4 novembre 2025 |

Ecrit par le 4 novembre 2025

Maison Bronzini à Villeneuve-lès-Avignon, vente ce samedi 26 novembre au profit des personnes atteintes de la maladie d’Alzheimer

L’association Aloïs & moi propose à la vente de sacs, étoles, snoods, accessoires, entièrement tricotés et crochetés à la main par les bénévoles de l’association au profit des personnes atteintes de la maladie d’Alzheimer. Les bénéfices de la vente seront entièrement reversés à des organismes s’occupant de cette maladie.

«Nous avons beaucoup de nouveautés à vous proposer, « dans l’air de temps » car au crochet, avec les sacs Grany et bien d’autres accessoires, précise Anne Pujol Olivier, la présidente et fondatrice de l’association Aloïs & moi… Et pour les inconditionnels, un grand choix de nos écharpes et snoods iconiques, ainsi que de nombreux ponchos, mitaines, bonnets, … pour affronter l’hiver ! Le bénéfice intégral des ventes antérieures ont permis le voyage très joyeux de nombreux malades de la maladie d’Alzheimer et de leurs conjoints organisé par Lisa Junglas, responsable de « Alzheimer Ecoute » à Avignon ».

Sac et étole réalisés au crochet

Les infos pratiques
Aloïs & moi sera présent à la Maison Bronzini lors du goûter de ce samedi 26 novembre. Un autre événement se profilera, tout comme l’an dernier, 19 Boulevard Raspail à Avignon le Vendredi 9 Décembre de 11h à 18h. La journée se conclura par le tirage au sort de la tombola -10€ le ticket- qui avait déjà remporté un grand succès, et autour d’un verre. Maison Bronzini 72 Bis, Rue de la République, 30400 Villeneuve-lès-Avignon

Les créations d’Aloïs & moi en faveur des personnes atteintes par la maladie d’Alzheimer

Maison Bronzini à Villeneuve-lès-Avignon, vente ce samedi 26 novembre au profit des personnes atteintes de la maladie d’Alzheimer

Tremblons et ayons peur ensemble, telle est l’injonction de cette 18e édition le Festival du polar. Il y aura bien sûr les classiques : dédicaces d’auteurs, nuits du Noir, conférences. Mais aussi – et c’est en cela que ce festival prend de l’importance et de la grandeur- la faculté de se renouveler, de trouver de nouvelles idées et partenaires. Bref, un festival qui a de l’avenir. Pour ses 18 ans, enfin libre et responsable, après avoir manié l’humour noir l’année dernière, il franchit le pas de l’angoisse pour nous proposer de trembler et d’avoir peur ensemble.

Un atelier philo s’interrogera sur «Faut-il avoir peur de nos peurs ? Samedi 12 novembre. 10h30. Médiathèque Saint-Pons. Des femmes autrices s’empareront de la discussion «La peur au quotidien : des femmes en premières lignes» Samedi 12.14h. Salle Gothique. La Chartreuse. 58, rue de la République à Villeneuve-lès-Avignon.

Polar au fil du Rhône sur le Mireio
Peut-être que le tangage du Mireio, amarré côté Villeneuve-lès-Avignon, face à la Tour Philippe Le Bel, accentuera nos peurs. Dans tous les cas, quelle riche idée et quel beau partenariat avec Les Grands Bateaux de Provence que d’ajouter ce lieu qui symbolise à lui seul le lien entre Avignon et Villeneuve et invite à passer le pont. Il y aura des lectures avec la comédienne Laure Vallès dès le mercredi 9, une croisière nocturne le samedi 11,  une excursion spéciale festival le 13. Si vous voulez profiter tranquillement du confort de ce bateau, on peut prévoir aussi de s’y caler dès 14h le vendredi 11 et d’y rester jusqu’à 21h. Durant ce temps, dédicaces, tables rondes et apéro swing.
Programme complet et réservation sur La Compagnie des grands bateaux de Provence.

Des auteurs seront reçus sur les péniches de la Compagnie des Grands bateaux de Provence

Une autre nouveauté, la découverte et la gratuité des monuments
L’écrin de la Chartreuse de Villeneuve-lès-avignon participait déjà à la qualité et renommée de ce festival. Pendant ce long week-end la Tour Philippe Le Bel, exposition d’Art contemporain Onze pour trembler, et le musée Pierre de Luxembourg seront également ouverts et gratuits.

Sur l’écran noir de nos nuits blanches
Cette année il y aura 3 soirées cinéma, dont une spéciale Stephen King avec les classiques Cujo et Misery : frissons assurés pour les plus de 12 ans. Une nouveauté : nos peurs traversent le Rhône, le cinéma Utopia d’Avignon participe également avec un documentaire thriller écologique de Luc Marescot. Comme tous les ans, les soirées seront présentées par Michel Flandrin spécialiste du genre.
Jeudi 10 novembre. Spécial Stephen King. Vendredi 11 novembre. La loi de Téhéran puis Sicario. Samedi 12 novembre. Jusqu’à la garde. Identity. Premier film à 18h45. L’autre à 21h. Films en VO. Billetterie gratuite ouverte 30 minutes avant chaque film. Pas de réservation. Salle du Tinel. La Chartreuse de Villeneuve-lès-avignon. Rue de la République.

Auteurs présents sur le salon
Les auteurs Sylvie Allouche, Jean-Luc Bizien, Christian Blanchard, Fabienne Blanchut, Dominique Delahaye, Sandrine Destombes,  Sébastien Gendron, Marc Laine, Jérôme Leroy, Max Monnehay, Hugues Pagan, Piergiorgio Pulixi (Italie),  Clémentine Thiebault,  Valerio Varesi (Italie) et Gilles Vincent seront présents dès le vendredi 11 novembre de 14h à 17h sur le Mireio et les jours suivants à la Chartreuse.

Olivier Bordaçarre, Gwenaël Bulteau, Sylvia Cagninacci, Éric Fouassier,Hachin (BD), Iwan Lepingle (BD) Isao Moutte (BD Frédéric Paulin, Chantal Pelletier, Pierre Pouchairet, Claire Raphaël, Nathalie Sauvagnac, Elena Sender, Lilja Sugurdardottir (Islande), Ahmed Tiab, Franck Thilliez, seront présents le samedi 12 novembre de 10h à 12h30 et de 14h à 18h30 et le dimanche 13 novembre de 10h à 17h30 à la Chartreuse de Villeneuve.

Les infos pratiques
Festival du polar. Du 9 au 13 novembre 2022. Dans divers lieux du centre-ville de Villeneuve-lès-Avignon. Des animations et rencontres auront également lieux dans certaines médiathèques et bibliothèques des alentours, partenaires du Festival. Programme complet  sur le site du Festival www.polar-
villeneuvelezavignon.fr

DR

Maison Bronzini à Villeneuve-lès-Avignon, vente ce samedi 26 novembre au profit des personnes atteintes de la maladie d’Alzheimer

Vous avez toujours rêvé de trouver votre place et de vous accomplir pleinement ? Anne-Marie Martin peut vous y aider. Elle est sophro-analyste spécialisée dans les mémoires prénatales, les constellations familiales et les soins énergétiques. Elle travaille à Villeneuve-lès-Avignon et Avignon deux ‘villages’ qui ont ravi son cœur. Voyage intérieur.

Cette ancienne attachée de presse parisienne a décidé de changer de vie professionnelle à quarante ans pour ‘donner plus de sens à sa vie’. Son cahier des charges ? Etre utile et voir le résultat. Et pour s’armer de nouvelles compétences Anne-Marie étudie les états modifiés de conscience et la sophro-analyse des mémoires prénatales.
«Ce qui me touche ? C’est qu’à partir de l’état de conscience modifié (EMC, méditation, relaxation, visualisation…) on peut tout travailler, et particulièrement les traumatismes de l’enfance. On peut même revivre la gestation, lors de ces neuf mois où l’enfant vit en totale dépendance avec sa mère.»

DR

Un exemple ?
«Oui, une jeune femme qui a du mal à trouver sa place. En interrogeant sa vie il se trouve que sa maman ne la désirait pas et préférait attendre un garçon. Entre le début et six semaines de grossesse la maman perd du sang. Le médecin l’examine. Tout va bien le bébé est toujours là. Sauf qu’il se pourrait qu’un jumeau perdu, un garçon, ait été victime d’une fausse couche sans que personne ne s’en soit aperçu. Cela pourrait être le cas de 20% des grossesses. Le ressenti de cette jeune-femme ‘qui recherche sa place et ne la trouve pas’ pourrait être la conséquence de ce jumeau perdu. Et cet épisode de vie utérine induit, entre autres, une difficulté à trouver sa place, à s’engager dans une relation amoureuse par peur de trop souffrir.»

La maman qui n’arrive pas à aimer son enfant
«Lorsque l’on n’est pas désiré par sa mère, l’enfant puis l’adulte que nous sommes reste en recherche de cet amour maternel qu’il quémandera toute sa vie, même inconsciemment. Mais à y bien regarder, et en enquêtant, on peut y voir un schéma répétitif de générations de femmes : mère, grand-mère, arrière-grand-mère ayant vécu des grossesses non désirées. Celle qui ne donne pas son amour en est empêchée pour diverses raisons, parfois restées elles aussi inconscientes. Beaucoup de faits, dans les familles se répètent. Pour y mettre fin ? Tout l’exercice consiste à mettre au jour ces raisons tues de générations en générations pour s’en libérer ainsi que les générations futures.»

DR

Mettre au jour ce qui est tu
«Le travail sur la mémoire prénatale met au jour des souvenirs, des pistes de réflexion qui se révèlent logiques, c’est un travail sur les mémoires cellulaires, sur son moi profond. » « Ce n’est pas compliqué de mettre des mots sur la mémoire d’un fœtus ? » « Non parce que grâce aux états de conscience modifiés, on ‘est’ dans le ventre de la mère. Plus l’on reste dans cette posture de foetus, plus le corps va ressentir d’émotions. Au client puis au thérapeute, ensuite, d’en faire la lecture.»

Ne risque-t-on pas de se raconter des histoires ?
«Non parce qu’à partir du moment où tout éclot en séance, tout est juste. Et puis le thérapeute sait faire la part des choses entre le mental et le corporel. Egalement la personne qui vit ces traumatismes est réputée pouvoir les faire cesser. On appelle cela des loyautés ou fidélités familiales qu’il faut déceler pour y mettre un terme.»

Comment faire ?
«En faisant dialoguer la personne avec sa mère, la lignée des femmes de sa famille. On peut aussi demander symboliquement à la grand-mère de soutenir sa fille. Le but de tout cela ? Réparer les liens car savoir ne suffit pas. Il faut repasser par un dialogue intérieur, des émotions. Finalement il s’agit d’une restructuration. Le puzzle se recompose, on délivre nos ancêtres, on se délivre soi et nos enfants.»

DR

Et si l’on est incrédule ?
«Si l’on ne fait rien, rien ne change mais ce travail peut tout changer. Pour les plus cartésiens ? Certains ne monteront pas toutes les marches mais celles qu’ils auront gravies, indéniablement, leur servira, et leur mode de fonctionnement s’en trouvera changé. On peut aller très loin et ouvrir beaucoup de champs ou n’en n’ouvrir qu’un. Ce qui compte ? C’est que ça bouge un peu.»

En avançant dans l’âge
«Plus l’on avance en âge et plus les schémas sont répétitifs, comme durs, voire violents. Nous sommes donc tous là pour évoluer, grandir, apprendre et dépasser nos propres obstacles. Si l’on ne comprend pas nos freins ? On risque de voir se déployer des malaises (mal à l’aise), des maladies (le mal a dit), des deuils, des accidents. C’est malheureux à dire mais ce sont des leçons de vie qui se reproduisent en étant de plus en plus marquées, fortes… Il devient nécessaire de travailler sur soi. Le travail ? C’est conscientiser, nettoyer les émotions du passé, pardonner, trouver la paix avec sa propre histoire. Il n’est pas question de camoufler la poussière sous le tapis mais d’être dans l’acceptation et de poursuivre son chemin dans la sérénité.»

La vie intra-utérine
«Pour moi la vie intra-utérine fait partie de la base, de l’éclosion de la personnalité. Travailler dessus permet de changer toute sa vie. Auparavant il faut traverser toutes les émotions : colère, culpabilité, tristesse, sentiment d’abandon, de rejet et accepter de s’ouvrir à la vie dans son quotidien.»

DR

Les constellations familiales
«Les constellations familiales c’est étudier le fonctionnement de son système, sa tribu familiale et son univers professionnel. Il n’y a pas vraiment de différence entre la tribu familiale et professionnelle car ce sont les mêmes situations qui se rejouent. On retrouve en entreprise ce que l’on a vécu dans sa sphère familiale. Les constellations servent notamment à travailler sur l’enracinement : se relier aux racines de la famille, du pays ; mais aussi à se libérer des injonctions et des loyautés familiales.»

La psycho-généalogie
«Est-ce que je pratique la psycho-généalogie ? Non, mais je trouve que cela rejoint les constellations familiales. Je demande à mes clients de faire leur arbre généalogique : les arrière-grands-parents, grands-parents, frères et sœurs, les dates de naissance et de décès, les métiers, les fausses-couches, les enfants morts en bas-âge, les prisonniers, les morts, ceux qui ont fait la guerre, la 2e guerre mondiale, d’Indochine, d’Algérie, pour discerner les traumatismes que l’on porte. C’est important car on y retrouve le ‘pas le droit d’être heureux’, les interdictions culturelles… Ça me permet de déceler ce qui est à travailler, de comprendre ce qui est en souffrance dans la famille, ce que l’on peut porter sans le savoir.»

Dans le cas d’enfant adopté ?
«Je travaille sur la famille biologique et adoptive. Pourquoi ? Parce qu’un lien mystérieux s’est déjà créé avec cet ‘enfant d’ailleurs’ qui a peut-être été ‘préconçu’ pour cette famille adoptive. On pourrait évoquer là des liens karmiques. Il est possible de faire revivre leur vie intra-utérine à des personnes qui n’ont plus jamais été en lien avec leur propre mère. C’est tout l’enjeu des dialogues de réparation par rapport au sentiment d’abandon. On soigne l’enfant intérieur qui n’est plus agissant en tant que souffrance : manque d’amour, d’attention, de présence ce qui résonne dans le champ de l’adulte. Tout ce qui est de l’ordre de la dépendance affective vient, à la base, de ce problème de détachement de la mère pour son enfant.»

On met beaucoup de choses sur le dos de la mère !
«C’est normal, c’est elle qui porte l’enfant durant neuf mois. Neuf mois essentiels ! » «Pourtant vous faites porter beaucoup de choses à la mère et très peu au père ? » « Le lien avec la maman sera toujours plus fort parce que vous avez été en elle durant neuf mois, au contact de ses émotions, de ses pensées, de son corps, c’est viscéral ! Le but n’est pas de culpabiliser les femmes. Contrairement à ce qu’on dit, je crois que les enfants choisissent leurs parents. Les mères font du mieux qu’elles peuvent, au jour le jour et on essaie de bosser sur soi histoire de nettoyer les placards.»

DR

Travailler avec les femmes enceintes
«Travaillez-vous avec les femmes enceintes ?» «Oui, particulièrement le lien mère-enfant. Il y a des femmes enceintes qui ont du mal à accepter cet enfant qui grandit dans leur ventre. Je peux les aider à améliorer ce lien avant que l’enfant ne naisse et même après la naissance. Les femmes enceintes sont, parfois, émotionnellement fragiles, comme débordées par leurs émotions. Elles ont peur pour le bébé, peur de pleurer, n’osent pas dire leur mal-être par crainte de ne pas être comprises. J’ai pu travailler avec elles parce qu’elles avaient été auparavant mes clientes et qu’elles me disaient sentir surgir des émotions jusqu’alors inconnues. Je leur répondais ‘travaillons cela ensemble’. Ça a été  plein d’enseignements car effectivement, lorsque nous sommes enceintes, nous revivons ce que nous avons vécu avec notre propre mère. Il serait d’ailleurs très intéressant, même nécessaire, de travailler avec des sages-femmes car combien de mères n’arrivent pas à créer de lien avec leur enfant pendant la grossesse puis après l’accouchement et, horrifiées se taisent, effrayées elles-mêmes de ne rien ressentir et s’isolent d’autant plus qu’elles le cachent, alors qu’il suffirait de quelques séances pour tout apaiser.»

Echapper à l’acrimonie
«Le travail sur soi ? C’est comprendre ce qui se joue, quelles sont les fidélités, les loyautés, les schémas répétitifs, ce que l’on porte pour papa ou maman. Les schémas dupliqués entre les salariés et le patron. Etes-vous à la bonne place par rapport au système ? L’objectif ? C’est remplacer les chaînes par des liens bienveillants tout en ne niant pas les faits. Un procédé consiste à prendre la posture de chaque personne de son entourage, comme ses parents, pour en ressentir l’énergie, on entre là dans l’inconscient familial, le champ morpho génétique. On reconstitue sa tribu dans la pièce, en les nommant, on les appelle, qu’ils soient vivants ou morts. Tous sont présents et cela permet aussi de rendre à nos ancêtres ou contemporains des choses trop lourdes à porter : émotions, croyances, dire ce qu’on n’a pas pu se dire… On vide son sac pour le transformer puis vivre en paix.»

Anne-Marie Martin

Quand on vient chez vous on en prend pour combien ?
«(Rires) Je propose des thérapies brèves, ce n’est pas de la psychanalyse. En général une dizaine de séances est nécessaire. En neuf mois on a fait le tour et si des ‘ressentis’, des ‘gênes’ apparaissent par la suite, elles seront traitées ponctuellement. Ensuite la vie change parce qu’on n’a plus les mêmes croyances et donc plus les mêmes comportements. Avec ce travail, on retrouve de l’estime de soi, on arrive à mieux parler en public, on prend sa place dans le monde. En quelques mots ? On ne se sabote plus la vie !»

Savoir qui l’on est
«Trouver sa place dans sa famille et dans la société est un vrai sujet. A partir du moment où l’on sait qui l’on est et où l’on va, on s’autorise à être, à faire ce pourquoi nous sommes faits, à incarner sa vie. D’ailleurs les hommes y viennent. Ils représentent environ 20% de ma clientèle. Ils viennent pour résoudre des problèmes affectifs, trouver leur place. Le travail intérieur permet à la société d’évoluer. Les jeunes adultes âgés de 20 à 30 ans, sont très ouverts sur le monde et très conscients des enjeux qu’ils auront à relever.»

DR

Ecouter et faire vivre son corps
«Je préconise également d’entamer des changements plus globaux comme faire du sport, d’adopter une hygiène de vie, rencontrer ponctuellement d’autres thérapeutes : énergéticien, kinésiologie, ostéopathe car le corps s’exprime, nous fait découvrir de nouvelles parts de nous et nous indique où travailler –symbolisme du corps- Le corps est vecteur de découvertes.»
anne-mariemartin.fr & Chaîne Youtube ici. Des séances, stages se déroulent aussi sur la péniche Althéa, île de la Barthelasse à, Chemin de l’Île Piot à Avignon.

Pour approcher le sujet : ‘Rôle des mémoires prénatales’ du docteur Claude Imbert. ‘La sophro-analyse des mémoires pré-natales de la naissance et de l’enfance’ de Christine Louveau, pharmacienne. ‘Petits et grands traumatismes de la vie intra-utérine ‘de Karine Hury.

DR

Maison Bronzini à Villeneuve-lès-Avignon, vente ce samedi 26 novembre au profit des personnes atteintes de la maladie d’Alzheimer

Le mardi 18 octobre, la romancière Agnès Michaux présentera son tout nouveau roman ‘1909’, le troisième tome de ‘La fabrication des chiens’, à la Maison Bronzini à Villeneuve-lès-Avignon dans le cadre de l’événement ‘Un soir, un auteur’.

Agnès Michaux est l’auteure d’une vingtaine de romans. Elle a notamment écrit la trilogie ‘La fabrication des chiens’ dont le dernier volet ‘1909’ vient d’être publié aux éditions Belfond, qu’elle présentera le mardi 18 octobre à la Maison Bronzini à Villeneuve-lès-Avignon dans une interview-débat, suivie d’une séance de dédicaces.

Dans ce dernier volet, on suit les aventures du photographe Louis Daumale qui est père de deux filles et se confronte aux défis du mariage à Paris, où le monde moderne est en train de s’inventer, poursuit sa métamorphose du tournant du XXᵉ siècle. Un monde où Louis, l’homme au chien, l’homme-chien, n’en finit pas de découvrir que ce que l’on fait aux chiens annonce ce qui arrivera aux hommes. Les haines fermentent toujours, tout se ligue contre la paix, même les mots, même les livres – qui excitent le goût humain des catastrophes.

Mardi 18 octobre. 19h. Maison Bronzini. 72Bis Rue de la République. Villeneuve-lès-Avignon.

V.A.


Maison Bronzini à Villeneuve-lès-Avignon, vente ce samedi 26 novembre au profit des personnes atteintes de la maladie d’Alzheimer

La célèbre marque italienne au Cheval cabré vient de tourner un film de présentation de son dernier modèle, la ‘Purosangue’ (‘Pur-sang’ en italien), dans les rues de Villeneuve-lès-Avignon. Le tournage, réalisé par une équipe d’une trentaine de personnes, a ainsi permis de filmer ce crossover de 725ch dans les rues de la cité cardinalice.

Affichant un prix de 390 000€, le dernier né de la gamme Ferrari a ensuite pris la route de Cassis pour la suite du tournage. Auparavant, la ‘Purosangue’ avait déjà été filmée en Norvège et en Italie. Les différents films seront destinés à être essentiellement diffusés sur les réseaux sociaux.

Voir cette publication sur Instagram

Une publication partagée par Ferrari Purosangue (@theofficialpurosangue)


Voir cette publication sur Instagram

Une publication partagée par Ferrari Purosangue (@theofficialpurosangue)



Maison Bronzini à Villeneuve-lès-Avignon, vente ce samedi 26 novembre au profit des personnes atteintes de la maladie d’Alzheimer

Séverine Sagnet, l’ancienne cheffe de la Table Haute et de l’Ecole de cuisine de la Mirande désormais cheffe à domicile et toujours professeur propose ses cours les jeudis 29 septembre, 6 et 20 octobre comprenant une visite du marché de Villeneuve-lès-Avignon avant de passer aux travaux pratiques au cœur de la verrière de la Bastide de Bellegarde.

Au programme
« Vous cuisinerez un repas en 3 temps avec les produits que nous aurons achetés au marché de Villeneuve-les-Avignon selon ce que vous aimez et les produits que vous avez envie d’apprendre à cuisiner. Ce que je veux vous apprendre ce jour là : c’est oser ! prévient Séverine Sagnet. »

« Osez vous lâcher en cuisine, osez les associations de goûts détonnantes, osez mettre plus de paillettes dans votre vie au quotidien. Je vous donnerai aussi quelques notions de cuisine en pleine conscience et quelques méditations guideront votre approche de la journée. Vous serez accueillis par Brian, maître des lieux et maître des scones, dans la magnifique cuisine-verrière baignée de lumière. »

Le déjeuner en 3 temps sera accompagné de la dégustation de quelques vins de la Vallée du Rhône issus de l’agriculture biologique/biodynamique et se déroulera sur la terrasse ou dans la salle à manger auprès de la cheminée.

Les infos pratiques
Prix de la journée 9h30 -15h : 150€ (tarif early bird 135€). « Je vous propose de me rejoindre au marché de Villeneuve à 8h. Pour plus de détails, je vous invite à suivre ce lien, sur les événements de ma page Facebook

DR

Entre amis ou en Team building
« En Groupe de travail, dans le cadre d’un team building, ou juste pour le plaisir en groupe d’amis ou pour la célébration d’un événement particulier, je vous reçois sur réservation dans les cuisines de la Bastide de Bellegarde sur l’île de la Barthelasse. Vous cuisinerez dans la verrière baignée de soleil et déjeunerez en terrasse dans le ravissant parc. »

Déroulement de la journée
Voici le déroulement de votre journée : visite du marché de Villeneuve-les-Avignon ou de la Ferme la Reboule pour l’achat des produits, préparation de 3 recettes salées et sucrées pour un déjeuner convivial autour d’une dégustation de vins. Pour 6 personnes minimum, réservation obligatoire, devis sur simple demande.

Les rendez-vous de Séverine à l’Ecole culinaire de la Mirande, le Marmiton

Les jeudis 22 septembre, 13 octobre et 8 décembre.
« Je vous mène en balade dans les rues d’Avignon pour partager tout ce que j’y affectionne « gourmandisement » parlant. Vous ferez les achats aux Halles selon mes conseils et ce que vous aimez, puis nous cuisinerons le repas 3 plats que nous dégusterons ensuite au moment du déjeuner accompagnés de vins de la vallée du Rhône. » 

Les infos pratiques
Séverine Sagnet fondatrice de Quantic cuisine. 22, rue Marcel Fabrigoule. 30400 Villeneuve-lès-Avignon. La bastide de Bellegarde. 990 Chemin du Mont Blanc à Avignon. 06 40 56 87 84. Et aussi à La Mirande. Place de l’Amirande à Avignon 04 90 14 20 20
MH

DR

Maison Bronzini à Villeneuve-lès-Avignon, vente ce samedi 26 novembre au profit des personnes atteintes de la maladie d’Alzheimer

Demain, le samedi 2 septembre, la commune de Villeneuve-lès-Avignon devait accueillir la Journée des associations villenevoises et angloises. Cependant, ses organisateurs ont été contraints de reporter l’événement.

En effet, en raison des prévisions météorologiques annoncées par Météo France, la Journée des Associations qui devait se dérouler initialement le demain est reportée au samedi suivant, le 10 septembre de 10h à 17h30, dans la même configuration. En cas d’intempérie à cette date-là, une solution de replis est prévue.

Pour en savoir plus sur ce qui vous attendra samedi prochain, cliquez ici.

V.A.


Maison Bronzini à Villeneuve-lès-Avignon, vente ce samedi 26 novembre au profit des personnes atteintes de la maladie d’Alzheimer

En septembre, c’est la rentrée ! Pour préparer au mieux votre année 2022-2023, rendez-vous lors de la traditionnelle Journée des Associations qui se déroulera samedi 3 septembre 2022, de 10h à 17h30, rue de la République de Villeneuve lez Avignon (entre la place Jean Jaurès et la place de la Croix).    

À cette occasion, rencontrez les bénévoles d’une centaine d’associations Angloises et Villeneuvoises, découvrez les activités sportives, culturelles et artistiques proposées, et assistez aux démonstrations qui ponctueront cette journée :   

Démonstrations
. Démonstrations de danse moderne et de jazz, de karaté, de taekwondo, de claquettes, de boxe, de Gi Gong ou de tai-Chi, de chants, danse en ligne, de musique pop et rock ;
. Jeux à partager avec l’association Villeneuve-lez-jeux ;
. Ateliers proposés par l’Atelier Art Vivant ;
. Présence tout au long de la journée d’une table de ping-pong installée au centre des stands, et d’un terrain de badminton ;
. Déambulation dans le centre-ville de la Batucada de Tôtout’Arts, pour le plaisir de tous…

Envie de commencer un nouveau sport ?
D’initier vos enfants à une pratique artistique ? De découvrir les activités et loisirs près de chez vous ? Toutes les associations seront réunies pour répondre à vos questions. Il n’y aura plus qu’à choisir votre nouveau hobby !          

Renseignements       
Office de Tourisme de Villeneuve lez Avignon 04 90 03 70 60 et Service des Associations de Villeneuve lez Avignon 04 90 27 49 25
MH


Maison Bronzini à Villeneuve-lès-Avignon, vente ce samedi 26 novembre au profit des personnes atteintes de la maladie d’Alzheimer

Visite guidée du palais abbatial et des jardins de l’abbaye Saint-André
11h Abbaye Saint-André Plein tarif : 14 € – Tarif réduit : 13 € L’ancien palais rebâti au XVIIIe siècle ouvre ses salons meublés, aux exceptionnelles voûtes, pour une rencontre intime avec les propriétaires qui se sont succédés et qui ont créé les célèbres jardins…
Sur réservation. +33(0)4 90 25 55 95 www.abbayesaintandre.fr

Yoga en haut de la Tour Philippe-le-Bel
19h15 Tour Philippe-le-Bel Plein tarif : 15 € Prendre de la hauteur, converser avec un monument emblématique, la pierre, avec le Rhône, avec le ciel ! Se laisser guider par le souffle et la vibration. Sur réservation. Lieu de rendez-vous communiqué lors de la réservation. +33(0)4 90 03 70 60 – +33(0)7 49 23 61 59

Visite au clair de lune des jardins de l’Abbaye Saint-André
20h30 Abbaye Saint-André Plein tarif : 9 € – Tarif réduit : 8 € En petit groupe, à la lueur des lanternes, venez découvrir, avec le guide, les Jardins de l’Abbaye Saint-André. Vous observerez les jeux de lumières se refléter dans les bassins et imaginerez peut-être des ombres chinoises se dessiner…
Sur réservation. +33(0)4 90 03 70 60
MH

Les jardins de l’abbaye Saint-André

https://www.echodumardi.com/tag/villeneuve-les-avignon/page/8/   1/1