18 août 2025 |

Ecrit par le 18 août 2025

Trois communes vauclusiennes au palmarès des 257 villes internet françaises

Carpentras, Courthézon et Monteux figurent parmi les 257 collectivités françaises à apparaître dans le palmarès 2023 des ‘Territoires,villes et villages internet’ qui vient d’être dévoilé lors d’une cérémonie de remise de prix qui s’est tenue à Albi. Placée sous le haut patronage du président de la République, cette distinction est remise depuis 1998 par l’association ‘Villes internet’ qui s’est donnée pour mission d’accompagner le déploiement des politiques publiques numériques locales.

Figure de proue de cette excellence numérique départementale, avec ses 5 @@@@@ Carpentras décroche le niveau le plus élevé de ce label récompensant chaque année les collectivités qui œuvrent significativement pour la démocratisation des technologies de l’information et de la communication et de leurs usages citoyens.
Longtemps classée avec 4 @@@@ la cité comtadine s’est notamment distingué dans le cadre du ‘Numérique éducatif’ qui lui a permis d’obtenir une mention spéciale du jury dans ce domaine. Carpentras étant l’une des trois villes hexagonales à se voir octroyer cette distinction.
« Avec plus d’une centaine d’actions recensées (ndlr : 103 exactement) cette distinction récompense l’excellence de nos services numériques », explique la commune dont l’élu au numérique, Jaouad Ziati, était présent lors de la cérémonie pour représenter Carpentras.

Dans le même temps, Monteux obtient un @ supplémentaire pour atteindre les 4 @@@@. Ainsi, après avoir décroché un arobase en 2014, Monteux a en reçu 3 en 2015 et a renouvelé cette distinction jusqu’en 2022 avant d’atteindre les 4 aujourd’hui. Pour cela, la municipalité a par exemple investi 148 284€ pour équiper 33 classes de tableaux blancs interactifs dans toutes les classes élémentaires des écoles publiques de la commune. En tout, Monteux totalise 51 actions autour du numérique.

Enfin, Courthézon, où le jury du palmarès des Territoires, villes et villages internet a comptabilisé 46 actions autour du numérique, obtient, à nouveau, la note de @@@@.
En tout, 22 communes ont été récompensées en Provence-Alpes-Côte-d’Azur et 16 en Occitanie.
Une fois obtenu, le label peut être affiché en entrée de ville et dans les supports de communication.

Retrouvez ci-dessous la cérémonie de la 24e édition du palmarès des Territoires, villes et villages internet qui vient de se tenir à Albi


Trois communes vauclusiennes au palmarès des 257 villes internet françaises

La société BLR Aviation, située à Entraigues-sur-la-Sorgue, est spécialiste des drones depuis 11 ans. Aujourd’hui, l’entreprise enclenche la vitesse supérieure et se tourne vers les eVTOL, des aéronefs électriques à décollage et atterrissage vertical, autrement dit des voitures volantes.

Le marché de la mobilité aérienne urbaine grandit chaque jour et est estimé à plus de 17 milliards de dollars d’ici 2030, dont 30% en Europe. Les technologies évoluent à vitesse grand V. Aujourd’hui, les drones sont de plus en plus imposants et ils permettent le transport de charges de plus en plus lourdes telles que les marchandises ou même les personnes. Alors, est-il si audacieux d’imaginer un futur proche où les voitures volantes existent ?

BLR Aviation vient de concevoir un prototype informatique de voiture volante. Ce dernier est un véhicule hybride qui fonctionne sur batteries électriques. Il pourrait transporter 2 personnes, ou jusqu’à 250 kg de charge utile, avec une masse maximale de 550 kg. Il est composé de quatre bras équipés de deux moteurs monopales chacun. Ces bras se déploient pour permettre à la voiture de décoller. De nombreux tests ont été réalisés afin de collecter diverses données sur l’aérodynamisme du prototype, sur la résistance de ces matériaux, etc. Ces tests étaient nécessaires pour que la Direction générale de l’aviation civile (DGAC) homologue l’engin.

Quelles spécificités aura cette voiture volante ?

« Nous voulons vendre un modèle très haut de gamme, en série limitée, annonce directement Azouaou Ghezali, directeur technique. La volonté de BLR Aviation est de faire du sur-mesure. » Pour ce faire, l’entreprise a fait le choix de concentrer son savoir-faire sur le chassis du véhicule.

Ainsi, la voiture volante BLR Aviation sera équipée d’un châssis monocoque fait entièrement de carbone. Il sera donc léger et très résistant. De plus, il sera autoextinguible, c’est-à-dire qu’il pourra brûler dans un feu, mais qu’il s’éteindra tout seul une fois sorti des flammes. Il sera également insubmersible et équipé de multiples systèmes de sécurité pour permettre de transporter des passagers, mais également d’assurer des missions à risque comme la lutte contre les incendies ou des interventions sur des zones difficiles d’accès.

Les équipements de la voiture volante seront variables en fonction de son utilisation. Il sera possible d’y ajouter un brancard par exemple, ou encore système de largage de retardant pour un véhicule pompier ou un système d’épandage pour un véhicule agricole. Les engins pourront voler entre 45 à 120 minutes selon les modèles.

Un projet pour l’humain et pour l’économie

« Notre projet est porteur de sens car il répond dans ses déclinaisons à de nombreux problèmes », explique Benoit Fahy, responsable administratif et financier. En effet, l’engin pourra avoir de multiples fonctions : évacuer des blessés, transporter des organes, lutter contre les feux de forêt ou les incendies en hauteur, éviter la saturation du trafic automobile dans les grandes métropoles, et bien d’autres.

« Notre entreprise a vocation à se développer très rapidement et à vendre dans le monde entier. »

Benoit Fahy

De plus, cette nouvelle technologie permettra la création de nombreux emplois en Vaucluse et plus largement dans la Région Sud. L’équipe de BLR Aviation devrait bientôt en compter dix personnes. « Compte tenu du marché qui s’ouvre, l’entreprise a vocation à atteindre la centaine de collaborateurs », affirme Damien Blairon, le fondateur. Le Département et la Région apportent d’ailleurs le soutien à l’entreprise dans sa recherche de fonds et de subventions. « Nous visons a minima 3 millions d’euros en fonds propres, idéalement apportés par des entrepreneurs souhaitant partager leur expérience au sein de notre comité stratégique.

De gauche à droite : Damien Blairon (fondateur), Azouaou Ghezali (directeur technique et recherche), Kevin Hugues (directeur energie). ©BLR Aviation

Où en est le projet ?

Pour lancer son projet, Damien Blairon s’est associé à un investisseur qui a apporté 300 000€ pour financer la recherche et le développement. C’est ainsi que Damien a pu embaucher son directeur technique : Azouaou Ghezali. L’équipe a pu aménager un local de 280 m² comprenant une salle de réunion et un bureau d’étude, un atelier de production, et un espace de stockage. Cet investissement a également permis à la société de s’équiper de matériel de découpe spécifique au carbone, de four, de pompe à vide, ou encore de stock de matériaux composites.

Aujourd’hui, le prototype informatique de la voiture volante commence à prendre forme, notamment avec la finalisation du maître moule du châssis monocoque. Pour parvenir à l’étape suivante de commercialisation de ses appareils, BLR Aviation lance une seconde levée de fonds de 6 millions d’euros.

Le moule du châssis. ©BLR Aviation

Trois communes vauclusiennes au palmarès des 257 villes internet françaises

Avant l’ère d’Internet et la « digitalisation » de l’économie, la vitesse d’adoption d’une innovation se heurtait aux contraintes physiques liées à sa production et distribution à grande échelle. Il était d’abord nécessaire de réunir plusieurs millions de fonds en capital, une usine, de la main-d’œuvre et des stocks de matières premières. Ensuite, une fois le produit prêt à être vendu, il fallait encore investir dans la publicité et développer les canaux de vente, afin d’avoir une chance de le voir un jour se démocratiser.

Même pour le cas des innovations les plus révolutionnaires, l’adoption auprès d’une large frange de la population nécessitait plus d’une dizaine d’années. Il a par exemple fallu un demi-siècle pour que le téléphone fixe soit utilisé par 50 millions de personnes, 22 ans pour la télévision ou encore 12 ans pour le téléphone portable, selon des données rapportées par Visual Capitalist.

Mais à l’ère du numérique, la production de biens et de services ne tient parfois qu’à un simple morceau de code informatique pouvant être répliqué ou réutilisé indéfiniment à un coût marginal proche de zéro. Dans ce nouveau monde, l’innovation peut se propager comme une trainée de poudre. Facebook a par exemple atteint le seuil des 50 millions d’utilisateurs 3 ans après son lancement, Instagram moins de 2 ans et le service de streaming vidéo Disney+ seulement 5 mois.

Le record mondial de vitesse d’adoption revient à l’application indienne de traçage du Covid-19, Aarogya Setu, qui a atteint 50 millions d’utilisateurs en l’espace de 13 jours en 2020, battant le précédent record établi par Pokémon Go en 2016 (19 jours).

De Tristan Gaudiaut pour Statista


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La jeune entreprise avignonnaise Brad et l’association Semailles, également basée au sein de la cité des papes, ont décidé d’unir leurs forces en implantant deux sondes connectées au milieu des salades pour analyser les données du sol et de l’air où elles sont plantées.

Depuis 1997, l’association Semailles favorise l’insertion professionnelle au travers de l’exploitation de 16 hectares de terres en maraîchage bio et la mise en œuvre d’actions d’éducation à l’environnement et au développement durable. Dans cette même dynamique de respect de l’environnement, la société Brad a décidé de s’allier à l’association.

La startup Brad élabore des sondes autonomes connectées qu’elle implante au cœur des parcelles et dont elle récolte les données via l’application mobile ‘Brad Dashboard’. Cette dernière permet de voir en temps réelle la qualité de l’environnement des parcelles dans le but de faire une transition vers une agriculture plus respectueuse de l’écosystème aérien et souterrain. Les données regroupent notamment l’humidité et la température du sol et de l’air, la pression atmosphérique, ou encore les points de rosée.

C’est ainsi qu’une collaboration entre les deux entités est née avec la pose de deux sondes au sein des plantations de salades. L’association Semailles pourra donc tester plusieurs techniques différentes afin d’évaluer la performance de ses cultures et retenir, à terme, celle qui est la plus adaptée.

V.A.


Trois communes vauclusiennes au palmarès des 257 villes internet françaises

Nous faisions le portrait de ce duo de choc il y a quelques mois. Le premier robot de désinfection autonome et intelligent, fonctionnant aux UV-C et conçu en France par ‘Désinfection technologie solution‘ vient de dévoiler ses courbes.

Après six mois de recherche et développement, Adam Jelila et Mattéo Boso viennent de présenter leur dernier bébé en vidéo. Les deux entrepreneurs et leur équipe de talents nichée à Avignon, permettent grâce à l’Intelligence artificielle (IA), d’éradiquer les virus et bactéries dans l’air et sur les surfaces exposées. Leur dernier robot entend bien révolutionner le marché en désinfectant un panel de lieux différents : bureaux, administrations, ERP, magasins… Le résultat est de taille, jusqu’à 99,99% d’efficacité contre les pathogènes et notamment la Covid-19.

Un condensé de technologies. Le robot se balade tout seul dans les pièces à désinfecter, il détecte la présence humaine, il suit les taux de polluants (CO2, Covs..), il se comporte différemment selon les pathogènes à nettoyer… et bien plus. Une révolution proposée à moins de 10.000€, alors même que les robots concurrents hors de France peuvent dépasser les 150.000€. Découvrez toutes les fonctionnalités de ce bijou technologique dans la vidéo qui suit :


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Voilà une collaboration qui fait grand bruit. Ce mardi 16 novembre, il y avait foule au Laboratoire souterrain à bas bruit de Rustrel (LSBB). Ce site, au cœur de l’une des rares zones de grand calme électromagnétique en Europe, célébrait de nouvelles installations et coopérations.

Le site, ancien poste de commandement des missiles du plateau d’Albion, fédère aujourd’hui la recherche, l’industrie, les collectivités, et accueille « sans bruit » les plus grands chercheurs. Le labo est aujourd’hui à la pointe de la recherche sur la sismologie, la géomécanique, les ressources hydriques, la santé ou l’environnement.

L’occasion pour le CNRS (représenté par Antoine Petit) et Avignon Université, qui assurent la tutelle du site, de signer une convention avec l’entreprise pertuisienne ‘Winlight system’ (représenté par Philippe Godefroy), fournisseur de la NASA, leader mondial de la production d’optiques de haute performance. La journée était également l’occasion d’inaugurer les réalisations du projet LSBB 2020 (modernisation du site) et de la première section de l’Equipex MIGAZ.

« Nous abritons ici, en Vaucluse, au cœur du Pays d’Apt, un laboratoire remarquable et remarqué. Il rayonne à l’international, attire des talents, innove, réalise des performances, noue des partenariats et trouve des synergies : tout ça me parle, je crois dans le Vaucluse et son pouvoir d’attractivité », déclare Dominique Santoni, en présence du Préfet Bertrand Gaume, de Bernard Kleynhoff, président de la Commission développement économique de la Région Sud, de nombreux élus, partenaires industriels et institutionnels.

Au sujet de ‘Winlight system’ : Un peu de Pertuis sur le sol de Mars

Dominique Santoni, présidente du Conseil départemental de Vaucluse. Crédit photo: Conseil départemental de Vaucluse

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Avec le développement des réseaux mobiles à très haut débit, le smartphone est devenu le premier support pour surfer sur le Web afin de s’informer, communiquer et se divertir. Et cette tendance s’est renforcée avec les confinements qui se sont répétés l’an passé. Ainsi, d’après les derniers chiffres de l’OCDE cités par BFMTV, l’utilisation des données mobiles a bondi de plus de 30 % en moyenne en 2020 dans les 35 pays membres de l’organisation mondiale. Comme les années précédentes, c’est la Finlande qui sort championne de la consommation de données, avec un total mensuel de 31 gigaoctets (Go) par abonnement.

Et si les Finlandais sont aussi gourmands en données mobiles, c’est en grande partie parce qu’une majorité d’entre eux a accès à un forfait illimité. En effet, dans ce pays, 65 % des consommateurs ont déclaré disposer de données illimitées au cours de l’année passée, selon la dernière enquête du Statista Global Consumer Survey. Il s’agit, et de loin, de la proportion la plus élevée dans les quinze pays étudiés. Les forfaits mobiles illimités sont également relativement répandus en Suisse (53 % des consommateurs) et aux États-Unis (46 %).

Comme le suggère notre graphique, l’accès aux données mobiles reste néanmoins très inégal d’un pays à l’autre. Parmi les pays à haut revenu les moins bien lotis en la matière, on peut notamment citer l’Allemagne et le Canada, où à peine un consommateur sur cinq dispose de plus de 12 Go de données par mois selon l’étude. Quant à la France, elle se classe plutôt dans le haut du panier, avec 55 % des personnes interrogées déclarant avoir un forfait mobile proposant plus de 12 Go mensuel (dont 16 % en illimité).

Tristan Gaudiaut, Statista


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Intégré pour la première fois sur un téléphone mobile par Samsung (commercialisé en Corée du Sud en juin 2000), l’appareil photo est aujourd’hui l’une des fonctions les plus utilisées sur un smartphone. Grâce à des capteurs d’image de plus en plus petits et de meilleure qualité, ainsi qu’à la puissance de calcul toujours plus grande des appareils, les photos prises sur les smartphones modernes se rapprochent de plus en plus de la qualité autrefois réservée aux appareils photo à objectif interchangeable.

Et cela ne concerne plus seulement le haut de gamme du marché des smartphones. En effet, au cours des dernières années, les appareils photo des smartphones se sont globalement considérablement améliorés. À tel point que de nombreuses personnes ne voient plus la nécessité de transporter ou d’acheter un appareil photo. Bien sûr, les professionnels et les passionnés de photographie obtiendront (probablement) toujours de meilleurs résultats en utilisant des appareils dédiés et des objectifs haut de gamme, mais les smartphones modernes prennent aujourd’hui des photos dont la qualité suffit largement aux exigences du consommateur lambda.

Pour l’industrie des appareils et équipements photographiques, l’essor de la photo sur smartphone a eu des effets dévastateurs, comme le met en évidence notre graphique. Selon le CIPA, un groupe industriel basé au Japon et dont les membres sont notamment Olympus, Canon et Nikon, les ventes mondiales d’appareils photo numériques ont chuté de 93 % entre 2010 et 2020, annihilant plusieurs décennies de croissance pour les fabricants. Après une explosion des ventes au début des années 2000 et un pic atteint à 121 millions d’appareils vendus en 2010, le marché mondial ne pesait plus que 10 millions d’unités en 2020. Ce déclin brutal est principalement dû à l’effondrement des ventes d’appareils numériques à objectif intégré, un équipement sur lesquels les photographes occasionnels comptaient beaucoup avant l’essor des smartphones.

Tristant Gaudiaut, Statista


Trois communes vauclusiennes au palmarès des 257 villes internet françaises

Parti d’un besoin personnel pour protéger les grands-parents d’un des fondateurs, Andrea Pozzo et Matteo Gachon ont développé un outil de veille capable de comprendre et d’identifier des situations à risques chez des personnes âgées isolées. L’Auxiliaire nocturne de la start-up aptésienne ‘EEC technologies’ veille sur les résidents, comprend leur évolution et aide à administrer l’établissement.

Armés uniquement d’un Bac, ce projet a poussé les deux amis à apprendre le développement et la programmation en ligne. C’est en 2021 qu’ils fondent l’entreprise après leur incubation chez l’incubateur Camina dont ils sont les lauréats en 2019. À qui s’adresse la solution d’’EEC technologies’ ? Aux familles qui cherchent une solution de maintien à domicile et à tous les centres d’accueil pour personnes en difficulté d’autonomie souhaitant anticiper et détecter les anomalies.

En Ehpad, la majorité des chutes surviennent la nuit, dans les espaces privatifs. Pendant cette période, les effectifs sont fortement réduits et les chutes sont difficiles à détecter. « Nous proposons un outil facile à installer, qui s’adapte aux méthodes de travail et qui ne demande aucune action pour fonctionner. » Une intelligence logicielle anticipe les risques, en prévenant la famille des changements d’habitudes constitutifs d’un glissement vers la dépendance et prévient l’entourage direct en cas d’urgence. Le dispositif respecte la vie privée puisqu’il n’intègre ni micro, ni caméra.

Prévenir

Lorsque les résidents se réveillent la nuit, ils n’ont pas toujours l’agilité d’appuyer sur l’interrupteur pour allumer la lumière. « Nous avons décidé d’agir sur l’environnement en éclairant automatiquement son chemin, dès le lever. »

Détecter

« On estime à 50% le nombre de chutes nocturnes qui ne sont pas repérées. Un maintien au sol de plus de 45 minutes provoque de sérieuses conséquences sur la santé, même s’il s’agit d’une chute lente. Pour éviter ces complications, nous prévenons immédiatement les équipes afin qu’elles puissent être au bon endroit, au bon moment. »

Comprendre

L’interface de gestion est simple d’utilisation pour comprendre les changements d’habitudes des résidents et anticiper les soins à apporter. « Avec cet outils, la qualité de l’air dans l’établissement peut être contrôlée afin de réduire la circulation des maladies et les reports de température automatisés. » L’avantage de la solution est l’indépendance du dispositif, sa facilité d’installation, son autonomie : il n’a pas besoin d’internet ni de travaux. C’est l’intelligence artificielle qui s’adapte au lieu et à la personne bénéficiaire.

Informations pratiques : 12 place Jules Ferry, 84400 Apt. https://eec-technologies.fr/

https://www.echodumardi.com/tag/technologie/page/2/   1/1