5 août 2025 |

Ecrit par le 5 août 2025

Christophe Boyer, chef à Violès, est finaliste de la coupe de France du burger

Christophe Boyer est le chef du food truck Bao burger situé à Violès. Ce mercredi 30 mars, il va participer à la finale de la coupe de France du burger aux côtés de 24 autres chefs.

Son food truck, il ne l’a que depuis un an. Avant cela, Christophe Boyer était dans l’immobilier. C’est un changement de vie radical qu’il a mis en place avec sa femme, d’origine vietnamienne. Ensemble, ils ont élaboré une carte de bao burgers, une version asiatique du sandwich avec un pain cuit à la vapeur. C’est donc tout naturellement qu’il propose le ‘Beef Xa Bao’ à la finale de la 7ème coupe de France du burger ce mercredi 30 mars. Ainsi, il succède à Lionel Ravel, chef à Bédoin, qui lui avait concouru lors de la 5ème édition en 2020.

« L’impossibilité de voyager m’a donné envie de retrouver les saveurs de mes voyages au Vietnam », explique le vauclusien. Pour embarquer le jury, cette année composé de vingt experts et présidé par le chef Laurent Favre-Mot, Christophe Boyer propose un burger sucré-salé avec un steak haché de boeuf charolais mariné dans un mélange d’ail pressé, de citronnelle et de sauce d’huître. On y trouve également du cheddar saturé au saté avec des cacahuètes hachées et du pickle de chou rouge.

Deux finales en une

En réalité, le chef de Bao burger ne va pas participer à une finale, mais à deux ! Dans un premier temps, le ‘Sandwich and snack show’, qui a lieu à la porte de Versailles, accueillera les cinq finales régionales. Christophe Boyer devra donc affronter quatre autres chefs du Sud-Est, dont deux viennent également de la région Paca, et les deux autres de Rhône-Auvergne. Cinq finales qui se dérouleront sous le thème du ‘burger trotter’. Le voyage est assuré !

Viendra ensuite la finale nationale qui opposera cinq vainqueurs, qui représenteront les cinq régions de la France : l’Île de France, le Nord-Est, le Sud-Est, le Sud-Ouest et l’Ouest. Un seul des finalistes l’emportera. Pour les deux finales, Christophe Boyer et ses concurrents ne disposeront que d’une seule règle : confectionner leur burger en 25 minutes maximum.

Les critères pour désigner le vainqueur

Organisé comme chaque année par Socopa, l’un des acteurs les plus importants des filières bovine et porcine en France, ce concours met en avant l’aspect technique, mais aussi l’aspect esthétique. Les burgers doivent respecter certains critères comme la viande de bœuf qui doit être d’origine France Socopa restauration et un coût matière inférieur à 5 €. Ils doivent également présenter une logique, mais aussi être simple à réaliser et à dupliquer. Enfin, les burgers doivent non seulement être bons, mais aussi beaux.

Le vainqueur de la finale de la coupe de France du burger remportera la somme de 2500€. Mais les autres concurrents ne seront pas pour autant mis de côté. Parmi les cinq champions régionaux, un sera choisi par le public comme étant son coup de cœur. Celui-là remportera 500€, tout comme les 4 autres finalistes régionaux. Pour finir, les 100 meilleurs candidats du concours recevront une plaque ‘Coupe de France du burger by Socopa’.

Les 25 finalistes et leur burger

V.A.


Christophe Boyer, chef à Violès, est finaliste de la coupe de France du burger

Ce vendredi 1er avril, la bibliothèque de Violès accueillera la psychologue et psychothérapeute Christiane Gaillard pour sa conférence ‘La langue cryptée de notre inconscient’.

Organisée par la Commission culturelle municipale, la conférence donnée par Christiane Gaillard traitera du langage de l’inconscient, notamment lorsque l’on dort. Depuis plusieurs siècles, des chercheurs ont tenté de comprendre comment agit ce dernier pendant nos rêves et nos cauchemars.

La psychologue abordera deux notions au cours de cette conférence. La première tournera autour de la raison pour laquelle notre inconscient parle une langue qui nous est inconnue et à laquelle les chercheurs ont du mal à trouver une explication. Deuxièmement, Christiane Gaillard abordera l’objectif de l’inconscient et ses effets sur l’être humain.

Réservation au 06 79 64 93 32.

Vendredi 1er avril. 18h30. Bibliothèque municipale. Cours Rigot. Violès.

V.A.


Christophe Boyer, chef à Violès, est finaliste de la coupe de France du burger

L’association ‘Violès sans poids lourds’ peut s’appuyer sur la mobilisation de ses 1 100 adhérents, tous engagés dans un bras de fer de longue date : dévier les poids lourds afin de désengorger le centre du village et retrouver sécurité et sérénité. Malgré un projet qui prend forme et des premiers travaux, l’association déplore certains retards qui repousse la déviation à l’horizon 2025.

La tenue de l’assemblée générale de ‘Violès sans poids lourds’ à la salle des fêtes a été l’occasion de faire le point. Devant un aréopage d’élus concernés par ce grand chantier (Marie-France Lorho, députée de la 4e circonscription, Yann Bompard et Sophie Rigaut, conseillers départementaux, Louis Biscarrat, maire de Jonquières, et ceux de Vaison-la-Romaine et Entrechaux), le nouveau président Jonathan Goyon a présenté le projet de grande déviation de Violès. L’association intervient auprès des autorités politiques et administratives afin que soit réalisé, le plus tôt possible, un itinéraire de contournement permettant de dévier les poids lourds, sauf pour desserte locale, en leur proposant un axe structurant plus adapté à leur trafic.

Le projet de déviation

Ce projet comporte deux parties essentielles : l’élargissement de la RD23 de Camaret-sur-Aigues à Sablet. Les travaux d’aménagement de la RD23 ont été réalisés sur une première section. La deuxième section fait l’objet d’une enquête parcellaire préalable aux acquisitions. Deuxième étape : la partie sud de la déviation d’Orange. Le projet de déviation de Violès passe par la réalisation des sections 1 et 2, du giratoire du Coudoulet à la RD975, de la déviation de la route nationale 7 à Orange. Le département de Vaucluse a proposé d’en assurer la maîtrise d’ouvrage pour le compte de l’Etat en partenariat avec la Région Paca, la CCPRO (Communauté de communes du Pays Réuni d’Orange) et la ville d’Orange.

Un projet dans les cartons depuis 1922

Les conseillers départementaux Sophie Rigaut et Yann Bompard confirment que le projet de déviation de Violès est en cours et avancent la date de 2025 pour la fin des travaux. « Il est rassurant de voir que le projet continue sur sa lancée mais malheureusement les actions prennent du retard. Les travaux de la déviation d’Orange devraient débuter en 2023 », déplore le bureau. André Limbert, adhérent et membre fondateur de VSPL et ancien maire de Violès, affirme entendre parler du projet depuis 1992 ! Il reste présent et mobilisé. Louis Biscarrat, maire de Jonquières, souhaite que la déviation avance rapidement, 2025 lui parait loin. Il a aussi été évoqué par Mr Prieto, qu’en attendant que la déviation se fasse, il faudrait envisager un itinéraire pour les camions transportant des matières dangereuses. L’association regardera les modalités afin de voir si des actions peuvent être effectuées en ce sens.

Thierry Lagneau témoigne son appui

« Je vous confirme l’engagement résolu du Département pour parvenir au plus tôt à une réalisation effective de l’aménagement considéré », Thierry Lagneau (vice-président du Conseil départemental de Vaucluse) témoignait fin 2020 son soutien à travers un courrier. Deux étapes importantes avaient été franchies : le dépôt du dossier de demande d’autorisation dite ‘Loi sur l’Eau’ qui donne lieu à une enquête publique si l’instruction est favorable et la soumission des études techniques détaillées pour avis au futur gestionnaire routier national. Le département annonçait alors en 2020 la réalisation de sondages géotechniques et un diagnostic archéologique (prévu pour fin 2020 – début 2021). Il était également question d’études environnementales et d’investigations foncières pour solliciter l’autorisation de ‘dérogation CNPN’ (dérogation espèces protégées). En attendant, l’association ne s’essouffle pas et maintient les échanges constructifs dans le but de tenir les engagements initiaux. Affaire à suivre.


Christophe Boyer, chef à Violès, est finaliste de la coupe de France du burger

Couturier, société spécialisée dans le matériel viti-vinicole basée à Violès, vient d’être reprise par le groupe gardois Perret. Implantée dans le Vaucluse depuis 1820, l’entreprise familiale a débuté son activité autour du métier de maréchal ferrant avant de s’orienter vers des prestations d’études et de services en vente, maintenance et fabrication en acier inoxydable.

Sur ce secteur d’activité, Couturier vient rejoindre l’entreprise Visea créée en 2012 au sein du groupe Perret qui complète ainsi son offre à destination des viticulteurs, des domaines, des caves coopératives et de l’industrie agro-alimentaire. Le nouvel ensemble ‘Couturier-Visea’ sera dirigé par Eric Paolini, gérant actuel de Visea. Ce dernier va donc se positionner sur la distribution de matériel viti-vinicoles et d’embouteillage avec un positionnement de leader sur le matériel destiné au travail en cave et une exclusivité sur plusieurs marques (Bucher, PMH, Francesca, GAI, Chalvignac, Gimar, Kreyer, Marchisio, Delta Sud, Laffort…). Couturier-Visea entend aussi s’appuyer sur son bureau d’étude pour l’accompagnement et l’expertise, de la conception à l’installation complète de caves et de ‘process’ d’embouteillage.

Deux sites en Vaucluse, un autre dans la Drôme
Une activité de chaudronnerie, avec la fabrication de passerelles, escaliers, bacs inox, tapis-convoyeurs, tuyauterie principalement dédiée à l’industrie agroalimentaire, et un service après-vente (entretien, maintenance et contrôle technique) complèteront l’offre. Enfin, le nouvel ensemble conservera les trois magasins de Couturier proposant des produits de vinification et du petit outillage à Violes, Châteauneuf-du-Pape et Chanos-Curson dans la Drôme. Avec cette acquisition, le groupe Perret entend positionner ce nouvel ensemble « comme le leader du processus vinicole sur la zone géographique Vallée du Rhône et Sud Est grâce à une équipe de 33 personnes dont 15 techniciens sur le secteur historique du groupe Perret ».En tout, le groupe Perret, spécialisé dans la vente d’agrofournitures, de matériels viti-vinicoles et la collecte à destination des agriculteurs, des collectivités et des paysagistes, dispose de 25 sites et 53 points de vente. Le groupe compte 456 salariés, répartis dans 28 sociétés, pour un chiffre d’affaires de 176 M€.

https://www.echodumardi.com/tag/violes/page/2/   1/1