16 juin 2025 |

Ecrit par le 16 juin 2025

Bruno Carbonari, ‘Pour un enseignement vivant et interactif’

Bruno Carbonari est professeur au lycée Louis Pasteur à Avignon où il enseigne l’histoire et la géographie à des élèves de seconde, première et terminale. Son crédo ? Un enseignement vivant et interactif qui dynamise élèves et professeur. Une revanche, aussi, pour l’ancien élève qu’il fût et qui voulait échapper aux cours magistraux.

«Tout a commencé en cours d’éducation morale et civique où, depuis plusieurs années, les élèves sont notés sur leur travail, en contrôle continu, par trimestre, pour passer leur bac et être admis en ‘parcours sup’. Je ne voulais pas donner une note pour une note, j’ambitionnais plus. C’est ainsi que Paola B, Marion B, Juliette M et Mathilda H, élèves de terminale, ont décidé de créer un magazine ‘Silence, on juge’, au moment où l’actualité évoquait le procès de Samuel Paty. Au préalable ? J’avais demandé aux élèves de se saisir de l’actualité, et donc du procès de Samuel Paty et des thèmes que cela recouvrait. Finalement, les élèves ont produit plus que ce que j’attendais, s’y impliquant des heures durant pour une qualité de travail plus qu’excellente.»

«Je voulais que l’ensemble des élèves travaille sur les questions posées par ce drame, sur le rôle et la mission de l’école, la liberté, la liberté de la presse, la laïcité, le blasphème, et ce que dit la Loi. Nous quittions le travail scolaire pour un véritable travail de recherche et de réflexion. Le travail que l’on fait en histoire géo ? C’est de donner les outils, aux élèves, pour forger leur propre opinion, décrypter l’image… Ce travail se faisait d’ailleurs en miroir avec les attentats de Charlie Hebdo, le déroulé de ces terribles journées de 2015… »  

Bruno Carbonari montrant le magazine conçu par des élèves du lycée Louis Pasteur Copyright MMH

«Je souhaitais sortir des articles écrits par les médias pour travailler le discernement et consulter les comptes rendus des procès. Nous avons énormément travaillé sur un site ‘actujuridique.fr’ parce que le travail judiciaire suppose de faire un véritable travail d’histoire, de rechercher et comprendre l’enchaînement des faits, pour décortiquer les preuves, les témoignages…»

«Les élèves ont travaillé sur l’établissement des faits dans le contexte. Cela posait aussi la question de la liberté de l’enseignant, de la réception du message –que l’on ne contrôle pas- et ce que l’on en fait. Pour cela il y a un site ‘Dessinez, créez, liberté’ qui propose des fiches pédagogiques de décryptage des dessins de presse.»

«La consigne ? Je leur ai demandé de choisir leur format et media : script, podcast, vidéo, power point, print, des productions associées… Les élèves ont eux-mêmes également conçu leur grille d’évaluation en rapport avec le support du travail fourni. Pour un journal : la forme, le fond, la mise en page… Nous sommes là toujours dans l’autonomie et la pratique du sens critique.»

«L’ensemble des élèves s’est impliqué, donnant à lire, à écouter ou à voir des travaux fournis d’heures de travail opérées en classe et aussi de façon personnelle. Il ont tous rendu des travaux très étayés, fournis et de qualité, murissant leur réflexion, expérimentant le travail de groupe, finalisant leurs productions au moyen de logiciels divers et dans les temps impartis. Le but d’un enseignant est d’impliquer les élèves dans ce qu’ils font au quotidien. Ils ont eu de très bons résultats.»


Bruno Carbonari, ‘Pour un enseignement vivant et interactif’

La 3e édition de la grande fête de l’environnement ‘Faites écho’, initiée par le Grand Avignon, aura lieu les jeudi 15, vendredi 16 et samedi 17 juin, au centre de loisirs de la Barthelasse, allée Antoine Pinay. Une invitation lancée aux habitants pour identifier les enjeux et solutions pratiques en s’exerçant à des activités créatives et ludiques. Plus de 3 500 visiteurs sont attendus.

L’alimentation durable, les ressources du territoire en eau, la biodiversité et les énergies renouvelables seront au cœur de ces trois jours de rencontres en lien avec des associations, entreprises, collectivités et artistes présents sur des stands, lors d’ateliers et de conférences.

Les nouveautés

Les nouveautés de cette 3e édition : Un village textile pour tout savoir sur le ré-emploi, la réparation et le recyclage des textiles ; le Village mobilité : tout savoir sur les déplacements durables dans le Grand Avignon et le Village des risques pour prévenir et échanger sur les risques majeurs du territoire : inondations, risques sismiques, incendies…

Deux pointures-stars
Il sera question de découvertes au gré d’un parcours informatif, récréatif et associatif avec, notamment deux personnalités ultra connues et reconnues comme le youtubeur et désormais expérimentateur d’une forêt comestible qu’il est en train de planter, Nicolas Meyrieux, humoriste, vidéaste et militant et le très sérieux et accessible François Gemenne, co-auteur du 6e rapport du GIEC (Groupement d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat et conférencier.

Quand les rencontrer ?
Nicolas Meyrieux donnera son spectacle : ‘On ne sait pas !’ jeudi 15 mai de 17h à 20h. L’humoriste et vidéaste militant engagé en écologie et agriculture est connu pour son ton décalé, son humour acéré, son talent à aborder des sujets de société complexes restitués avec pédagogie et légèreté, permettant de sensibiliser son public aux enjeux environnementaux. François Gemènne, co-auteur du 6e rapport du Giec, spécialiste des questions de migration environnementales et climatiques interviendra en une conférence intelligent et intelligible en partenariat avec le magazine Sans transition ! Samedi 17 mai à 13h30. Son intervention sera suivie d’une table ronde sur l’éco-anxiété.

Plus de 50 animations
Plus de 50 animations seront proposées aux petits comme aux grands comme des démonstrations, des balades pédestres, en vélo et même en canoé, des jeux, des contes, des ateliers cuisine, couture, de spectacles, des animations musicales, des courses d’orientation, des expositions… En 2024, 3 500 visiteurs avaient été séduits par ce rendez-vous dont 1 500 scolaires.

Copyright Delestrade studio

2 874 élèves attendus
Cette année, près de2 874 élèves –issus de classes primaires du Grand Avignon et des lycées d’Avignon- seront accompagnés de 300 encadrants. Ils se familiariseront à la biodiversité, à l’énergie, à l’eau, au climat, à la mobilité et à l’enjeu de la consommation du textile. Grands et petits élèves découvriront également, via des expositions, le monde de la biodiversité, les fonds marins, les Sorgues et les chauves-souris. Au programme également, des quizz géants et interactifs, l’observation de l’écopâturage avec des chèvres et des brebis, du sport, de la grimpe, des jeux de tri sur les déchets, un escape game sur la thématique des arbres, un spectacle…

Les autres temps forts

La gratiferia
La gratiferia textile -qui veut dire marché gratuit- propose d’apporter -ou non- des vêtements et de repartir avec ce qui nous plaît, sans troc ni monnaie. Pas d’argent en jeu mais un geste écolo et un esprit communautaire retrouvé. Durant toute la durée de Faites écho.

A quoi rêve-t-on ?
A quoi rêve-t-on où comment l’art et la culture nous aident à imaginer de nouveaux récits. Il s’agit là d’imaginer collectivement le futur à travers la culture et l’engagement en tant qu’acteur de ce changement à travers des témoignages d’acteurs locaux, des projections d’interviews d’artistes engagés, de courts métrages et de spectacles vivants mettant en lumière de nouveaux récits et visions de l’avenir. Vendredi 16 mai à partir de 17h.

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Samedi 17 mai
A 11h et 14h30
challenges de draisiennes avec l’Espélido –Centre social et culturel de Montfavet-. De 11h à 12h Café débat sur ‘La biodiversité en ville à vous de jouer’ proposé par l’Aurav –Agence d’urbanisme Rhône Avignon Vaucluse- de la mise en œuvre de la sobriété foncière à l’échelle du grand territoire en passant par l’aménagement des espaces publics jusqu’à la conception et l’entretien de son jardin. De 12h à 13h Café débat proposé par l’Arbe Région Sud –Agence régionale de la biodiversité et de l’environnement- : Savoir concilier aménagement, biodiversité et urbanisme tout en s’adaptant au changement climatique. A 12h15 et 15h30, défilé de mode entre réemploi et recyclage. 16h45 Conférence sur la gestion des cours d’eau et de la vie aquatique avec le dispositif Gemapi et l’Inrae l’Institut national de la recherche pour l’agriculture, l’alimentation et l’environnement. 17h Spectacle ‘Pestos, pirate des campagnes par la Compagnie Pécable. Pestos le pirate des campagnes dépouille, arnaque, et vole sans scrupules toutes les personnes qu’il rencontre. Une seule d’entre-elle ose l’affronter : Miss Ecolo aidée de son acolyte Coxinette. Ensemble elles veulent lui faire cesser ses arnaques et récupérer le parchemin qu’il leur a dérobé. Elles croiseront Marga l’abeille, Camille la chenille et demanderont même de l’aide à l’esprit des insectes.’ De 19h à 22h30, ambiance musicale pour clôturer la fête avec les élèves musiciens du Conservatoire à rayonnement régional du Grand Avignon et le concert du groupe Ninetiz.


Bruno Carbonari, ‘Pour un enseignement vivant et interactif’

Le projet ‘Exoclok’ des élèves du Lycée Victor Hugo à Carpentras a été sélectionné par le comité scientifique du Concours CGénial, qui participe à la promotion de l’enseignement des sciences et des techniques auprès des collégiens et lycéens, pour accéder à la finale qui se tiendra le mercredi 21 mai à la Cité des sciences et de l’industrie à Paris.

110 projets de niveau lycée ont été présenté lors du 18e Concours CGénial, concours scientifique national qui permet aux jeunes, aidés de leurs enseignants, de présenter un projet didactique et innovant dans de nombreuses disciplines telles que la physique, la chimie, les mathématiques, la technologie, ou encore les sciences de la vie et de la terre. Les projets ont été évalués par un jury selon plusieurs critères comme l’originalité, l’innovation, l’intérêt sociétal ou local, l’expérimentation, la démarche, la rigueur, la méthode, la communication et les partenariats réalisés.

Parmi les 110 projets présentés par les lycées cette année, 20 se sont démarqués, dont celui des lycéens de l’établissement Victor Hugo à Carpentras. Leur projet, intitulé « Projet Exoclok », a pour problématique le ‘suivi des éphémérides des exoplanètes en transit’. « Il est essentiel de saluer l’enthousiasme de ces jeunes qui, en tissant des partenariats avec des chercheurs et ingénieurs de leur région, présentent des projets d’une grande diversité disciplinaire, souligne Frédéric Restagno, physicien et président du comité scientifique du concours. Cette compétition offre une opportunité unique de stimuler le goût des élèves pour les sciences et les techniques, et pourquoi pas de susciter des vocations pour la recherche et l’industrie. »


Bruno Carbonari, ‘Pour un enseignement vivant et interactif’

Cette année, les Chorégies d’Orange toucheront plus de 2 000 élèves de la Région Sud, de la maternelle au lycée.

Les enfants du 1er degré bénéficieront d’une matinée de visite commentée au Théâtre antique en juin, tandis que les élèves du second degré auront rendez-vous avec le Requiem de Mozart. Enfin, après une année de préparation, des élèves se produiront, lors de ‘Pop the opera’ sur la scène de l’Auditorium du Thor samedi 24 mai et vendredi 13 juin au Théâtre antique ainsi que lors de l’émission Musiques en fêtes.

En savoir plus
‘Pop the opera-Choeur’ regroupe plus de 1 140 collégiens et lycéens issus de 34 établissements de la région académique Provence Alpes Côte d’Azur. Un travail à l’année conclu par 8 jours de répétitions étalés sur un an. ‘Pop the opera-Chœur’ se déroulera au Thor le 24 mai et à Orange le 13 juin, ainsi que lors de ‘Musiques en fête’, en juin et en direct sur France 3 et France Musique.

‘Pop the opera-danse’
Pop the opera-danse
présentera cette année ‘Breathe Breathe’ conduit par 144 collégiens et lycéens de la 5e à la seconde, issus de 7 établissements de la région académique de Provence Alpes Côte d’Azur, conclusion d’un travail mené sur un an et pour une production à Orange le 13 juin.

Sensibilisation des enfants et élèves
L’opération de sensibilisation à la scène, à la musique et au chant cible, cette année, 463 élèves issus de 22 classes de la petite section de maternelle au CM2, venus de 5 écoles du Vaucluse. Cette même opération, dévolue au second degré, enchantera 189 élèves de la 6e à la 3e venus de 5 collèges vauclusiens.


Bruno Carbonari, ‘Pour un enseignement vivant et interactif’

Le mercredi 10 juillet 2024, la Région Sud a organisé une cérémonie pour récompenser les 4.965 bacheliers de la région qui ont obtenu la mention « très bien » au baccalauréat 2024. 502 vauclusiens été concernés par ce cas de figure et ont pu participer à cette fête. 410 élèves du département sont issus d’un baccalauréat général, 28 d’un baccalauréat technologique et 64 d’un baccalauréat professionnel. Une bourse de mérite d’une valeur de 400 euros est attribuée à chaque élève ayant obtenu ce résultat significatif.

« Je salue la réussite des 4 965 bacheliers qui ont obtenu cette année la mention « Très bien ». Ces résultats montrent avant tout votre talent, vos efforts quotidiens pour mener à bien votre parcours et tout simplement votre envie de réussir. La Région Sud vous accompagne du lycée à votre entrée dans la vie professionnelle, elle vous transporte en train, en bus durant toute la durée de vos études, vous offre des aides en matière de culture, de santé, veille à votre équilibre alimentaire en vous proposant des produits locaux dans vos cantines. Et pour le bac, nous encourageons l’excellence en attribuant une Bourse au Mérite de 400 € à tous les bacheliers qui ont obtenu la mention « Très bien ». » a déclaré Renaud Muselier, président de la Région Provence-Alpes-Côte-D’azur lors de la cérémonie.

La Région agit pour l’éducation de ses jeunes  

Soucieuse de proposer les meilleurs outils possibles et les meilleures conditions d’accès au savoir et à la connaissance, la Région a mis en place son plan « Education d’avenir » en faveur des 195.000 lycéens du territoire. Ce dispositif, évalué à 1,2 milliards d’euros prévoit plusieurs actions sur une période de cinq ans et ce jusqu’en 2028, pour répondre à trois objectifs : -100% des lycées éco-responsables et tournés vers l’avenir climatique

-100% des lycées sécurisés physiquement et technologiquement face à toutes attaques

-100% des lycées rénovés et préparés aux exigences des décennies à venir

La bourse au mérite remise aux bacheliers ayant obtenu la mention « très bien » est une nouvelle preuve de l’accent mis par la Région sur l’éducation et sur l’encouragement à l’excellence. L’aide financière apportée à ces étudiants est adaptée à la situation personnelle et familiale de chaque bénéficiaire selon son statut de boursier ou non. Pour les boursiers, l’aide de 400 euros sera versée pendant 3 ans et pour les non-boursiers, la gratification de 400 euros est attribuée l’année d’obtention du baccalauréat.

Les dispositifs déjà mis en place par la Région

Depuis plusieurs années, la Région Sud s’est engagée sur plusieurs problématiques et sujets liées à l’éducation et aux établissements scolaires. L’inclusion et la lutte contre le harcèlement scolaire font également partie des priorités de l’institution dirigé par Renaud Muselier.

De nombreux dispositifs sont d’ores et déjà en vigueur pour offrir aux jeunes issus de tous les milieux, une égalité des chances et les meilleurs outils pour réussir. Parmi eux, on peut compter notamment : -la gratuité des manuels scolaires et livres numériques

le Pass ZOU ! : un abonnement de transport unique à 90 euros par an permettant aux jeunes de 3 à 25 ans de circuler à volonté sur les bus et trains du réseau régional ZOU !

le Pass santé jeunes : un accès gratuit, pour les jeunes de 15 à 26 ans qui donne accès à un ensemble de prestations dont un « coupon vaccination » pour se faire vacciner contre le papillomavirus.

le e-Pass jeunes : un ticket culture de 80 euros pour l’achat de livres, de places de cinéma, de spectacles ou des licences sportives.   


Bruno Carbonari, ‘Pour un enseignement vivant et interactif’

La 3ᵉ édition du Prix Régional ‘Pour en finir avec le Harcèlement scolaire’ a mobilisé de nombreux lycéens de la Région Sud. La remise des prix a eu lieu à Menton, où les élèves du lycée Val de Durance, à Pertuis, ont été récompensés.

Chaque année, ce prix encourage les lycéens ou leurs établissements scolaires de créer quelque chose, peu importe le support (vidéo, affiche, etc), ayant pour thématique la prévention et la lutte contre le harcèlement scolaire. L’objectif est de sensibiliser les jeunes tout en leur permettant de devenir acteurs de cette lutte.

De nombreux projets ont été soumis au vote du jury qui a remis trois prix dans la catégorie ‘vidéo’, trois prix dans la catégorie ‘affiche’, ainsi qu’un prix dans la catégorie ‘autres supports’. Pour cette dernière, ce sont les lycéens de Pertuis qui se sont démarqués avec leurs différentes activités autour du harcèlement scolaire, dont un jeu de cartes, un jeu de mots mêlés, ainsi qu’un mini-théâtre forum. À la fin de chacune de ses activités, les lycéens ont présenté un diaporama afin de développer et préciser ce qu’est le harcèlement scolaire et un questionnaire a été distribué afin de savoir si les élèves avaient bien assimilé certaines notions de l’intervention.


Bruno Carbonari, ‘Pour un enseignement vivant et interactif’

Depuis six ans, les Chorégies d’Orange proposent Pop the Opera, un temps unique et exceptionnel qui fait chanter des centaines de collégiens et de lycéens de toute la région Sud.

Dirigés par Jean-Marie Leau et encadrés par des musiciens professionnels, les jeunes vont, dans une ambiance festive, à la fois interpréter des grands airs d’opéra et d’opérette, faire vibrer les succès planétaires de la musique folk et même évoquer les plus grandes musiques de film. 

Plusieurs scènes sollicitées

Cette restitution d’un apprentissage de toute une année se fait sur plusieurs scènes, le Théâtre antique d’Orange, certes, mais également l’Auditorium Jean-Moulin du Thor où le public est invité à découvrir des vocations naissantes ce samedi 1er juin…

Samedi 1ᵉʳ juin. 16h. 10€. Salle Jean Moulin. Auditorium. 971 Chemin des Estourans. Le Thor. 04 90 33 96 80. www.vaucluse.fr


Bruno Carbonari, ‘Pour un enseignement vivant et interactif’

À l’occasion de la 77ᵉ édition du Festival de Cannes, qui a débuté le mardi 14 mai et s’achèvera ce samedi 25 mai, 31 élèves du Lycée Alphonse Benoit de l’Isle-sur-la-Sorgue ont pu monter les marches du Palais des Festivals ce samedi 18 mai.

Les lycées l’islois ont pu fouler le tapis rouge du Festival de Cannes ce week-end grâce au dispositif ‘Lycéens et Apprentis au cinéma’ de la Région Sud, piloté par Les Écrans du Sud, opérateur majeur de la Région en termes d’éducation à l’image.

En plus d’avoir pu rencontrer des professionnels du monde du cinéma sur le stand de la Région Sud, les jeunes vauclusiens ont assisté à la projection du film Caught by The Tides, un drame réalisé par Jia Zhangke. Le film est en compétition pour la Palme d’Or et pourrait succéder à Anatomie d’une chute, lauréat en 2023.


Bruno Carbonari, ‘Pour un enseignement vivant et interactif’

Le jeudi 11 avril, l’entreprise Enedis, filiale d’EDF, s’est rendue au sein du lycée Alphonse Benoît à l’Isle-sur-la-Sorgue afin de présenter les métiers de techniciens et chargés de projet aux lycéens vauclusiens issus des filières Sciences et Technologies de l’Industrie et du Développement Durable (STI2D), des BTS Électrotechniques ainsi qu’aux étudiants de la branche électricité et de ses environnements connectés (MELEC). 

Enedis poursuit ses missions d’initiation aux métiers techniques auprès des étudiants du Vaucluse. Après les opérations effectuées avec le collège Paul Gauthier, la structure spécialisée en gestion de réseau électrique s’est rendue le jeudi 11 avril au sein du lycée Alphonse Benoît, à l’Isle-sur-la-Sorgue, afin d’encourager les étudiants aux métiers d’Enedis. 

Cette initiative traduit la volonté de la filiale d’EDF de faire découvrir les métiers d’intervention polyvalent et chargé de projets. Pour cela, un programme de présentation a été proposé sur les missions effectuées par les métiers techniques ainsi que sur les offres d’alternance possibles au sein d’Enedis. Pour appuyer son offre, la structure a également mis en place un atelier pratique animé par des techniciens de l’entreprise. 

La théorie et la pratique 

Cet atelier pratique, qui a été offert aux étudiants l’islois par des professionnels d’Enedis, a permis de faire découvrir une partie des activités de leur quotidien au travail. Les élèves ont pu avoir une première expérience à travers une activité spécifique : la Recherche de Détection de Défaut. 

Accompagnés de leur camion, les techniciens ont pu faire étalage d’une démonstration de cette technologie de pointe qui permet aux techniciens de détecter les défauts des câbles souterrains en un temps extrêmement rapide tout en conservant une très grande précision. 

Enedis poursuit la présentation de ses métiers auprès des professionnels de demain 

Très engagé sur le département de Vaucluse, Enedis maintient son engagement auprès des établissements scolaires de son territoire. Ce n’est pas la première opération de ce type menée par la filiale d’EDF qui a déjà essayé cette formule au sein de l’établissement de la Salle à Avignon, mais également sur des bases opérationnelles d’Enedis de la cité papale lors de la participation d’élèves du collège Paul Gauthier de Cavaillon à des ateliers de découverte du métier de technicien travaux sous tension le 15 février dernier. 

Cette matinée d’échange avec les élèves s’inscrit dans cette démarche visant d’une part à former davantage de jeunes talents aux métiers d’avenir de la filière électrique et d’autre part à favoriser leur insertion professionnelle au sein d’Enedis. Pour faire face à une hausse de ses activités et répondre à un triple défi technique, technologique et écologique, Enedis sur les Bouches-du-Rhône, le Vaucluse, les Alpes-de-Haute-Provence et les Hautes-Alpes recrute cette année 160 personnes en CDI et alternance. 

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