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Harmonie mutuelle et Yvon soutiennent les jeunes femmes avec la culotte menstruelle Elia

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Depuis le 1er janvier 2022, la contraception et les actes qui y sont liés sont intégralement pris en charge pour les jeunes femmes âgées de 18 à 25 ans. C’est ainsi qu’Harmonie Mutuelle et Yvon – la plateforme étudiants du Groupe VYV et de la MGEL – redistribuent 1,2M€ aux adhérentes concernées en s’associant à Elia Lingerie, une marque de culottes menstruelles bio, française et engagée.

Précarité menstruelle
Au-delà de participer concrètement à l’amélioration du bien- être des femmes en situation de précarité menstruelle, les trois partenaires ont également pour ambition de sensibiliser à l’utilisation de protections périodiques durables et économiques. Dans le Vaucluse, 93 jeunes femmes sont concernées par cette opération au cours de laquelle leur sera remis une culotte menstruelle Elia Lingerie.

Une femme sur trois
Aujourd’hui, une étudiante menstruée sur trois peine à financer ses protections périodiques. Afin de participer à la lutte contre la précarité menstruelle, Harmonie Mutuelle et Yvon proposent à plus de 130 000 adhérentes de 18 à 25 ans, de commander gratuitement une culotte menstruelle de la marque Elia. Ces culottes, conçues en coton bio, sont accessibles depuis le 3 janvier 2022 sur le site internet d’Elia en renseignant, au moment de la commande, un code personnalisé. Celui-ci est envoyé, par mail ou SMS, aux adhérentes éligibles. Il peut également être obtenu après avoir rempli le formulaire prévu à cet effet sur le site d’Harmonie Mutuelle.

Consom’acteur
Par le don d’une culotte menstruelle Elia, qui dure entre 5 et 7 ans, chaque adhérente réalisera 608€ d’économies, en 5 ans, en n’ayant plus le besoin d’acheter 1 955 protections hygiéniques jetables. Harmonie Mutuelle et Yvon permettent ainsi, à leurs adhérentes, de réaliser 122 M€ d’économies et font un pas considérable en faveur de l’environnement en évitant l’utilisation de 391 millions de protections hygiéniques.

Elia ?
C’est une entreprise française créée par Marion Goilav et Apolline Combrisson. Ambition ? Créer des culottes élégantes, confortables, de formes variées capables d’absorber le flux menstruel. La fabrication conçue à partir de matières nobles serait locale et respectueuse de l’environnement. La première marque de lingerie menstruelle est lancée en 2019.

Marion Goilav et Apolline Combrisson les co-fondatrices d’Elia

La fabrication ?
Elle est réalisée dans quatre ateliers situés dans le nord Pas de Calais, le Sud-Ouest, le Sud Est et la région parisienne. Quant aux deux cheffes d’entreprise ? Elles reversent une partie de leur bénéfice à des associations, notamment dans la lutte contre l’endométriose dont souffre l’une des dirigeantes, et aussi contre la lutte contre le cancer de sein –elles ont conçues des soutien-gorges spéciales mastectomie-, les hôpitaux de Paris et la précarité menstruelle. La marque fait partie de la Convention des entreprises pour le climat.

Une alternative zéro déchet
La culotte menstruelle est une alternative aux tampons et serviettes hygiéniques, ainsi qu’à la coupe menstruelle. La culotte est rentabilisée en 3 cycles et éviterait l’utilisation de plus du million de protections jetables par femme. La bonne nouvelle ? Une culotte dure entre 5 et 7 ans, permettant d’économiser autant de protection hygiénique tout en participant au zéro déchet. Son coût ? Il va de 35€ à 49€ propose des culottes pour tous les âges dont une collection ado.

Dans le détail ?
Deux matières innovantes : la première en fibre d’eucalyptus pour drainer et sécher puis un tissu imperméables, les deux encapsulés dans du coton bio, le tout ne faisant qu’1,5cm d’épaisseur. La promesse ? Une culotte ultra-absorbante (jusqu’à 100ml de sang soit l’équivalent de 8 tampons), Pas d’humidité, pas d’odeur, plus de fuite, une protection de 12h. Après utilisation ? La culotte se rince à l’eau froide avant d’être mise en machine pour un lavage à moins de 40°.

Nouveauté ?
La marque fait même des maillots de bain menstruels. Comment la marque est née. C’est en 2018 alors que Marion Goilav est en voyage à l’étranger qu’elle remarque que la plage est souillée par des protections hygiéniques. Adepte du zéro déchet, elle prend la décision de monter sa boîte, bientôt rejointe par Apolline Combrisson, jeune maman adepte du bio.

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