Une vente aux enchères de vins au profit du centre hospitalier du Pays d’Apt
La Confrérie de la Truffe et du Vin du Luberon et le fonds de dotation ‘Pour le Pays d’Apt, un hôpital d’avenir‘ organisent la 4ᵉ édition de la vente aux enchères de vins au profit du centre hospitalier du Pays d’Apt ce samedi 22 juillet à la Maison de la Truffe et du Vin à Ménerbes.
Pour cette vente aux enchères, les professionnels de la filière viticole, mais aussi les particuliers férus de vin, ont été invités à faire don d’une ou plusieurs bouteilles de vin. Cet élan de générosité devrait permettre de proposer un large éventail de vins et de recueillir le maximum de fonds pour la modernisation du centre hospitalier du Pays d’Apt.
Ainsi, plus de 250 bouteilles seront proposées lors de cette vente, animée par Maître Caroline Tillie-Chauchard de la maison de ventes Dame Marteau. Les lots seront exposés avant la vente, les jeudi 20 et vendredi 21 juillet de 11h à 18h à la Maison de la Truffe et du Vin du Luberon à Ménerbes.
Samedi 22 juillet. 17h. Maison de la Truffe et du Vin. Place de l’horloge. Ménerbes.
V.A.
Une vente aux enchères de vins au profit du centre hospitalier du Pays d’Apt
C’est Christelle Gouirand, commissaire-priseur qui sera au maillet pour la dispersion de la collection Emile Garcin ce samedi 26 novembre à Arles. Des centaines d’enchérisseurs seront en ‘live’ et, peut-être, plus d’une centaine en salle des ventes. L’occasion pour Christelle Gouirand de nous parler de son métier.
Christelle Gouirand, Arles-enchères
Ma passion pour les objets anciens ? «C’est venu naturellement et ça ne m’a pas quittée. Peut-être parce que mes parents –mon papa est de Chateaurenard ce qui explique mon ancrage dans la région- adoraient faire les brocantes de Provins, d’où je suis native. Ça se faisait beaucoup à l’époque.»
La première salle des ventes où je suis entrée ? «J’étais jeune enfant et elle se trouvait à Provins où nous vivions. La sortie du dimanche c’était souvent les antiquaires, les vide-greniers et les brocantes. J’ai toujours aimé les objets et l’ambiance des salles de vente. C’est à la fois amusant et intéressant de découvrir cette pluralité d’objets. Mon lieu préféré à Paris était le Louvres des antiquaires (Ndlr : 250 boutiques d’antiquaires au plus fort de son activité, sur 10 000m2, 2 place du palais Royal, Paris 1er . L’endroit est inauguré en octobre 1978 et fermé en août 2020). Un lieu magique qui, malheureusement n’existe plus aujourd’hui. Vous passiez du bijou ancien, aux faïences, sans oublier le mobilier XVIIIe et XIXe.»
Qu’est-ce que me racontent les objets ? «Les techniques incroyables utilisées par l’artisan ébéniste, menuisier, horloger, parfois plusieurs d’entre-eux collaborent pour créer des objets. Egalement le fait que ces objets soient passés par plusieurs mains et lieux de vie dont l’on peut, parfois, retracer les appartenances. Un exemple ? Un jour nous avons vendu un exemplaire des ‘Fleurs du mal’ de Baudelaire qui avait appartenu à Paul Cézanne (1839-1906), sur la couverture de l’ouvrage il y avait des tâches de peinture. Le livre provenait lui-même d’un collectionneur régional qui l’avait acquis en vente aux enchères. C’est incroyable de se dire que ce livre appartenait au grand peintre, qu’il était dans son univers, qu’il l’a touché, lu et relu. Je crois que c’est l’objet qui m’a le plus émue.»
Et puis, il y a l’histoire ! «On a la chance, en France, de connaître des siècles d’histoire. Des époques très riches où s’est croisé le monde entier. Nous avons, dans notre pays, cette culture des objets et nous sommes l’endroit au monde qui nourrit sans doute, le plus d’appétence pour les brocantes. Les commissaires-priseurs sont très nombreux dans notre pays. Il y a cet intérêt, aussi, pour le détournement d’objet comme de faire d’une comtoise une vitrine, ou de faire d’un meuble rendu vieillot par son ancienne patine, un meuble plus actuel lorsqu’il est repris aux goût du jour… »
«j’avais depuis longtemps ces couronnes de vierges de procession en tôle travaillée ; récemment Jeanne Moreau, se souvenant de les avoir vues chez moi, m’a demandé de les lui confier pour son rôle de Mahaut d’Artois dans la série télévisée les rois maudits, en 2005. Elle me les a rendues restaurées, dans de belles boîtes à l’ancienne ».
La préparation de la vente puis la récréation «Oui, il faut du temps pour préparer une vente. On reçoit les lots, on les organise par groupe ou au contraire un à un. On les regarde, on les prend en photos. On décadre certaines œuvres. On organise l’exposition d’objets. On retourne les voir. Quant à l’aboutissement de la vente ? C’est un peu, pour nous, la récréation, un moment d’amusement. La dispersion de la collection d’Emile Garcin donnera à voir plus de 820 lots. Ce sera un véritable événement où l’Europe et le monde entier sera en live. J’ai déjà des acheteurs inscrits en provenance de Chine et de New-York.»
Juste avant la vente «Est-ce que je suis stressée avant la vente ? Oui, très, très. Comment je me prépare ? Je m’isole dans un coin, je pense à la vente, je me mets dans ma bulle. Je me prépare mentalement. Le début de la vente ? C’est le plus dur. Il faut mettre l’ambiance, emporter les gens avec soi, créer les conditions de l’envie d’acheter. Est-ce que les gens me contactent à l’avance en me disant qu’ils sont intéressés par certains lots ? Oui, bien sûr, et je garde tout cela secret. On ne peut pas non plus préjuger de ce qui va se passer. C’est la surprise pour tout le monde y compris pour nous. Il y a des lots que l’on met très longtemps à préparer et qui passent en quelques minutes. On n’a pas le temps de penser, de s’attacher au lot qu’il est déjà passé. Une enchère dure très peu de temps. Le maillet a à peine frappé que vous êtes déjà passé au lot suivant. Il faut tenir le rythme.»
Exposition de la collection Emile Garcin
La vente qui m’a le plus marquée ? «Une collection entière de mobilier Eugène Printz (1889-1948) ébéniste et décorateur français, designer de mobilier dans les années 1930-40, du mouvement Art Déco, très connu du grand public à l’international. C’était en octobre 2020, la vente a atteint les 2,5M€, et pour cause, il s’agissait d’un vrai trésor. Au-delà de la vente, nous faisons d’incroyables rencontres car, derrière la vente, il y a des hommes, des femmes, des familles avec qui nous tissons des liens de confiance. On ne veut pas décevoir la personne qui vous confie son objet, à la fois très important, et très personnel, car souvent lié à son histoire familiale.»
Les acquéreurs sont-ils attirés par la personnalité d’Emile Garcin ou par les lots mis en ligne ? «Je pense qu’il s’agit des deux. Ce qui est très touchant ? C’est que la collection soit très éclectique et, ainsi, qu’elle séduise le plus grand nombre. Tout le monde peut tomber amoureux d’un de ces objets.»
Les oiseaux
Parmi les objets qui sortent de l’ordinaire ? «Une paire d’oiseaux qui tiennent en leur bec une perle de l’artiste animalier, sculpteur et graveur, François-Xavier Lalanne (Août 1927-7 décembre 2008) actuellement très prisé. Il s’agit d’une paire de bougeoir en fonte d’aluminium estimée à partir de 3 000€. C’est le lot n°324. Il y a aussi des bouteilles de vin de Cheval-blanc –lot 77- et de château Yquem –lot 61-. Il y a aussi des photos de Jeanne Moreau en noir et blanc prises lors du film de François Truffaut, Jules et Jim. Et aussi cette paire de tableaux ayant appartenu à Jean-Louis Trintignant lots 380 et 500… Le mot de la fin ? Je vends les meubles d’une personne qui vendait des immeubles, nous faisions le même métier, mais différemment,» sourit Christelle Gouirand.
Les vins
Les infos pratiques Dispersion de la collection Emile Garcin, précurseur de la vente de l’immobilier de luxe et de prestige. Samedi 26 novembre à 10h et 14h. Arles enchères. Maître Christelle Gouirand. Commissaire-priseur. 35 bis rue Nicolas Copernic à Arles. contat@arles-encheres.com 04 90 49 84 70. Tout le catalogue ici.
Une vente aux enchères de vins au profit du centre hospitalier du Pays d’Apt
La collection d’Emile Garcin –grand homme de l’immobilier de prestige- accueillie durant plusieurs décennies dans sa propriété, le Mas d’Altavès à Saint-Rémy-de-Provence, sera dispersée samedi 26 novembre chez Arles enchères, 35 bis rue Nicolas Copernic. Près de 820 lots seront proposés par Christelle Gouirand, commissaire-priseur, en collaboration avec Christie’s. Parmi eux, une belle cave de vins et spiritueux, une bibliothèque de livres dont du régionalisme et une collection éclectique et pleine d’esprit de meubles, tableaux, estampes et objets d’art.
Voilà, le grand homme est parti et avec lui son sourire bienveillant, sa longue silhouette, son phrasé un peu lent et son écoute attentive, réfléchie, comme dans un silence plein. Qu’est devenu cet homme discret, affable, amoureux des vieilles pierres qui demandait à d’autres de bien vouloir les mettre à la vente alors que lui-même n’aurait jamais voulu quitter son cher mas d’Altavès.
Quels habitants? Quels habitants de Saint-Rémy se souviennent qu’il rédigeait ses compromis de vente, à la terrasse d’un café, sur une serviette en papier, tranquillement attablé avec un nouvel acheteur. Une poignée de main et la vente était conclue. Ça se passait peu après le retour d’Algérie, un peu avant que les grandes constructions n’érigent leurs barres un peu partout en France, alors même que les constructions de maisons dans la pierreuse campagne n’avaient pas lieu d’être. On faisait avec l’existant qu’on retapait s’il le fallait.
Emile Garcin
On se remémore On se remémore les déambulations de cet amoureux des vieilles pierres, quand, au détour d’un chemin, il tombait amoureux d’un endroit, d’une vieille bâtisse. Alors il s’arrêtait, passait et repassait au fil des saisons, caressant du regard ses belles et vieilles pierres dressées au creux de changeants paysages ou en bordure de chemin. Et puis, un jour, il décidait de toquer à la porte et disait : «Bonjour, je suis tombé amoureux de votre maison, vous ne voudriez pas la vendre ? » C’est ainsi qu’il bâtissait son catalogue de demeures. Ce qui les caractérisait ? Des maisons de familles, restées dans leur jus, respirant la vie d’antan, posées là pour l’éternité, accueillant parfois plus de 100 ans d’années de vies de familles. C’est parce qu’Emile Garcin aimait s’inscrire dans le temps long, dans la pierre ancienne, dans le foyer odorant aux rémanences de café, de soupe au pistou, de gigot d’agneau au thym, ail, miel et sa fleur de sel.
Un peu de sa vie Et c’est un peu de sa vie, des cadeaux d’amitié reçus, souvent de célébrités, dont il sera question lors de cette vente aux enchères. Et aussi de coups de cœur. Son mas fourmillait d’objets plus hétéroclites les uns que les autres, chacun reflétant une alliance secrète avec une partie de lui. Le secret d’Emile Garcin ? Il aimait les autres et les liens qu’ils tissaient avec leur antre, leur chez-soi, leur demeure, reflet le plus intime de ses habitants. Ne dit-on pas que pour vraiment connaître une personne, il faut entrer chez elle ? Une nature humaine qu’il lisait, percevait, enregistrait au fil des pièces traversées, de la scénographie des objets. A nous désormais d’approcher l’homme qu’il fut et de lui rendre un tendre hommage d’amitié au fil de tableaux, gravures, objets, instruments de musique, livres et vins de prestige et, aux creux de ceux-ci, dénicher les deux tableaux qui appartenaient à Jean-Louis Trintignant, les couronnes que Jeanne Moreau portait dans les ‘Rois maudits’, le fauteuil l’Elia Kasan (lot 685) dans le film ‘Le dernier nabab’ tous offerts par la grande Jeanne Moreau. Et aussi un compas de mesure en métal rouge dont une étiquette en indique la provenance : l’atelier de Rodin à Valenciennes (lot 482)…
Une vie de coups de coeur
Au revoir Émile Garcin, précurseur de la vente de l’immobilier de luxe et de prestige nous a quittés le 24 juin 2022 à l’âge de 83 ans. Il avait fondé sa première agence en 1963 à Saint-Rémy-de-Provence, avant de gagner les plus belles régions et villes de France pour y proposer des biens d’exception. Ses trois enfants Nathalie, Emmanuel et Antoine poursuivent la saga familiale dans le même esprit.
L’hommage de Pierre Arditi Le catalogue de la vente est préfacé par l’acteur Pierre Arditi qui confie : « Emile Garcin a été, pour moi, une rencontre particulière et enrichissante parce qu’elle aura toujours été délicieusement imprévisible ! Ce qui a caractérisé notre relation c’est cette soif d’aller au-devant du ‘monde autour’ pour ne pas en perdre une miette et devenir acteur de ce monde, même quand il était en désaccord avec lui. Deux phrases définissent Emile Garcin, elles sont majeures : ‘Vivre c’est choisir et choisir c’est renoncer à tout ce qui reste’ (André Gide) et ‘Ce que tu donnes est à toi pour toujours personne, jamais, on ne pourra te le reprendre (James Joyce). »
Les infos pratiques Dispersion de la collection Emile Garcin, précurseur de la vente de l’immobilier de luxe et de prestige. Samedi 26 novembre à 10h et 14h. Arles enchères. Maître Christelle Gouirand. Commissaire-priseur. 35 bis rue Nicolas Copernic à Arles. contat@arles-encheres.com 04 90 49 84 70. Tout le catalogue ici.
Une vie d’échanges et de rencontres
Une vente aux enchères de vins au profit du centre hospitalier du Pays d’Apt
Une vente aux enchères exceptionnelle de saisies douanières est organisée pour le compte de la direction générale des douanes et droits indirects (DGDDI), le 4 novembre à Bercy. Près de 350 lots seront proposés.
Le Domaine (DNID – direction spécialisée de la DGFIP) organise pour la première fois une vente dédiée à la Douane. Tous les biens mis en vente proviennent exclusivement de saisies douanières. Une large gamme de biens sera mise en vente (voiture, maroquinerie, pièce d’or, diamants…) reflétant la diversité des saisies douanières.
La vente débutera à 10h30 et sera précédée d’une exposition publique à partir de 10h. Près de 350 lots seront proposés aux acheteurs qui pourront porter des enchères en salle, mais également par internet via la plateforme Drouot digital. La vente en salle est ouverte au grand public dans la limite des places disponibles. Toute personne qui souhaite participer physiquement doit au préalable s’inscrire sur ce lien.
Cette vente sera l’occasion de présenter aux visiteurs le rôle de la direction générale des douanes et droits indirects (DGDDI) dans la lutte contre la fraude. Les services douaniers luttent quotidiennement contre tous les trafics illicites qui menacent le territoire et la société, afin de protéger les citoyens et l’environnement.
Ils contribuent également à l’attractivité des ports et des aéroports et accompagnent les entreprises françaises dans leurs opérations à l’international. Les résultats ci-dessous illustrent leur mobilisation :
La vente qui aura lieu le 4 novembre est une illustration de la synergie entre le Domaine et la Douane pour valoriser aux mieux les biens saisis en matière douanière.
Le 4 novembre à Bercy à partir de 10h30 – centre de conférences Pierre Mendès, Paris– inscription physique ici et en ligne ici.
J.R.
Une vente aux enchères de vins au profit du centre hospitalier du Pays d’Apt
Patrick Armengau, commissaire-priseur de l’Hôtel des ventes d’Avignon propose une magnifique vente de tableaux et d’art du 20e siècle. Parmi une multitude d’objets plein d’âme nous avons repéré ce Léonard Tsuguharu Foujita (1886-1968) ‘La balançoire, 1918’. Mêlant Tempera, aquarelle, encre de Chine et feuilles d’or sur papier de 33×40 cm estimée à partir de 40 000€.
Le Corbusier Côté meubles un magnifique ensemble de salon Le Corbusier avec sa paire de fauteuils LC2 en cuir noir et acier chromé tubulaire, édition Cassina à partir de 3 000€ et le canapé de même facture à partir de 2 000€.
Charles et Ray Eames On adore le fauteuil de bureau Charles et Ray Eames Lobby ES108 en cuir fauve à partir de 300€. On ne peut évidemment pas passer sous silence le fauteuil lounge et Ottoman le plus connu de Charles et Ray Eames en cuir sur son piétement en métal noir laqué, édition Vitra à partir de 3 000€. On l’a essayé et il est d’un merveilleux confort. On commence à y lire un ouvrage et hop hop hop, on s’endort sur un nuage. On aime aussi énormément cette paire de chauffeuse modèle Barcelona de Ludwig Mies Van der Roche (1886-1969) à partir de 1 600€.
Eero Saarinen Et pour commencer une nouvelle collection et en attendant la table en marbre, cette paire de fauteuils tulipes de Eero Saarinen à partir de 500€ sera du plus bel effet dans votre intérieur qu’il est temps de révolutionner.
Elio Martinelli et Van Lith On a un petit coup de foudre pour la lampe Elio Martinelli (1921-2004) modèle Sepente 599 à partir de 150€. Et pour finir en beauté ce joyeux totem coloré Van Lith singé et daté de 1998 d’une hauteur de 45 cm à partir de 150€.
Exposition & vente Jeudi 20 octobre de 14h à 18h et vendredi 21 octobre de 10h à 12h. Vendredi 21 octobre à 14h et samedi 22 octobre à 10h et 14h. Tableaux & Art du XXe.
Prochaines ventes Samedi 26 novembre : Bel ameublement et objets d’art. Vendredi 9 décembre : Grands vins et alcools et samedi 10 décembre : Bijoux et accessoires de mode. Catalogue et renseignements sur www.avignon-encheres.com et sur www.interencheres.com/84001 Consulter la plaquette illustrée ici. Tout le catalogue ici.
Une vente aux enchères de vins au profit du centre hospitalier du Pays d’Apt
Parmi une multitude de beaux objets, nous avons retenu ce portrait d’une jeune dame au luth –Sainte-Cécile- entourée de deux anges d’après Bartolomeo Veneto, une école Milanaise du XVIe siècle estimé à partir de 4 000€. Il y a également cette magnifique commode provençale en noyer mouluré, sculpté et ajouré ouvrant par deux tiroirs du XVIIIe siècle à partir de 3 000€. Nous nous émerveillons de ce petit coffre de colporteur en noyer avec son abattant orné de ferrures en fer forgé et serrures à morillon dégageant un casier amovible formé de 10 tiroirs sur charnières et un compartiment de fin du XVIe siècle à partir de 500€. Parce qu’elle est tout à fait charmante avec ses huit airs, cette boîte à musique nous a tapés dans l’œil. La boîte est en placage de palissandre à décor marqueté de fleurs et en parfait état de marche ! A partir de 1 000€. Enfin, parce que cette paire de panneaux est extrêmement rare et sera du plus bel effet dans un intérieur que l’on imagine grand et lumineux, nous y apposerions bien Saint Barthélémy et saint Jean Evangéliste. La paire de panneaux arbore, chacun 124 cm de hauteur et 38 de largeur. Ils sont de l’école autrichienne vers 1510, de Suiveur de Rueland Frueauf l’ancien. Ils furent accueillis chez Scheidwimmer à Münich en 1956, faisaient partie de la collection Elizabeth H. Paepcke (1902-1994) à Chicago et vendus par Christie’s en 1995.
Les infos pratiques Hôtel des ventes d’Avignon. Vente samedi 9 avril 2022 à 9h30 et 14h15. Prochaines ventes lundi 25 avril pour des automobiles de collection. Samedi 21 mai pour des bijoux, des accessoires de mode et des arts de la table. Jeudi 2 juin pour des timbres et des cartes postales et samedi 18 juin pour du mobilier et des objets d’art. Patrick Armengau commissaire-priseur. Courtine 2, rue mère Teresa à Avignon. 04 90 86 35 35 www.avignon-encheres.com Catalogue et renseignements sur www.avignon-encheres.com et sur www.interencheres.com/84001 MH
Une vente aux enchères de vins au profit du centre hospitalier du Pays d’Apt
Plus de cinquante personnes ont participé à la troisième édition de la vente aux enchères organisée par la Confrérie de la truffe et du vin du Luberon en soutien à l’hôpital d’Apt. En tout, 125 lots de 300 bouteilles ont été adjugés dont certains crus ont atteint 300€. La vente a rapporté 10 000€, somme qui financera l’acquisition de lits accompagnants et de terminaux médicaux multimédia pour les chambres de l’unité de court séjour. Les lots de l’opération ‘Pour le Pays d’Apt, un hôpital d’avenir’ ont été offerts par des viticulteurs, des restaurateurs, des cavistes et des donateurs. La vente aux enchères était orchestrée par Caroline Tillie-Chauchard, commissaire-priseur de la Maison des ventes Dame Marteau située à Salon-de-Provence M.H.
Une vente aux enchères de vins au profit du centre hospitalier du Pays d’Apt
La 3e vente aux enchères de vins organisée au profit de l’hôpital d’Apt –initialement prévue en Avril dernier- aura finalement lieu ce samedi 24 juillet à 17h 30 à la Maison de la truffe et du vin du Luberon à Ménerbes. Elle sera animée par ‘Dame Marteau’ en la personne de Caroline Tillie-Chauchard, commissaire-priseur à Salon-de-Provence.
« Nous remercions de tout cœur les donateurs qui avaient déjà répondu à notre appel début 2020. Le produit de la vente permettra de financer l’acquisition de nouveaux matériels pour équiper les chambres de la 3e unité du bâtiment de médecine opérationnelle qui va être prochainement mis en service » a précisé Alain Audet, président de la Confrérie du Vin et de la Truffe du Luberon, également organisateur de l’événement.
Plus que jamais d’actualité
« La situation que nous avons connue et connaissons encore aujourd’hui nous incite encore plus à soutenir l’action de notre centre hospitalier dont toutes les équipes ont agi de façon exemplaire depuis le début de cette pandémie, » a souligné Shelagh Lester-Smith, présidente du fonds de dotation « Pour le Pays d’Apt, un hôpital d’avenir ».
S’inscrire dans le concret
300 bouteilles soit 120 lots seront proposées au public à cette occasion; des vins du territoire et aussi des vins de Bordeaux, de Bourgogne, de grands crus offerts par des cavistes, restaurateurs, distributeurs et particuliers du Pays d’Apt, attachés à leur centre hospitalier.
Amateurs de vin, venez et voyez !
Les lots seront exposés les Jeudi 22 et Vendredi 23 Juillet de 10h à 18h à la Maison des Vins et de la Truffe du Lubéron, place de l’Horloge à Ménerbes.
Une précieuse initiative
Les précédentes éditions avaient permis chaque année de collecter près de 10 000€, utilisés pour l’acquisition de lits accompagnants et de terminaux médicaux multimédia pour les chambres du bâtiment court séjour de l’hôpital totalement rénové.
Les infos pratiques
Enchères de vins au profit de l’hôpital d’Apt. Samedi 24 juillet à 17h30. Maison de la truffe et du vin du Luberon. Place de l’Horloge à Ménerbes. Exposition les jeudi 22 et vendredi 23 juillet de 10h à 18h. Catalogue de vente disponible sur www.apt-hopitaldavenir.fr et http://www.vin-truffe-luberon.com/ M.H.
Une vente aux enchères de vins au profit du centre hospitalier du Pays d’Apt
La maison Ivoire, hôtel des ventes de Nîmes a enregistré de beaux résultats pour sa vente de Dinky toys de mercredi 19 mai.
Les jouets Citroën (Paris, 1935) ont particulièrement eu la cote avec, notamment, cette Citroën Traction Avant 11cv carrosserie en zamac, ailes et châssis en tôle bleu métallisé – L : 42cm – moteur à ressort avec son éclairage électrique qui fonctionne et l’intervention d’une belle restauration. Estimé à partir de 1 200€ le bel objet s’est envolé pour atteindre les 2 300€. Il y a aussi ce Dinky de Agostini Citroën ID19 break jaune Persépolis métallisé dont le premier essai de couleur a été réalisé à l’usine Norev le 20 mars 2018 – le coloris, très éloigné du bronze doré demandé fut bien évidemment refusé, reste ce magnifique modèle, état A.a. Le modèle estimé à partir de 300€ a été adjugé à 2 200€. Enfin, parmi les très belles ventes il y a ce Dinky France Citroën HY 1 200 kg gris métallisé portant la publicité du magasin de jouets ‘Auriez’ à Alger sur le flanc gauche. Estimé aux alentours de 100€ les prix se sont affolés pour afficher 950€ au compteur. M.H.