sauvages’

Proche du conte d’Hansel et Gretel, ce spectacle mêle le hip-hop, les mots et la vidéo.

Tout commence dans la forêt profonde. Elle c’est Fara, fillette aux jambes molles, interprétée brillamment par Sandra Geco, tout en caoutchouc. Lui, c’est Koto, jeune garçon qui ne peut pas parler, interprété par Giovanni Léocadie, breaker tout en fluidité.

Un spectacle qui fait grandir la tolérance et le regard sur l handicap

La danse hip-hop est au cœur de l’engagement de la chorégraphe Séverine Bidaud qui, dans ce conte, exprime le handicap comme un véritable langage du corps. Un conte inspirant et optimiste pour tous sur la différence et la relation à l’autre qui invite à rêver autant qu’à réfléchir.

Samedi 8 mars. 16h. 6 et 12€. L’autre Scène. Avenue Pierre de Coubertin. Vedène. 04 90 14 26 40. www.operagrandavignon.fr  

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