20 mai 2024 |

Ecrit par le 20 mai 2024

31% des Français refusent de porter un masque au bureau

A quelques jours de la première phase du déconfinement, Deskeo, société de solution immobilière complète pour les entreprises, a voulu savoir comment les Français vont s’organiser pour leur retour au travail. Près de 3 000 professionnels ont répondu à cette enquête* qui montre que cette période de transition s’annonce délicate.

Un déconfinement en déconfiture ?

Les Français sont bien loin d’avoir choisi la date de leur retour au bureau. En effet, plus de 43% des personnes interrogées ne savent pas encore à quelle date elles vont sortir du confinement. Seulement 9% profiteront du 11 mai pour retourner sur leur lieu de travail, soit le pourcentage le plus faible par rapport aux autres dates possibles : 11% à partir du 18 mai et 15% à partir du 25 mai. A noter que 22% déclarent être déjà retournées au bureau.

Le salaire de la peur

En pleine période d’incertitudes, 8 Français sur 10 (79%) sont inquiets à l’idée de retourner au bureau. Un sentiment davantage partagé par les femmes (83%), encore plus soucieuses que leurs homologues masculins (74%).

« Je marche seul(e) ! »

En ce qui concerne les moyens de transport qui seront utilisés pour retourner au bureau, même constat : 68% des Français ne savent pas encore comment ils vont se déplacer. On observe tout de même une première tendance, les sondés voudront éviter à tout prix les transports en commun (4%) et le covoiturage (1%) pendant la phase de déconfinement. À l’inverse, ils privilégieront les moyens de transport individuels : 18% des Français viendront au bureau seul, que ce soit à pied, à vélo ou en véhicule motorisé.

Haut les masques ?

La vie au bureau sera bien différente après le confinement et certaines pratiques comme le port du masque risque d’être en vogue. La grande majorité des Français sera donc équipée d’une protection au niveau du visage mais là encore les usages seront différents : 25% porteront un masque toute la journée contre 34% en présence d’autres personnes uniquement. On note également que près d’1 Français sur 3 (31%) refusera de porter un masque au bureau.

Réunionite aigüe

S’il y a bien un endroit où il est difficile d’être seul, c’est en réunion. Ainsi, 21% des personnes interrogées déclarent qu’elles refuseront d’assister à des meetings physiques au travail. Les 79% majoritaires pourront se réunir sous certaines conditions : 26% si la distanciation sociale de 1,5 mètre est respectée, 36% si toutes les personnes portent un masque et 5% si un contrôle a été effectué sur les participants. Enfin, 12% n’auront pas de prérogatives particulières pour assister à une réunion. 

Oui au télétravail, mais combien de temps ?

Si les Français ont eu l’occasion de s’habituer au télétravail depuis le 17 mars, 22% d’entre eux attendent avec impatience d’en finir avec le travail à distance. Malgré tout, une écrasante majorité des sondés (78%) préféreraient continuer à télétravailler pendant cette phase de déconfinement. Dans le détail, un Français sur deux (48%) aimerait continuer à travailler à domicile la majorité du temps jusqu’à ce que la situation soit totalement sous contrôle.

Mais que se passera-t-il une fois l’épisode Covid-19 terminé ? Il y a de grandes chances que cette période de confinement entraîne de grands changements dans les habitudes des Français. En effet, ils sont 70% à vouloir continuer de travailler à distance régulièrement après l’épisode Covid-19. Pour la plupart d’entre eux (32%), le rythme idéal serait de télétravailler 1 à 2 demi-journées par semaine.

« La généralisation du télétravail est un choc culturel pour une entreprise, même s’il s’agit d’une journée par semaine. On ne manage pas de la même manière à distance, pourtant, tout l’enjeu est qu’on ne sente pas la différence. Cette transition doit être accompagnée pour aider toutes les parties prenantes à trouver leurs marques, » observe Frank Zorn co-fondateur de Deskeo.

Parallèlement, les résultats de ce sondage montrent que seuls 17% des Français aimeraient travailler à distance la majorité de leur temps. « C’est bien la preuve que les bureaux continueront d’occuper une place importante dans le quotidien des Français, » commente Frank Zorn. « Mais les entreprises devront penser leurs espaces de travail différemment désormais. Si les collaborateurs ont davantage la possibilité de travailler à distance, leurs bureaux doivent être suffisamment confortables et ergonomiques pour leur donner envie de s’y rendre. Demain, on ne se rendra plus au bureau par obligation mais pour être productif et pour collaborer dans les meilleures conditions. »

Le co-fondateur de Deskeo anticipe également un changement de stratégie immobilière de la part des entreprises. « Si une part significative des effectifs travaille à distance régulièrement, cela induit des réflexions en termes de d’aménagement des bureaux et d’utilisation des espaces. Les dirigeants auront intérêt à réévaluer leurs besoins et pourraient décider d’opter pour des surfaces plus petites, mieux situées, mieux équipées… Dans tous les cas, la flexibilité sera au cœur des débats dans les mois qui viennent. Rares sont les entreprises qui ont la faculté de s’engager sur un bail de 9 ans dans une période aussi incertaine, » ajoute Frank Zorn.

Il en faut peu pour télétravailler ?

Pour être efficaces en home office, 78% des Français avouent manquer cruellement d’équipements à leur domicile : écran, imprimante, etc. Ensuite, 66% décrient le débit Internet insuffisant pour télétravailler correctement. Enfin, 59% des sondés ont besoin du contact avec leurs collègues et 53% manquent de place.

« En ce qui concerne le télétravail, notre sondage montre que l’envie est là, mais que les conditions ne sont pas encore réunies pour que ce soit vraiment efficace. Les Français rencontrent encore des obstacles pour être vraiment productifs à distance : qualité des équipements, connexion Internet insuffisante, manque d’espace, collaboration difficile… Il reste un bout de chemin à faire, cela montre aussi que c’est au bureau que l’on retrouve les conditions optimales pour travailler, » commente Frank Zorn.

Qui paye les équipements en télétravail ?

Enfin, quand on interroge les deux tiers des Français qui considèrent que leur domicile n’est pas suffisamment équipé pour télétravailler correctement (voir question précédente), seuls 11% ont prévu d’investir de leur poche quand 51% espèrent que leur entreprise participera aux investissements nécessaires (écran, chaise, imprimante…).

Pour Frank Zorn, « si les entreprises veulent que le télétravail fonctionne réellement, il y a un petit investissement à faire. Quelques dizaines d’euros peuvent suffire à améliorer considérablement le confort des télétravailleurs, d’autant qu’il s’agit d’une preuve de confiance que vos salariés apprécieront particulièrement. »

 

*Méthodologie : enquête réalisée auprès de 2 856 professionnels répartis sur l’ensemble du territoire français, effectuée en ligne, sur le panel propriétaire Buzz press France, selon la méthode des quotas, durant la période du 1er au 5 mai 2020. Profils des personnes interrogées : 18% d’indépendants, 82% de salariés. Nombre de salariés : 25% de 1 à 10, 36% de 10 à 50, 31% de 50 à 200 : 8% plus de 200. Répartition des secteurs d’activités concernés : Assistanat, Administration : 6% / BTP, Chantier, Bureau d’études : 6% / Commerce, Marketing, Vente : 17% / Conseil : 8% / Direction générale, Direction centre de profits : 5% / Informatique, Télécoms : 17% / Restauration, Tourisme, Hôtellerie, Loisirs : 14% / Santé, Social, Service à la personne : 9% / Production, Maintenance : 1% / Environnement, Aménagement : 1% / Distribution, Magasin : 5% / Gestion, Finance, RH, Comptabilité, Audit : 6% / Métallurgie, Mécanique, Aéronautique : 1% / Logistique, Achat, Stock, Transport : 3%, Agri-Agro – Agriculture, Viticulture, Pêche : 1%. Toutes les informations mises en avant par les personnes interrogées sont déclaratives.


31% des Français refusent de porter un masque au bureau

Alors qu’il y a moins d’un mois, 76 % des Français en télétravail forcé regrettaient leurs bureaux, ils sont désormais près des deux tiers à vouloir rester davantage chez eux pour travailler à l’issu du confinement. C’est ce qui ressort d’une nouvelle étude réalisée pour le compte de l’opérateur de bureau Deskeo. Les raisons principales de ce revirement : gagner du temps dans les transports (38 %), pouvoir travailler au calme (27 %) et s’organiser plus librement (19%). Cependant, pour près d’un Français sur 2 (45 %) redoute que son employeur s’y oppose par culture du présentéisme (43 %) ou manque de confiance (17 %).

« Notre premier sondage réalisé après quelques jours de confinement nous indiquait que les trois quarts (76 %) des Français en télétravail forcé regrettaient déjà leurs bureaux. Après quatre semaines d’expérimentation nationale du home office, les Français ont non seulement pris l’habitude de travailler de chez eux, mais ils voudront le faire plus souvent après le confinement, » commente Frank Zorn, co-fondateur de Deskeo. En effet, 62 % des sondés expriment clairement l’envie de continuer de travailler à distance après l’épisode coronavirus. Seuls 12 % ne souhaitent pas changer leurs habitudes et attendent patiemment de retrouver leur ancien rythme de travail.

En télétravail : plus de temps, plus de productivité et plus d’autonomie

Les Français détestent perdre du temps dans les transports. De ce fait, c’est ce gain que plus de 38 % d’entre eux apprécient le plus dans le télétravail. Parallèlement, 27 % valorisent le fait de travailler au calme pour pouvoir se concentrer. « C’est la preuve que les bureaux ne sont pas adaptés aux besoins des salariés. ‘L’open space’ favorise les échanges, mais pour se concentrer, les collaborateurs ont aussi besoin de pouvoir se mettre au calme, », confie Frank Zorn.

L’avenir des bureaux

Pour pouvoir faire davantage de ‘home office’, 77 % des femmes et plus de 82 % des hommes sont tout à fait prêts à ne plus avoir un poste de travail attitré au bureau. « Une organisation en ‘flex-desk’ (ou sans bureau fixe) permettrait aux entreprises de réduire la surface de leurs espaces de travail. Cette stratégie peut permettre de s’installer dans un quartier plus central et mieux desservi, d’investir dans du mobilier et des équipements plus confortables ou encore d’organiser plus d’événements internes pour conserver la cohésion d’équipe,” observe Frank Zorn.

Le manque des collègues

Lorsque l’on demande aux Français ce qui leur manque le plus quand ils travaillent à distance, l’émulation collective émanant d’un espace de travail dynamique (43 %) apparaît ainsi en première position, devant le fait de pouvoir échanger facilement avec ses collègues (35 %).

Pour ou contre ?

Les entreprises accepteront-elles le home office facilement ? 55 % des Français pensent que leur société sera favorable au télétravail. Dans le détail, 4 % déclarent que leur employeur sera tout à fait d’accord et 51 % plutôt favorable. En revanche, 36 % pensent que leur entreprise sera plutôt contre et 8 % totalement opposée.

Acte de présence

Parmi les raisons invoquées par les sceptiques, 42% des hommes déclarent que le home office est incompatible avec leur activité professionnelle et 41% des femmes pensent que leur entreprise a une culture du présentéisme trop importante. Enfin, les femmes sont deux fois plus nombreuses que les hommes à craindre que leur employeur leur refuse le droit de télétravailler par manque de confiance. « La culture du présentéisme est encore très présente en France. Un accompagnement est nécessaire pour aider les managers à faire davantage confiance à leurs équipes pour s’adapter au travail à distance. Espérons que cet épisode de télétravail forcé permettra de faire évoluer les mentalités pour aller vers un management à la performance et non plus à la présence, » observe Frank Zorn.

Un avis positif sur le télétravail

A l’issue du confinement, plus de 85 % des Français auront un avis positif sur une entreprise qui proposera du home office. Inversement, 86 % des travailleurs auront un a priori négatif sur une société opposée au télétravail. « Les entreprises ont clairement intérêt à se montrer ouvertes au sujet du télétravail, tant pour attirer de nouveaux talents que pour les conserver. À salaire équivalent, il s’agit d’un argument de poids qui peut faire la différence au moment de faire un choix entre plusieurs employeurs » conclut Frank Zorn.   

Enquête réalisée auprès de 2 915 professionnels répartis sur l’ensemble du territoire français, effectuée en ligne, sur le panel propriétaire Buzzpress France, selon la méthode des quotas, durant la période du 2 au 8 avril 2020.


31% des Français refusent de porter un masque au bureau

Selon une étude* réalisée par l’opérateur de bureau Deskeo** au sujet des conditions de télétravail, près de 76 % des Français contraint au télétravail regrettent leur bureau. Ce sondage, mené auprès de de 2 736 professionnels après moins de deux semaines de confinement, fait également apparaître que 32 % travaillent plus que d’habitude en télétravail et 51% ne prennent pas de pause déjeuner tous les jours. Autre conséquence de cette immobilisation, 54 % en profitent pour cuisiner et 52 % pour dormir plus. Enfin, 74 % n’ont aucun moment dédié à leurs collègues pendant la journée et surtout 81 % d’entre eux ont peur de perdre leur emploi compte-tenu de la situation actuelle.

 

Une nation en télétravail

La grande majorité des Français applique avec rigueur la politique de confinement. Ainsi, moins d’un sondé sur trois (29 %) dit continuer à exercer son activité professionnelle sur son lieu de travail habituel. De l’autre côté, 59 % des Français déclarent travailler à leur domicile et 11 % dans leur résidence secondaire. Parmi ces 70 % de télétravailleurs, 89 % n’ont pas l’habitude de travailler à distance et découvrent ainsi le home office.

Compte-tenu de la crise sanitaire actuelle, comment travaillez-vous en ce moment ?

Réponses

Global

Femmes

Hommes

Sur mon lieu de travail habituel

29%

30%

29%

A mon domicile

59%

59%

58%

Dans une maison de campagne

11%

10%

12%

Autre

1%

1%

1%

Aviez-vous déjà fait du télétravail auparavant ?

Réponses

Global

Femmes

Hommes

Oui, régulièrement

11%

13%

8%

Oui, occasionnellement

19%

21%

17%

Non

70%

66%

75%

 

Mal équipés…

Parmi les conseils des professionnels pour s’organiser de manière efficace en télétravail, le fait de disposer d’une pièce dédiée pour s’isoler revient systématiquement. Malheureusement, cette recommandation ne s’applique qu’à une minorité de Français. En effet, plus de 73 % des personnes interrogées ne disposent pas d’un espace réservé pour le home office.

Avez-vous une pièce dédiée pour télétravailler ?

Réponses

Global

Femmes

Hommes

Oui

27%

24%

31%

Non

73%

76%

69%

 

Quel impact sur le temps de travail ?

En ce qui concerne la durée du temps de travail, la moitié des Français a vu la différence depuis le début du confinement. Ainsi, 32 % des sondés ont le sentiment de travailler plus longtemps que d’habitude quand 1 Français sur 5 avoue travailler moins longtemps qu’en temps normal. Pour ces derniers, la baisse d’activité générale observée ces derniers jours partout en France est certainement liée à cette baisse de régime.

Travaillez-vous plus ou moins longtemps ?

Réponses

Global

Femmes

Hommes

Moins longtemps

19%

16%

22%

Plus longtemps

32%

31%

34%

Pareil

49%

53%

44%

 

La pause déjeuner passe à l’as

Même s’ils sont à la maison, la moitié des Français (49 %) actuellement en télétravail forcé avoue faire l’impasse sur le déjeuner. Dans les faits, 37 % des sondés déjeunent de façon occasionnelle et 14 % continuent de travailler à l’heure du repas.

Faites-vous une vraie pause déjeuner ?

Réponses

Global

Femmes

Hommes

Oui, systématiquement

49%

41%

58%

Oui, parfois

37%

41%

33%

Non

14%

18%

9%

 

Plus de temps pour… travailler !

Avec l’élimination de leur trajet quotidien, 59 % des Français constatent surtout travailler plus. En revanche, 54 % des sondés utilisent ce temps gagné pour cuisiner et 52 % pour dormir un peu plus. Parallèlement, 38 % en profitent pour jouer avec leurs enfants et 33 % pour effectuer les tâches ménagères. Le sport (25 %) et les loisirs (16 %) sont plus difficiles d’accès en cette période de confinement, même si on constate que les hommes sont globalement plus nombreux à s’accorder du temps pour eux.

Comment utilisez-vous votre temps de trajet quotidien économisé ?

Classement

Réponses

Global

Femmes

Hommes

N°1

Travail

59%

62%

56%

N°2

Cuisine

54%

57%

51%

N°3

Sommeil

52%

49%

55%

N°4

Jeu avec les enfants

38%

31%

44%

N°5

Tâches ménagères

33%

41%

25%

N°6

Sport

25%

21%

28%

N°7

Loisirs

16%

12%

19%

N°8

Autre

2%

1%

2%

 

Loin des collègues

Pour conserver un lien social avec leurs collègues, 74 % des sondés ne font pas grand-chose. En effet, si 29 % communiquent régulièrement par téléphone, très peu de Français utilisent les moyens technologiques à leur disposition pour partager leurs déjeuners (2 %), ‘happy hours’ (2 %) ou leurs pauses café (1 %) en vidéoconférence.

Prévoyez-vous des moments dédiés à la socialisation avec vos collègues ?

Réponses

Global

Femmes

Hommes

Pause-café en vidéo conférence

1%

1%

1%

Déjeuner en vidéo conférence

2%

2%

2%

‘Happy hour’ en vidéo conférence

2%

2%

1%

Appel téléphoniques

29%

32%

26%

Pas vraiment

74%

76%

71%

Autre

3%

3%

2%

 

En manque de bureau

Sans doute que peu de personnes auraient répondu par l’affirmative à cette question en temps normal mais aujourd’hui, plus de 73 % des hommes et 79 % des femmes avouent regretter leur bureau et leur espace de travail quotidien.

Regrettez-vous votre bureau, votre espace de travail ?

Réponses

Global

Femmes

Hommes

Oui

76%

79%

73%

Non

24%

21%

27%

 

Peur de perdre son emploi

En plus de la crainte d’être touchés par le coronavirus, 79 % des hommes et plus de 83 % des femmes avouent avoir extrêmement peur de perdre leur emploi compte-tenu de la situation actuelle.

Avez-vous peur de perdre votre emploi compte-tenu de la situation actuelle ?

Réponses

Global

Femmes

Hommes

Oui

81%

83%

79%

Non

19%

17%

21%

 

*Méthodologie : enquête réalisée auprès de 2 736 professionnels répartis sur l’ensemble du territoire français, effectuée en ligne, sur le panel propriétaire Buzzpress France, selon la méthode des quotas, durant la période du 19 au 24 mars 2020. Profils des personnes interrogées : 21% d’indépendants, 79% de salariés. Nombre de salariés : 24% de 1 à 10, 36% de 10 à 50, 32% de 50 à 200 : 8% plus de 200. Répartition des secteurs d’activités concernés : Assistanat, Administration : 6% / BTP, Chantier, Bureau d’études : 6% / Commerce, Marketing, Vente : 17% / Conseil : 8% / Direction générale, Direction centre de profits : 5% / Informatique, Télécoms : 17% / Restauration, Tourisme, Hôtellerie, Loisirs : 14% / Santé, Social, Service à la personne : 9% / Production, Maintenance : 1% / Environnement, Aménagement : 1% / Distribution, Magasin : 5% / Gestion, Finance, RH, Comptabilité, Audit : 6% / Métallurgie, Mécanique, Aéronautique : 1% / Logistique, Achat, Stock, Transport : 3%, Agri-Agro – Agriculture, Viticulture, Pêche : 1%. Toutes les informations mises en avant par les personnes interrogées sont déclaratives.

**À propos de Deskeo

Deskeo est une solution immobilière complète pour les entreprises. Créée en 2016 par Benjamin Teboul et Frank Zorn, Deskeo propose des bureaux en location clés en main avec des conditions flexibles pour des entreprises de 20 à 1 000 collaborateurs. Acteur majeur des bureaux flexibles en France, Deskeo propose une formule qui réunit les avantages du coworking (services, flexibilité) et du bail traditionnel (personnalisation, confidentialité). Deskeo s’occupe ensuite de la gestion opérationnelle au quotidien et des services annexes pour permettre à ses clients de se concentrer sur leur cœur de métier. Deskeo fait partie du groupe Knotel, leader mondial des bureaux flexibles avec un parc immobilier de près de 500.000 m2 dans le monde (Etats-Unis, Brésil, Royaume-Uni, Japon…). Knotel est le partenaire immobilier d’entreprises internationales comme Shell, AXA, EDF, Netflix, Starbucks, Amazon ou encore Uber.

https://www.echodumardi.com/tag/teletravail/page/4/   1/1