Le Pontet : la voie rapide d’Avignon et le pont fermés à la circulation ce week-end
La RD225 (voie rapide Avignon – Carpentras) et le pont de la RD907n qui l’enjambe seront fermés complètement à la circulation à partir du samedi 28 septembre en fin de journée, jusqu’au lundi 30 septembre dans la matinée.
Le pont de la RD907n (route de Sorgues), situé au Pontet, qui permet le franchissement de la RD225 (voie rapide Avignon – Carpentras) subit des travaux de réparation depuis le 11 mars à cause d’une fissuration longitudinale importante due à la variation de température dans la dalle et au trafic élevé supporté par l’ouvrage. Les travaux devraient s’achever fin octobre.
Afin de remplacer les appareils d’appui du tablier du pont, qui permettent la dilatation du tablier et d’amortir les mouvements de l’ouvrage dus au trafic routier, le pont doit être soulevé durant quelques heures. Pour réaliser au mieux et sans risque cette grosse opération, le pont et une partie de la voie rapide qu’il enjambe seront fermés dès ce samedi 28 septembre à 19h, jusqu’au lundi 30 septembre à 6h. Durant cette période, la circulation sur le pont et sur une partie de la voie rapide d’Avignon Nord, dans les deux sens, sera interdite à tous les véhicules. Les usagers devront emprunter les itinéraires de déviation qui seront mis en place.
À vos classiques ! Cette forme de concert, qui reprend les plus grands tubes de la musique classique, voyage au cœur de la Région Sud Provence-Alpes-Côte d’Azur pour vous proposer l’expérience de l’Orchestre au plus près de chez vous. Ce concert est parfait pour petits et grands dans un format léger d’une heure. Il sera dirigé par la cheffe Olha Dondyk, lauréate du concours La Maestra.
Au programme
Direction musicale : Olha Dondyk Wolfgang Amadeus Mozart, Adagio et fugue Edvard Grieg, Holberg Suite Wolfgang Amadeus Mozart, Petite musique de nuit Leoš Janáček, Suite pour cordes
Dimanche 29 septembre. 15h. 12 à 20€. Salle de l’Etoile. Châteaurenard. 04 90 24 35 36 .
Le Pontet : la voie rapide d’Avignon et le pont fermés à la circulation ce week-end
En 2020, Marco Simeoni, Marie-Claire Mermoud, Olivier Barthassat et Tyson Clemons, ont décidé de s’associer pour racheter le Domaine Perréal. Situé au cœur du Luberon, entre les communes de Gargas et de Saint-Saturnin-lès-Apt, le domaine de 54 hectares a reçu un coup de neuf. Aujourd’hui, les quatre associés travaillent avec passion, tout en essayant d’innover.
Il y a quatre ans, l’ancien propriétaire du Domaine Perréal, situé entre Gargas et Saint-Saturnin-lès-Apt, a décidé de le vendre après plusieurs années sans faire de vin et à louer ses terres. Au même moment, Marco Simeoni, serial-entrepreneur, Marie-Claire Mermoud, issue du milieu du spectacle, Olivier Barthassat, ancien vigneron-œnologue, et Tyson Clemons, paysagiste, souhaitent se tourner vers de nouveaux horizons. Ils décident donc d’allier leurs forces et de racheter ce domaine de 54 hectares situé au cœur du Parc naturel régional du Luberon. Un investissement de plus de 6 millions d’euros, achat et rénovations compris.
« On a juste vu l’allée qui mène à l’entrée du domaine, qui lui était bien dans son jus, et on s’est dit immédiatement qu’il y avait quelque chose à faire », explique Marie-Claire Mermoud, l’une des quatre associés. Le domaine ayant été racheté à l’aube de la pandémie de Covid-19, les quatre nouveaux propriétaires ont eu tout le temps de se pencher sur le projet et d’avancer les travaux entrepris pour le remettre sur pied, leurs activités respectives ayant été mises en pause durant cette période. « On a pu avancer probablement plus vite que s’il n’y avait pas eu le Covid », ajoute Marie-Claire.
Un lieu remis à neuf pour accueillir
Lorsque les quatre associés ont réfléchi sur quel projet ils pouvaient se pencher, une idée a très vite émergé, celle d’accueillir comme il se doit. Ainsi, lorsque les travaux ont débuté, ils ont commencé par faire le caveau, afin d’accueillir et de vendre en direct, accompagné d’une extension pour la partie des bureaux, des espaces de stockage, d’une petite cuisine, etc. Ils ont également construit des sous-terrains, pour toute la partie cave et stockage.
« Notre vision était claire dès le début, on voulait vraiment un lieu où l’on peut recevoir. »
Marie-Claire Mermoud
« Pour faire de la vente directe, il faut attirer les gens. Donc, il faut leur proposer de quoi séjourner, faire des soirées, etc », explique Marie-Claire. Au niveau de la Bastide du domaine, il y avait déjà des gîtes que les quatre associés ont décidé de rafraîchir, et ils ont fait des chambres d’hôtes où l’ancien propriétaire vivait. Ensuite ont été créés deux piscines et des jardins. Mais aussi un restaurant, La Table, où l’on mange des produits locaux et où l’on boit les vins faits au domaine, qui peut accueillir jusqu’à 40 couverts par service, et qui est ouvert de Pâques à fin octobre.
Quand les associés de Perréal se sont mis d’accord sur le fait qu’ils souhaitaient recevoir, l’idée de faire des événements s’est vite interposée. Devant le caveau ou directement au cœur des vignes, le Domaine Perréal accueille le public toute l’année, mais surtout durant la période estivale pour des festivités qui remportent un grand succès chaque été.
Marie-Claire était une ancienne directrice de théâtre en Suisse, c’est donc elle qui prend en charge toute la partie événementielle du domaine. Pique-nique au cœur du vignoble, dégustation de vin au milieu des vignes, visite du domaine ou encore soirée avec de la musique live dans les jardins, il y en a pour tous les goûts. Une chose est certaine, à Perréal, l’ambiance peut être à la fête, chaleureuse, mais aussi intimiste et accueillante.
Des vignes, des oliviers, des chênes truffiers, des amandiers…
Mais c’est aussi en espérant travailler la vigne et faire du vin que les quatre associés se sont tournés vers le projet Perréal, notamment Olivier Barthassat, ancien vigneron-œnologue qui rêvait d’avoir son propre domaine. « Il y avait 10 hectares de vignes quand on a racheté, on en a replanté 4,5 pour le moment », évoque Marie-Claire. Ainsi, au sein de ce domaine situé dans l’appellation Ventoux, on trouve des parcelles de Merlot, de Viognier, de Roussanne, de Rolle, de Grenache, de Syrah, mais aussi de Cabernet Sauvignon. Désormais, le domaine devrait pouvoir faire 45 000 bouteilles par an. De 12,50€ à 55€ la bouteille de 75 cl, rouge, rosé ou blanc, chacun peut y trouver son bonheur.
Si le domaine fait plus de 50 hectares en tout, quasiment un tiers s’étend sur la colline de Perréal et n’est donc pas exploitable. Sur la partie restante, on ne trouve pas seulement des vignes, mais aussi des oliviers, des chênes truffiers et des arbres fruitiers plantés récemment, qui ont commencé à donner leurs premiers fruits. À terme, ces fruits seront utilisés dans les cuisines de La Table.
« On a fait le pari fou de sortir nos propres yuzus de terre », avoue Marie-Claire. Le yuzu, cet agrume japonais, à mi-chemin entre la mandarine et le citron, qui a du mal à supporter les gros changements de températures, pousse désormais dans le Luberon. Impensable, et pourtant, le Domaine Perréal le fait ! Le domaine travaille avec un agrumiculteur suisse qui fait des produits aromatisés au yuzu comme de l’huile d’olive, vendus au caveau du domaine luberonnais.
« Qui sait ? Peut-être que dans 10 ans, il y aura plein de yuzus dans la région si les gens voient que ça marche »
Marie-Claire Mermoud
« Marco a réussi à trouver un porte-greffe, un agrume de Géorgie, qui supporte les températures négatives, sur lequel on greffe le yuzu », explique Marie-Claire. Les premières greffes ont été effectuées en 2020. Plusieurs ont échoué, et d’autres sont en bonne voie. Aujourd’hui, le domaine compte 800 pieds de yuzu qui n’attendent qu’une chose : faire des fruits. Un pari risqué, mais en lequel les quatre associés ont confiance.
Ces yuzus, qui commencent à poindre le bout de leur zeste, vont avoir plusieurs objectifs. Premièrement, les associés souhaiteraient les vendre aux restaurateurs et primeurs locaux, afin de faire découvrir ce fruit et qu’il soit travaillé en circuit court. Pour les fruits les moins jolis, qui ne pourront être vendus, les associés en feront de la liqueur à partir de leur zeste. Les feuilles, quant à elles, pourraient être destinées à faire un vinaigre. « Il y a aussi des chocolatiers qui commencent à nous contacter, et Aptunion qui attend nos fruits avec impatience pour faire du yuzu confit, ajoute Marie-Claire. Et on étudie aussi avec Mane, qui fait des essences pour les parfums notamment, la possibilité de faire une essence de yuzu. »
« On a déjà les espaces, qui sont pour l’instant vides, qui pourront accueillir les yuzus pour les nettoyer, les préparer, les stocker, etc. »
Marie-Claire Mermoud
Les yuzus présentent aussi une certaine praticité en termes de période de récolte puisque cette dernière se fait juste après les raisins et les olives. « Ça nous permet de prendre du personnel sur une durée relativement longue avec trois récoltes qui s’enchaînent », explique l’associée du domaine. Ainsi, depuis son rachat en 2020, le Domaine Perréal mêle tradition et modernité à travers ses différentes cultures qui permettent l’épanouissement de la biodiversité. Un projet dont les propriétaires ne sont pas peu fiers.
Le Pontet : la voie rapide d’Avignon et le pont fermés à la circulation ce week-end
La société vauclusienne ‘Un Air d’ici – Juste bio’ vient de profiter de la tenue du salon Natexpo pour annoncer l’acquisition de la PME ‘Go Nuts’ située à Genas juste à côté de Lyon. Spécialiste des pâtes à tartiner, beurres et purées d’oléagineux 100% Bio, l’entreprise a été fondée en 2016 par Raissa Caussanel, pâtissière, et son mari Marc Caussanel. Depuis, la société d’une dizaine de collaborateur aujourd’hui a connu une trajectoire exponentielle sur son marché notamment grâce à son produit phare, le beurre de cacahuète. En s’adossant à ‘Un Air d’ici’, leader Français des fruits secs et graines bio en vrac, ‘Go Nuts’ souhaite notamment se renforcer sur son cœur de métier en magasins spécialisés bio.
« Go Nuts et Juste bio resteront des marques à taille humaine. »
« Allier nos forces, conserver l’identité et l’indépendance de chacun tout en mutualisant les engagements vertueux, c’est tout le sens de ce rachat, explique Franck Bonfils, fondateur et président d’Un Air d’Ici aujourd’hui installé à Carpentras depuis 2006 après avoir vu le jour à Gigondas en 2000. Go Nuts et Juste bio resteront des marques à taille humaine, actives sur leurs réseaux de distribution respectifs, mais cultiveront leurs valeurs et leur ADN communs : proposer une alimentation plus saine, plus gourmande, et plus respectueuse de l’environnement. »
Crédit : Go Nuts/DR/Un Air d’Ici
Devenir une marque référente du réseau bio « Nous sommes particulièrement heureux de cette nouvelle étape dans le développement de Go Nuts, complètent Raissa et Marc Caussanel. Le choix du rapprochement avec Un Air d’Ici fait sens pour nous car nous partageons un ADN commun autour de 3 piliers qui sont : développer des produits d’excellence, avec des équipes engagées et en adéquation avec les enjeux environnementaux. Enfin, Un Air d’Ici et Go Nuts partagent une vision commune de l’alimentation à la fois saine et gourmande. Avec l’appui d’Un Air d’Ici, Go Nuts a les moyens de poursuivre sa croissance pour les années à venir et de devenir une marque référente du réseau Bio. »
« Nous partageons un ADN commun. »
Raissa Caussanel, pâtissière, et son mari Marc Caussanel, fondateurs de Go Nuts
Mutualisation des ressources Pour cela, Go Nuts ambitionne ainsi grâce à ce soutien de devenir la marque préférée des consommateurs de beurres et purées d’oléagineux en magasins spécialisés bio et compte accélérer sa croissance et ses investissements tout en bénéficiant de fortes synergies avec le groupe vauclusien qui comprend désormais 135 collaborateurs pour un chiffre d’affaires de plus de 75M€ (plus de 120 collaborateurs et 71M€ de CA pour Un Air d’Ici en 2023).
Pour les deux entreprises « ce rapprochement permet de créer une véritable filière ‘de la graine à l’assiette’ autour des fruits secs en intégrant toutes les étapes de transformation et de distribution en France. Il permet également de renforcer l’expertise du groupe sur son cœur de métier le fruit sec, en garantissant une traçabilité et une qualité irréprochables. »
« L’ambition est claire : continuer sur le chemin de la croissance, grâce à la mutualisation des expertises et savoir-faire entre les marques d’Un Air d’Ici, tout en laissant une grande autonomie de fonctionnement à chacune d’elle » complète Franck Bonfils dont la société transforme chaque année plus de 5000T de fruits secs et graines bio dans la 1re usine agro-alimentaire zéro plastique d’Europe mise en service fin 2020 et inaugurée début 2021. Une production expédiée ensuite dans plus de 5000 points de vente avec des engagements forts autour de la réduction du gaspillage alimentaire et des emballages polluants.
Le Pontet : la voie rapide d’Avignon et le pont fermés à la circulation ce week-end
Auteur, compositeur, interprète, musicien et écrivain, le plus parisien des Américains Elliott Murphy occupe la scène depuis plus de 50 ans et n’en finit pas de nous étonner
Il se rit des modes, refuse l’emprise du temps et incarne toujours cette fascination que les poètes français ont toujours exercée sur le rock new-yorkais. Dandy romantique, compositeur-guitariste inspiré, chanteur charismatique, infatigable et authentique baladin, il a joué sur scène avec certains membres des Talking Heads, du Velvet Underground ou évidemment son ami Bruce Springsteen.
La chanteuse Justine Blue assurera la première partie
Elle se produira en trio avec batterie et guitare accompagnée de son clavier et de son ukulélé pour jouer ses titres blues soul jazz.
Samedi 28 septembre. 20h30. 5 à 15€. La Rotonde. Parking de Super U. Châteaurenard. 04 90 90 27 79. www.lespassagers.net
Le Pontet : la voie rapide d’Avignon et le pont fermés à la circulation ce week-end
L’entreprise cavaillonnaise Kookabarra, fabricant de jus de fruits frais, innove et élargit sa gamme de jus et smoothies en se lançant dans les fruits à noyaux. Mangue, cerise, prune… Il y en a pour tous les goûts !
Née en 2006, l’entreprise Kookabarra, implantée à Cavaillon, est spécialisée dans la fabrication de jus frais à base de fruits et légumes provenant d’exploitations majoritairement locales. Forte de plus de 30 références, l’entreprise vauclusienne élargit encore sa gamme de jus et smoothies avec les fruits à noyaux. Une nouveauté qui vient répondre à une demande croissante de la part des clients, notamment les professionnels.
Pour étoffer sa gamme, Kookabarra a dû faire l’acquisition de machines professionnelles de dénoyautage, ce qui représente un investissement de 25 000€. Ainsi, les clients pourront désormais s’approvisionner en jus et purées de pêches et abricots récoltés en Ardèche, de cerises récoltées à seulement 30 km de la fabrique, ou encore de mangues. Cette gamme est destinée aux professionnels du secteur CHR (Café-Hôtellerie-Restauration), qui représente 97% de la clientèle de Kookabarra.
Parmi les nouvelles recettes, on trouve le smoothie ‘Fruits du verger’ composé de pommes, d’abricots et de pêches jaunes et blanches. De quoi faire le plein de vitamines. Les clients pourront également découvrir un jus de cerises 100% Provence et 100% gourmandise.
Le Pontet : la voie rapide d’Avignon et le pont fermés à la circulation ce week-end
Le festival ‘Par les sons qui courent‘, point d’orgue d’une saison musicale orchestrée par l’association ‘Le Collectif pernois’, aura lieu du vendredi 27 au dimanche 29 septembre.
Ce festival propose depuis 2021, à Pernes-les-Fontaines et ses alentours, une programmation musicale et culturelle variée, tout au long de l’année. Le festival ‘Par les sons qui courent’ en est le point d’orgue. Pour sa deuxième édition, ce tout jeune et prometteur festival a choisi comme thématique les instruments à vent, et plus précisément la famille des bois au répertoire si varié et chaleureux. Ce week-end de musique qui se veut aussi des moments de partage permettra de découvrir des cadres magnifiques : le parc municipal de Saint-Didier, la cour du Château du Beaucet et le Château de Pichony à Pernes-les-Fontaines.
Trois jours de découvertes musicales
Le vendredi, le quatuor ‘Au fil des cordes’ ouvrira le festival à 19h et nous fera voyager de Bach à Barbara en passant par Queen. Les cinq musiciens de Bal O’Gadjo nous embarqueront ensuite « au beau milieu d’un marché de Thessalonique ou dans les montagnes du Kurdistan, empruntant des routes sinueuses pour parler d’exil, de résistance ou de luttes intérieures. » Vendredi 27 septembre. 19h et 21h. Petite restauration.Parc Municipal. Chemin de Nice. Saint-Didier. En cas de pluie : repli dans la salle polyvalente (derrière la mairie).
Le samedi à 19h, les musiciens des Anches Hantées nous proposent ‘Un opéra sans diva’ suivi à 21h d’un film de Buster Keaton mis en musique par le quintet de Pioche. Samedi 28 septembre. 19h et 21h. Château du Beaucet. Montée des Cendres. Le Beaucet.
Le dimanche, on retrouvera à 19h Emma la clown qui perturbera Guilhem Fabre, grand pianiste de 1,94m. À 21h, le « quatuor sous influences » le rejoindra pour un concert autour de la musique française de Caplet, Debussy, Fauré ou encore Poulenc. Dimanche 29 septembre. 19h et 21h. Château de Pichony. 203 Chemin du Canet. Pernes-les-fontaines.
‘Un Opéra sans Diva’, une manière originale de mettre en lumière la musique quelquefois occultée par la prestance d’une diva, si talentueuse soit-elle
Les absents ont toujours tort, l’adage est connu. Que reste-t-il de l’opéra sans ses chanteurs et chanteuses qui le portent à bout de voix ? Tout ! Car c’est aussi le rôle de l’orchestre de porter la musique du compositeur. Qu’il encense leur prestation par des applaudissements ou la sanctionne par des huées, le public d’hier comme d’aujourd’hui réserve souvent son attention aux têtes d’affiche, faisant peu de cas du livret ou même de la musique. Le quatuor Anches Hantées, quatuor de clarinettes est là pour réparer cette injustice et réhabiliter ces belles mélodies.
J. Strauss. Baron Tzigane, Ouverture (arrangement Olivier Kaspar) A. Dvorak. Russalka, Prière à la lune (arrangement Yann Stoffel) J. Massenet. Le Cid, Madrilène (arrangement Cyrille Lehn) J. Massenet. Élégie (arrangement Cyrille Lehn) J. Massenet. Le Cid, Navarraise (arrangement Cyrille Lehn) A. Bruneau.Romance F. Lehar. Giuditta, Meine Lippen Sie Küssen so heiss (arrangement Yann Stoffel) G. Bizet. Arlésienne, Adagietto Acte I (arrangement Bertrand Hainaut) C. Saint-Saens.Samson et Dalila, Bacchanale (arrangement Bertrand Hainaut) F. Lehar. La Veuve Joyeuse, Suite ( arrangement Olivier Kaspar)
Toutes les soirées du festival sont à prix libre et conscient. Chacun peut choisir le prix de sa place sans avoir à justifier de sa situation : 5€, 10€, 15€, 20€. Pas de réservation.
Le Pontet : la voie rapide d’Avignon et le pont fermés à la circulation ce week-end
Alain Gargani, président de la CPME Sud, vient d’officialiser sa candidature à la présidence nationale de la Confédération des petites et moyennes entreprises (CPME). Actuellement présidée depuis 10 ans par François Asselin, la Confédération représentant 239 000 entreprises adhérentes regroupées au sein de 122 fédérations ainsi que 112 unions territoriales, élira un nouveau président en janvier 2025. Outre Alain Gargani, et Amir Reza-Tofighi et Gaëtan de Sainte Marie sont aussi candidats à la présidence de l’organisation patronale.
« Ma candidature repose sur la volonté de fédérer l’ensemble des forces vives de la CPME autour d’une vision partagée : une organisation capable de répondre aux enjeux de demain tout en restant profondément ancrée dans les réalités locales, explique Alain Gargani. Je souhaite porter la voix de toutes les petites et moyennes entreprises, qu’elles soient industrielles, artisanales, commerciales ou dans les services. »
« Dans un contexte politique incertain, poursuit-il, la CPME doit se renforcer pour défendre l’économie réelle et les PME. Mon action se concentrera sur trois priorités. Protéger la liberté d’entreprendre en allégeant les contraintes réglementaires. Accroître la notoriété et l’influence de la CPME, afin qu’elle devienne un acteur incontournable pour les entrepreneurs. Renforcer les ancrages territoriaux en soutenant les fédérations locales, véritables poumons de la CPME. »
Appelant à poursuivre le travail de François Asselin, Alain Gargani, fort notamment du succès de la première édition du salon régional ‘Made in PME’ entend insuffler « une dynamique d’ouverture, d’innovation et de défense acharnée des intérêts des entrepreneurs ».
Le Pontet : la voie rapide d’Avignon et le pont fermés à la circulation ce week-end
La Factory ? Une marque de fabrique ancrée dans le paysage avignonnais
Le projet Factory avec ses trois salles — Théâtre de l’Oulle, Salle Tomasi et Chapelle des Antonins pendant le Festival – dirigé par Laurent Rochut se définit comme une Fabrique permanente d’Arts vivants : une programmation toujours pluridisciplinaire, de la danse avec des rési-danses mensuelles, la part belle laissée aux écritures contemporaines, des partenariats et des festivals.
Une belle ouverture de saison, prémices des événements à venir
Ces vendredi 27 et samedi 28 septembre, la compagnie Terre de Break nous apprendra à faire des choix en dansant, tandis que l’écrivain Daniel Picouly nous rend visite en voisin dans un huis clos placentaire. Dès novembre, le festival les Escales nous emmènera aux pays du Magreb, et nous retrouverons GRRRRRRR et GIRL GIRL GIRL dans les prochains mois. Il ne faudra pas manquer la programmation régulière et surtout les sorties de résidence ouvertes à tous.
‘Confliture’, un seul en scène acrobatique et humoristique
Parfois, il serait peut-être plus simple de ne pas avoir le choix. Aujourd’hui, on en a souvent trop, et pour des choses plus ou moins essentielles… Choisir de tout plaquer et partir ? Mais aussi au supermarché, pour acheter un pot de confiture ou une tablette de chocolat. Dans ce seul en scène alternant danse hip-hop, slam, acrobaties, prise de parole humoristique et poétique, la volonté est de faire le lien entre la danse et la vie en général. Le fait d’apprendre à freestyler, à improviser en dansant, aide à faire des choix lorsque l’on est indécis. Ça apprend à lâcher prise, à se faire confiance, à suivre son instinct. Et à se dire qu’on ne peut de toute façon pas savoir comment ça se serait vraiment passé autrement, quel aurait été le meilleur choix, et… si on l’a vraiment.
Vendredi 27 septembre. 19h. 10 à 17€. Théâtre de l’Oulle. Place Crillon. Entrée rue de la Plaisance. 09 74 74 64 90 / lafactory.booking@gmail.com
‘Pompette !’ de et par Daniel Picouly
Pompette ? C’est une sorte d’autobiographie prénatale C’est l’histoire d’un gamin, pompette dans le ventre de sa mère, qui se souvient de tout ce qu’il a entendu pendant ces 9 mois de gestation. Vous ne vous souvenez pas de cette période ? C’est ce qui étonne le gamin. Il le dit : « Comment peut-on oublier les 9 premiers mois de sa vie ? Les plus importants. Moi, ça me fait peur d’oublier. Alors, je note tout, là, dans ma tête. C’est pour ça que nous, les bébés, on a une si grosse tête. On note ! Si après ça, on ne devient pas écrivain, un jour. C’est à désespérer de la destinée ! Dans ce spectacle, on parlera de la famille, de la vie… et du vin.
Samedi 28 septembre. 20h. 10 à 15€. Théâtre de l’Oulle. Place Crillon. Entrée rue de la Plaisance. 09 74 74 64 90 / lafactory.booking@gmail.com