21 décembre 2025 |

Ecrit par le 21 décembre 2025

Résultats historiques pour le Crédit Agricole Alpes Provence

Le Crédit Agricole Alpes Provence vient de présenter ses résultats 2024. Malgré une succession de crises multiples depuis 5 ans la banque coopérative régionale réalise des résultats historiques lui permettant d’afficher sa confiance dans sa capacité à soutenir l’investissement local.

« Dans un environnement exigeant, le Crédit Agricole Alpes Provence réalise en 2024 des résultats historiques qui donnent de la confiance pour entreprendre et nous permettent d’agir ensemble pour avoir de l’impact et faire rayonner le territoire », se félicitent les responsables de la banque régionale qui regroupe notamment 455 collaborateurs répartis dans les 41 agences de Vaucluse.
« Nous connaissons depuis 5 ans une succession de crises multiples qui ont provoqué de nombreux déséquilibres économiques et financiers avec de l’endettement et des mesures de soutien monétaire exceptionnelles, ont ainsi complété Laurent Fromageau, directeur général, et Franck Alexandre, président du conseil d’administration du Crédit Agricole Alpes Provence. Cet environnement incertain est peu favorable à la confiance et à la croissance, et il est exigeant pour les entrepreneurs. »

43 000 nouveaux clients
Malgré ce contexte, la banque coopérative affiche une activité commerciale dynamique sur tous les plans en 2024. Elle compte ainsi 43 000 nouveaux clients, un chiffre record. Dans le même temps le Crédit Agricole Alpes Provence constate une croissance tonique de sa base client (+2%) ainsi qu’une fidélisation accrue de sa clientèle avec une hausse de +4,2% pour les contrats assurances, de +3,2% pour les services de paiement et de 1,9% pour les services de banque au quotidien.
Côté crédit, les parts de marchés crédits et collecte sont en hausse : crédits à 18,63% (à fin octobre 2024), soit +0,23 point (par rapport à octobre 2023.) Collecte à 16,68% (à fin octobre 2024), soit +0,68 point (par rapport à octobre 2023).

9 décisions sur 10 sont prises en agence
« Cette dynamique s’explique par la satisfaction client, priorité numéro 1 du Crédit Agricole Alpes Provence. Nous avons par exemple une note Google de 4,84/5, ce qui nous place en 2e position sur notre territoire par rapport à nos concurrents. Une dynamique qui s’explique également par l’autonomie, la confiance et la responsabilité en proximité, moteur de l’engagement des hommes et des femmes : 9 décisions sur 10 sont prises en agence », insiste ‘la banque verte’ regroupant au total 2 200 collaborateurs dans 154 agences en Vaucluse, Bouches-du-Rhône et Hautes-Alpes.
De quoi afficher un résultat net consolidé historique de 133,9M, en progression de 15% par rapport à 2023 (résultat net social normes françaises 102,9M€). Parallèlement, la solidité financière de l’établissement bancaire a été également été renforcée avec un ratio de liquidité s’élèvant à 112,2%, un ratio de solvabilité de 21,57% ainsi qu’un niveau de couverture des risques un taux de 55,85%.

Quelques chiffres
– 19 Mds€ d’encours de crédits.
– 6 900 projets habitat particuliers et professionnels.
– 1 900 prêts étudiants
– 500 projets accompagnés par jour en financement, en assurant et en investissant en capital
– +15% d’activité crédits chez les professionnels et agriculture
– +3,2% de crédits d’équipement pour les entreprises.
– 33M€ engagés par le fonds Transitions de la banque pour financer des infrastructures de production d’énergie verte et renforcer les fonds propres des entreprises du territoire qui accélèrent les transitions.
– +10% de crédits actifs durables en 2024.

Soutien historique de l’agriculture
Par ailleurs, le Crédit Agricole Alpes Provence rappelle qu’il est un des soutiens historiques de l’agriculture.
« L’agriculture française est de plus en plus confrontée à des enjeux cruciaux pour son avenir, précise la banque. Elle doit faire face à de nombreux défis : renforcer sa compétitivité, s’adapter aux changements climatiques et répondre aux attentes sociétales. En tant que 1ère banque mais également en tant que partenaire historique de l’agriculture depuis plus de 120 ans, le Crédit Agricole Alpes Provence accompagne toutes les agricultures de son territoire. Concrètement, nous avons mis en place en 2024 : 1 000 pauses “années blanches”, ce qui représente un soutien de 150 000€. 41 Prêts à Taux Zéro pour jeunes agriculteurs, ce qui représente un soutien de 1,2M€. 800 000€ de soutien en trésorerie pour nos clients agriculteurs impactés par le gel. Toutes ces mesures se traduisent par la satisfaction de nos clients agriculteurs. L’Indice de recommandation client agriculteur est à +23 points en 2024, en augmentation de +15 par rapport à 2023. Notre caisse régionale est la 1ère des caisses régionales du groupe et la 1re de notre territoire en satisfaction client auprès des agriculteurs. En 2024, nous avons 234 nouveaux clients agricoles dont 88 jeunes agriculteurs, ce qui représente 84% des installations aidées du territoire. »

Le Crédit Agricole réaffirme son engagement auprès des vignerons
Après s’être mobilisé avec la Safer pour soutenir les viticulteurs locaux face à la spéculation foncière des terres agricoles, le Crédit Agricole Alpes Provence fait partie des trois caisses régionales (avec celles de  Sud Rhône Alpes et Languedoc) à avoir répondu à l’appel du Syndicat des Vignerons des Côtes du Rhône pour une rencontre en urgence dans l’objectif d’échanger sur la situation économique, les défis à venir et d’y apporter des solutions.

De gauche à droite : Alain Aubert, membre du Syndicat des Vignerons des Côtes du Rhône ; Jean-Pierre Gaillard, Président du Crédit Agricole Sud Rhône Alpes ; Daniel Connart, Président du Crédit Agricole du Languedoc ; Franck Alexandre, Président du Crédit Agricole Alpes Provence ; Damien Gilles Président du Syndicat des Côtes du Rhône ; Laurent Jeanneteau Directeur du Syndicat des Côtes du Rhône ; Claude Guigue Vice-Président du Crédit Agricole Languedoc. Crédit DR/CAAP

L’occasion pour Damien Gilles, président du Syndicat de présenter en détail la situation économique, le démarrage de la campagne, ainsi que la vision et les objectifs 2025 : « Notre priorité est notamment d’assurer une juste rémunération des vignerons en sécurisant les contrats amonts à minima au niveau de coûts de production (modification de la loi Egalim), en fournissant des indicateurs de prix à la filière pour la vente de raisins et de vin en vrac mais aussi sur les certifications environnementales (HVE et BIO) et en permettant à la filière viticole d’accéder aux Organisations de Producteurs pour concentrer l’offre vrac. Nous devons aussi simplifier et adapter notre Cahier des charges au changement climatique, optimiser les coûts de contrôles pour les producteurs, et valoriser les démarches environnementales. »

Lors de cet échange, les 3 Caisses Régionales ont assuré les représentants du Syndicat des Vignerons des Côtes du Rhône de leur plein soutien.
« Face à la situation actuelle, la banque va jouer pleinement son rôle et être à l’écoute des vignerons et viticulteurs concernés pour trouver des solutions personnalisées et adaptées aux besoins de chacun ; assurent-elles. Le Crédit Agricole s’engage à nouveau aujourd’hui et précise qu’il est également important d’avoir une filière unie pour un accompagnement durable. »


Résultats historiques pour le Crédit Agricole Alpes Provence

Au départ, il y a Nicolas Meffre, fils de Guy Meffre, traiteur réputé. « Papa a vendu l’affaire en 2017 et j’ai souhaité continuer dans l’organisation de banquets, anniversaires, séminaires, soirées, mariages, mais sans la cuisine. Mais j’avais besoin de logistique et de dépôt pour la vaisselle, les chaises, les nappes », explique-t-il. Et au fil des rencontres, il rachète du matériel, des objets de décoration et s’allie à Amandine Robert qui s’occupe de mobilier de jardin design, épuré, original et d’Eric Gelsomino qui gère couverts, verrines, tasses. « Par exemple on est allé à Milan, capitale de l’innovation, pour trouver des objets détournés de leur fonction initiale comme les palettes devenues fauteuils, comme les cubes à base de bouteilles en plastique recyclé ou les poufs en bouchons de liège », ajoute Nicolas Meffre.

Pour la vaisselle, Eric Gelsomino a réponse à tout. « On peut proposer jusqu’à trois mille couverts en même temps, quel que soit le style, vintage, moderne, nature. Coupe ou flûte à champagne ou à cocktail, verre ciselé ou pas, à bière, à mojito. Couverts dorés, argentés, couteau à steak en bois. Il y a aussi les fontaines à chocolat, les braseros, grills à panini, machines à granité, planchas. »

Pour les autres assises, Amandine Robert évoque pêle-mêle : « Pouf en jute, mange-debout, tonneau, fauteuil en rotin ‘Emmanuelle’, banc en bois brut, table-guéridon ». Sont aussi à disposition : bar lumineux, salon en teck, parasol chauffant, barnum, tipi géant, guirlande multicolore, charrette, sono, éclairage, écran plat, pupitre.

Départs à la retraite, fiançailles, convention d’affaires, anniversaires, soirées ‘corporate’ pour renforcer les équipes, Link Organisation, qui est basé à Châteauneuf-de-Gadagne, propose mobilier, matériel de cuisine, tentes. « On a organisé les 100 ans des Voyages Arnaud à l’Arbousière, l’arrivée du Rafale sur le tarmac de la Base Aérienne d’Orange le 18 juillet dernier, les 4 ans des Fines Roches à Châteauneuf-du-Pape avec Denis Duchêne », précise Nicolas Meffre. « Et les affaires vont bon train, ajoute Eric Gelsomino. On a réalisé 560 mariages en 2023, 645 l’an dernier. Et la liste d’attente s’allonge, on est complet jusqu’en 2027 ! »

Contact : 04 28 70 39 36


Résultats historiques pour le Crédit Agricole Alpes Provence

Les Apéro Entrepreneurs du Pays d’Orange viennent de se réunir au Mercure hôtel de la cité princes pour fêter leur 8e anniversaire. Après le succès de leur rencontre de septembre dernier, ils étaient à nouveau près de 300 à participer à l’événement de cette structure fondée en février 2017.
« Les Apéro Entrepreneurs sont des soirées dédiées aux entrepreneurs du territoire et organisées tous les mois sur l’intercommunalité Pays d’Orange en Provence qui est l’interlocuteur de proximité du développement économique », explique le comité de bénévoles composé Marc-André Mercier, Stéphane Henry, Lise Dupont et Lise Martinez. Une dizaine d’autres bénévoles complète l’organisation en venant prêter main forte lors des différents événements.

Le théâtre antique et la 2e édition du salon de l’entreprise au programme
Pour cette soirée anniversaire, plusieurs annonces ont été faites concernant l’année à venir. Ainsi en 2025, il sera proposé 2 Matinales Entrepreneurs (un rendez-vous initié depuis 2023 dédié aux entrepreneurs qui veulent s’installer) et 11 Apéro Entrepreneurs du Pays d’Orange.
« Nous allons également organiser la seconde édition du Salon de l’Entreprise, annonce Marc-André Mercier. Il sera co-organisé par la Chambre de commerce et d’industrie (CCI) de Vaucluse et le Réseau Initiative Terre de Vaucluse et se tiendra le 16 octobre à Orange. Il sera clôturé par un Apéro Entrepreneurs. » Lors de cette soirée du 8e anniversaire, une demi-douzaine de participants ont d’ailleurs fait part de leur décision de tenir un stand durant le salon.
Par ailleurs, si la date n’est pas encore fixée, un Apéro Entrepreneurs se déroulera au sein du cadre exceptionnel du théâtre antique d’Orange.

Des milliers d’entrepreneurs réunis
En 8 ans ce sont près d’une centaines d’évènements, Apéro et Matinales Entrepreneurs qui ont été organisés sur le Pays d’Orange en Provence.
« Au total, ce sont plusieurs milliers d’entrepreneurs qui sont venus sur ce territoire, souvent du Vaucluse mais aussi des départements limitrophes, pour découvrir les lieux, les gens, créer des souvenirs, des opportunités et participer à la dynamique de notre territoire, se félicite Marc-André Mercier. L’inscription à ces soirées est gratuite pour les participants, seules les consommations sont à régler au lieu qui accueille la soirée. Ces soirées permettent aux entrepreneurs de se rencontrer et d’échanger autour d’un moment convivial sur un socle de valeurs communes. »
Enfin, cet anniversaire a permis également de dévoiler un nouveau partenaire : Ventoux intérim qui rejoint ainsi MX création, le Crédit agricole Alpes-Provence et Toyota Orange.


Résultats historiques pour le Crédit Agricole Alpes Provence

Créée en 1992 par Philippe Lefrancq, l’entreprise Florajet, basée à Cabrières d’Aigues, figure aujourd’hui parmi les leaders français de la livraison de fleurs. L’année dernière, c’est la fille de Philippe, Virginie Lefrancq, qui en a repris les rênes. La nouvelle directrice générale a pour objectif de moderniser la marque et de la développer davantage, tout en préservant les valeurs fondamentales de l’entreprise.

Après deux décennies dans l’entreprise, au sein des services suivi commercial, commercial, et service client, puis directrice de l’expérience client et du digital, Virginie Lefrancq succède à son père Philippe Lefrancq à la tête de l’entreprise en janvier 2024.

Aujourd’hui, Florajet se hisse parmi les leaders français de la livraison de fleurs. Depuis le changement de direction, l’entreprise vauclusienne a déjà procédé à quelques changements, et a notamment dévoilé sa nouvelle identité visuelle au début de l’année 2025. Mais Virginie a bien d’autres projets pour faire fleurir l’entreprise familiale, tout en conservant l’héritage laissé par son père.

La naissance de Florajet

Florajet n’est pas la première aventure entrepreneuriale de Philippe Lefrancq, qui avait ouvert avec sa femme une boutique de fleurs dans le centre-ville de Pertuis au début des années 1990. Très vite, ils avaient souhaité rejoindre un réseau floral, qui leur permettrait d’accéder à la demande des clients qui souhaitaient livrer en dehors de leur périmètre. Alors qu’aujourd’hui cela peut se faire en quelques clics grâce à internet, à l’époque, il y avait davantage de contraintes. « Ils perdaient énormément de temps à chercher les numéros de téléphone, appeler, pour ensuite livrer, car ils faisaient tout eux-mêmes », affirme Virginie Lefrancq.

« Mon père souhaitait créer un service qui faciliterait le travail des fleuristes. »

Virginie Lefrancq

Philippe Lefrancq ne trouvant pas de réseau floral idéal, compatible avec sa manière de travailler, l’idée de Florajet a commencé à germer. « Florajet a pour objectif de s’adapter aux fleuristes, et non l’inverse », ajoute la directrice générale de l’entreprise cabriéraine. Florajet est donc née en 1992 à Pertuis, alors qu’un gros concurrent français était déjà en place depuis plus d’un demi-siècle. Un pari osé qui aujourd’hui porte ses fruits.

600 000 bouquets par an

Avec l’arrivée d’internet au début des années 2000, Florajet est devenue Florajet.com et l’entreprise a commencé à prendre de l’ampleur. « Les objectifs de Florajet.com sont clairs : continuer à être une marque moderne, audacieuse et innovante. En mettant l’accent sur la qualité et la proximité, que ce soit pour un bouquet à petit prix ou une composition plus prestigieuse nous voulons que chaque client et fleuriste se sentent écoutés et valorisés », explique Virginie. Florajet.com grandit et déménage à Cabrières d’Aigues en 2006, où elle est toujours aujourd’hui et comptabilise 80 collaborateurs.

Avec un chiffre d’affaires s’élevant à 30M€, Florajet.com compte parmi les fleurons de l’économie vauclusienne, elle fait notamment la fierté du Sud Vaucluse. L’entreprise permet la livraison d’environ 600 000 bouquets par an et couvre 95% du territoire français grâce à un maillage de 4 500 fleuristes. « Ce maillage est important car il permet d’honorer notre promesse de réactivité, avec une livraison en moins de 3 heures, 7 jours sur 7 », développe la directrice. L’entreprise possède aussi un atelier floral à la Tour d’Aigues où des fleuristes créent des bouquets qui partent par transporteur, ainsi qu’un magasin de fleurs à Pertuis, Fleurs d’O. « Ça nous permet de mettre les mains aussi dans la fleuristerie, parce que ça reste quand même essentiel de continuer à comprendre le métier, et de nous rendre compte de la réalité du terrain », ajoute-t-elle.

Les locaux de Florajet.com à Cabrières d’Aigues. ©Vincent Agnes / Florajet.com

D’une enfance au milieu des fleurs à la direction de Florajet.com

Ainsi, depuis sa tendre enfance, Virginie baigne dans les fleurs. « ‘J’ai toujours vu ma mère créer des bouquets, il y avait aussi le corso fleuri qui me rappelle de très bons souvenirs parce que c’étaient des chars qui défilaient dans les rues de Pertuis, et ma mère les décorait la nuit », explique la directrice de Florajet.com. Lors de son BTS Management des unités commerciales, elle réalise son alternance au sein de l’entreprise familiale avant de l’intégrer une fois ses études terminées.

« J’ai fait presque tous les postes de l’entreprise. »

Virginie Lefrancq

Durant 20 ans, Virginie a évolué dans différents services de l’entreprise familiale. Et pourtant, le fait qu’elle reprenne la direction de l’entreprise un jour n’a pas toujours été une évidence. « Florajet.com, c’est comme le bébé de mon père, donc évidemment qu’il espérait qu’un jour l’un de ses enfants ou quelqu’un de sa famille puisse reprendre au lieu de revendre l’entreprise, affirme Virginie. Mais on n’en parlait pas forcément, pour dire la vérité. J’ai fait mon parcours en me disant que ça pouvait faire partie des possibilités, mais pas en me disant que c’était comme ça que ça devait être. » En janvier 2024, Philippe Lefrancq passe le flambeau à sa fille qui souhaite faire évoluer l’entreprise tout en gardant les bases qui sont déjà solides.

Moderniser la marque

Si la nouvelle directrice générale ne souhaite pas révolutionner le concept de l’entreprise, elle a tout de même immédiatement pensé à un changement : la moderniser. Au début de l’année 2025, Florajet.com a dévoilé sa nouvelle identité visuelle avec un nouveau logo plus en mouvement, qui rappelle une feuille, avec une nouvelle couleur. Ce logo se veut le reflet de l’énergie et de la créativité de l’entreprise.

L’ancien logo et le nouveau logo de Florajet.com. ©Florajet.com

En plus du logo, Florajet.com a décidé de créer une nouvelle signature plus affirmée : « Trop facile de faire plaisir. » Cela représente la réactivité de que promet l’entreprise : en seulement quelques clics, il est possible de commander un bouquet et de le faire livrer dans les heures qui suivent.

Faire davantage connaître Florajet.com

Aujourd’hui, Virginie Lefrancq souhaite faire de l’entreprise l’acteur incontournable de la livraison de fleurs en France. « Jusqu’à présent, on était plutôt discrets, mais aujourd’hui, à l’ère des réseaux sociaux, il faut qu’on s’affirme davantage », dévoile-t-elle.

Florajet.com réalise une grosse partie de son chiffre d’affaires à la fête des mères. Les clients pensent aussi au réseau floral lors de la Saint-Valentin ou encore pour la fête des grands-mères, mais Virginie souhaite que Florajet.com soit le premier choix pour la moindre occasion. « Les fleurs pour les occasions, c’est une bonne idée, mais il n’y a pas que ça, c’est aussi un bon moyen pour se faire pardonner », explique-t-elle. C’est d’ailleurs l’objet d’une nouvelle campagne publicitaire, composée de trois spots réalisés avec humour et qui sont diffusés depuis le 25 janvier sur la chaîne télévisée TF1.



Florajet.com veut renforcer sa présence à l’étranger

Après la modernisation et une présence plus affirmée, Virginie Lefrancq dévoile une troisième ambition pour Florajet.com : l’international. L’entreprise vauclusienne travaille déjà à l’étranger, dans une centaine de pays, mais par d’autres chaînes de transmission florale avec qui Florajet.com a un réseau d’entreprises qui ont elles-mêmes un réseau de fleuristes. Ainsi, l’étranger ne représente aujourd’hui que 3% du chiffre d’affaires. Un marché que l’entreprise cabriéraine souhaite désormais développer.

« On aimerait travailler à l’international, mais de manière différente, peut-être plus en direct pour proposer des offres un peu plus étoffées, développe la directrice générale. Si demain on travaille avec un fleuriste, donc évidemment dans les pays limitrophes pour commencer et dans les villes les plus importantes, les capitales au départ sûrement, c’est pour proposer plus d’offres et des prix attractifs. » Tels sont les objectifs de Virginie pour l’avenir de Florajet.com, qui va sans nul doute continuer de fleurir ces prochaines années.

©Florajet.com

Résultats historiques pour le Crédit Agricole Alpes Provence

C’est l’histoire d’une saga familiale comme on les aime. De la petite entreprise, basée à Apt qui à l’origine sonorisait des communes, Blachère Illumination est devenue aujourd’hui un des leaders mondiaux de l’éclairage événementiel. Crée en 1973 par Jean-Paul Blachère, cette entreprise, qui affiche aujourd’hui 100M€ de CA, est présente dans 80 pays. Son activité reste cependant très dépendante du contexte politique et économique que ce soit au niveau national ou international.

Nous sommes en 1973, Jean-Paul Blachère, qui a repris les rênes de l’entreprise de sonorisation de son père, est à Brest. Il y installe des haut-parleurs pour un événement. Une des personnes de la ville l’interpelle et lui dit : « puisque tu as les échelles, pourquoi ne profiterais-tu pas de l’occasion pour accrocher aussi des illuminations ? »  C’est ainsi que l’aventure de Blachère Illumination débuta. Au début des années 80, l’entreprise cessa son activité de sonorisation pour se consacrer exclusivement à celle de l’illumination. Elle est aujourd’hui dirigée par Johan Hugues qui entra dans l’entreprise en 1991 comme designer industriel. 

Johan Hugues, dirigeant de Blachère Illumination. ©Blachère Illumination

« Dans beaucoup de pays, on apprécie la French touch et notre créativité »

Si elle conserve son siège social à Apt, l’entreprise a créé à ce jour 27 filiales dans le monde, ce qui lui assure aujourd’hui une présence dans 80 pays. Sur les 400 collaborateurs que compte le groupe, 120 sont basés dans la capitale du Luberon. En 2024, le groupe aura réalisé un CA de 100M€, dont 55% à l’international, où plusieurs unités de productions ont été installées, comme au Mexique ou à Dubaï. Pour Johan Hugues, le Directeur Général, l’origine française de l’entreprise est un vrai atout. « Dans beaucoup de pays, on apprécie la French touch et notre créativité », précise-t-il.   

Parmi les réalisations les plus emblématiques, on a tous en mémoire le scintillement de la Tour Eiffel

70% de l’activité de l’entreprise est réalisé avec les villes. En France, 70% des communes de plus de 5 000 habitants font appel à Blachère Illumination. Dans la plupart des cas, les communes louent à l’entreprise leurs illuminations. Ce qui permet leur renouvellement régulier.  Parmi les réalisations les plus emblématiques, on a tous en mémoire le scintillement de la Tour Eiffel inauguré au moment du passage à l’an 2000, ou encore l’illumination des Champs-Élysées pour les fêtes de fin d’année. Marché que détient Blachère Illumination depuis plus 20 ans. Dans le Vaucluse, les villes sont nombreuses à faire appel à l’entreprise, à commencer par Apt, qui souvent a le privilège de tester les dernières créations de la maison. Avignon, Carpentras, Cavaillon font également appel à Blachère Illumination, mais pas que…

Si la part essentielle de la clientèle est constituée de communes, depuis quelques années, l’entreprise aptésienne s’est développée sur le marché des centres commerciaux et des boutiques. C’est aujourd’hui 30% de son activité.   

Plusieurs révolutions techniques ont été conduites 

Assez dépendante des contextes dans lesquels elle évolue, l’entreprise a dû s’adapter à plusieurs reprises aux évolutions sociétales, économiques, voire géopolitiques de son environnement. Il y a quelques années, la nécessité d’une plus grande sobriété énergétique a eu un impact important sur son activité. Nombre de clients ont freiné leurs dépenses. L’entreprise a perdu 12% de son CA. Elle a fait alors sa première révolution technique avec l’arrivée de l’éclairage LED, que l’entreprise a su rapidement proposer à tous ses clients. Sa deuxième révolution technique, elle l’a conduite avec la réduction de l’utilisation de l’aluminium pour la confection de ses structures porteuses des éclairages. Elle a mis au point un procédé technique qui grâce à une imprimante 3D de grande dimension utilise des plastiques recyclés. Ces matériaux plus vertueux sur le plan environnemental présentent aussi l’avantage de pouvoir offrir davantage de possibilités pour les créateurs et les designers. L’entreprise a d’ailleurs déposé plusieurs brevets concernant ce procédé. 

©Blachère Illumination

« Notre métier, c’est de faire briller les yeux des gens dans des périodes froides »

Si les évolutions sociétales ont conduit l’entreprise à innover, elle a dû aussi savoir d’adapter à son environnement politique et économique. Ce fût d’abord comme beaucoup d’entreprises la crise du Covid qui a donné un sérieux coup de frein à son activité. Ensuite, en 2022, le boycott économique de la Russie suite à son invasion par l’Ukraine a été un autre coup dur pour l’entreprise. Elle avait de nombreux contrats avec des villes russes. Elle a su y faire face en développant d’autres marchés internationaux où l’entreprise avait une implantation. Aujourd’hui, le ralentissement de l’économie mondiale et les contraintes budgétaires portées aux collectivités locales françaises sont des autres motifs d’inquiétude pour les dirigeants de Blachère Illumination. Mais Johan Hugues est optimiste : « on ne sera jamais éteints, il n’y a aura pas de black-out pour notre activité » affirme-t-il avec un certain humour. « Notre métier, c’est de faire briller les yeux des gens dans les périodes froides »  conclue-t-il.


Résultats historiques pour le Crédit Agricole Alpes Provence

Harmonie Mutuelle a organisé la 5ᵉ édition de son Prix Santé Entrepreneurs qui récompense les projets d’entrepreneurs ayant pour objectif d’améliorer leur santé, mais aussi celle de leurs collaborateurs et de leurs clients. C’est une entreprise vauclusienne qui a remporté le 1ᵉʳ prix national.

Chaque année, Harmonie Mutuelle valorise, à travers son Prix Santé Entrepreneurs, les initiatives menées dans les territoires en faveur de la santé, de la solidarité et de la transition écologique. Ce sont six entrepreneurs qui ont été récompensés lors de l’édition 2024.

Du 1ᵉʳ juin au 25 septembre derniers, près de 300 entrepreneurs, répartis sur l’ensemble du territoire, ont concouru afin de présenter les initiatives. Trois lauréats ont été récompensés en région Provence-Alpes-Côte d’Azur dont l’entreprise Les Monocyclettes, basée à la Bastide des Jourdans. Parmi les 32 lauréats dans les différentes régions, 3 lauréats nationaux, dont l’entreprise vauclusienne, ont été choisis par le public et par les membres de la commission Harmonie Mutuelle Entrepreneurs et ont reçu un prix. Trois autres projets ont également été récompensés par le Prix ‘Coup de cœur de la commission Harmonie Mutuelle Entrepreneurs’, le Prix ‘Coup de cœur des Experts-comptables’ et le Prix ‘Coup de cœur de la transition écologique’.

Les Monocyclettes, fondées par Angélique Lecomte en 2019, ont reçu le 1ᵉʳ Prix national Santé Entrepreneurs. Cette entreprise est une marque de lingerie post-mastectomie spécialisée dans le concept de soutien-gorge mono-bonnets modulables, personnalisables et ergonomiques. Ce prix la récompense pour son engagement en faveur des femmes atteintes du cancer du sein. Angélique a également reçu un chèque de 5 000€ qui lui permettra de continuer à œuvrer pour la mise en œuvre de nouvelles gammes. « Avec le soutien d’Harmonie Mutuelle, nous allons pouvoir poursuivre nos objectifs dans ces prochains mois en créant une gamme balnéaire pour l’été prochain et en développant notre offre avec de nouveaux modèles, conclut la fondatrice des Monocylettes. Nous envisageons également d’étendre notre offre aux femmes ayant une asymétrie mammaire naturelle, afin de leur proposer (enfin) une alternative à la chirurgie mammaire. »


Résultats historiques pour le Crédit Agricole Alpes Provence

Depuis 1808, Brun de Vian-Tiran, cette manufacture des fibres nobles, innove. Mohair, cachemire, laine, soie, angora, alpaga, des mots synonymes de douceur et de chaleur. Qu’elles proviennent des moutons Merinos d’Arles, des babies lamas du Pérou, de chamelons australiens ou de yacks de Mongolie, voire de Nouvelle-Zélande ou d’Afrique du Sud, toutes ces fibres font l’objet de traitements méthodiques à l’Isle-sur-la-Sorgue avant de nous envelopper délicatement.

Une douzaine d’étapes seront nécessaires parmi lesquelles : cardage, filature, bobinage, ourdissage, tissage, épincetage, teinture, foulage, grattage, séchage, découpage, assemblage et confection. Et soudain, les plaids, châles, écharpes, mais aussi les couettes, couvertures, sur-matelas et oreillers sont solides, mais aussi soyeux, moelleux et vaporeux.

Sur les bords de la Sorgue, à l’entrée de l’Isle, Jean-Louis Brun, l’actuel patron qui représente la 8ᵉ génération de cette manufacture familiale le reconnaît : « Oui, la crise existe. Et même si nous luttons contre la surconsommation, l’opération Black Friday’ existe et nos clients y participent. Donc on ne va pas se voiler la face, on fait des promotions. »

« Nous nous devons de garder la mémoire d’un authentique savoir-faire patrimonial qui a plus de 200 ans. »

Jean-Louis Brun

Aujourd’hui, Brun de Vian-Tiran, ce sont 44 salariés, dont certains travaillent dans ces ateliers de grand-père en petits-fils, de mère en fille depuis des lustres. « Il y a de plus en plus de couturières, reconnaît Jean-Louis Brun. Nous formons les nouveaux venus dans l’entreprise et nous avons engagé une jeune femme qui a un master de chimie nucléaire qui nous aide à conforter les bonnes pratiques, contrer les dérives, faire la chasse aux défauts, aux scories. Nous avons aussi embauché une spécialiste du e-market pour être en phase avec les goûts et les attente de nos clients. »

Côté ‘Filaventure’, la boutique s’est agrandie de 80 m² pour totaliser au rez-de-chaussée 240 m² d’exposition de l’excellence à la française pour cette maison classée depuis 2009 ‘Entreprise du Patrimoine Vivant’ avec des accessoires de salon, de chambre, de décoration d’intérieur, des voiles de lit, sacs à mains en fibres naturelles, trousses de voyage estampillées « Camargue », « Kashmir », « Californie », « Calypso », « Touareg » ou « Pendjab », dont les noms font rêver à d’autres horizons. Pendant qu’à l’étage trônent d’anciens outils de tisserands et des collections d’étoffes iconiques qui sont l’âme de la maison au fils des siècles.

« Cette année, nous innovons avec des vêtements tendance, des ponchos, des capes, des vêtements qui nous enveloppent dans leur drapé, qui nous sécurisent comme un cocon. Nous travaillons avec de jeunes stylistes, des designers de l’ENSCI (École Nationale Supérieure de Création Industrielle) qui débordent d’envie, de créativité et qui nous apportent un plus. »

La crise est là : -5% en 2023. « Mais depuis cet été, on est reparti à +8%, ajoute Jean-Louis Brun. Cela nous aide à rembourser les investissements de Filaventure, le prêt garanti par l’État, plus ou moins compensé par les ventes après la crise sanitaire et le confinement qui ont aussi touché les clients aisés. Le luxe ne se porte pas aussi bien que ça. En plus le SMIC a augmenté de +12% en 2 ans, sans parler du coût de l’énergie et des charges. »

Malgré tout, le patron imprime sa marque, il positive, il avance, il fonce. Il vient d’acquérir un nouveau métier à tisser. « La Rolls Royce du genre, high-tech, à commande numérique, avant-gardiste, une vraie fierté créée par le leader mondial belge Picanol sur la base du célèbre système mécanique français ‘Jacquard’. Il produit deux fois plus vite, quelle que soit la complexité du dessin et nous pouvons jongler avec huit couleurs possibles. Nous l’appelons ‘Le Métier 19’  parce qu’il y en a eu 18 avant lui dans cet atelier. Une de nos anciennes machines, totalement mécanique celle-là, a été fabriquée en Italie il y a 70 ans. Elle est régulièrement révisée, huilée et elle fonctionne au top. »

Le nouveau métier à tisser high-tech. ©Andrée Brunetti / L’Echo du Mardi

Aujourd’hui, Brun de Vian-Tiran exporte 15% de ses productions dans le monde entier. « Mais désormais, nous allons nous concentrer sur nos voisins européens, les Italiens, Espagnols, Portugais, Belges, Allemands, Suisses. Ils sont de l’autre côté de nos frontières. Cela fera moins de kilomètres, donc moins de taxe carbone pour le transport de nos marchandises. Or, le respect de l’environnement, vous le savez, fait partie de notre éthique », conclut Jean-Louis Brun.


Résultats historiques pour le Crédit Agricole Alpes Provence

C’est Albin Lieutaud qui, au XIXᵉ siècle, a créé cette entreprise dans les Baronnies, à l’époque des diligences, des fiacres, des charrettes et des corbillards tirés par des chevaux. Avec Paul, puis avec Roger, on est passé de l’hippomobile au moteur à explosion, ensuite avec les frères Jean-Paul et Pascal, puis aujourd’hui avec Julie et Guillaume, la 5ᵉ génération des Lieutaud, on met le turbo.

Cette maison évolue tous les jours pour être en phase avec les attentes des voyageurs. « Avec 150 autocars et bus pour les lignes régulières, le ramassage scolaire, les express au niveau régional, entre Valréas, Vaison, Carpentras et la gare TGV d’Avignon, le Réseau Zou!. Avec un bus touristique, un cabriolet à impériale, comme à Londres, entre La Cité des Papes et Villeneuve-les-Avignon avec casques, audio-guides et plaids si le mistral souffle trop fort, sans oublier les Petits Trains qui peuvent accueillir jusqu’à 800 touristes par jour et serpenter dans les rues de la Cité des Papes », explique Pascal Lieutaud, le PDG.

©Transports Lieutaud

« Nous avons également une flotille d’une douzaine de 2 CV pour des séminaires d’entreprises, des mariages dans les vignes, des circuits touristiques entre Alpilles et Luberon. Nous transportons les clients de 21 des 23 bateaux de croisiéristes sur le Rhône. »

Le grand tourisme, c’est leur affaire, avec des propositions à la carte, Tour de France, journées à thèmes, voyages sur-mesure, clés en main vers le Mont Saint-Michel, Nice et sa Promenade des Anglais, les vignobles de Châteauneuf-du-Pape, les Baux de Provence ou le Pont du Gard avec hôtels et restaurants de prestige. Toutes les tailles de berlines de luxe, mini-vans et autocars équipés de frigos, vidéo, toilettes, wifi et climatisation, bref grand confort jusqu’à 72 places.

Les Transports Lieutaud, c’est aussi une boutique au cœur d’Avignon, en face de la Cité Administrative. Une vraie vitrine du savoir-faire local « Nous avons les meilleurs artisans installés à 30km maximum d’ici, l’huile d’olive, les fruits confits de chez Lillamand, les nougats de Sault, les berlingots de Serge Clavel à Carpentras, le vin de Châteauneuf-du-Pape, des t-shirts made in France, ici, pas question de contrefaçons chinoises », insiste Pascal Lieutaud.

L’environnement au cœur des préoccupations de l’entreprise

Au-delà du maillage territorial, Lieutaud se préoccupe d’enjeux pour la planète, d’énergies non polluantes et renouvelables. « Nous changeons nos véhicules tous les 4 ou 5 ans, nous avons deux dépôts de biocarburants à Orange et Vaison, ajoute le Président Directeur Général. L’hydrogène n’est pas encore prêt, il a besoin de beaucoup d’électricité. »

Et pour les 150 ans de l’entreprise, un projet va sortir de terre : 20 000 m², 2 hectares de terrain situés dans la zone industrielle des Écluses, à Vaison-la-Romaine. « Une plateforme multiénergies où seront transférés nos ateliers d’ici 2017, où la sécurité sera le maître-mot de nos installations au gaz. Nous aurons du photovoltaïque sur le toit, nous récupèrerons l’eau de pluie pour nettoyer les autocars. Nous avons en plus des chauffeurs qui parlent anglais pour répondre aux questions des touristes du monde entier, des mécaniciens, des carrossiers, des selliers, des électriciens, des climatiseurs qui ont une immense compétence et qui s’occupent de la maintenance de tous nos véhicules, pour cela, nous faisons de la marche à pied ensemble, se félicite-t-il. Souvent, ils sont là de père en fils. »

« Les êtres humains priment sur le business »

« Après le Covid, nous avons dû réinventer les postes de travail de notre centaine de salariés. Le confinement, l’isolement, la solitude avaient atteint certains d’entre eux psychologiquement, ça m’a attristé. Nous avons donc dû repenser notre façon de travailler, redonner un sens à l’esprit d’équipe. Par exemple, en faisant des marches à pied ensemble, nous sortons hors les murs pour des réunions au grand air, en Camargue. Ça permet de tisser des liens, de bâtir une forme de cohésion, de forger une appartenance commune. L’été, nous les invitons aux avant-premières des Chorégies d’Orange, à des visites privées de musées, c’est une respiration en dehors du travail. Les entreprises ne s’en sortiront qu’en prenant en compte la personne, l’âme, le cœur de leurs collaborateurs. Chez nous, les êtres humains priment sur le business », conclut le PDG Pascal Lieutaud.

Et ça marche ! Mieux : ça roule ! Plus de 5 millions de kilomètres par an. Et un chiffre d’affaires qui grimpe, il s’affiche à 12M€.

Pascal Lieutaud, PDG de l’entreprise.

Contact : contact@cars-lieutaud.fr /04 90 86 57 07


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La Confédération des petites et moyennes entreprises (CPME) de Vaucluse et l’AIST 84, service de prévention et santé au travail, organisent un petit-déjeuner ce jeudi 10 octobre sur le thème ‘La prévention du harcèlement moral et sexuel en entreprise’.

Plusieurs questions seront abordées durant ce rendez-vous telles que : comment prévenir des comportements autour du harcèlement moral et sexuel ? Quel cadre juridique permet d’agir face à des suspicions ou des cas avérés ? Quel est le rôle du chef d’entreprise mais également des managers et des collègues ? Quelles conséquences pour l’entreprise ?

Cet événement sera animé par Docteur Ceccarda Fornaciari, médecin du travail AIST 84, Nadia Zahir, référente harcèlement AIST 84, et Nicolas Santiag, juriste à l’association de médiation d’aide aux victimes.

Inscription par mail à l’adresse contact@cpme84.org
Jeudi 10 octobre. De 8h30 à 10h30. AIST 84. 40 rue François 1ᵉʳ. Avignon.

https://www.echodumardi.com/tag/entreprise/page/4/   1/1