Le Nîmois Joannes Richard décroche le titre de champion d’Europe de burger
Alors qu’il avait déjà obtenu le titre de champion du monde de burger en 2023, Joannes Richard, originaire de Nîmes, vient de remporter la première place des European Street Food Awards dans la catégorie burger.
En 2023, lors du prestigieux championnat du monde de burger qui s’est tenu à Dallas aux États-Unis, Joannes Richard s’est démarqué et a remporté le titre de champion du monde de burger. Un tournant dans la carrière du Nîmois qui avait aussi remporté la Coupe de France du Burger 2021 et le Championnat de France BBQ 2023.
Une fois de plus, Joannes Richard affirme sa place dans le milieu de la street food et remporte cette fois-ci le titre de champion d’Europe de burger aux European Street Food Awards, dont la finale a eu lieu à Munich en Allemagne du vendredi 10 au dimanche 12 octobre. ‘J’ai pas vraiment les mots pour vous dire ce que je ressens… j’ai juste envie de dire ‘merci’ ! Aujourd’hui la boucle est bouclée », a-t-il déclaré après cette nouvelle victoire.
Une victoire grâce à ses ‘origines’
30 foodtrucks venus de 17 pays d’Europe se sont affrontés lors de cette compétition. Joannes Richard, épaulé par Pierre Reure et Cyril Julia, s’est démarqué dans la catégorie burger avec sa création nommée « Origines ». Pensée comme un hommage à la Méditerranée et aux produits du Sud, ce burger met en lumière la richesse aromatique du Gard et la maîtrise technique de son créateur.
« Ce burger, c’est notre Méditerranée à nous — du soleil, des herbes et du feu. On voulait retrouver le goût du Sud dans un format street-food exigeant. »
Joannes Richard
Le burger est composée d’un steak haché smashé, cuit à l’huile d’ail confit et au gras de bœuf maturé, pour un goût profond et une texture caramélisée. La viande est nappée d’une sauce blanche à l’ail confit et herbes fraîches, surmontée d’une tomme de brebis fondante, et accompagnée d’un pickle de fenouil au thym et au romarin. Une roquette assaisonnée à l’huile d’herbes citronnée maison vient apporter la note végétale, tandis qu’une sauce vierge aux herbes et une harissa maison de jalapeños et piment Chipotle signent la touche piquante. Le tout est complété par des oignons frits croustillants, « pour un équilibre parfait entre fondant, vivacité et croquant », selon Joannes Richard.
Le Nîmois Joannes Richard décroche le titre de champion d’Europe de burger
Originaire de Lauris, Coline Portet est doctorante en Laboratoire de Neurosciences Cognitives et Adaptatives à l’Université de Strasbourg. Ce mercredi 8 octobre, elle recevra le Prix Jeunes Talents France L’Oréal-UNESCO Pour Les Femmes et la Science. Elle succède à Adeline Garcia, originaire de Cucuron, qui avait remporté ce Prix l’année dernière, ainsi qu’à Maëlle Bellec, originaire d’Apt et Nour Skaf, originaire de Robion, lauréates en 2021.
Pour la 19ᵉ année consécutive, la Fondation L’Oréal, l’Académie des sciences et la Commission nationale française pour l’UNESCO annoncent leur palmarès du Prix Jeunes Talents France 2025 L’Oréal-UNESCO Pour les Femmes et la Science. En plus de mettre en lumière la place des femmes dans le milieu scientifique, ces prix représentent l’excellence scientifique française.
Cette année, 34 doctorantes et post-doctorantes vont être distinguées pour leurs travaux qui sont essentiels pour relever les défis scientifiques de demain. « Cette année encore, l’Académie des sciences met à profit l’expertise de ses illustres membres pour identifier les étoiles montantes de la science », déclare Professeure Françoise Combes, présidente de l’Académie des sciences et présidente du jury 2025, elle-même récompensée du prix international 2021 L’Oréal-UNESCO Pour les Femmes et la Science. Ainsi, les 34 femmes récompensées en 2025 sont réparties dans six catégories :
Biodiversité et sociétés : préserver la planète
Comprendre la santé humaine
Comprendre les lois de l’univers
Développer des thérapies d’avenir
IA et Modélisation : anticiper et façonner l’avenir
En tout, ce sont plus de 700 candidatures qui ont été envoyées et évaluées par un jury d’une trentaine de membres de l’Académie des sciences. Parmi les 34 lauréates, une est originaire du Vaucluse.
« Venant d’une zone rurale, je savais que la recherche existait, mais elle me paraissait complètement inaccessible. »
Coline Portet
Coline Portet a grandi à Lauris, avant de partir pour Montpellier pour faire étudier la physiologie animale et les neurosciences, puis de rejoindre l’Université de Strasbourg où elle fait actuellement sa thèse sur le sujet : ‘Décrypter les mécanismes du sommeil pour comprendre la mémoire’.
Des études d’art avant les sciences
Mais la voie scientifique n’a pas toujours été une évidence pour la Vauclusienne, dont les deux parents ont eux-mêmes fait des études scientifiques. « Je voulais me démarquer en faisant autre chose », affirme-t-elle.
Ainsi, après le lycée, c’est vers des études d’art qu’elle a souhaité se diriger. Elle a donc commencé ses études supérieures dans une école préparatoire en art et design à Nevers en Bourgogne. C’est au cours d’une conversation avec un ami, qui, lui, étudiait les sciences à Aix-en-Provence, que cela s’est présenté comme une évidence. « On a notamment parlé d’un de ses cours de chimie organique, et je me suis demandée pourquoi je ne faisais pas des sciences », explique-t-elle.
Le Prix Jeunes Talents L’Oréal-UNESCO
Passionnée par les neurosciences, c’est sur le sommeil et la mémoire que se concentrent ses travaux. « J’étudie à quel point le sommeil est important pour la mémoire, comment il permet au cerveau de trier les informations utiles et inutiles, développe la jeune scientifique. C’est très important comme mécanisme parce que le sommeil permet de ne pas avoir la tête saturée d’informations. »
« Ce prix nous valorise et nous donne le sentiment que ce que l’on fait compte. »
Coline Portet
C’est donc pour ses recherches que Coline Portet va recevoir le Prix Jeunes Talents L’Oréal-UNESCO Pour Les Femmes et La Science dans la catégorie ‘Comprendre la santé humaine’. « Recevoir ce prix est très gratifiant, ça nous valorise, déclare-t-elle. Mais ça nous offre aussi la possibilité d’exprimer ce que l’on fait, de parler des sciences, et de montrer qu’il existe des femmes, dans toutes leurs diversités, qui font des sciences. »
Le Vaucluse, une terre de femmes scientifiques ?
Coline Portet n’est d’ailleurs pas la première Vauclusienne à figurer parmi les lauréates de ce prix. Avant elle, il y a eu l’Aptésienne Maëlle Bellec et la Robionnaise Nour Skaf, qui ont été distinguées en 2021, respectivement dans les catégories ‘Sciences biologiques – ingénierie’ et ‘Physique et chimie’.
Le Vaucluse voit donc naître de nombreux talents, qui plus est des femmes qui s’affirment dans des milieux jugés encore trop masculins.
Encourager les jeunes filles
Si Coline n’a pas ressenti directement de difficultés du fait d’être une femme dans le milieu scientifique, elle a tout de même été témoin de situations déplacées envers des consœurs. « Les femmes représentent la moitié de l’humanité, mais demeurent trop peu nombreuses aux postes de responsabilité dans la recherche, affirme Professeure Françoise Combes. Syndrome de l’imposteur, culture de la compétition, inégalités domestiques et bien d’autres freins écartent injustement des talents dont la science aurait besoin. Les Prix Jeunes Talents France L’Oréal-UNESCO Pour Les Femmes et la Science, en partenariat avec l’Académie des sciences, sont autant de leviers pour rééquilibrer les chances et permettre à la culture scientifique de s’enrichir de tout le potentiel de cette moitié de l’humanité. »
« Parce que le monde a besoin de science et la science a besoin des femmes. »
L’Oréal-UNESCO
Coline Portet encourage donc les jeunes filles qui souhaitent se lancer dans les sciences à le faire, sans se poser trop de questions. « Si c’est quelque chose qu’elles aiment, qui les passionne, il y a de très grandes chances qu’elles réussissent dans ce domaine », déclare la Vauclusienne.
Les projets de la Vauclusienne
Si ce prix décerné par la Fondation L’Oréal, l’Académie des sciences et la Commission nationale française pour l’UNESCO est une belle reconnaissance pour Coline Portet, elle doit désormais se concentrer sur sa thèse qui s’achèvera en décembre et qu’elle espère obtenir.
Elle aimerait ensuite partir à l’étranger pendant quelques années. « La science se fait de manière différente en fonction des pays donc j’aimerais bien aller voir ce qui se passe ailleurs, ça me permettra d’élargir mon réseau, mais aussi mes compétences », conclut la Laurisienne.
Le Nîmois Joannes Richard décroche le titre de champion d’Europe de burger
Trois spiritueux de la distillerie Les Chineurs de Malts, installée au Thor, ont reçu des médailles lors du concours French Drinks Awards qui a dévoilé son palmarès lors du Whisky Live Paris, le plus grand salon des spiritueux en France.
« L’engouement autour des whiskies français ne cesse de grandir, et nous sommes heureux de contribuer à cette belle dynamique avec passion et créativité », déclarent Loïc Puviland et Jean-Yves Pomaret, à la tête de la distillerie artisanale de whisky Les Chineurs de Malts au Thor.
Leur travail et leur passion ont été récompensés par le concours French Drinks Awards qui célèbre et distingue les boissons produites en France comme les gins, liqueurs, rhums, vodkas, whiskies, cognacs, Armagnacs, calvados et bien d’autres.
Trois whiskies thorois distingués
Évalués par un jury composé de professionnels de l’industrie, trois whiskies de la distillerie thoroise ont reçu une médaille :
Le whisky ‘Insulae’ a décroché la médaille d’or dans la catégorie ‘Small Batch’ (ndlr : assemblage de whiskies provenant de différents fûts)
Le whisky ‘Cœur de l’Isle’ a obtenu la médaille d’argent dans la catégorie ‘New Make Spirit’ (ndlr : distillat incolore qui sort directement de l’alambic, avant toute maturation en fût)
Le whisky ‘Magic Cask’ a, lui aussi, été récompensé avec une médaille d’argent dans la catégorie ‘Single Cask’ (ndlr : whisky qui provient d’un seul et unique fût de vieillissement)
« Les médailles sont éphémères, certes, mais elles symbolisent le travail, l’exigence et la passion que nous mettons chaque jour dans nos créations », concluent les deux distillateurs.
Le Nîmois Joannes Richard décroche le titre de champion d’Europe de burger
Chaque année, la Fondation Crédit Coopératif remet ses Prix de l’Inspiration en ESS (Économie sociale et solidaire). Sur 89 candidats en Région Sud, cinq ont été récompensés dont l’entreprise à but d’emploi (EBE) Zou Vaï à Apt.
Lancés il y a 40 ans, les Prix de l’Inspiration en ESS récompensent des acteurs engagés, inspirants et inspirés qui mettent en œuvre des projets sociaux et environnementaux utiles. Sur 89 candidatures en région Provence-Alpes-Côte d’Azur, cinq ont été retenues :
« Chaque année, nous faisons le constat d’un élan toujours plus vif et créatif en faveur d’une société inclusive de toutes et tous, affirme Stéphane Salord, président du comité de région représentant des sociétaires PACA du Crédit Coopératif. Notre région affiche une belle dynamique et je félicite toutes celles et ceux qui participent de près ou de loin à ces initiatives, plus que jamais indispensables dans le contexte actuel. »
Née dans le cadre de l’expérimentation ‘Territoire zéro chômeur de longue durée‘, lancée dans le Pays d’Apt en 2022, l’EBE Zou Vaï œuvre pour offrir des opportunités professionnelles aux personnes privées durablement d’emploi autour d’activités éco-responsables. Depuis sa création, elle a permis la sortie durable de privation d’emploi de près de 100 personnes.
Le Nîmois Joannes Richard décroche le titre de champion d’Europe de burger
La Communauté d’agglomération du Grand Avignon et la commune de Lauris viennent d’être distingués à l’occasion de la première édition du palmarès des paysages alimentaires. L’intercommunalité de la cité des papes et le village du Luberon figurent parmi les 48 collectivités françaises ‘engagées’ mises à l’honneur lors de cet événement organisé par l’association Un plus bio qui s’est tenu le 14 mai dernier à Angoulême. Cette distinction nationale valorise les collectivités qui s’illustrent par des actions audacieuses et structurantes en matière de politique alimentaire.
‘Pays de Cogagne’ et ‘Villages rebelles’ Dans ce cadre, le Grand Avignon a recu le titre d’ambassadeur dans la catégorie ‘Pays de cocagne’ qui regroupe les territoires qui allient qualité de vie et ambition alimentaire. Dans le même temps, la commune de Lauris a été honorée au titre ‘d’Ambassadeur des villages rebelles’ pour l’action de son cuisinier et de l’équipe de son restaurant scolaire. Parmi les lauréats figurent aussi notamment les villes de Nîmes, Marseille et Montpellier dans la catégorie ‘Les capitales de l’alimentation’ ainsi que les départements de la Drôme et du Gard dans celle des ‘Pionniers’.
Les lauréats de la première édition du Palmarès des paysages alimentaires organisé par l’association Un plus bio. Crédit : Cyril Chigot
Un modèle pour les autres collectivités « En intégrant la catégorie ‘Pays de cocagne’, le Grand Avignon rejoint un cercle de territoires exemplaires dont l’action constitue un modèle pour d’autres collectivités, se félicite l’intercommunalité vauclusienne. Cette distinction consacre l’engagement du Grand Avignon en faveur de la préservation du foncier agricole, de l’alimentation durable et de la souveraineté alimentaire locale. »
En effet, depuis plusieurs années, l’agglomération avignonnaise mène une politique active pour enrayer l’artificialisation des sols, préserver les terres agricoles et accompagner l’installation de nouveaux agriculteurs. Cette stratégie repose sur des outils innovants, parmi lesquels une veille accrue sur le foncier agricole par une convention signée avec la Safer ou encore la création de l’espace test agricole du Mas Baudoin. Cette politique a notamment permis d’identifier des secteurs agricoles prioritaires, comme la ceinture verte d’Avignon, les foins de Montfavet, la plaine d’Entraigues-sur-la-Sorgue ou encore la Plaine de l’Abbaye de Villeneuve-lès-Avignon, et de les inscrire au cœur des politiques publiques.
Cette démarche du Grand Avignon s’illustre également avec la mise en place de son Pat (Programme alimentaire territorial) retenu en 2019 par le Ministère de l’Agriculture et de l’Alimentation. Ce programme vise quatre objectifs majeurs : préserver une agriculture locale durable et diversifiée, favoriser une alimentation saine et durable accessible à tous, améliorer les pratiques durables de la restauration collective territoriale ainsi que de réancrer les circuits d’approvisionnement alimentaires sur le territoire.
« Le Grand Avignon affirme son rôle de territoire nourricier. »
« Le Pat du Grand Avignon se distingue ainsi par une gouvernance ouverte, une approche territorialisée de l’alimentation du champ à l’assiette, et une articulation forte entre enjeux agricoles, environnementaux, sociaux et économiques, insiste l’agglomération. Avec cette reconnaissance, le Grand Avignon affirme son rôle de territoire nourricier, prêt à relever les défis de demain en matière de transition alimentaire et d’aménagement du territoire. » Pour rappel, avec un taux d’autonomie alimentaire de près de 8,2% l’aire urbaine d’Avignon est la plus autosuffisante des 100 premières aires urbaines de France.
Le Nîmois Joannes Richard décroche le titre de champion d’Europe de burger
C’est dans la Drôme en 2007 qu’est né le Comptoir de Mathilde, dont le siège se situe aujourd’hui à Camaret-sur-Aigues. Son fondateur Richard Fournier est parti de rien et a su faire preuve de résilience pour faire grossir l’entreprise qui compte plus de 145 boutique, quelque 600 références de chocolats, caramels, pâtes à tartiner, miels, madeleines, cafés, babas au rhum, confitures, et bien d’autres gourmandises, et dont le chiffre d’affaires s’élève à 40M€.
Le 14 mai dernier, le fondateur du Comptoir de Mathilde a vu ses efforts récompensés avec l’obtention du le prix national 2025 des Victoires des Autodidactes et des Self-Made Entrepreneurs. Ces Victoires, créées en 1989 par Harvard Business School Club de France, récompensent les entrepreneurs ou cadres dirigeants autodidactes qui se distinguent par leurs résultats, leur dynamisme et leur capacité de développement.
« Cette distinction vient couronner un parcours de vie fait de passion, de travail, de doutes parfois… mais surtout de détermination », a déclaré Richard Fournier avec fierté avant de remercier équipes et collaborateurs « sans qui rien n’aurait été possible. »
Pour en savoir plus sur le parcours de Richard Fournier et l’évolution du Comptoir de Mathilde :
Le Nîmois Joannes Richard décroche le titre de champion d’Europe de burger
La Centrale Canine a organisé la 5e édition de ses Trophées des chiens héros qui a récompensé 24 chiens d’exception, dont un qui exerce en Vaucluse auprès de l’Armée de l’Air et de l’Espace.
83% des Français considèrent le chien comme un membre de la famille à part entière et 85% lui attribuent le titre de « meilleur ami de l’Homme. » Ils sont 9 millions sur le territoire, et certains, formés ou non, se sont distingués grâce à leur courage, leur dévouement, leur flair ou leur capacité et ont pu prendre des initiatives, sauver, changer ou améliorer des vies, résoudre des enquêtes, sécuriser des lieux, ou encore lutter contre le terrorisme et les trafics.
C’est le cas de 24 chiens qui viennent d’être récompensés par la Centrale Canine à l’occasion de 5e cérémonie officielle de remise des Trophées des chiens héros qui s’est déroulée à l’hôtel de ville de Paris. Parmi les 24 récompensés, un est vauclusien. « Cet événement national constitue également l’occasion de rendre hommage aux professionnels et aux bénévoles qui consacrent leur énergie à préparer et à former ces chiens pour des attentes toujours plus pointues », précise Alexandre Balzer, président de la Centrale Canine.
Peyo, membre du Commando de Parachutiste de l’Air n°20
C’est à Orange que Peyo, un berger belge malinois de 7 ans, a fait ses preuves. En binôme depuis presque 6 ans avec le sergent-chef Dorian, au sein du Commando de Parachutistes de l’Air n°20, qui dépend de la base aérienne 115 Orange-Caritat, Peyo a débuté sa carrière en tant que chien d’escadron de protection des bases aériennes.
À seulement 3 ans, grâce à sa soif d’apprendre et sa complicité avec Dorian, Peyo se spécialise dans les interventions et dans l’Aide à la recherche et à la détection d’explosifs (ARDE). À 5 ans, il est formé au guidage laser et à 7 ans, il est le 1er chien de l’Armée de l’Air a être formée au guidage par drone volant.
Peyo s’est distingué de nombreuses fois au cours de sa carrière, notamment au cours de missions périlleuses. Ce qui lui a valu l’obtention du Trophée dans la catégorie ‘Chien de recherche d’explosifs et d’armements’, une belle distinction pour ce « chien d’exception. »
Un autre chien, qui lui a été formé en Vaucluse avant de rejoindre un autre département, a été distingué lors de cette remise de prix. Il s’agit de Nala, une Saint-Pierre de 8 ans, qui, après avoir été formée par la Fondation Gaillanne, 1ère école d’éducation de chiens guides et d’assistance en Europe située à L’Isle-sur-la-Sorgue, aide aujourd’hui le quotidien de Llewellyn Barré, une jeune femme présentant un trouble du spectre autistique.
Après une déscolarisation et une hospitalisation dû à un refus de s’alimenter, Nala a rejoint le foyer de Llewellyn en Haute-Garonne. Après des débuts difficiles face à cette nouvelle arrivée, la jeune femme a pu reprendre sa scolarité, passer son Baccalauréat, retrouver des loisirs et récupérer une vie sociale. Un bonheur retrouvé qui a valu à Nala l’obtention du Trophée dans la catégorie ‘Chien d’assistance’.
Le Nîmois Joannes Richard décroche le titre de champion d’Europe de burger
La cérémonie de remise des étoiles du Guide Michelin pour l’année 2025 s’est tenue ce lundi 31 mars à Metz. 68 nouvelles étoiles ont été décernées. En Vaucluse, un restaurant s’est vu attribué sa première étoile et rejoint les 11 autres établissements déjà étoilés du département.
Ouvert il y a à peine 1 an, le restaurant JU – Maison de Cuisine, situé au cœur de Bonnieux, vient d’obtenir sa première étoile au Guide Michelin. « Une reconnaissance qui célèbre bien plus qu’un restaurant : une équipe unie, des producteurs engagés, un terroir respecté pour une cuisine locale, consciente et sincère », a annoncé son chef Julien Allano.
L’établissement rejoint donc la prestigieuse liste des 654 restaurants étoilés, dont 68 ont été promus cette année. Le village de Bonnieux n’en est pas à son premier étoilé puisque JU – Maison de Cuisine rejoint La Table des Amis et son chef Christophe Bacquié, au sein du Mas Les Eydins, qui compte 2 étoiles, ainsi que La Bastide de Capelongue et son chef Noël Bérard, qui a une étoile.
La gastronomie présente donc un véritable atout pour le rayonnement du Luberon qui compte également parmi ses étoilés Le Goût du Bonheur à l’auberge de La Fenière à Cadenet (1 étoile et 1 étoile verte qui récompense l’innovation durable) avec sa cheffe Nadia Sammut, La Table de Xaxier Mathieu à Joucas (1 étoile), La Closerie à Ansouis (1 étoile) et son chef Olivier Alemany, ainsi que La Petite Maison de Cucuron (1 étoile) et son chef Éric Sapet.
La Cité des Papes, elle, compte 2 étoiles et 1 étoile verte avec Pollen (1 étoile) et son chef Mathieu Desmarest, et La Mirande (1 étoile et 1 étoile verte) et son chef Florent Pietravalle. Le reste du Vaucluse aussi, est parsemé d’étoiles : Le Vivier à L’Isle-sur-la-Sorgue (1 étoile) et son chef Romain Gandolphe, L’Oustalet à Gigondas (1 étoile et 1 étoile verte) et son chef Thomas Boirel ainsi que La Mère Germaine à Châteauneuf-du-Pape (1 étoile) et son chef Adrien Soro.
Le Nîmois Joannes Richard décroche le titre de champion d’Europe de burger
Produite par la société vauclusienne Novamex, basée aux Taillades, la marque L’Arbre Vert, leader français des produits d’entretien et d’hygiène corporelle écologiques, vient d’être élue Marque de l’année 2025.
Depuis 1987, la société Produit de l’Année France œuvre à valoriser l’innovation produit. C’est pourquoi elle a créé un concours dans lequel les consommateurs sont impliqués pour élire la Marque de l’année, dans le but de mettre en lumière les marques auxquelles ils accordent leur confiance.
Cette année, 12 marques ont reçu le titre de Marque de l’année 2025, dont la marque vauclusienne L’Arbre Vert qui propose des produits d’entretien, mais aussi d’hygiène corporelle et de la maison, du bien-être, de la beauté, jusqu’aux soins aux animaux et désormais aux compléments de santé, le tout étant respectueux de la santé, avec des formules hypoallergéniques, et avec une écotoxicité réduite. « Son expertise pointue vise à démocratiser une démarche plus responsable avec une accessibilité pour tous, affirme la société Produit de l’Année France. Aujourd’hui, elle est entrée dans 1 foyer sur 4 ! »
Produit de l’Année France a mené l’enquête auprès de 15 000 personnes, dont 500 utilisateurs réguliers ou potentiels de L’Arbre Vert. Cette étude a évalué des critères spécifiques tels que l’intention d’achat, l’attractivité, le caractère innovant, le rôle sociétal et responsable et la force de recommandation de la marque. 100% des répondants ont avoué qu’ils recommanderaient L’Arbre Vert à un proche et 94% estiment que la marque garantit la qualité de ses produits. « Cette récompense montre que nos consommateurs sont fidèles, qui apprécient réellement nos produits, déclare Géraldine Séjourné, directrice Marketing et Communication de L’Arbre Vert. C’est une grande fierté pour l’ensemble de l’entreprise, c’est une belle reconnaissance pour la marque. »
La marque vauclusienne, qui avait aussi été élue Marque préférée des Français il y a deux ans selon l’Observatoire 2023 des marques Opinionway dans la catégorie ‘Engagement’. Ainsi, L’Arbre Vert, qui a fêté ses 20 ans en 2023, continue de conquérir le cœur des consommateurs.