Amplifon ouvre un nouveau centre auditif à L’Isle-sur-la-Sorgue
Amplifon, entreprise spécialisée dans l’appareillage auditif, renforce sa présence en Région Sud en ouvrant un nouveau centre à L’Isle-sur-la-Sorgue.
En s’implantant à L’Isle-sur-la-Sorgue, Amplifon souhaite consolider sa présence au cœur des territoires, en proposant des services de santé auditive accessibles à tous et proches des patients.
L’entreprise compte déjà plusieurs centres auditifs en Vaucluse, notamment à Avignon, Apt, Pertuis, Bollène, Orange, Vaison-la-Romaine et Sorgues. En s’implantant à L’Isle-sur-la-Sorgue en octobre dernier, Amplifon poursuit le renforcement de son réseau dans la région Provence-Alpes-Côte d’Azur.
L’équipe de L’Isle-sur-la-Sorgue pourra donc détecter les pertes auditives des patients, accompagner ces derniers dans le choix de solutions et dans l’évolution du déclin cognitif. « La couverture territoriale est un enjeu clé pour garantir un service de proximité en audioprothèse », affirme Pierre Ribeiro, directeur régional d’Amplifon en PACA.
La perte d’audition en chiffres : – Plus de 5% de la population mondiale, soit 430M de personnes, nécessitent des services de réadaptation pour traiter une perte auditive incapacitante (dont 34M d’enfants). – En France, on compte 7M de personnes sourdes ou malentendantes. – Une aide auditive de classe 1 coûte 1 346€ en moyenne (certains patiwnts peuvent bénéficier de la prise en charge intégrale depuis le 1er janvier 2021 avec la réforme 100% Santé).
Sources : OMS et ENSAO
Amplifon ouvre un nouveau centre auditif à L’Isle-sur-la-Sorgue
Les maladies d’hiver sont déjà de retour en France. L’occasion pour la délégation départementale de l’Agence Régionale de Santé (ARS) en Vaucluse de faire un point sur la vaccination dans le département.
Comme chaque année à l’approche de l’hiver, avec l’arrivée des pathologies respiratoires et rhino pharyngées telles que la grippe ou encore la bronchiolite, l’ARS lance sa campagne de vaccination.
L’occasion pour Loïc Souriau et Nadra Benayache, directeur et directrice adjointe de la délégation départementale de l’ARS en Vaucluse, d’évoquer les risques de la non-vaccination et les bons gestes à adopter.
Une couverture vaccinale insuffisante en Vaucluse
« Même si on a l’habitude des pathologies hivernales qui reviennent chaque année, ce sont des maladies qui peuvent avoir des conséquences graves sur la santé et qui peuvent créer des tensions au niveau du corps médical », affirme Loïc Souriau.
« La couverture vaccinale en Vaucluse est en dessous du niveau national. »
Loïc Souriau
En 2024, moins de 49% des personnes éligibles à la prise en charge totale de la vaccination par l’assurance maladie, à savoir les plus de 65 ans, les femmes enceintes, les personnes atteintes de maladies chroniques et le personnel de santé, ont bénéficié de la vaccination.
L’espoir d’une relance de la vaccination
Pour les personnes non éligibles à la prise en charge totale de la vaccination par l’assurance maladie, il est aussi possible de se faire vacciner pour une vingtaine d’euros (comprenant le coût du vaccin et celui de l’action vaccinale). L’ARS espère une relance de la vaccination en Vaucluse.
« 65% de la population vaccinée permettrait d’éviter la prolifération de la grippe. »
Loïc Souriau
L’ARS souligne tout de même une bonne couverture vaccinale chez les plus de 80 ans (80%). « Le vaccin n’est pas une solution miracle, mais protège tout de même d’une forme grave de la grippe qui peut entraîner une hospitalisation, voire un décès », rappelle le directeur de la délégation départementale. L’année dernière, les conséquences graves de la grippe ont particulièrement touché les moins de 5 ans et les plus de 65 ans.
Et le Covid-19 ?
Le Covid-19, quant à lui, est toujours présent. « On en a parlé début septembre au moment de la rentrée et on en reparlera sûrement pendant les vacances de fin d’années qui sont propices aux rassemblements familiaux intergénérationnels », ajoute Loïc Souriau. Les hôpitaux du territoire anticipent donc les tensions qui vont potentiellement subvenir à la fin de l’année avec l’ouverture de lits saisonniers, notamment à Avignon, Carpentras, Orange et Cavaillon.
Désormais, le vaccin, que ce soit pour le Covid-19 ou la grippe, est plus accessible puisqu’il peut être prescrit et administré par les pharmaciens (avec ou sans rendez-vous selon les pharmacies), infirmiers libéraux, médecins traitants, professionnels des établissements de santé et dans les EHPAD, ainsi que les sages-femmes.
Vers une meilleure couverture vaccinale ?
Chaque année, la délégation départementale de l’ARS en Vaucluse se questionne sur les solutions à apporter pour obtenir une meilleure couverture vaccinale sur le territoire. « Il faut lancer la campagne plus tôt sans trop anticiper car on risquerait de ne pas couvrir tout l’hiver », explique Nadra Benayache. L’année 2024 en est l’exemple parfait puisque l’épidémie a été forte et longue car elle est apparue tôt.
Ainsi, l’ARS axe sa communication sur la vaccination, mais aussi et sur les mesures de protection individuelle, à savoir le port du masque lorsqu’on a des symptômes, le lavage de mains fréquents mais aussi la distanciation sociale, notamment lors de rassemblements familiaux où il y a un risque accru de contaminations croisées.
La bronchiolite chez les jeunes enfants
Autre maladie hivernale qui inquiète : la bronchiolite. Les jeunes enfants de moins de deux ans sont les plus concernés par le virus respiratoire syncytial (VRS), qui entraine une atteinte pulmonaire et qui peut mener au décès de l’enfant. Il se transmet souvent au sein de la fratrie, dans les crèches et dans les écoles.
Depuis 3 ans, il existe un traitement prophylactique qui contient des anticorps pour aider l’enfant à réagir rapidement en cas d’infection. Lorsque l’enfant naît, le traitement est proposé immédiatement aux parents. Chaque année, plus de 90% des enfants nés en Vaucluse prennent ce traitement dès la naissance. « C’est un vrai succès de santé publique », conclut Loïc Souriau.
Amplifon ouvre un nouveau centre auditif à L’Isle-sur-la-Sorgue
À l’occasion du mois de sensibilisation aux cancers masculins, une grande conférence sur la prostate, se tiendra le 26 novembre à Avignon. Organisée par Sainte-Catherine et MProvence, cette soirée, ouverte à tous, propose de mieux informer les hommes et leurs proches sur le cancer de la prostate : son dépistage, sa prévention et les avancées thérapeutiques, un enjeu majeur de santé.
Le cancer de la prostate est le cancer le plus fréquent chez les hommes en France, avec près de 59 885 nouveaux cas estimés en 2018. Bien qu’il soit souvent de bon pronostic, il demeure la troisième cause de décès par cancer chez l’homme. L’âge joue un rôle clé : il est rare avant 50 ans, et, en moyenne découvert à partir d’entre 64 à 68 ans.
Essentiel diagnostic Selon les recommandations françaises, les pratiques de dépistage évoluent. En effet, la baisse récente du nombre de dosages de PSA (prostate-specific antigen) et de biopsies peut influer sur les taux d’incidence observés. Par ailleurs, 80% des cancers sont diagnostiqués alors qu’ils sont encore localisés dans la prostate, un facteur de bon pronostic essentiel. La survie nette à 5 ans pour les hommes diagnostiqués entre 2010 et 2015 est d’environ 93%.
Focus sur la région Provence-Alpes-Côte d’Azur et le Vaucluse En Provence-Alpes-Côte d’Azur, la proportion des cancers prostatiques chez les hommes est particulièrement marquée : selon l’ARS Paca (Agence régionale de santé), le cancer de la prostate représente 24,4% des cas masculins dans la région. Paradoxalement, malgré cette forte part, la mortalité régionale liée au cancer (toutes localisations confondues) est légèrement plus faible que la moyenne nationale. Cela pourrait s’expliquer par un diagnostic plus précoce et une prise en charge efficace, selon les chercheurs.
Aider le budget de la santé Concernant les dépenses de santé, l’Observatoire régional de santé Paca estime qu’en 2016, pour les hommes de 75 ans et plus vivant avec un cancer (y compris celui de la prostate), le coût moyen de soins s’élevait à 11 681 €/an. Ces chiffres soulignent l’enjeu économique local lié à la prise en charge du cancer chez les hommes âgés. À l’échelle régionale, la Région Sud-Paca a réagi : dans le cadre de son Plan Cancer II (2022–2025), plus de 5M€ ont déjà été mobilisés en 2024 pour la prévention, le dépistage et la recherche.
Pourquoi cette conférence Sainte-Catherine / MProvence est importante La soirée ‘Cancer de la prostate : comprendre, prévenir, agir’ qui se tiendra le 26 novembre à Avignon, à l’amphithéâtre de Sainte-Catherine, représente l’opportunité de briser le silence : le cancer de la prostate reste entouré de tabous, particulièrement sur le dépistage et la vie intime. Il est nécessaire d’informer de façon accessible : des experts : oncologues, radiothérapeutes échangeront sur le dépistage, les traitements, la qualité de vie. Il sera également question de mettre au jour les avancées sur le territoire : les prises en charge ont beaucoup évolué ces dernières années. Enfin, ce sera le moment d’encourager l’action : parce que le dépistage précoce fait toute la différence.
Dépistage versus sur-diagnostic Le PSA est utile, mais il peut conduire à des sur-diagnostics. Le débat sur son usage reste complexe. Les recommandations françaises mettent en avant une approche individualisée.
L’Équité territoriale de l’offre de soins : comme le montrait déjà un rapport de l’Assemblée nationale, les stratégies de traitement varient fortement selon les départements ; par exemple, le taux de prostatectomies radicales était plus bas dans le Vaucluse qu’ailleurs, lié à la répartition des équipements publics et privés.
Vie intime et qualité de vie Un diagnostic, un traitement (chirurgie, radiothérapie…) peuvent affecter la sexualité, la continence … il est essentiel d’en parler ouvertement.
Tout est dans la prévention Certains facteurs de risque sont bien identifiés : âge, antécédents familiaux, mais d’autres restent à approfondir, comme le rôle de l’environnement.
Dans le détail Cette conférence à Avignon sonne comme une invitation à la mobilisation collective autour d’un cancer très fréquent, mais qui peut souvent être pris tôt et bien traité. En sensibilisant, en dédramatisant, en donnant accès à des experts, Sainte-Catherine et MProvence ouvrent une voie vers une meilleure prévention en Provence, pour que chaque homme puisse agir en connaissance de cause. Parce que, comme le dit leur slogan, ne rien faire peut coûter cher… alors que l’information peut tout changer.
Les infos pratiques Mercredi 26 novembre 2025. 18h. Amphithéâtre de Sainte-Catherine, rue Baigne-pieds à Avignon. Entrée libre et gratuite. Inscription obligatoire ici. Avec la participation des experts de Sainte-Catherine les docteurs Nathalie Rouard, Oncologue radiothérapeute et Lysian Cartier, Oncologue radiothérapeute Et d’autres spécialistes des établissements de santé du territoire : Clinique Rhône Durance, Clinique Synergia, Centre Hospitalier d’Avignon et de nombreux autres organismes et partenaires. Dès 17h30 : Stands d’information & prévention. À 18h : Conférences et échanges ; Prévention, dépistage, traitements, vie intime, qualité de vie… Mireille Hurlin
Amplifon ouvre un nouveau centre auditif à L’Isle-sur-la-Sorgue
À l’occasion du mois de Movember, focalisé sur la santé masculine, l’Association Moriéroise des Artisans et Commerçants (AMAC) s’est associée avec le photographe Frédéric Sicard pour proposer une séance photo solidaire : une partie des bénéfices, 300€, a été versée à la cause Movember, afin de sensibiliser aux cancers masculins et à la santé mentale.
Le mois de novembre dévoile une mobilisation particulière dans la petite commune de Morières-lès-Avignon. La campagne Movember -contraction de moustache (mo) et de November – est née en Australie en 2003 et s’est imposée depuis comme un mouvement mondial de sensibilisation à la santé des hommes : cancers de la prostate et des testicules, mais aussi santé mentale et prévention du suicide.
Humaine dynamique L’AMAC, a décidé d’inscrire sa dynamique associative dans cet élan. Cette association locale, regroupant artisans et commerçants de la commune, œuvre depuis plusieurs années à valoriser le tissu économique de la ville et à développer des initiatives communautaires. Cette année, l’AMAC reconduit un partenariat avec le photographe Frédéric Sicard : connu dans la région, ce dernier œuvre au studio de portrait à Morières-lès-Avignon et se distingue par son regard artistique et professionnel.
Convivial et original Le principe est simple et ingénieux : les membres de l’AMAC sont invités à réserver une séance photo auprès de Frédéric Sicard. Une partie des bénéfices de chaque session est reversée à la cause Movember. Une façon originale et conviviale d’aborder un sujet grave -la santé masculine- sans lourdeur, tout en mobilisant la communauté locale. « Notre reconduction de ce partenariat avec Frédéric Sicard témoigne de notre engagement profond envers la santé de nos membres. Le shooting-photo est une manière originale et joyeuse d’aborder des sujets graves », déclare Ornella, présidente de l’AMAC.
Movember Les hommes de l’Amac Copyright Frédéric Sicard
La fragilité des hommes Sur le plan des enjeux, il ne suffit pas de souligner l’altruisme de l’initiative : les statistiques sont édifiantes. À l’échelle mondiale, les hommes décèdent en moyenne six ans plus tôt que les femmes. Par ailleurs, trois quarts des suicides concernent des hommes. Parallèlement, le cancer de la prostate, après celui du poumon, reste le cancer le plus fréquent chez l’homme, tandis que celui des testicules est le plus courant entre 15 et 40 ans. Dès lors, toute action de mobilisation participe non seulement à la collecte de fonds mais aussi à ‘faire parler’ et ‘faire agir’ deux leviers essentiels au renversement d’une tendance trop longtemps ignorée.
Un pas après l’autre Sur le terrain local, cette opération a permis de collecter 300€ à ce jour. Une somme modeste mais symbolique, qui encourage à poursuivre l’effort. Dans une commune où les artisans et commerçants sont les piliers du quotidien, leur engagement pour une cause de santé publique prend une dimension toute particulière. En mobilisant l’image -par l’intermédiaire du photographe- et le réseau de l’AMAC, l’initiative renforce la cohésion et rappelle que la prévention est l’affaire de tous.
Une invitation à la bienveillance À Morières-lès-Avignon, la moustache de Movember se glisse subtilement mais durablement dans le cadre professionnel et artisanal local. Grâce à l’AMAC et à Frédéric Sicard, l’événement prend un visage concret, et la santé masculine, trop longtemps taboue, gagne en visibilité et en soutien. Au-delà du cliché, c’est une invitation à agir, à discuter, à prévenir — et c’est peut-être là, pour chaque homme, le plus beau portrait à réussir. Mireille Hurlin
Amplifon ouvre un nouveau centre auditif à L’Isle-sur-la-Sorgue
Une initiative très originale a eu lieu ce jeudi 30 octobre en Courtine, dans le cadre d’Octobre rose et de la lutte contre le cancer du sein.
Une belle réussite qui a rassemblé plus de 200 invités, conçue en partenariat avec M. Eric Dupressoire Président du Groupe IFC aux côtés de Maêlys Przydatek étudiante en BTS communication à l’initiative du projet.
Une collecte très généreuse qui aura permis de récolter une belle cagnotte entièrement reversée aux projets de l’institut avignonnais.
Amplifon ouvre un nouveau centre auditif à L’Isle-sur-la-Sorgue
Une soirée de gala solidaire sera organisée à Carpentras le vendredi 5 décembre prochain au profit de l’association des Amis des maladies inflammatoires chroniques de l’intestin (AMICI Ventoux). Il reste encore quelques places.
Le début du mois de décembre sera sous le signe de la solidarité avec une gala solidaire organisé par l’association AMICI Ventoux. « Ce sera l’occasion pour nous de faire connaître l’association mais aussi de récolter des fonds pour qu’elle puisse continuer de fonctionner », explique Dr Baya Coulibaly, gastro-entérologue, mais aussi président d’AMICI Ventoux.
Les convives pourront profiter d’un dîner organisé par le restaurent carpentrassien Chez Serge ainsi que d’une animation musicale. Les Compagnons des Côtes du Rhône et l’AOC Ventoux seront aussi de la partie. En plus de la participation qui s’élève à 110€, une vente aux enchères sera organisée afin de récolter davantage de fonds.
Il reste encore une dizaine de places. Pour vous inscrire, cliquez ici.
Une association qui accompagne au-delà du suivi médical
Fonctionnelle depuis seulement un an, l’association AMICI Ventoux est composée de plusieurs professionnels de santé du département qui accompagnent gratuitement les patients atteints de la maladie de Crohn et de rectolite. « Ce sont des maladies auto-immunes qui touchent le tube digestif et qui provoquent chez les patients des douleurs abdominales et de la diarrhée, soit de façon continue, soit de façon intermittente et intempestive », explique le président de l’association.
« On va plus loin que le suivi médical, on offre un suivi global. »
Dr Baya Coulibaly
Ces symptômes, qui sont la plupart du temps handicapants pour les patients, peuvent être contrôlés par des immunosuppresseurs, mais qui peuvent, eux, créer d’autres complications. « Notre rôle, au sein de l’association, c’est d’accompagner au mieux ces patients et d’améliorer leur prise en charge, ajoute le médecin. On fait ce qu’on appelle de l’éducation thérapeutique, c’est-à-dire qu’on essaye de donner des clés aux patients pour mieux vivre avec la maladie. »
Les maladies inflammatoires chroniques de l’intestin en chiffres (MICI) : – Environ 300 000 Français en sont touchés aujourd’hui, et environ 3 000 Vauclusiens. – D’ici 20 ans, plus d’1% de la population sera touché, soit autour de 600 000 personnes. – La maladie de Crohn représente environ 60% des MICI et la rectolite 40%. – Le risque de cancer colorectal associé aux MICI est multiplié par 2 à 2,5 après 10 ans d’évolution de la maladie et jusqu’à 5 après 30 ans d’évolution.
Source : Fondation pour la Recherche Médicale
Amplifon ouvre un nouveau centre auditif à L’Isle-sur-la-Sorgue
Le service de prévention et de santé au travail AIST 84 organise la conférence ‘Donner du sens au travail, comment trouver les clés d’engagement pour vos collaborateurs ?’ ce jeudi 23 octobre à Avignon.
Ce jeudi, Catherine Testa, experte reconnue sur le sujet des enjeux de qualité de vie au travail et d’engagement des collaborateurs, donnera une conférence pour les adhérents de l’AIST84 qui, pour la première fois, ont choisi le thème de l’événement. Une façon pour le service vauclusien de prévention et de santé au travail d’affirmer son ambition d’être plus qu’un partenaire de santé au travail, et son engagement auprès des entreprises et de leurs collaborateurs pour les accompagner face aux enjeux humains d’aujourd’hui et de demain.
Dans un contexte où, selon Gallup, 92% des salariés ne se sentent pas pleinement engagés et où l’absentéisme, les arrêts maladie prolongés ou le burn-out augmentent, Catherine Testa partagera son expertise, ses analyses et des pistes d’action concrètes pour aider les entreprises à trouver un nouvel équilibre entre performance, bien-être et valeurs.
Pour plus d’informations, cliquez ici. Jeudi 23 octobre. 18h30. Espace Jeanne Laurent. Montée Jean XXII. Avignon.
Amplifon ouvre un nouveau centre auditif à L’Isle-sur-la-Sorgue
La marque de cosmétiques française Mixa s’installe au Pontet le temps d’une journée ce samedi 25 octobre pour délivrer des conseils en matière de soin et de dermatologie.
« Dermato, 100 jours d’attente, zéro solution : Mixa prend le relai ! » Tel est le slogan de la deuxième édition de la tournée nationale ‘Zones sensibles’ de Mixa qui a pour objectif de palier l’attente des rendez-vous délivrés par les dermatologues. Ainsi, du 14 octobre au 1er novembre, la marque de cosmétiques se rend dans les territoires les plus touchés par l’absence de soins dermatologiques.
La tournée fera une escale en Vaucluse. Ce samedi, Mixa installera son pop-up sur le parking du centre commercial Aushopping Avignon Nord au Pontet. Dans cet espace éphémère, les Vauclusiens pourront bénéficier de diagnostics gratuits et de conseils personnalisés, et ils repartiront avec des cadeaux. De nombreuses animations immersives seront aussi prévues.
« Cette initiative renouvelée vise à offrir un accompagnement dermo-cosmétique de proximité, dans un contexte où on ne sait pas toujours quel produit choisir et qu’il faut parfois surveiller son budget », explique Mixa qui propose cette tournée dans un contexte marqué par la pénurie de dermatologues.
En 2024, 8 000 diagnostics de peau personnalisés ont pu être donnés, et 43 000 échantillons de produits Mixa ont été offerts. Les experts de la marque seront présents pour écouter chaque visiteur, ses problématiques de peau et ses envies en matière de soins.
La dermatologie en France en chiffres : – Près de 3 000 dermatologues en 2023, soit -10% en 10 ans. – Près de 30% de dermatologues de plus de 60 ans (contre 11% en 2007) et 44% de 55 ans et plus. – 3,4 de dermatologues pour 100 000 habitants en France. – Plus de 3 mois en moyenne pour obtenir un rendez-vous chez un dermatologue (104 jours en 2023 contre 41 jours en 2012).
Sources : Syndicat National des Dermatologues-Vénéréologues, Conseil National de l’Ordre des Médecins, Sanofi.
Amplifon ouvre un nouveau centre auditif à L’Isle-sur-la-Sorgue
L’association Amaé Mass’ages, implantée à Roquemaure depuis 2023, organise les 11 et 12 octobre son tout 1er ‘Salon du bien-être et de la santé au naturel’. Une manifestation gratuite, conviviale et riche en découvertes, qui réunit près de 50 exposants et propose conférences, ateliers, spectacles et pauses gourmandes dans un esprit de partage et de ressourcement. Le programme détailléici.
C’est une première qui a tout d’une évidence. Dans une époque où le besoin de ralentir, de prendre soin de soi et de se reconnecter à l’essentiel se fait de plus en plus pressant, l’association roquemauroise Amaé mass’ages a su capter l’air du temps. Née en février 2023, cette jeune structure portée par une équipe de bénévoles engagés œuvre avec cœur pour faire connaître les approches psychocorporelles et énergétiques liées à la détente et au mieux-être.
Des pratiques variées À travers des pratiques variées : massages bien-être, sonothérapie, chant vibratoire, ateliers créatifs et sensoriels en EHPAD (Etablissement d’hébergement pour personnes âgées dépendantes) ou pour les plus jeunes l’association déploie une vision humaine et accessible de la santé au naturel. Et cette vision prend aujourd’hui une nouvelle ampleur avec l’organisation de son premier salon du bien-être et de la santé au naturel.
Un engouement bien réel Accueilli dans la spacieuse salle La Cantarelle, mise à disposition par la mairie de Roquemaure, ce salon regroupera 47 exposants venus de la commune et des alentours : thérapeutes, praticiens, créateurs, artisans du soin de soi… tous engagés dans des démarches respectueuses du corps, de l’esprit et de l’environnement. À tel point que, faute de place, une quinzaine de candidatures ont dû être déclinées, signe de l’attente d’un tel rendez-vous sur le territoire.
Des conférences et des ateliers Tout au long du week-end, des conférences et ateliers gratuits viendront nourrir la curiosité des visiteurs : découvertes de techniques, échanges d’expériences, démonstrations… Un programme éclectique et de qualité qui saura satisfaire aussi bien les initiés que les néophytes. Le programme en détail ici.
Une attention toute particulière au jeune public Parce que le bien-être n’est pas réservé aux adultes, l’association a veillé à réserver une place de choix aux enfants. Deux spectacles musicaux seront donnés le samedi après-midi, et des ateliers sensoriels et créatifs leur seront proposés dans un espace dédié, propice à la détente et à l’expression libre. Un coin dessin permettra également aux plus jeunes de se poser en toute tranquillité, pendant que les grands iront d’un stand à l’autre.
Gourmandises, partages et tombola solidaire Sur place, les visiteurs pourront profiter d’une restauration savoureuse,simple et locale, à l’heure du déjeuner, ainsi que depâtisseries maison, crêpes et douceurs proposées tout au long de la journée. Une buvette viendra compléter l’offre pour les petites soifs et les grandes discussions. Et pour ajouter une touche festive à l’ensemble, une tombola (2€ le ticket) permettra de remporter plus de 60 lots offerts par les exposants et les commerçants du territoire. Deux tirages sont prévus, l’un samedi, l’autre dimanche en fin de journée. Un véritable souffle de bienveillance soufflera ce week-end là sur Roquemaure, grâce à l’énergie collective d’une association décidée à faire rimer santé avec humanité.
Les infos pratiques 1er Salon du bien-être et de la santé au naturel. Le salon ouvrira ses portes samedi 11 et dimanche 12 octobre de 10h à 18h, en accès libre. Entrée, conférences, ateliers et animations sont gratuits, dans un souci d’inclusivité et d’accessibilité. Salle La Cantarelle, route de Nîmes, à côté de la piscine à Roquemaure. Contact amaemassages@gmail.com 06 68 53 02 37 et amaesalonbienetre.roquemaure@yahoo.com. Le programme en détail ici.